Elle va dans la salle d’eau se faire une beauté et moi je range la chambre au mieux;
-que veux-tu que je porte, je ne veux pas le décevoir, me dit elle ?
-Mets-toi tout en rose , il va te croque comme un petit bonbon et puis il a déjà ta culotte .
-C’est lui qui là, d’un air étonné…elle le savait j’en suis sûr .
Elle stress, détends-toi, tu es très belle, il n’a pas de raison .
Hum… Peur de quoi , de recevoir une bite plus gros que moi, me dis-je?
Je sors un foulard de ma table de chevet ou d autres joujoux sont rangés, je lui bande les yeux .
-Comme cela tu penseras à moi.
-À oui, je préfère comme ça .Elle trouve l’idée géniale.
-Fais-moi plaisir je ne veux pas que tu le suces et n’oublie pas ce que tu m’as promis…
-Prête? il est midi .
-Oui je suis prête .
-Il faut que tu te mettes en valeur montre-moi cette poitrine.
-Oui.
Je sors de la chambre, je la regarde encore, elle est assise au milieu du lit, les bras en arrière elle bonde la poitrine la tête haute pour mieux sortir ses seins, les jambes mi-ouvertes semi fléchie, avec ces chaussures talon pointu et rose s’il-vous plaît, elle est ravissante, elle donne l’impression d’être une diva, une pose pour une peinture d’un maître.
On sonne à l’entrée du bâtiment. pas de temps d’imaginer comment elle va se donner .
C’est lui je reconnais cette voix .
-3e étage à droite .
J’ouvre légèrement la porte et je vais dans la cuisine, histoire de faire quelque chose , de ne pas être comme un con devant lui, l’attendre à la porte, j’entends l’ascenseur, mon cur palpite un peu .
La porte s’ouvre, il entre, me dit :
-bonjour, la belle est toujours ok .
-Oui, elle vous attend, la chambre du fond, par là (bien sûr qu’elle est ok, il a su la faire délirer la première fois pour qu elle veut le revoir).
-Ok, il va dans le couloir, il pose son blouson sur la chaise enlève ses chaussures, pantalon chemise .
je l’aperçois en caleçon et chaussettes, il est et plus âgé que je pense…je m’approche du couloir, je regarde et je le vois ouvrir doucement la porte, jimagine le spectacle qui découvre.
La porte se referme aussitôt.
Je me rapproche, j’écoute, j’essaie d’ouvrir sans bruit, je tourne la poignée très très doucement, j’ouvre en peu, 5 cm pas plus une chaise bloque l’ouverture, je ne les voie pas, alors je tends l’oreille .
-alors ma salope, on a aimé ma grosse queue, la dernière fois.
-oui
-tu veux être ma putain, maintenant
-Oui, suivi AAAAAAille, doucement
-Puis elle pousse des petits cris, j’entends aussi le bruit du sommier .
Il lui parle comme une petite fille qui doit dire toujours oui, je sors ma queue ; une branlette s’impose .
Elle commence à avoir des gémissements, et lui toujours dans des délires de soumission, tu es ma putain tu vas obéir, ta chatte m’appartient tu as compris salope .
-Elle oui je suis tout à toi .
Je ne peux plus me retenir, je jouis sur la porte, en même pas dix minutes, je pars dans la salle d’eau me nettoyer .
Il doit bien se régaler, j’écoute les cris de plaisir jusqu à la cuisine, elle doit être en chaleur pas possible que vont dires les voisins «que je suis une bête de sexe », l’idée me déplaît pas, cela dure puis plus rien ou plutôt par les mêmes gémissements .
Je m’approche pour écouter ce sont des cris étouffés, plus des cris plaintifs, elle n’arrêtait pas de geindre .
-Tu en veux salope et prends ça petite pute, je reconnus le claquement plus sec sur les fesses et ça continue encore, enfin au bout d’un moment je reconnus ce cri de jouissance, il doit se répandre en elle encore une fois .
Je regarde ma montre presque 40 minutes le salaud .
Je pars à la cuisine sur la pointe des pieds .
J’entends la porte de la chambre s’ouvrir , il apparaît en s habillant, il me dit :
-tu as une charmante épouse, tu ne dois pas t’ennuyer moi, actuellement je suis célibataire, donc tu comprends. Pour la commande je n’ai pas ce modèle en stock je le commande lundi à la première heure
Puis me lance, à demain même heure .
-Ok, je ferme la porte, c’est une manie de répondre ok, vite je vais dans la chambre .
Je la découvre, allongée sur le lit, elle gémit fébrilement, et je me rends compte qu’elle a son minou encore occupé par un vibromasseur, il a trouvé notre rangement coquin, délicatement j’arrête les vibrations puis le retire, il lui a mis le noir le gros salopard .
Une coulée blanchâtre s’écoule je me penche pour le premier coup de langue, je laspire et commence un nettoyage comme j’aime…
elle est complètement détendue, je la contemple les seins sont rose rouge, et les tétons violacée, il a du bien la tripoter .
À voir aussi l’entrée de son petit trou, je pense qu’il y a fait une visite de ce côté, et je ne vous parle pas de la couleur de ses fesses il a dû prendre autre chose que les mains à en voir les marques. Il a utilisé sa chaussure (ce qu’il m’a été confirmé et c est a ce moment qu’il lui a mis sa culotte dans la bouche).
Je profite de son état pour lui visiter son petit cul et me finir en elle .L’après-midi passe, elle prend une douche, on mange, elle est juste en culotte, ses seins pointent toujours, ils sont à fleur de peau, elle ne supporte pas la nuisette.
Elle m’explique qu’il lui a pétri à pleine main puis mordue et aspirée à pleine bouche pour qu ils soient bien gonflés et pour finir par des petits coups avec la brosse à cheveux rien que ses les tétons, c’était insupportable mais tellement piquant il veut les faire grossir .
C’est un méticuleux avec le goût du sadisme je pense .
Le soir au lit, elle me raconte aussi que dès qu’il est entré dans la chambre ,il lui a pris les chevilles et écarté en grand les cuisses puis il l’a pénétré d’un coup sec et profond c était son cri tout de suite après avoir fermer la porte .
Elle prend du plaisir à recevoir et être son jouet elle aime être sous sa domination ,je me colle derrière je pointe ses fesse , j’empoigne un sein, elle crie de douleur mais je ne lui lâche pas elle pleure presque mais je lui rappelle à l’oreille que tu es une petite salope, tu dois obéir ,timidement elle me dit oui je sais .
Je l a sodomise le plus violemment que possible .
cela dure 5 minutes à peine car je jouis très vite, trop vite à mon goût .
Nous nous endormons .
Demain je travaille .
À demain.
