Histoires de sexe Histoires de sexe français Histoires de tromper

Le récit de ma vie – Chapitre 12

Le récit de ma vie - Chapitre 12



Chapitre 9 La médecine regorge de surprises

Vers fin juillet, j’ai reçu un sms perturbant d’une amie que je n’avais pas vu depuis un an. Au lycée, nous étions souvent ensemble pour le travail, car nous avions pour objectif de décrocher une bonne mention au bac. Elle m’aidait en maths, et moi je l’aidais en chimie et en sciences naturelles. Notre collaboration a duré deux ans, pendant lesquels on se voyait tous les jours de la semaine, mais quasi jamais le week end, ni pendant les vacances. Une sorte d’amitié professionnelle. Il faut dire qu’un grand ami à moi était en froid avec plusieurs amies à elle, et donc nos deux groupes d’amis s’évitaient mutuellement pour éviter les engueulades. Malgré cela il n’y a jamais eu de soucis entre nous, elle était comme une petite sur que j’aidais à faire ses devoirs.

Constance et moi sommes restés en contact pendant notre première année post-bac, et ainsi je savais qu’elle avait été accepté dans une grande école sur Paris (elle a dû finir dans le top 5 du lycée au bac : mention très bien avec 17,5 de moyenne générale). Du coup, elle vivait chez sa grand mère, et ne rentrait chez ses parents que pendant les vacances. En parallèle de son travail elle allait à des cours du soir organisés par une prépa privée. Tout pour bien réussir.

Seulement en cours d’année elle m’a confié avoir rencontré un étudiant, plus vieux qu’elle, avec qui elle allait en soirée, et dont elle était très amoureuse. En fin d’année elle m’a apprit qu’elle avait réussie son année, mais les résultats qu’elle m’a donné m’ont déstabilisés. En effet sa moyenne était de 12, et elle m’avait habitué à beaucoup mieux que ça. Sur le coup j’ai mis ça sur le fait que son école demandait l’excellence dans les copies et je ne lui en ai pas parlé.

Fin juillet donc, la petite Constance (petite car malgré ses 19 ans elle ne fait qu’1m56) m’apprends qu’elle sort de dépression. Elle m’a expliqué qu’elle avait dû voir un psychiatre pendant plusieurs mois, car son petit ami l’avait mis enceinte. Ne voulant pas d’enfant, il a menacé de la quitter si elle n’avortait pas. Ça a été son premier coup dur. Ensuite, de part le délai de prise en charge, son IVG à dû être chirurgical (trop tard pour la méthode médicamenteuse, elle était presque hors délai), ce qui a été son deuxième coup dur. Son moral n’était déjà plus tellement au top. Et voilà que quelques semaines après, il lui a annoncé qu’il la quittait pour une autre, avec qui il l’avait trompé. Vous comprenez donc le recours au psy.

En quelques jours, elle m’a apprit ce qu’elle n’avait pas voulu me dire ces derniers mois, et je la comprends. Elle était moralement au fond du trou, et elle m’annonçait sa guérison, j’étais heureux pour elle. Elle m’a invité à venir la voir chez ses parents et j’ai tout de suite accepté, cela faisait un an que je ne l’avais pas vu.

Le jour prévu, j’ai sonné à la porte d’une imposante bâtisse en pierres meulières, qui identifiait bien la situation de la famille de Constance. Si Elvina était une jolie BCBG à la pointe de la mode, Constance était une noble. Son père était en politique et sa mère avait un cabinet notarial. Quand la porte s’est ouverte, j’ai à peine eu le temps de l’entre-apercevoir car elle m’a sauté au cou. Quand enfin elle m’a relâché j’ai pu voir qu’elle avait l’air heureuse. Elle m’invita à entrer avec un grand sourire.

J’ai tout de suite remarqué sa poitrine, parce que je n’aurai pas du la voir. Je me souvenais d’elle comme d’une femme-enfant, petite et menue, elle n’avait que très peu de formes, des hanches de jeune fille et un bonnet A. Hors là je voyais sa poitrine déformer le tissu de son chemisier. Un petit bonnet B avait dû apparaître.

Elle m’a fait monter à l’étage jusqu’à sa chambre, où nous avons discutés un bon moment. Elle avait eu des soucis pour réussir son année mais elle avait réussie à sauver les meubles. Son psy espaçait les rendez-vous malgré qu’elle soit toujours sous traitement. Elle arrivait à oublier son ancien petit copain. Elle avait même rencontré un autre gars avec qui elle s’entendait bien et avec qui elle pensait qu’il se passerai peut être quelque chose.

Pendant qu’elle me parlait mes yeux se baladaient sur son corps. Elle portait un chemisier et une petite jupe qui me permettait de voir ses cuisses. En revanche elle n’avait pas assez de boutons défaits pour que je puisse en savoir plus sur ces nouvelles formes mammaires. Elle avait un visage ovalaire autour duquel s’inscrivait de petites oreilles et des cheveux fins, châtains clairs, mi longs et regroupés par un élastique. Ses yeux étaient marrons. Elle possédait une petite bouche aux lèvres roses très pâles. Elle ne devait pas faire plus de 45kg, elle paraissait tellement fragile.

Le comportement de Constance ne m’avait pas du tout fait penser qu’il y avait quelque chose de pas normal. Pourtant elle était comme surexcitée, elle parlait vite, et elle débordait dénergie. Sur le coup j’ai mis ça sur la guérison de sa dépression. Là où j’aurai dû me douter de quelque chose, c’est quand elle s’est mise en colère sur un sujet où nous étions en désaccord. Hors il n’y avait aucune raison de s’énerver. Mais j’ai laissé passer, surtout qu’elle est vite repartie sur un autre sujet. Au moment de me quitter, elle m’a donné rendez-vous une dizaine de jours plus tard.

Le jour étant venu, je me suis présenté de nouveau chez elle. Malgré avoir sonné plusieurs fois, personne n’est venu m’ouvrir. Alors que j’allais l’appeler sur son portable, j’ai remarqué un post it sur la poignée qui m’était destiné :

« Entre Max, je suis dans ma chambre. »

Là encore, je n’ai pas percuté. Qui de censé laisserai ce mot sur la porte, et la porte non verrouillée ?

Je suis entré et j’ai gravi les marches pour atteindre l’étage, puis j’ai toqué à sa porte.

— C’est Max, dis-je à travers le bois vernis.

— Entre, me répondit-elle simplement.

J’ai poussé la porte et je suis resté interdit devant le spectacle qu’elle m’offrait. Constance était assise au bord de son lit. Elle portait un bustier rouge et noir, et des bas autofixants noirs. Elle s’est levée et est venue vers moi. Je n’avais même pas pensé à détourner les yeux. Je pouvais voir qu’elle portait string en dentelle noir et rouge assorti. Pour vous la décrire au mieux, je dois vous dire que ses cheveux étaient relâchés, elle s’était maquillée légèrement, juste ce qu’il faut pour bien mettre ses traits en valeurs. Quand elle fût près de moi, j’ai admiré ses yeux dont les pupilles étaient dilatées et me renvoyaient mon reflet. On aurait dit une poupée, une femme-enfant, habillée comme une petite bourge dans une soirée coquine. Son bustier aux bonnets rouges mettait en valeur ses petits seins, qui avaient très probablement augmentés d’une taille par rapport à avant sa grossesse. Il s’ouvrait par le devant, où deux larges bandes de dentelles rouges couvraient son ventre. Sur le côté et dans le dos, son bustier était composé d’un tissu noir semi-transparent.

Elle m’a fait entrer dans la pièce et a refermé la porte derrière moi. Constance s’est collée à moi, et je n’ai pas pu résister à la prendre dans mes bras. J’ai senti ses lèvres dans mon cou, son souffle hérissait mes poils. Mes mains ont caressés son dos, et ont descendus lentement vers ses fesses. Des questions se bousculaient dans ma tête, mais il était hors de question d’interrompre ce moment. Avec cette tenue, Constance m’était apparue comme une vraie femme et non plus comme une simple amie. Je me suis laissé conduire jusqu’au lit, sur lequel nous nous sommes enlacés.

Elle a relevé mon t-shirt et à commencé à me caresser en se frottant contre moi. Je devinais un ventre parfaitement plat sous son bustier. Ses bas noirs donnaient la fausse impression qu’elle avait de longues jambes. Elle a retiré ma ceinture et baissé mon jean.

— J’ai envie de ta bite Max. Montre la moi.

Quelle salope elle était devenue. Était ce à cause de tout ce qu’elle a vécu ces derniers mois ?

Elle a commencé une lente masturbation sur ma verge seulement demi-bandée, pendant que je retirai mon t-shirt.

— Je veux que tu me prennes comme une chienne Max, je suis toute à toi, me dit-elle d’une voix suave.

— Si tu es toute à moi alors tu n’as rien à dire ou à vouloir, suce moi ! Fais moi bander petite pute !

Elle s’exécuta aussitôt. La chaleur de sa bouche me faisait du bien. Je sentais déjà le sang affluer à mon sexe.

— Caresse mes couilles, lui ordonnais-je.

Ma verge était maintenant totalement érigée. Je voyais la petite bouche de Constance essayer de la contenir du mieux qu’elle pouvait. Avec une main elle me caressait les bourses et les cuisses, et avec le pouce et l’index de l’autre, elle comprimait la base de mon sexe.

— Approche toi Constance.

Elle s’est installée sur le lit. J’ai écarté son string pour caresser sa vulve. Elle était totalement épilée. Mon majeur est entré dans son fourreau et a commencé de petits va-et-vient. J’avais complètement perdu la tête, je la voulais. J’ai retiré mon jean et mon boxer, puis j’ai placé mon amie à quatre pattes. Ses petites fesses blanches bien en évidence, la prendre en levrette m’est apparu comme une nécessité. Mais d’abord il fallait la préparer. J’ai écarté son string et j’ai plongé ma langue sur sa vulve, me concentrant d’abord sur l’entrée de son vagin. Pendant ce temps j’ai pris en mains ses fesses pour les caresser. J’ai alors vu sa main toucher son clitoris, elle ne pouvait pas attendre deux minutes ?

— Arrête de te caresser, j’ai envie de te lécher, lui dis-je.

— Non, j’ai trop envie de sexe, me répondit-elle comme une fillette trop gâtée en manque de sucreries.

Elle m’avait énervé. Sans ménagement j’ai retiré son string, l’obligeant à s’écrouler sur le lit. Aussitôt fait, je l’ai redressé et replacé en levrette, avant de présenter mon sexe aux portes de son intimité. À peine étais-je rentré de quelques centimètres que je sentais son petit vagin me bloquer.

— Tu es super serrée Constance.

Je me suis retiré et j’ai placé ma tête face à son intimité. Je l’ai léché consciencieusement sur toute la hauteur de ses lèvres, de son mont de Vénus à son périnée, en insistant bien sur ses petites lèvres. Quand j’ai jugé qu’elle était suffisamment humide, j’ai enfoncé mon index dans son puits d’amour, jusqu’à la base. Je sentais son col au bout de mon doigt, ses chairs chaudes me serraient. Jamais je n’allais pouvoir tenir longtemps une fois que ce sera mon sexe qui sera en elle. Je l’ai retourné une fois de plus pour la mettre sur le dos, puis je l’ai enjambé pour lui présenter ma verge turgescente devant les yeux. À ce moment je ne voulais et ne pensais qu’à une chose, la pénétrer, coûte que coûte, lui montrer qu’une petite salope ne me faisait pas peur, et que si c’est de la violence qu’elle voulait, je pouvais lui en donner. Mes pensées ont été interrompues par la langue de mon amie, qui s’était mise à parcourir ma queue de bas en haut. C’était bon de se laisser lécher. Je suis sûr qu’elle aurait pu me faire jouir juste en me léchant le gland, pendant que je m’imaginais déverser mon sperme sur son petit visage angélique.

— Prends la en bouche, et lèche moi, ordonnais-je.

Elle s’est redressée sur ses coudes, et à fait ce que je lui demandais. Voir sa petite bouche entourer ma bite, ça c’était une belle vision d’érotisme. Au bout d’une minute, je me suis retiré, et l’aspect luisant sur la totalité de la longueur de mon sexe m’a paru satisfaisant. Je me suis alors placé entre ses jambes. Au moment où mes bourses étaient au contact de sa petite chatte, j’ai vu quelque chose qui m’a stoppé net. Je ne m’en était pas rendu compte avant, mais maintenant je voyais que j’avais les moyens de la baiser avec la violence qu’elle semblait vouloir. Ma verge posée sur son ventre paraissait énorme. En fait c’était elle qui était petite, car avec mes autres conquêtes je n’avais pas le même rendu. Mes bourses sur son intimité, la base de ma bite sur son mont de Vénus, mon gland atteignait son nombril, que je devinais à travers la dentelle rouge et les attaches.

J’ai à nouveau présenté mon gland à l’entrée de sa petite chatte. Une fois celui ci entré, j’ai pu enfoncer la moitié de ma bite en elle. J’ai commencé à donner des coups lents mais assez forts. Au fil des minutes, je sentais son vagin s’adapter à moi, et bientôt ce fut la totalité de mon sexe qui la pénétra. Elle avait placé ses jambes sur mes épaules, ce qui me permettait d’être totalement libre dans mes mouvements. Je voyais ses lèvres intimes écartelées par la largeur de ma verge, pendant que ses chairs me serraient tellement que j’avais l’impression que je pouvais jouir à tout moment. Cette sensation me rappelait l’étroitesse du cul de Lindsay lors de ma première sodomie.

J’ai saisi son épaule, le pouce sur sa gorge, histoire de lui montrer qui dirigeait, et je l’ai besogné violemment, sans amour. Je la maintenais pour éviter qu’elle ne recule à chaque coup de rein que je lui donnait. Je sentais mes bourses claquer violemment contre ses fesses pendant que mon gland s’écrasait contre son col. Je lui remplissait le ventre à chaque va-et-vient. Ses bas frottaient contre mes trapèzes. Je sentais sa respiration saccélérer, son intimité battait contre ma verge. Elle m’était totalement offerte et soumise. Voyant mon endurance faiblir, je me suis redressé pour me placer à genoux, j’ai saisi son petit cul pour le placer à hauteur de mon bassin, ses épaules sur le lit, et j’ai donné tout ce que je pouvais. Mon sexe brûlait dans le sien, nous n’étions plus que feu et plaisir. Je voyais son visage entre ses deux petits seins se tordre de plaisir. Gémissante, elle me fixait de ses jolis yeux marrons aux pupilles dilatées, emplies de plaisir. J’ai senti ses mains se crisper sur mes cuisses, ses ongles s’enfoncer dans ma peau. Ce fût le signal, la sensation de trop. Au lieu de la baiser en bougeant mon bassin, c’est elle que j’empalais encore et encore sur ma verge, mes mains maintenant son bassin, je lui faisais subir de violents mouvements de pénétration. Je voyais ma verge disparaître dans son petit ventre, elle raclait la paroi antérieure de son vagin, passant encore et encore sur son point G, percutant son col. Quand enfin j’ai senti l’orgasme me foudroyer, j’ai plaqué son bassin contre le mien, et j’ai déversé mon sperme au fond d’elle pendant qu’un râle de plaisir s’échappait malgré moi de ma gorge.

Je me rendais compte que je ne m’étais pas protégé, et que j’avais défoncé une amie, que je considérais comme une sur, mais le plaisir était supérieur à la culpabilité.

— ça va Constance ? Je ne t’ai pas fais mal ? m’inquiétais-je.

— Non c’était trop bon, et j’en veux encore. Allonge toi, me demanda-t-elle.

Aussitôt après m’avoir exécuté, elle a saisie ma verge à pleine main. Constance me masturba rapidement, ce qui ne me fit pas mal, mais qui n’était pas agréable pour autant, après mon tout récent orgasme. Voyant que mon érection ne faiblissait pas, elle guida mon sexe entre ses lèvres et se laissa tomber doucement, se pénétrant seule. Elle posa ses mains sur mes pectoraux. L’une d’elle était souillée de cyprine et de sperme. Elle commença à onduler du bassin tout en se penchant pour m’embrasser. J’en ai profiter pour retrouver mon souffle. La chaleur de son vagin, la sensation de douceur de ses bas contre mes flancs, ses mains qui me caressaient, ses lèvres sur les miennes, sa langue dans ma bouche, tout cela ne faisait que renforcer mon excitation, et me donnait envie de reprendre le contrôle. Quand elle s’est relevée pour effectuer des va-et-vient bien plus amples et profond, j’ai admiré avec quelle grâce elle se mouvait. Cette femme-enfant avait le corps et le visage de l’innocence à notre dernière visite, mais là je ne voyais que des lueurs perverses traverser son regard, elle se léchait les lèvres en me baisant. J’ai laissé mes mains parcourir ses jambes, ses hanches, son ventre, jusqu’à remonter à ses seins. Elle avait beau sembler fragile, c’était bien une accro du sexe qui était sur moi, si j’avais su plus tôt…

J’ai tiré sur les bouts de la ficelle de son bustier, en prenant mon temps. Pendant que mon sexe coulissait dans la gaine serrée de mon amie, je voyais petit à petit son corps mapparaître non plus par transparence, mais entièrement dénudé. Lorsque jeus fini de retirer la ficelle, son bustier m’était ouvert, j’ai passé mes mains dessous jusqu’à ses seins, que j’ai contournés pour atteindre les bretelles, puis j’ai fais glisser celles ci sur ses épaules, pour enfin la voir torse nue face à moi. Elle arborait un ventre très plat, au dessus duquel se tenait deux petits seins plutôt bien formés, avec de larges aréoles au centre desquelles pointaient deux petits tétons. Ils étaient effectivement plus gros qu’au lycée. J’ai malaxé ses seins pour en apprécier la fermeté. Quand mes doigts se saisirent de ses tétons érigés, elle soupira. Je l’ai alors prise par les épaules pour la coucher sur moi. J’ai caressé son dos pendant que sa langue me léchait le cou. J’étais de nouveau en pleine forme.

J’ai replié mes jambes afin d’avoir un bon appui, et j’ai commencé à lui donner de profonds va-et-vient, lents, tout en la tenant serrée contre mon torse d’une main. Avec l’autre, j’ai caressé ses fesses. Elle avait l’air si frêle dans mes bras, cela m’excitait encore plus. Très vite j’ai accéléré le rythme, mon bassin décollait du lit pour se cogner contre son périnée. Elle ne pouvait plus bouger, c’était mon objet. Ses gémissements ne faisaient que me faire accélérer encore. Son 80B était comprimé contre mon cur. Sa petite chatte commençait enfin à se détendre, sa cyprine et mon sperme faisaient le reste : je pouvais la pilonner violemment.

Je l’ai alors renversée pour me dégager, puis je l’ai replacée en levrette, je voulais la voir jouir comme une chienne depuis que j’étais entré dans cette pièce. Debout à côté du lit, je l’ai tiré vers moi, et je l’ai pénétré d’un seul coup de rein. J’ai tout de suite débuté de rapides va-et-vient, en l’insultant de tous les noms qui me passaient par la tête. J’avais mes mains qui entouraient ses hanches et qui la maintenait pendant que mon bassin frappaient encore et encore son petit cul. Mes bourses cognaient contre son clitoris. Je la baisais si fort que j’ai vite eu mal au niveau de la symphyse pubienne, ma peau était devenue rouge, mais je ne me suis pas arrêté. J’ai claqué ses fesses, l’une après l’autre, doucement au début, puis de plus en plus fort. À chaque fessée elle semblait de plus en plus aimer se faire frapper, et j’adorais la domination que j’avais sur elle. Pendant ce temps, Constance avait perdue toute contenance, elle s’abandonnait entièrement à moi, à ma verge gonflée qui l’éventrait, elle ne gémissait plus, elle criait son plaisir, sa respiration était devenue irrégulière, elle ne reprenait son souffle qu’entre deux hurlements. Car oui, elle s’était rapidement mise à trembler et hurler comme une possédée. Elle tapait de la main contre le matelas, pendant que les muscles de sa chattes se crispaient et se décrispaient de plus en plus vite. Quand j’ai été sûr qu’elle était montée au septième ciel au moins deux fois, j’ai passé ma main sur sa vulve. Son clitoris décapuchonné pointait et frottait contre mes bourses quand elles tapaient dessus. Ses grandes lèvres étaient maintenant gonflées, et ses petites lèvres ruisselantes de mouille entouraient mon pieu de chair qui continuait sans faiblir à lui donner le plaisir qu’elle avait voulu avoir en m’invitant aujourd’hui.

Avec ma main, j’ai donné à son petit bouton de doux mouvements circulaires. Peine perdue pour la douceur, le moindre contact avec mes doigts la faisait hurler, et entraînait des contractions musculaires anarchiques dans ses jambes. Alors j’ai décidé d’entamer la dernière ligne droite, j’ai volontairement caressé son clitoris par des mouvements rapides et appuyés, et j’ai maintenu ses hanches de mon autre main pour lui appliquer un rythme démentiel. Elle s’écroula sur ses bras, en hurlant son plaisir et en me griffant les jambes. Mais j’ai gardé la même cadence. Quel plaisir d’avoir le contrôle sur cette petite salope ! Sa peau luisait maintenant de sueur. Ses cheveux emmêlés et ses gémissements sauvages complétait le tableau d’une jeune fille fine et malgré tout bandante, qui se faisait baiser comme une salope, une petite bourge aux allures de Sainte Nitouche qui s’abandonnait à sa vraie nature. Son vagin semblait de nouveau s’être rétracté autour de ma bite palpitante, emprisonnant celle ci dans un fourneau de tendresse brûlant. Peu de temps après, j’ai senti ma verge se gonfler un bref instant, pendant que simultanément mon bassin s’est instinctivement projeté en avant, me permettant de déverser plusieurs jets de sperme au fond de son petit ventre.

Je l’ai relâchée et elle s’est écroulée sur le lit. J’ai vu entre ses jambes tremblantes son intimité dilatée et rouge, de laquelle s’écoulait lentement un filet de sperme. Ne lui laissant aucun répit, je l’ai retourné sur le dos, et je l’ai forcé à prendre mon sexe en bouche pour le nettoyer. Elle l’a léché sans rechigner, encore dans les vapes après ses multiples orgasmes.

Ça aurait pu être une belle histoire si je n’avais pas découvert la vérité après coup. Quelques semaines plus tard, Constance a été surprise par sa mère dans le bureau de la maison en train d’administrer une petite caresse buccale à son cher papa. Lors de la consultation de suivi, le psy a eu droit au récit de cet incident, et a diagnostiqué un virage maniaque. Pour ceux qui comme moi à l’époque ne savent pas ce que c’est, c’est une maladie qui consiste, lorsque l’on est sous antidépresseur, à avoir tous les symptômes inverses d’une dépression : être de « trop » bonne humeur, ne plus dormir, sortir tous les jours et dépenser de l’argent. Moi bien sûr j’avais vu qu’elle ne tenait pas en place, qu’elle était nerveuse, mais de là à me douter de ça. Son hypersexualité correspondait également à un symptôme, tout comme le fait de vouloir revoir des connaissances qu’on a pas vu depuis longtemps, ou de faire le ménage à 3 heures du matin. Donc finalement, la vérité fût un peu dure à avaler pour moi, j’avais profité de son état de santé sans le savoir, mais cette partie de jambes en l’air fût vraiment intense, et bien que nous n’ayons pas recommencés, elle en garde quand même un bon souvenir. Toutefois elle ne m’aurait probablement pas contacté si elle n’avait pas été malade.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire