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Le sperme de mon frère – Chapitre 3

Le sperme de mon frère - Chapitre 3



Les personnages :

Le frère : 20 ans, 1m80, 90 kilos, 21 centimètres, brun.

La sur : 19 ans, 1m65, 64 kilos, 90C, blonde.

Candie : 18 ans, 1m70, 56 kilos, 100C, brune.

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Sans y avoir pris part, cette nuit de sexe m’avait épuisé. Mon frère et ma sur réitérèrent leurs exploits à plusieurs reprises et donc, excitée par leurs gémissements, je n’étais pas parvenue à m’endormir. Le lendemain matin, j’étais de fait très fatiguée. Je me décidais tout de même à me lever, et à jeter un coup d’il au passage à la chambre du couple. Ils dormaient profondément, nus, Candie allongée sur son corps, ses seins écrasés contre son torse. Un rayon de soleil éclairait à la perfection son fessier rebondi que la bite de mon frère avait tant maltraité avec amour. Ils étaient splendides.

Je me rendis ensuite dans la salle de bain pour y prendre une douche. J’entrais donc nue dans cette grande cabine où toute cette histoire d’inceste avait débuté, six mois auparavant. Alors que l’eau commençait à couler le long de mon corps, j’entendis quelqu’un rentrer. Il s’agissait de Candie, toujours en tenue d’Ève. Elle venait de coucher avec son frère, donc nul besoin pour elle de se montrer pudique envers sa grande sur. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle vienne me rejoindre sous l’eau ! Sans aucune gêne, elle prit place à mes côtés et se mouilla à son tour. A quelques centimètres l’une de l’autre, je ne saurais dire laquelle de nous deux était la plus excitée par la situation ! Elle commença par me complimenter, d’abord sur la taille de mes seins puis sur mon rasage intégral pubien. Elle aussi était parfaitement rasée à ce niveau-là et question poitrine, elle n’avait pas à rougir.

Sans que j’eus besoin de le lui demander, elle vint m’embrasser sur les joues, puis sur la bouche (avec la langue bien entendue). Je ne me considérais pas comme lesbienne, mais je crois que ce rapport allait au-delà de ça. C’était l’acte d’inceste qui m’excitait ici. Candie savait y faire, elle embrassait incroyablement bien. Peut-être avait-elle déjà couché avec une femme lors de son séjour en Angleterre ? Par la suite, elle s’abaissa, et sa langue quitta ma bouche pour se rendre sur les lèvres de mon vagin. Elle voulait me lécher, et je ne l’en empêchais pas. Tandis que l’eau coulait sur nos somptueux corps, ma sur était en train de tournoyer sa langue à l’intérieur de mon antre. Moi, je lui caressais ses cheveux bruns pour la remercier. Elle me bouffait la chatte avec tant de désir que j’étais incapable d’étouffer mes gémissements. Notre frère devait probablement nous entendre.

En tant que femme, Candie connaissait les zones où il fallait s’attarder pour décupler le plaisir… et me faire jouir !

J’inondais sa bouche de ma cyprine, et elle se mit à la boire sans aucune hésitation. Elle se délectait de ce précieux liquide et n’en perdait pas une goutte ! Mon corps tout entier frissonna une dernière fois avant qu’elle ne retire son étreinte. Puis, elle se releva et bava sur sa main une partie de ma semence qu’elle étala sensuellement sur ma poitrine. A peine eus-je le temps de la remercier qu’elle me plaqua contre un des murs de la cabine et m’embrassa à nouveau. Sa langue avait cette fois-ci un drôle de goût, celui de ma cyprine.

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L’après-midi, notre frère fut tant bouleversé par le récit de nos exploits lesbiens du matin, qu’il se mit à bander comme un taureau ! Ayant comme nous adopté le style nudiste, c’est avec une certaine fierté qu’il présentait sous nos yeux ébahis sa magnifique queue de 21 centimètres. Il avait de toute évidence une idée en tête, et ne tarda pas à nous la partager. Il voulait que nous le sucions, comme les deux belles salopes que nous étions. Pour rien au monde, nous ne lui aurions refusé une fellation ! Assis sur le canapé, nous prîmes place à ses pieds pour le sucer. Nul doute que d’avoir ses deux petites surs ainsi nues devant lui devait lui plaire. Nos bouches encerclaient sa bite, et l’aspiraient occasionnellement. Je remarquais que Candie était bien plus impatiente que moi de gober cette queue qui l’avait tant baisée tout au long de la nuit. Mais je ne la laissais pas faire ! Moi aussi, je voulais profiter de ce pénis vigoureux !

Après dix minutes de fellation ininterrompue, mon frère éjacula dans la bouche de Candie qui ne manqua pas de garder le sperme en bouche et de me le "prêter" lors d’un langoureux baiser. Nos bouches débordaient donc toutes deux de sa semence dont nous laissions les gouttes tomber sur nos seins si fermes. Nous passions pour de véritables traînées, mais qu’importe, le plaisir était si grand ! Notre aîné se délectait du niveau de perversité dont nous faisions preuve pour lui. Il était notre maître, notre amant, notre Dieu. Il méritait amplement notre bon traitement. Moi, dont le corps était huilé par la sueur, montais subitement sur ses genoux afin d’encastrer ce puissant chibre au fond de ma chatte brûlante.

Tandis que je me faisais pénétrer avec violence, Candie s’installa à côté de nous et se mit à se doigter avec autant d’entrain. La bouche de mon frère ne cessait d’alterner entre celle de ma sur (qu’il embrassait) et la mienne. Nous nous embrassions tous plus ou moins directement. Mon vagin prenait un plaisir fou à se déformer au rythme de notre coït bestial qui me donnait envie de crier, ce que je fis finalement. Candie m’accompagna en poussant elle aussi un cri, mais celui-ci était annonciateur du jet prodigieux de cyprine qui émergea de sa chatte ! Son jus avait été expulsé avec tant de pression qu’il avait même arrosé la porte d’entrée ! Elle était très, très en chaleur ! Elle passa ses doigts le long de ses parois humides puis les fourra entre les babines fraternelles. Mon frère se régalait en dégustant ce liquide si raffiné que ma propre vulve ne tarda pas, elle aussi, à produire en masse !

Sa queue fut donc inondée par ma semence qui se mélangea somptueusement à son propre sperme. Nous avions éjaculé en même temps !

Notre accouplement en trio dura encore plus d’une heure, au cours de laquelle notre homme éjacula encore deux autres fois. La dernière giclée fut évidemment moins impressionnante que la première, mais n’en demeurait pas moins délicieuse à avaler pour nos bouches de salopes ! Candie manqua de peu de s’évanouir de plaisir, mais je m’efforçais de la réveiller en lui bouffant son si doux minou. Après tout, je lui devais bien ça !

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La visite de Candie ne dura qu’une semaine qui fut particulièrement intense en rapports sexuels incestueux non protégés ! Nous ne prenions même plus la peine de sortir de l’appartement, mangeant seulement quand l’idée nous venait. Nous étions de véritables bêtes de sexe incontrôlables et insatiables. Mon petit-ami, dont je rappelle ici l’existence, ne me voyant plus sortir ni répondre à ses appels, prit la décision de me quitter. Il me pensait probablement trop lâche pour lui avouer notre séparation… si seulement il avait su ! Ce garçon n’aurait jamais pu m’imaginer lécher la chatte de ma sur tandis que mon frère m’enculait férocement !

Après le départ de notre sur, mon frère et moi avons continué notre relation pendant près de 5 ans. Nous sommes progressivement devenus un véritable couple (caché bien entendu), et cela eut raison de nous. Comme tout couple, nous nous sommes laissés déborder par nos émotions, et à la suite d’une dispute étonnement violente, notre liaison prit fin. Candie en fût profondément affectée, si bien qu’elle aussi abandonna l’inceste au fil du temps. Elle et mon frère se fréquentèrent pendant un mois, à la suite duquel ils se séparèrent. Elle et moi n’avons recouché ensemble qu’une seule fois, lors de vacances à la plage, derrière des dunes de sable…

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