Chapitre 1 : ma marraine
Je m’appelle Léo, je viens d’entrer en classe préparatoires scientifique. Autant dire que je dis adieu à ma vie pendant deux ans pour le travail et le stress. Heureusement l’ambiance est plutôt bonne dans la classe où je débarque. Les deuxièmes années nous ont encadré tout de suite, pour nous intégrer. Je pense que cette organisation nous a tous rapproché, que ce soit dans notre promo où avec la promo précédente.
J’ai décidé d’être dans l’internat du lycée. Heureusement, nous avons un internat prépa séparé des lycéens. Je crois que j’ai eu de la chance car je n’ai pas de colocataire. J’ai donc une chambre pour moi seul.
Je suis dans une prépa spécialisée sur la mécanique, donc il y a beaucoup de mecs et peu de filles. Ceci dit elles sont plutôt mignonnes, et les deuxièmes années ne sont pas mal du tout. En tout il y a douze filles pour soixante garçons. Mais je ne suis pas venu pour ça, et je suis d’un naturel timide, donc je n’ai pas beaucoup de chance si une guerre de la drague commence.
Ce soir termine la semaine d’intégration. Nous sommes tous dans la salle de fête de l’internat. Je trouve ça super qu’on ait une salle pour faire des fêtes au sein même de l’internat.
Avant de faire la fête pour fêter notre intégration, les deuxièmes années nous explique une dernière tradition qui nous servira toute l’année : le parrainage. Chaque première année est associée à un second année qui pourra l’aider en cas de besoin.
Pour pimenter le jeu, les spés (les deuxièmes années) ont dessiné des rébus du nom de famille de leur fillot.
Quelle n’est pas surprise quand je découvre mon parrain, ma marraine pour être plus précis.
Elle s’appelle Fanny, elle est plutôt grande, un sourire espiègle et de longs cheveux châtains et bouclés. Elle est très belle et elle m’intimide un peu.
Je ne sais que dire quand je m’approche de ma marraine. Elle me lance un grand sourire et passe un bras sur mon épaule.
C’est toi mon fillot !
Euh oui je crois
Je suis pathétique.
Bah quoi ? ça ne te plaît pas ?
Si si !!
Et bien alors fais-moi la bise mon fillot !
On officialise notre nouveau lien par une bise et une photo.
Ensuite elle m’emmène au bar pour fêter ça avec une bière.
J’espère que tu connais la réputation des soirées de prépa ? me demande-t-elle après avoir fini la bière.
Etant d’origine polonaise je suis naturellement résistant à l’alcool. Mais cette première m’aide à me détendre à coté de ma magnifique marraine.
Les grosses soirées ou l’alcool coule à flot et ou tout le monde finit couché ?
Oui celles-là
J’en ai entendu parler, et je crois que je ne vais pas trop m’en plaindre. Et puis je suis résistant !
Ça c’est ce qu’on va voir fillot !
Quand tu veux marraine !
Je relève le défi lancé par ma marraine.
Peu à peu l’alcool me libère de ma timidité habituelle. Je suis sur la piste de danse avec ma marraine et on danse n’importe comment. Il y a déjà des déchets qui trainent dans les coins
Malgré la brume de l’alcool, je me rends compte que ma nouvelle marraine semble me provoquer. Quand nous buvons un verre sur une table, son pied ne cesse de toucher ma jambe. La première fois que j’ai relevé, elle m’a dit qu’elle était désolée, un grand sourire aux lèvres et l’air pas du tout désolée.
Sur la piste de danse, elle se déhanche sensuellement, me jetant des regards de braises. Elle m’appelle du doigt et se colle contre moi lors des slows. Légèrement ivre, je la laisse faire avec plaisir sans me poser de questions
Il est deux heures du mat et je commence à fatiguer. Fanny à l’air bien bourrée aussi
Tu vas où fillot ? On n’a pas fini !
Je vais me coucher, et tu devrais faire de même si tu ne veux pas être une loque demain
Je serai une loque demain !
Elle trébuche et tombe dans mes bras. Je l’attrape. Elle croit que je lui fais un câlin et elle m’enlace à son tour. Une partie de moi, se rend compte de la situation. Ma marraine super jolie est dans mes bras, je pourrais l’embrasser. Mais ça ne serait pas très courageux de ma part de profiter de son ivresse
Bon Hips ramène moi fillot.
Je repasse son bras sur mon épaule et l’attrape par la hanche.
Oh !! s’exclame-t-elle
Quoi ?
Non rien j’aime être dans tes bras musclés fillot
Malgré l’alcool je rougis sous ce compliment. Ma marraine le remarque et m’embrasse sur la joue en rigolant.
Et bien ! Tu deviens tout rouge !!
Je ne sais pas quoi dire. Je me contente de baisser la tête et d’avancer. Mais elle ne me laisse pas tranquille.
Tu sais, je t’ai fait un compliment fillot ! Tu pourrais dire merci
Désolé, je n’ai pas l’habitude des compliments venant d’une jolie fille.
Je décide de rentrer dans son jeu.
Un sourire éclaire son visage.
Tu me trouves jolie fillot ? Merci, c’est flatteur !
Nous montons quelques étages. Fanny se colle à moi et je peux sentir la douceur de sa poitrine s’appuyer sur mon torse.
Arrivé devant sa chambre, je m’arrête.
Au fait !
Oui ?
Ma marraine semble vaporeuse, mais elle a l’air d’attendre que je dise quelque chose
Merci pour le compliment, j’étais juste étonné.
Pourquoi ? Mignon come tu es, tu as dû en recevoir des tonnes.
Devant mon air contrit, elle s’exclame :
Jamais ? Tu es sérieux ?
Non, je suis un grand timide je pense
Son regard change, il devient aguicheur.
J’en ai de la chance alors, je t’ai pour moi toute seule pour l’instant.
Avant que je me questionne sur ce qu’elle veut dire, elle se redresse. Elle qui semblait à peine debout et totalement sous l’alcool, est maintenant le regard vif et stable sur ses appuis. Elle enlace mon coup et me plaque sur le mur. Avant que j’aie pu faire quoi que ce soit, ses lèvres se soudent aux miennes.
Ce contact m’électrise et me sort des brumes de l’alcool. Mes sens s’éveillent. Je sens la fraicheur du mur, et la chaleur de marraine. Je sens sa poitrine douce plaquée sur mon torse. Je sens la tension dans ma nuque, portant marraine qui s’accroche à moi. Elle me caresse les cheveux. Je sens la douceur de ses lèvres, avec un petit goût de rhum. Les miennes doivent avoir un goût de vodka.
Je sens sa langue s’enlacer dans la mienne.
J’entends mon cur s’accélérer.
J’essaie de repousser marraine gentiment. Elle n’est pas dans son état normal. Je pourrai en profiter, mais je ne pense pas qu’elle ferait ça si elle était sobre.
Elle n’est pas si ivre que ça. Elle ne bouge pas d’un pouce. Elle se contente d’ouvrir les yeux pour me jeter un regard trop malicieux pour une personne sensée ivre.
Elle achève toute résistance en moi alors que ses mains quittent ma nuque pour caresser mon visage, puis redescendre brusquement, passer sous mon tee-shirt et remonter dans une délicieuse caresse.
Elle met fin au baiser pour me chuchoter à l’oreille :
Laisse-toi aller fillot.
Puis elle plonge dans mon cou pour y poser des baisers brûlants.
J’arrête de réfléchir aux conséquences et libère mon corps. Peut-être que marraine agit sous l’alcool, mais j’ai essayé de la repousser et elle n’a pas voulu. Alors autant en profiter.
Mes mains restées jusqu’à là le long de mon corps partent à la conquête du corps sublime de fanny.
Ce soir, elle porte une jupe courte bleue nuit, et un chemisier blanc et rouge. Je commence par se hanches, je caresse son dos et son ventre, n’osant trop monter ou descendre. Mais marraine me force la main. Tout en retrouvant mes lèvres, elle m’attrape les mains et les pose directement sous sa poitrine généreuse.
Émerveillé, j’en fais le tour de la paume, avant de les saisir à pleine main. Le chemisier et le soutien-gorge ne cachent rien à la douceur de ses seins. Le plaisir amoureux que je ressentais jusqu’à présent est maintenant accompagné d’un désir brûlant. Je me tends dans mon pantalon alors que mes mains parcourent ses seins, redescendent vers ses hanches, et caressent ses fesses. Je passe les mains sous sa jupe. J’ose même passer mes mains dans sa culotte pour empoigner ses fesses.
Elle s’écarte juste un peu de mes lèvres pour que je la voie sourire. Elle aime ce que je fais. Puis elle repart à l’assaut et son baiser me fait tourner la tête.
Je me retourne brusquement et la plaque sur le mur. Ma main plonge sous son chemisier pour attraper ses seins. Elle lève un genou et enlace mon torse de sa jambe. Elle soulève ainsi sa jupe pour faciliter le passage de mon autre main. Je lui caresse la jambe puis plonge sous sa jupe, cette fois sur le devant de sa culotte. C’est la première fois que touche l’intimité d’une fille, cela m’électrise un grand coup. Finalement, je remonte pour passer les doigts dans sa culotte et ainsi toucher son minou.
Elle est trempée, et j’entends aussitôt un gémissement sortir de sa bouche.
Je la laisse gémir de tout son soul. Mes deux mains la pelotent dans des zones érogènes et ma bouche assaille sa nuque de baisers.
Hmmm . Elles ont Hmmm Bien choisi ouiii
Je ne comprends pas ce qu’elle dit et l’écoute d’une oreille, concentré sur ce que je touche et embrasse.
Elle me caresse le torse, mais l’une de ses mains vient se poser sur mon entrejambe.
Tu es en très bonne condition
Soudain, alors que je commence à déboutonner sa chemise. Elle s’arrête.
Elle me rassure tout de suite. Elle prend ma main et m’emmène dans sa chambre.
Sa chambre est identique à la mienne, a l’exception de quelques décorations.
Elle m’emmène jusque devant son lit et me place dos à celui-ci. Alors elle commence à enlever son chemisier. Je regarde avec émerveillement les boutons s’écarter pour laisser sa poitrine autrefois comprimée ressortir. Elle porte un soutien-gorge blanc en dentelle. Ensuite elle détache sa jupe et la laisse tomber à ses pieds. Sa culotte est assortie à son haut et une petite tache en couvre la partie avant.
Alors qu’elle enlève ses chaussures, je soulève mon tee-shirt et le passe par-dessus la tête. Mais alors que je commence à desserrer ma ceinture, elle m’arrête en m’attrapant les bras.
Tu tu tu ! Laisse-moi faire fillot !
Sur ces bonnes paroles, elle m’embrasse et me fait reculer jusqu’au bord du lit. Puis elle me pousse sur le lit. Je tombe sur le dos. Elle tombe sur moi pour ne pas cesser de m’embrasser.
Ce soir, je m’occupe de toi fillot. Je vais graver cette première soirée dans ta mémoire.
Elle se décide de commencer par mes chaussures. Pour ce faire, elle se retourne. Elle est maintenant à califourchon sur moi et s’allonge dans l’autre sens. J’ai une magnifique vue sur sa croupe et j’en profite. Je me fais un devoir de malaxer ses fesses avec tout mon amour. Parfois je passe dans le creux et caresse sa chatte.
Pendant ce temps, fanny m’enlève mes chaussures et mes chaussettes, puis elle se redresse un peu pour retirer mon pantalon et mon boxer. Je suis maintenant entièrement nu. Je la sens brièvement toucher mon engin et ce contact me fait bondir de plaisir.
Mais marraine reprend sa position initiale sur moi.
Fillot ?
Oui ?
Fais-moi plaisir et dégrafe mon soutien-gorge
Avec plaisir marraine.
Elle pose ses seins sur mon visage pour faciliter l’accès à son dos. Je prends le temps de m’enfouir dedans et d’inspirer pour savourer le parfum de ma marraine. Enfin l’agrafe se détache et la poitrine est mise à nue.
Mon regarde se bloque sur ses seins et sur ses mamelons.
Je joue avec alors qu’elle se tortille pour enlever sa culotte.
Nous sommes maintenant nus l’un sur l’autre. Je n’ai pas osé lui dire que j’étais vierges, et cette position n’admet qu’une conséquence que je ne pouvais espérer !
Marraine se redresse et s’assoit sur moi. Elle pose ses mains sur mon torse et s’appuie sur moi pour soulever ses hanches et les placer sur mon membre dressé. Curieux et excité comme une puce, je relève la tête pour voir mon membre rentrer en elle.
Elle le positionne sur sa fente trempée et se laisser doucement retomber, s’empalant en douceur sur moi. La sensation est fabuleuse et je m’accroche aux draps pour ne pas gémir. Marraine quant à elle soupire de satisfaction.
Elle me jette un regard enfiévré et commence les va-et-vient sur ma queue. Je ne peux m’empêcher de grogner de plaisir, et elle de souffler sous l’effort et le plaisir.
Ce manège dure plusieurs dizaines de minute. Je la vois se tordre de plaisir à un certain moment et en déduis qu’elle a un orgasme. Je me calme pour la laisser se remettre et pour ne pas jouie trop vite aussi. Puis elle reprend son rythme effréné et cette fois nous jouissons ensemble.
Elle s’allonge sur moi et pose ses lèvres sur les miennes pour un dernier baiser.
Alors tu as aimé ? souffle-t-elle, légèrement essoufflée
Merci marraine, c’était magique
Il faut que tu retournes dans ta chambre fillot
J’y vais
Nous restons là quelques minutes pour laisser retomber la tension. Puis je me rhabille rapidement avant de rentrer dans ma chambre. Je n’ai pas le temps de savourer ce souvenir encore frais dans ma mémoire que l’alcool se rappelle à moi et m’assomme. Je m’endors comme une masse.