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Le pouvoir les Hommes Poilus sur moi – Chapitre 1

Le pouvoir les Hommes Poilus sur moi - Chapitre 1



Bonjour, je mappelle Doris. Je naurais jamais pensé passer un jour à la narration de ma vie sexuelle tant elle me fait honte. Mais la lecture des expériences sur ce site ma encouragée à passer à lacte.

Cest très dur pour moi dassumer la sexualité que je vis depuis toujours, car je me suis toujours sentie isolée et honteuse. Javais limpression dêtre la seule femme à accepter ce à quoi je me prête. Ce ne peut être expliqué en trois mots, mais jai toujours accepté avec les hommes des situations très humiliantes cérebralement et physiquement. Les hommes sont intarissables et débordent dimagination et de perversité lorsquon accepte ce genre de choses. Ce qui me fascine chez les hommes, cest leur mélange de gentillesse et de cruauté.

Par ailleurs le physique des hommes qui me plaisent me semble très éloigné de ce qui attire les autres femmes. Et là aussi jen éprouve de la gêne, ne comprenant pas bien pourquoi je suis si différente.

Jai toujours été attirée par les hommes poilus, voire extrêmement poilus, avec une pilosité hors du commun. Il y en a de toutes sortes, et cela peut aller du jeune mâle de 21 ans, sec, fin mais avec un torse dont les poils dessinent un chemin sur le torse jusquà un bel iranien recouvert dune fourrure noire et soyeuse devant et derrière, en passant par les blonds anglo-saxons velus et toutes sortes dautres que je détaillerai au fil des expériences que je vais essayer de raconter ici.

La pilosité des hommes est quelque chose qui menvoûte. Certains détails me fascinent particulièrement : les barbes de deux ou trois jours, les poils qui apparaissent dans léchancrure dune chemise les jambes et les cuisses velues et les différentes implantations sur le torse qui varient à linfini chez les hommes.

Un détail particulier me rend incapable de résister ce sont les hommes qui ont des avant-bras très velus. Cest quelque chose que je trouve à la fois magnifique et qui minspire immédiatement du respect.

Lorsque un homme retrousse sa chemise jusquau coude sur des avants-bras avec une belle épaisseur de poils couchés qui parfois sont si épais quils se rejoignent le long dune ligne encore plus foncée le long de lavant-bras, jai des envie de toucher, caresser, lécher et parfois bien pire, lenvie dêtre prise en main, de les satisfaire, dêtre à leur merci, de subir cette masculinité.

Certains sont longs et soyeux dautres frisés et touffus, bruns, blonds ou chatains, jaime lorsque ils remontent sur les biceps ou recouvrent le bord de la main et lintérieur du bras.

Les lieux communs associent souvent à tord les hommes poilus avec gros et moche. Bien que je nai rien contre les hommes corpulents qui sont parfois très séduisants je peux vous affirmer que jai rencontré des hommes magnifiques, grands, minces ou musclés, élégants, avec beaucoup de classe et extrêmement poilus. Ce goût particulier pour ce type dhommes ma toujours donné limpression que je ne le partageais avec personne.

Aujourdhui à 53 ans je suis une femme, assez grande, mince cheveux mi-longs, soignée et féminine mais qui commence à accuser son âge. Je suis photographe et journaliste en free lance et je voyage souvent pour travailler sur différents sujets touristiques ou architecturaux.

Ces caractéristiques de ma personnalité : intellectuelle et sophistiquée mont semble-t-il toujours attiré les hommes. Par ailleurs puisque jai décidé de me mettre à nu, je dois également décrire ma nudité. Jai des seins pas très gros qui me complexent, non par leur taille mais par le fait que jai des auréolles gonflées et des tétons très proéminents. Il sont foncés et mes tétons sont vraiment énormes. Aussi gros larges et gonflés que des tétines de biberons. Certains hommes les comparent souvent à des tétines de chèvres, ou des pis de vaches. Mes seins et mes tétons sont la partie sur laquelle les hommes se sont le plus acharnés et ils sont devenus très élastiques et moins fermes avec le temps. Jai des jambes fines et des hanches étroites comme celle dun adolescent et un sexe que jai toujours épilé avec des lèvres assez charnues.

Je ne sais par où commencer pour vous raconter ces 35 ans de sexualité déshonorante. Je ne sais si je dois my prendre chronologiquement ou commencer par les expériences les plus longues, les plus humiliantes, les plus avilissantes,les plus incongrues, les plus immorales ou les plus dures sexuellement.

Je vais commencer chronologiquement et je verrai ensuite au fil des semaines. Durant mon adolescence comme toutes les filles, cherchant lamour javais eu un certain nombre de déconvenues. Malgré tout javais fait lamour avec un garçon de mon âge qui mavait fait connaître le plaisir pour la première fois. A 19 ans jétais dans une école de photo, il y avait un garçon de mon âge, David qui mintéressait plus que les autres. Cest un garçon très flamboyant, rieur, que tout le monde trouvait talentueux, sur de lui et sympathique. Un superbe visage rayonnant, des cheveux châtains, blonds une bouche sensuelle et des yeux rieurs. Brillant, un peu mas-tu vu mais extrêmement séduisant. Comme toutes les autres jai été séduite. Après de longues semaines je suis sorti Au lit il était déjà très mec et jouait à la fois le côté protecteur et masculin. Jaimais déjà servir son besoin dêtre un mâle et quil se sente sûr et fier de lui.

Jadorais son corps imberbe et costaud, je me blottissais contre lui, et me suis rapidement mise à genoux pour lécher ses couilles rondes et lourdes.

Au bout de quelques jours, comme sil moffrait un cadeau il ma dit quil aimerait essayer la sodomie avec moi. Jai accepté, et en levrette il ma sodomisée, me faisant très mal au début je me suis détendu pour pouvoir supporter, puis apprendre à jouir de se sentir complètement embrochée.

Peu à peu il sencombrait de moins en moins des préliminaires, et passait directement à la sodomie. Jétais très amoureuse de lui et puisait dans ce sentiment pour supporter ces sodomies puissantes.

Après un mois et demi il ma quittée.

Je me sentais flouée et abusée et très déprimée.

Quelques jours après jallais quand même à une fête où je savais quil était présent. Sa façon souriante et sociale de me parler comme sil ne sétait rien passé me révoltait.

Son frère Antoine était là. Il lui ressemblait par certains côté. Il était très beau, mais dans un style différent. Brun, yeux noirs, moins flamboyant et plus intérieur. Pour cet âge cétait un des premiers dans le groupe à avoir une barbe de quelques jours et à montrer un torse déjà poilu.

Ce détail est important. Car à lépoque javais tout de suite préféré David, et son corps imberbe me paraissait proche de la perfection.

La pilosité des hommes meffrayait. Cétait quelque chose qui me fascinait et me rebutait à la fois.

Ce soir là Antoine se montrait attentif et gentil avec moi, comme sil voulait un peu pardonner la goujaterie de son frère.

Je ne sais si cest pour me venger ou me consoler mais jacceptais lorsquil me proposait de partir avec moi.

Il faisait très bien lamour avec une masculinité plus authentique et plus de sensualité que son frère.

Mais je compris rapidement que son frère lui avait dit que jacceptais la sodomie lorsquil ma demandé de me mettre en levrette. Sans même sinquiéter de mon assentiment, il ma prise comme si cétait acquis. Il est parti un moment après avoir joui. Sans y mettre plus de forme, les jours suivants, il venait et me sodomisait. Je me laissais avec un mélange de révolte et un plaisir trouble de me sentir dévaluée, ne servant quà satisfaire son désir de sodomie. Jusquau jour ou accompagné de son frère ils mont prise à la suite. Jétais attirée par leur façon de faire. Javais du mal à me lavouer mais leur façon dagir mimpressionnait et forçait mon admiration.

Implicitement entre nous ils avaient compris, que jacceptais dêtre utilisée par eux. Ils arrivaient dans mon studio ensemble ou pas, et se faisaient sucer me commandant où passer ma langue, ou me défonçant la bouche tout simplement. Peu à peu le corps dAntoine sest mis à me plaire de plus en plus. Cest la première fois que je touchais un homme poilu et je trouvais ça sublime. Je caressais et embrassais ses poils. Je me souviens dune phrase qui mest restée et dont le machisme ma excitée « ça marche les poils chez les soumises ». Comme sil avait mis un mot à mon désir et que je sois du coup dévoilée.

A partir de ce moment, jai accepté les sodomies même les plus énergiques. Antoine aimait se faire sucer et bouffer les couilles pendant que son frère sactivait dans mon cul.

Je voyais quils se faisaient des signes, quand tout à coup ils sentendaient pour me balancer un grand coup de bite, dans lanus qui me faisait hurler. Ils riaient ensemble comme sils partageaient un jeu, complices et rieurs pendant que je subissais leurs assauts et quAntoine promenait ma bouche dans son entrejambe fourni.

Après quelques semaines ils se sont lassés, et se contentaient de me faire la bise comme si rien ne sétait passé. Jétais consternée et démoralisée. Pendant plusieurs mois je nai cédé à aucune proposition des autres garçons, moins par colère que parce-que javais peur de découvrir à nouveau ce curieux plaisir dêtre utilisée et soumise qui mavait excitée malgré moi, mais auquel je ne voulais succomber pour retrouver ma fierté.

Cest mon premier courrier. Je raconterai dans les prochains comment je suis devenue au fil des rencontres une femme qui accepte ce que la plupart refusent. Je suis parfois allée très loin dans lesclavagisme, et les humiliations. Jai parfois subi des hommes aussi poilus que des singes, des situations perverses que réprouve la morale, et une pluralité masculine jusquà lavilissement.

Que les hommes poilus fiers de leur pilosité men parlent et mencouragent avec leurs réponses à dévoiler la suite qui est parfois difficile à révéler.

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