Le père Vincent et sa chose…
Déjà plus dun mois que le père Vincent la baisée. Car pour lavoir baisée, il la baisée !! Elle en a convenu à elle-même très vite. Il la faite jouir comme jamais. Et pas quune fois. Le salaud !
Les premiers jours, elle se cachait, évitait dêtre seule, fermait sa porte Et puis après une semaine, rassurée elle a repris son rythme. Puis la guetté si, si, elle se lest avoué aussi elle en aurait bien repris. Mais de père Vincent, point. Il ne passait plus dans cette rue. Il allait bien, elle lapercevait au loin mais il ne venait point !!!
Alors, de désir en frustration lidée a germé en elle. Au début elle en a ri, sest traitée de folle. Et puis, insidieusement, la nécessité est apparue : elle irait le voir une nuit chez lui !!!!
Un déplacement du mari. Ca arrivait. Et la voila qui se prépare. Douche, parfum, petite robe, pas de soutien-gorge. String. String ? non , finalement : rien ! Elle enlève le bout de tissu, se regarde. Cest bon, je ne suis pas trop moche.
Il est 1h du matin et personne ne traine plus dans le village. Nempêche que des précautions, elle en prend. Et la voilà devant la porte du septuagénaire. « il a dû fermer, tu ny as même pas pensé.. ! quelle cruche tu fais !! »
Elle pousse la petite poignée et la porte souvre ! Le temps de shabituer à la lumière et elle distingue le lit, au fond de la pièce, plus clair. Elle sapproche et une voix familière lui demande
-cest donc toi, tes vnue la Fabienne ? fo-t-y quten veuilles du cul !
-oui , père Vincent, prenez moi, jai envie
-viens par là !
Docile la femme habituellement sure delle avance en tremblantelle sent la main du vieux qui fouille sous sa robe, remonte le long de la cuisse par lintérieur, heurte le sexe tout en haut des jambes. Que cest bon Les doigts ont senti que de culotte point
— Tas pas dculotte ? t’as bien fait ! ça sert à rien
Les doigts sont déjà dans la chatte, ils sont trois qui dansent le rigodon, avançant, reculant, tournant ; les jambes se sont écartées, la chatte de Fabienne déjà trempée en entrant dégouline le long de ses jambes. Elle rougit dans le noir, le feu brule ses joues. Le vieux a passé la tête sous la robe de Fabienne toujours debout, il la lèche et mordille , cest si doux. Déjà elle se sent partir. Déjà elle grimpe une première fois aux rideaux ! « déjà ça » se surprend-elle à se dire.
Avec ses trois doigts enfoncés dans son étui, le pouce part en exploration du côté de son anus ile le trouve, le titille un moment et bing ! sintroduit sans plus de cérémonies. Alors commence un branle de feu. Prenant appui sur le pouce fiché dans le cul de la mère de famille, les doigts malaxent plus quils ne branlent la chatte de Fabienne, elle saccroche au fronton de ce vieux lit pour ne pas tomber, elle mord son bras pour ne pas crier quand surviennent les orgasmes il la masturbe sans ménagement,longtemps…
-dis donc, jtai bien branlée, faut msucer. Amène ton bec
Il repousse le drap, il est à poil et il bande comme un cerf.
Elle le prend en bouche, il lui dit « tas senti ? je mlave depuis lot jour. Jsavais qutu viendrai ma garce. Quand lpère Vincent y nique, la gueuse, elle oublie pas.
Et Fabienne pompe ce nud avec amour, avec toute sa science. La bourgeoise suce ce vieux et adore ça. Elle lèche la longue tige, suce les bourses, et enfourne à nouveau la grosse bite du papy.
Il est radieux le ptit père. Il laisse faireil apprécie. Il encourage même !!!
-cest bon, vas-y plus profond, làààà continue, plus viteattends recommence !
La plus belle femme du village, une madame quoi, est là , venue en cachette au milieu de la nuit et le suce, le pompelui le petit vieux
Il lui attrape la tête et lui baise la bouche, elle risque détouffer mais il continue et sarrête au bord de la jouissance. Les larmes coulent des yeux de Fabienne mais elle est heureuse davoir donné du bonheur à son amant.
Et lui demande de la baiser !
— prends moi , pere vincent, maintenant ! murmure-t-elle
— A quatpattes !
Elle sexécuteil pousse ses reins plus bas, sa croupe est saillante au maximum. Telle quelle est là, humiliée, elle offre sa chatte et son cul à ce vieux vicieux. Elle se répète quelle est barjot
Mais le vieux va la baiser. Il enfile sa queue interminable dans létui brulant et commence à pistonner. Et cest tout de suite infernal tellement bon ! paradisiaque, oui !! elle jouit avec une facilité qui la stupéfie et sens monter un nouvel orgasme presquimmédiatement après le précédent. Cest fou, cest trop fort
Elle finit par sévanouir de bonheur !!!
Le pere Vincent la réveille et lui propose de rentrer. Non !! elle en veut encore.
-il faut finir pere Vincent, il faut finir
— mais t’es une sacrée salope! moi qui t’croyais sérieuse! T’sais les femmes du village elles y ont toute passé mais toi, j’osions point m’approcher. comme koué!!!
Le vieux la fait coucher sur le lit et relève ses jambes. Cest la première fois quelle le voit la baiser se dit-elle ! Pas une gueule dange, mais sa queueoh sa queue !!!!
Il senfonce en elle et la pistonne allegro. Elle adore !! Sa chatte fourrée et folle de bonheur accompagne la grosse queue, la retient, laspire, essaie de lempêcher de sortir et défaille à chaque poussée du bonhomme ! Elle caresse le dos de son male, le griffe, elle écarte les cuisses, essayant davaler le maximum de millimètres de queue !!!
-ah cest bon jsens qutu vas rcevoir !
Et la bite senfonce dans des bruits de clapotis qui trouent la nuit sans cesse et la Fabienne, ben elle se prend encore un panard puissance 4 et le vieux qui lui demande
-grimpe sur moué, jveux tvouere monter et descendre sur ma bite !
Il sallonge, elle sassoit lentement sur ce mandrin qui lui amène tant de plaisir. Elle nen finit pas de descendre, et la queue nen finit pas de senfoncerElle arrive enfin à être assise, elle a tout enfournéquelle salopequelle gourmande Et elle peut commencer à pomper ce dard avec sa chatte, montant, descendant, montant à ce petit jeu vous pensez bien que la Dame senvoie encore en lair. Et plutôt deux fois quune !!! Alors le petit vieux prend les choses en mains. Il la bloque lorsquelle est à moitié enfoncée sur sa bite et la tenant fermement aux hanches, il bourre la chatte comme sil disputait un grand prix. A fond la caisse. Tout participe, lodeur de mouille, le bruit des clapotis, les râles de la femelle en rut, les ahans du vieux tout participe à ce que finalement il beugle un « ouiiiiiii » qui troue la nuit du village. Avant de seffondrer, les couilles vidées, enfin.
Fabienne va se laver à lévier, pour avoir ramassé, elle a ramassé!!! Quel pied, mais quel pied se dit-elle !
Elle se retourne pour remercier son amant…il ronfle comme un sonneur !
Elle se rentre, chaque pas lui rappelle le bonheur qua connu son bas-ventre, ça glisse et cest chaud entre ses cuisses
-je suis peut-etre une salope après tout ? se demande-t-elle
Quant à moi, cest décidé. Demain je me déguise en petit vieux et je tente ma chance auprès de Fabienne !