Le pouvoir de lInceste : Saison 4 Le maitre de Gomorrhe
Deux mercredis sulfureux plus tard Damien et Marlène décidèrent quune partie à quatre simposait.
Voila où il en était, il en avait parlé à sa mère la veille, elle avait accepté comme elle le faisait toujours maintenant, ayant une totale confiance en lui et lui étant entièrement soumise.
Marlène avait croisé la mère de Damien quelques fois mais navait jamais été chez elle, lui avait peu parlée et jamais de sexe. Elle la trouvait exceptionnellement belle et troublante. Elle était un peu nerveuse au moment de frapper à leur porte, mais ce nétait rien à côté de sa mère qui semblait complètement paniquée et avait faillit plusieurs fois faire demi tour, ce qui serait arrivé sans elle. Béatrice sentait quelle ne maitrisait plus rien, les deux jeunes gens lentrainaient vers des péripéties sombres et dangereuses. Elle avait peur de les suivre, effrayée dautant apprécier ce quils lui proposaient, terrifiée par lampleur que prenait sa part obscure. Damien leur ouvrit la porte, il sembla à Béatrice quelle entrait dans la boîte de Pandore. Le jeune garçon les embrassa sur la bouche et les conduisit au salon où se tenait Elisabeth couverte dun peignoir de satin noir. Il fit les présentations et elles échangèrent des chastes bises sur les joues.
« -Bien, on ne va pas perdre de temps en multiples explications. Marlène, tu es ma petite amie depuis deux mois, jai des rapports sexuels avec toi et nous en avons avec ta mère depuis trois semaines. Je couche avec ma mère qui est ma soumise sexuelle et mon esclave.
« -Maman. » Dit Damien en claquant des doigts. Aussitôt Elisabeth défit la ceinture de satin et laissa le peignoir glisser de ses épaules et choir à ses pieds. Elle était nue, enfin presque, une tenue faite de lanières cernait son corps. Deux dentre elles formaient des bretelles, se liaient dans son dos à une boucle et plongeaient vers ses fesses. De lautre côté elles entouraient ses seins, descendaient et se nouaient à un anneau situé au nombril. Deux en repartaient de chaque côté passaient sur ses côtes pour rejoindre la boucle dorsale et deux autres descendaient vers son sexe, passaient entre ses cuisses et remontaient sur son cul, cétaient les mêmes que celles du dos qui descendaient vers ses fesses. La disparition du col du peignoir avait également fait apparaitre son collier de chienne. Béatrice poussa un petit cri de surprise et dadmiration.
« -Comme vous êtes belle, cette tenue est si érotique. » commenta telle.
« -Merci madame. » Répondit humblement Elisabeth.
« -Déshabille toi aussi maman, mets toi toute nue. »
« -Mais ma chérie. »
« -Fais ce que je te dis, immédiatement ! »
« -Oui, comme tu veux. » Céda Béatrice qui obéissait de plus en plus à sa fille. Elle se dévêtit entièrement sous leurs yeux alors que Damien caressait le corps dElisabeth. Une fois totalement nue sa fille la caressa comme le faisait Damien avec sa mère. Bien vite il fit venir Marlène à eux et lui demanda dembrasser sa mère. Ladolescente et la femme échangèrent un baiser fougueux puis entamèrent un rapport lesbien des plus ardents sous le regard enfiévré de Damien. Il passa son envie sexuelle sur Béatrice en la baisant sauvagement. Il baisa ensuite sa mère car il savait que Marlène brûlait denvie dassister à cela, il la prit de partout et de multiples façons. Quand la jeune fille nen teint plus, malgré le cunnilingus ininterrompu quelle avait exigé de sa mère, elle se joignit à eux. Béatrice suivit sombrant définitivement dans la perdition incestueuse.
Leurs corps étaient couverts de sueurs, de cyprine et de sperme. Une odeur de bêtes fauves imprégnait la pièce et seul le bruit lourd de leurs respirations brisait le silence. Béatrice baignant dans cette euphorie sexuelle osa alors demander :
« -Je veux être comme toi Elisabeth. Je veux être une chienne, une esclave. Damien, Marlène je veux être votre soumise sexuelle, votre soumise pour tout. »
« -Javais senti que tu avais ça en toi maman, je me réjouis dêtre ta maîtresse et Damien sera ton maître. »
« -Merci. »
Damien tendit alors une boîte à Marlène qui louvrit et en sortit un collier identique à celui dElisabeth. Elle le passa autour du cou de sa mère qui sétait agenouillée devant elle. Les deux ados ajoutèrent une laisse à leurs mères et les promenèrent dans la maison vers la salle de bain. Il est temps que tu comprennes ce que cest que dêtre une esclave maman prononça Marlène en toisant sa mère dun regard empli de puissance. Elisabeth était à genoux au milieu de la douche quand Damien lui urina dessus. Béatrice avait les yeux écarquillés et semblait hébétée. Quand il eut fini sa mère prit sa pine en bouche pour le nettoyer.
« – A ton tour maintenant. » Dit sèchement Marlène en tirant un petit coup sec sur la laisse. Sa mère se mit en position, tremblante de répugnance et dexcitation mêlée. Sa fille lui procura sa première douche dorée, cette sensation et cette position humiliante lélectrisa tellement, quelle ouvrit sa bouche pour boire de la pisse de sa fille.
Marlène et sa mère venaient de les quitter quand le portable de Damien sonna.
« -Damien mon maître, cest Claire. Je voudrais te présenter ma sur. Tu peux emmener ta maman si tu le désires. Tout est réglé je suis de nouveau entièrement à ta disposition et jai quelque chose à toffrir pour me faire pardonner. »
Damien retrouva Claire chez elle, Sophie était sortie faire des courses ce qui leur permit de discuter tranquillement. Elle raconta à Damien tout ce quelle avait apprit sur sa sur.
« -Sophie est exactement comme moi, elle désire la soumission, la souhaite au plus profond delle-même. Elle la expérimentée et aimée avec son beau-père, mais elle nétait pas amoureuse de René comme je le suis de toi. Maintenant quil est mort elle est perdue et pense devoir passer à autre chose. Comme si cétait lui qui avait déclenché ça en elle alors que cest ce quelle est vraiment, une soumise. Si elle ne comprend pas ça, elle sera malheureuse toute sa vie comme je létais avant de te connaitre. On doit faire quelque chose pour elle mon maître. »
« -Ne tinquiète pas ma jolie chienne, je vais moccuper delle et tu vas maider. »
Une heure plus tard Sophie rentre à lappartement les bras chargés de sacs. Alors que Claire laide à les déballer elle lui annonce quil y a quelquun dans le salon quelle tien à lui présenter. Elle saisit immédiatement de qui il sagit et cest avec une légère appréhension quelle suit sa sur dans la pièce voisine.
« -Sophie je te présente Damien, mon maître. »
« -Bonjour Sophie, enchanté de faire enfin votre connaissance. »
« -Bonjour. » dit simplement Sophie en échangeant une bise avec lui. Il était vraiment jeune, sa sur était folle, elle pourrait être accusée de détournement de mineur. En le regardant mieux elle perçut aussitôt son charme et son aura et elle comprit que Claire soit attirée par lui, mais tout de même on ne faisait pas ce genre de choses avec un garçon si jeune. Il la regardait en lui souriant gentiment, comme pour la rassurer, elle eut lenvie soudaine de baisser les yeux.
« -Claire ma parlé de vous, quel incroyable parcours ! »
« -Oh, heu oui cest vrai. Mais le votre nest pas banal non plus. »
« -Je ne peux pas dire le contraire. Vous vous ressemblez vraiment toutes les deux, on distingue à peine lécart dâge. Sil ny avait la longueur de vos cheveux je pourrais même vous confondre. »
« -Oui, petite on nous prenaient pour des jumelles. »
« -Votre similitude physique est incroyable, mais Claire ma aussi dit que cela allait bien au-delà de cela. Vous avez les mêmes penchants en matière de sexualité. »
« -Ce quelle vous a raconté, ce que jai vécu était dû à linfluence dun homme, je nétais plus vraiment moi-même. Et puis moi je vous trouve beaucoup trop jeune à mon goût, vous voyez on nest pas totalement semblable. »
« -Je ne suis vraiment pas sûr de cela, je perçois comme chez votre sur ce besoin de soumission. »
Il ne lui laissa pas le temps de répondre, il saisit Claire qui était assise à coté de lui par la taille et lembrassa sur la bouche. Il avait été privé delle depuis trop longtemps et il avait envie de la posséder à nouveau. Sous les yeux médusés de Sophie il déshabilla Claire en la couvrant de baiser et de coups de langue. Claire se moquait quant à elle de faire ça devant sa sur, elle avait trop envie de Damien et de toute façon il faisait ce quil voulait delle. Bientôt devant une Sophie effarée ils commencèrent à baiser sur le canapé. Leur rapport était bestial, Damien giflait le visage et les seins de sa sur, lui pinçait violement les tétons, fessait son cul, lui crachait sur le visage ou dans la bouche. Il linsultait et la traitait de tous les noms, sa sur semblait aux anges, prenant un pied denfer. Elle saperçut soudain que son bas-ventre pulsait et la démangeait furieusement. Elle serra fort ses cuisses pour sempêcher de se laisser aller. Soudain les deux amants suspendirent leurs ébats et la regardèrent, elle se sentit extrêmement gênée dêtre encore là, comme si le fait dêtre restée signifiait une implication ou encore pire, donnait raison à Damien.
« -Heu, je désolée, je vous laisse. Je vais dans ma chambre. » Et elle séclipsa rapidement.
Sa porte resta entrouverte et elle les entendit continuer à baiser, cela lui était douloureux car depuis la mort de René elle navait rien fait de sexuel. A cause deux sa longue abstinence devenait intolérable, ni tenant plus elle se déshabilla pour se caresser. Elle se remémora les plaisirs quelle avait eus avec le vieux pervers et sa cramouille déjà trempée devint un fleuve. Ses doigts sagitaient dans sa fente ouverte, aux rythmes de ses souvenirs libertins. Elle était proche de la jouissance quand elle remarqua soudain une présence. Sa sur se tenait devant elle, nue à lexception de ses bas noirs, sa peau couverte de sueur, son sexe perlant de sperme. Elle arborait également un joli mais très dégradant collier de chienne. Elle retira honteusement ses doigts et se redressa.
« -Ne tarrête pas à cause de moi, je trouve le spectacle très intéressant. »
« -Sors dici, je ne peux donc pas avoir un peu dintimité ? »
« -Allons ne fais pas tant de manière, on a découvert nos corps ensemble je te rappelle. »
« -Cétaient des jeux denfants, rien à voir avec ta débauche actuelle. »
« -Ne me fais pas la leçon après tout ce que tu mas raconté. » La recadra Claire en sasseyant à côté delle. En signe dapaisement elle lui caressa les cheveux puis le dos.
« -Tu sais, la seule chose qui mimporte grande sur, cest que tu sois bien dans ta peau, que tu trouves le bonheur. On ne va pas se juger lune lautre avec des préceptes de morales crétines. On a dépassé ses carcans tu ne crois pas? »
« -Oui pardon, tu as raison. »
« -Laisse toi aller ma chérie, il ny a personne pour te juger ici. »
« -Je sais bien, mais ce nest pas ce que tu crois. Ca fait un petit moment quil ny a rien eu et de vous voir ma enfin tu comprends. Mais cétait juste un besoin physique, rien à voir avec vos rapports de maître et soumise. »
« -Oh mais je ne te demande pas de te justifier, juste dêtre honnête envers toi-même. Alors dis-moi à quoi tu pensais en fourrant tes doigts dans ta minette. »
« -Mais merde ça te regarde pas, je nai pas envie de partager ça avec toi, ok. »
« -Sophie, quand tu fais la gamine cest que jai raison. »
« -Tu fais chier, daccord je me masturbais en pensant a ce que je faisais avec René. Voila tu es contente. »
« -Oui, très contente. Tu es une chienne comme moi et pour ton bien tu dois être traitée comme telle. »
« -Quoi, mais quest-ce que tu racontes ? »
« -Elle est prête maître. »
« -Mais » Décontenancée par sa sur, Sophie se retourna vers la porte pour y découvrir Damien. Lénorme bite du jeune homme lui sauta aux yeux, comment un garçon si jeune, qui semblait si frêle pouvait disposer dun tel engin et chose encore plus étrange comment pouvait-il avoir un si grand pouvoir sur sa sur ?
Elle sentit soudain Claire la tirer en arrière et la plaquer sur le lit. Elle se débâtit un peu mais sa sur la maintenait fermement par les poignets. Sophie était totalement désemparée et la peur lenvahit quand elle vit Damien savancer vers elle.
« -Non, non pas ça. Arrêtez. Claire tu ne peux le laisser faire ça, il va me violer. »
« -Il ne va pas te violer, il va te révéler à toi-même et je vais laider. »
« -Tu es devenue complètement folle. Tu es cinglée. »
« -Calme toi, tout va bien ce passer, tu vas adorer. »
« -Claire je ten supplie, je suis ta sur, tu ne peux pas me faire ça. »
« -Ferme ta gueule et accepte ta condition de femelle soumise. » Proclama Damien qui était devant elle.
« -Toi le petit morveux, tu nes pas prêt de me toucher ! » Hurla-t-elle en lui assénant des coups de pieds. En réaction il lui administra une gifle magistrale qui la calma aussitôt. Elle le regarda alors pleine de crainte et vit dans lexpression des son visage sa terrible autorité et son incontestable supériorité. Elle sentit quelle était irrémédiablement vaincue et abdiqua face à lui. Il lui écarta les jambes sans quelle ne proteste. Dans un dernier espoir elle se tourna encore vers sa sur.
« -Pitié Claire, empêche ça. »
« -Tu me remercieras après, grande sur. »
Des larmes coulèrent sur les joues de Sophie alors que le chibre de Damien senfonçait en elle. Il commença à la baiser, elle ne parvenait pas a croire ce qui lui arrivait, violée par un gamin avec la complicité de sa sur. Sophie était dans le plus grand désarroi, elle ne pouvait lutter contre leurs forces physiques réunies. De plus, ce Damien quelle avait pris pour un jeune lymphatique était en fait redoutable et effrayant. Enfin sa sur était totalement sous son emprise, prête à accomplir pour lui les pires horreurs.
« -Elle aime ça ta chienne de sur, elle mouille de plus en plus. »
« -Jen étais sûre, elle a la soumission dans le sang, on nest pas sur pour rien. Prends ton pied Sophie, Damien est de loin le meilleur amant que jai jamais eu. »
Sophie nen revenait pas, ils avaient raison sa chatte dégoulinait à nen plus finir. Son corps réagissait par lintermédiaire de son subconscient qui appréciait ce traitement, ce viol. Etait-elle réellement ce que prétendait sa sur ?
