Depuis que j’avais dix-sept ans je fantasmais sur ma mère.Je ne pensais qu’à une chose son trou.Le trou qu’elle avait entre les cuisses et qui m’avait pondu.J’en ai passé du temps à me masturber en m’imaginant lui faisant l’amour,lui pissant mon sperme dans sa moule.Plus d’une fois j’ai reniflé ses petites culottes sales et je me suis branlé dessus.Je m’entourais la bite de la culotte de ma mère et je me branlais fort dedans jusqu’à tremper la petite culotte de mon foutre.J’appelais celà faire l’amour aux culottes de maman.Souvent,aussi je la matais, j’essayais de voir sous ses jupes son intimité qui me faisait tant rêver.Je me levais la nuit et guettais devant la porte de la chambre de mes parents;les surprenant parfois en train de faire l’amour.Comme,à ses moments là, j’aurai voulu être mon père et pénétrer ma génitrice.Je voyais mon père bourrer furieusement le trou serré de ma maman et puis s’effondrer sur elle en grognant lorsqu’il lui éjaculait dans le sexe et moi j’en étais réduit encore une fois à la branlette.Les années passèrent et le désir de ma mère ne me quitta pas mieux même il s’amplifia.Je ne voulais faire l’amour qu’avec elle,je voulais que ce soit elle qui me dépucèle.Un jour, j’avais dix-huit ans et ma mère quarante,nous étions seul cet après-midi là à la maison.J’étais sur internet comme d’habitude lorsque je n’avais pas cours et je visitais des sites pornographiques,bien souvent spécialisés dans l’inceste.Soudain,la porte de ma chambre s’ouvrit et ma mère,Monique,apparut.Elle était belle,grande,fine,avec de grands yeux de biche et un regard bleu à faire pleurer un ciel d’été.Elle possédait une bonne grosse paire de seins,un cul parfait et de longues jambes superbement galbées.Ce jour là,elle portait un léger chemisier,nous étions au printemps et il faisait chaud, et une jupe courte qui me laissait voir ses cuisses.Elle entra dans ma chambre et me dit:"Bastien,est ce que tu pourrai me trouver un numéro de téléphone sur le net?"
Je n’avais pas eu le temps de couper la page que je visionnais lorsqu’elle était entrée et sur l’écran de mon ordinateur s’affichait la photo d’un africain en train de se faire sucer sa grosse bite par une petite Japonaise toute menue et mignonne.Ma mère fixa l’écran et resta quelques secondes sans voix devant l’image obscène.J’étais devenu rouge de honte.Quelle ne fut pas alors ma surprise lorsque je vis ma mère s’emparer d’une chaise et venir s’asseoir à mes côtés face au p.c.Elle me dit alors:"Et bien tu regardes des sites porno,remarque c’est de ton âge à dix-huit ans c’est tout à fait normal.Celà ne te dérange pas que je regarde un peu avec toi?".Bien sur que celà ne me dérangeais pas,surtout qu’en s’asseyant la jupe de maman s’était légèrement retroussée et j’avais une vue sublime sur ses cuisses parfaites et je devinais dans l’entrecuisse la délicate petite culotte qui cachait et protégeait l’objet de tous mes désirs:le vagin de ma mère.En me penchant un peu j’aurai pu apercevoir le slip.
"Non,maman,tu peux rester"bafouillais-je rendu nerveux par la présence de la femme que je désirais à mes côtés".
"Alors,fais moi voir de belles photos de jolies filles en chaleur".J’étais abasourdi que ma mère me parle ainsi mais j’obéis et nous matâmes ainsi différentes photos toutes plus salaces les unes que les autres.
"Dis-moi mon cochon,me dit ma mère,tu dois te toucher souvent en regardant ce genre d’obscénités? En tout cas moi,celà me fait de l’effet"
Je bandais dur dans mon pantalon,pas tant à cause des photos pornos que des paroles et de la présence de ma mère.Je n’arrivais pas à quitter du regard ses cuisses que je devinais si douces.Je n’y tenais plus et ma mère ne venait-elle pas de me dire qu’elle aussi était excitée?
"Tu a une petite copine?"me demanda t’elle.
"Non,maman,lui répondis-je, je suis encore puceau."Tout lui en avouant celà,n’en pouvant plus, je décidais de franchir le pas.Arriverai ce qui devait arriver.Je lui passais une main sur sa cuisse et la faisant remonter je dégageais la petite culotte.Aussitôt je glissais ma main sur la culotte de soie blanche et entrepris de branler la moule de ma mère à travers son slip.
"Ah,petit salaud qu’est ce que tu fais, je suis ta mère"gémit-elle sous la caresse que je lui prodiguais.Caresse qui ne la laissait pas indifférente car sa culotte était trempée désormais et elle ne fit aucuns efforts pour m’empêcher de la toucher.Une large tache de mouille en décorait maintenant le devant.Je glissais un doigt sous la culotte et allait doigter ma mère.je bandais à m’en faire péter la braguette du pantalon.Mon doigt s’enfonçais comme dans du beurre dans la chatte humide de ma maman.Je m’agenouillais face à elle et poussant la culotte sur le côté, je pus enfin admirer le trou d’amour de ma douce maman.Elle avait la chatte poilue et odoriférante,Longtemps je humais l’odeur du sexe féminin,m’en emplissant les poumons.Puis je mis la langue et bouffais la moule qui m’avait donnée la vie.Ma mère ne put se contenir.Elle hurla:"Mon dieu,c’est bon,comme c’est bon.Je me fais doigter et sucer la chatte pour la première fois de ma vie et c’est mon fils qui me le fais.C’est merveilleux,je n’en peux plus,je pisse ma mouille sur ta gueule,bouffe moi bien la chatte mon chéri".Ma mère ne se contenait plus,elle hurlait des insanités,m’ordonnant de lui têter le clitoris,de lui bouffer le trou du cul.Ce que je fis,j’aimais tout de ma mère.Enfin,elle me supplia de la baiser.
"Baise moi maintenant,me dit-elle,je t’en pris baise moi,je veux ta grosse pine dans mon ventre,je veux que tu jouisses tes spermatozoïdes dans mon ventre".Je l’entrainai alors sur le lit,j’otais mon pantalon et mon slip, je lui retroussais sa jupe,otais sa petite culotte et frottant mon sexe à l’entrée de son con, je la pénétrais et la pinais, je la ramonais de toute la force de mes dix-huit ans."ah,oui pine moi chéri,pine moi fort,beuglait ma maman adorée,tu cocufie ton salaud de père,tu pines le trou qui t’as donné la vie tu comprends tu vas jouir dans le trou qui t’as enfanté".N’y tenant plus,je m’effondrais sur ma mère et éjaculais de longues et violentes giclées de sperme en elle."Maman,hurlais-je avant de jouir,je n’en peux plus ça me péte de partout, j’ai les couilles en feu"Alors je me vidais dans le vagin de ma mère.Elle hurla à nouveau lorsqu’elle sentit mon sperme l’inonder"Mon fils,mon fils m’arrose, mon fils jouit en moi, je suis la pute de mon fils, je le fais jouir dans mon ventre."Lorsque ce fut terminé,nous nous regardâmes et échangeâmes un long baiser.Je venais de réaliser mon rêve baiser la femme qui m’avait donné la vie et je savais que ce n’étais qu’un début.Comme elle l’avait dit elle même elle était ma pute désormais et je comptais en profiter de toutes les façons possibles.Je savais que ma mère accepterais tout de moi dorénavant .Elle allait être mon esclave sexuel et devrait obéir aux moindres de mes désirs.
Vieille bourgeoise âgée oui j aime