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Le Village en folie – Chapitre 6

Le Village en folie - Chapitre 6



Sous les encouragements généraux, Alicia se fit conduire par Sophie vers le canapé devant lequel Jérôme se tenait debout, déjà à moitié dévêtu. Se sentant comme une condamnée sur le point d’être exécutée, elle prit silencieusement une grande respiration et leva les bras vers le ciel. Son cur battant à lui en défoncer la poitrine, son sentiment d’humiliation fut décuplé alors qu’elle sentait sa robe passer par-dessus sa tête, tirée vers le haut par sa biche chérie, exposant ainsi sa nudité intégrale à la vue de tous.

« Ne me laisse pas, Sophie, reste avec moi, la supplia-t-elle tout bas, les yeux fermés.

— Voilà, laissa tomber l’autre. C’est presque fini. Maintenant on se place à quatre pattes. »

Alicia agonisait. Elle avait vraiment l’impression de mourir, de n’être plus rien. Plus rien qu’un vulgaire objet de convoitise qu’on regarde, que l’on vient toucher, que l’on va sentir et goûter sans aucune considération pour sa dignité ni pour l’être humain qu’elle demeurait malgré tout, avec ses émotions et ses sentiments propres. Elle sentait toutes ses valeurs morales piétinées et anéanties par les conséquences de ce foutu jeu de merde.

En fine psychologue, Sophie comprenait parfaitement bien ce que ressentait sa copine. Pour tout au monde elle aurait volontiers pris sa place, se rappelant à quel point elle aussi était prude avant le jour où sa mère décida de procéder à son initiation sexuelle. Mais elle savait aussi que c’était Alicia que son père voulait aujourd’hui, et nulle autre. Elle savait très bien que depuis le jour de leurs noces, où les parents des deux tourterelles les avaient observées du haut de la falaise, complètement nues à s’ébattre sur la plage privée de son frère, Jérôme, le père de la rouquine s’était juré qu’un jour il la possèderait, cette lesbienne pure et dure, comme il avait déjà possédé sa mère Sonia, sa belle-mère Jasmine et sa conjointe Sophie, sa propre fille.

Anéantie dans son esprit, Alicia se résigna à adopter la position de levrette, exposant à tous les parties les plus intimes de son anatomie, sentant la fraîcheur de la pièce environner son sexe et son derrière, accompagnée de Sophie qui se glissa sous elle en 69, s’étant elle-même complètement dévêtue par compassion pour son amie. Des chuchotements admiratifs se faisaient discrètement entendre à l’autre bout de la pièce. Immobile et maintenant stoïque, la femme au corps athlétique offrait son anus à son beau-père triomphant et impatient, tout en attendant ce que celui-ci s’apprêtait à lui faire connaître : une relation anale particulière pendant laquelle elle recevrait dans ses entrailles son chaud et abondant sperme goûteux et sucré, transmis au travers d’un pénis énorme, vigoureux et dominateur.

Son petit trou d’amour maintenant généreusement graissé par les doigts délicats de sa biche chérie dont elle sentait le souffle tiède sur son sexe, elle sentit approcher la chaleur de l’imposant membre viril de son beau-père. Un gland spongieux, chaud et humide entra en contact intime avec des muqueuses anales externes craintives et serrées malgré elles. Telle une condamnée sur le point d’être exécutée, Alicia exprima une ultime requête :

« Monsieur Durocher, accordez-moi une grâce.

— Que désires-tu, Ali ? répondit l’homme qui, à genoux derrière sa belle-fille, avait déjà posé ses mains sur les hanches chaudes de la jeune femme. Dis-moi ce que tu veux, après quoi tu seras à moi complètement.

— S’il vous plaît, reprit la serveuse’, que les dernières personnes à me sucer le cul soient Sophie et Catherine, et en privé, avec personne d’autre autour de nous. »

Jérôme hésita. Il avait le dernier mot et il le savait. C’était SON anniversaire et il avait tous les droits. Mais les décideurs sont souvent entourés d’influenceurs…

« S’il te plaît, Papa, accorde-lui ça, fais-le pour nous deux, hein, mon beau Papa d’amour ? implora Sophie en regardant son père, la tête sur le sol, enfouie entre les cuisses de sa conjointe.»

Jérôme était un tendre, pas un bourreau, malgré l’aspect barbare que lui donnait ce jeu inhabituel et pervers.

« OK, fit l’homme. Ce sera après moi et vos deux mères. On vous laissera tranquilles à ce moment-là.

— Merci…, Beau-Papa, soupira Alicia.

— Oui, merci Papa, fit l’autre. Ce sera moins dur à traverser pour mon Ali chérie.

— Tiens-toi prête, j’avance maintenant en toi, reprit l’homme à l’adresse de la future enculée tout en agrippant solidement deux fesses musclées et légèrement tendues qu’il écarta très grand afin de donner libre accès à son organe humide et durement bandé. »

À la seule vue de l’anus brun-rose de sa belle-fille qui s’était maintenant résignée devant lui, envoûtante rondelle serrée et plissée surmontant un sexe rougi et luisant qu’avait commencé à chatouiller Sophie, Jérôme sentit son pieu durcir encore davantage. La bave aux lèvres, il commençait déjà à savourer ce moment de gloire.

Les yeux fermés, c’est en se mordant une lèvre qu’Alicia sentit son sphincter commencer à se faire agresser par l’énorme phallus de son beau-père. Après le doux passage d’un gland chaud et relativement inoffensif qui avait amorcé l’ouverture du muscle anal et ainsi entr’ouvert la porte de la partie la plus privée de l’intimité de la fille, c’est une hampe au diamètre monstrueux qui acheva d’élargir la rondelle d’Alicia, lui faisant momentanément ressentir une brûlante douleur occasionnée par la progressive et extrême dilatation.

« Sophie ! gémit-elle, ça fait mal. Dis-lui d’arrêter ! C’est pas une gueule d’hippopotame, c’est mon trou de cul !

— Papa, reprit l’autre à l’adresse de son père, vas-y mollo, veux-tu ? Elle n’aime pas beaucoup ça !

— Je fais une pause, répondit Jérôme. Elle va vite s’habituer. »

Les secondes passèrent. Le spasme s’atténua pour disparaître presque complètement. La hampe maintenant bien enfoncée au fond des entrailles de sa belle-fille, Jérôme amorça lentement ses mouvements de va-et-vient dans le rectum maintenant à sa merci. Les mains toujours posées sur ses hanches qu’il poussait puis tirait vigoureusement vers lui, il poussa l’affront jusqu’à exprimer à sa victime sa satisfaction de vivre enfin ce moment pervers :

« Je rêvais de cet instant depuis le jour où je t’ai vue complètement à poil en compagnie de ma fille, sur la plage au lendemain de tes noces, Alicia chérie. Jasmine m’avait alors mis au défi de te posséder un jour. En attendant cette occasion, c’était souvent en fantasmant à ton sujet que je sodomisais la mère de ta femme, ainsi que ta mère.

— Si vous n’étiez pas le père de Sophie, je vous dirais que je vous déteste, Monsieur Durocher ! Oui, vous n’êtes qu’un vulgaire salaud et je vous déteste ! répondit Alicia avec hargne dont la honte et le désarroi avaient maintenant laissé place à la colère. Si je ne me retenais pas, je serais tentée de rechier par terre tout votre foutre après votre retrait. Alors ne vous éternisez pas dans ce qui appartient à votre fille et non à vous ! »

Sophie, se sentant totalement impuissante devant cette conversation qui opposait sa bien-aimée à son père dont elle avait une vue en gros plan du sexe qui allait et venait profondément dans le derrière de sa copine dans de bruyants flic-flac humides, continuait de minoucher avec sa langue le clitoris de son gros minet agressé. Ces marques d’affection parurent adoucir l’attitude d’Alicia qui se calma par la suite alors que Jérôme sentait le moment de l’éjaculation approcher, son organe étant à l’apogée de son gonflement et au plus profond des entrailles de la sodomisée.

« Merci d’être là, s’adressa tout bas Alicia à Sophie en penchant sa tête vers l’arrière en direction de celle qui s’efforçait de l’accompagner au mieux dans les circonstances. Tu es un amour, ma biche. Je te revaudrai ça ! »

Durant quelques longues secondes, tout le corps de l’athlète fut secoué au rythme de la puissante éjaculation qui se produisait en elle, la remplissant de l’abondant et savoureux sperme de l’homme à la toison noire qui gémissait de plaisir au même moment. La fille sentait ainsi à chaque secousse son bas-ventre se faire combler par la chaude suspension masculine qui l’envahissait, provoquant graduellement en elle une désagréable sensation de plénitude distendant tout son rectum.

« C’est trop ! annonça Alicia presque en panique. Je ne pourrai jamais tout garder ça. Je… je vais faire un dégât. Sophie ! »

L’homme se retira promptement, remplaçant son organe maintenant rendu visqueux par son pouce dans l’ouverture encore béante de l’enculée. Un dernier coup d’éjaculation dans le vide aspergea le visage de Sophie qui, en 69, se trouvait toujours sous le sexe d’Alicia, alors qu’un filet dégoulinant de l’anus de la sodomisée vint s’ajouter sur le visage maculé de la rouquine. La fuite anale mieux colmatée, l’homme se retira finalement.

« Serre tes fesses, mon minou, lui conseilla celle qui parvint à rouvrir ses yeux en partie collés par le foutre de son père, et viens m’essuyer la figure. Tu vas goûter toi aussi, c’est très bon, ajouta-t-elle pour l’encourager. »

Sous les applaudissements de l’assistance qui semblait elle-même reprendre son souffle, Alicia, toujours en levrette, entreprit de lécher le visage de Sophie qui s’était maintenant agenouillée et approchée de son visage et termina cette partie de la dégustation par un baiser passionné échangé avec celle qui ne l’avait jamais abandonnée. Cette dernière marque d’amour permit à Alicia de faire abstraction de ce qui se passait à l’autre extrémité de son tube digestif, alors que, de retour, Jérôme avait entrepris de lécher à grands coups de langue son propre foutre qui s’échappait encore involontairement de l’anus de sa belle-fille qui peinait à garder dans ses entrailles la préparation dont elle venait de se faire combler.

« C’est délicieux, Jasmine ! complimenta l’homme à l’abondante pilosité, qui achevait de fouailler le derrière d’Alicia dont il sentait la rondelle se resserrer de plus en plus sur sa langue. Tu as mis un nouvel ingrédient, je crois ?

— Oui chéri, répondit la grande rouquine. J’y ai ajouté du kirsch cette fois-ci !

— Oh ! ça te chauffait pas trop les fesses, ma belle noire ? demanda sarcastiquement Jérôme à Alicia qui soupirait maintenant d’impatience devant l’homme.

– Pantoute, le beau-père ! répondit sèchement la fille. Et maintenant que vous avez pris votre part du goûter, je vous demanderais de bien vouloir vous éloigner de moi. Et puis retirez immédiatement vos doigts de mon vagin !

— Je te pensais plus chatouilleuse que ça, Alicia. Je crois que j’ai du travail à faire pour te convertir à la bisexualité. Ce ne fut pourtant pas difficile avec ta mère ! »

L’homme se releva, non sans avoir baisé les deux fesses de sa belle-fille.

« Bon, eh bien je vais vous laisser entre femmes. Amusez-vous bien, les p’tites gouines ! »

Jérôme disparut derrière la porte de la pièce voisine.

« Quel grossier personnage ! conclut Alicia tout bas.

— Pauvre gros minet, la plaignit Sophie. Allez, c’est presque fini. Courage ! »

Les mères des tourterelles et Catherine se joignirent à Sophie et Alicia qui se fixaient maintenant tendrement du regard en souriant. Sonia fut la première à reprendre la parole :

« Ça va, mon beau bébé chéri ? Il t’a pas trop maganée, le gros ours ?

— Maman, j’ai extrêmement honte de me trouver ainsi toute exposée devant vous, alors je t’en prie, n’étire pas trop la sauce ! Tu devais rêver aussi depuis longtemps de me sucer le cul alors vas-y, contente-toi !

— Ne sois pas fâchée, poulette, ce n’est qu’un jeu, après tout. On est en famille ! argumenta la femme qui avait commencer à faire courir sa langue dans le derrière de sa fille. Donne m’en encore un peu, si tu veux bien. »

La fille permit à son muscle anal de se relâcher légèrement, provoquant l’écoulement d’une nouvelle quantité du jus d’amour tiède fraîchement éjaculé par son beau-père. Sonia lécha avec volupté la préparation parfumée qui s’écoulait en direction du clito d’Alicia, avalant prestement le filet visqueux avant de finalement aventurer sa langue dans le conin de sa fille et sur son clitoris décapuchonné afin de rattraper les dernières gouttes.

« C’est la première fois que j’admire ta belle anatomie de si proche, Alicia. Tu me fais mouiller, tu ne peux savoir comment ! »

Puis, s’adressant à sa belle-fille :

« Je suis vraiment contente pour toi, Sophie. Je t’ai donné tout ce qu’il y a de plus beau pour la petite gouine que tu es !

— Euh, oui, Madame LeBel, c’est vrai, merci. Pensez-vous que vous pourriez maintenant céder la place à Maman ? C’est son tour, je crois. »

Sophie compatissait pour sa copine. Comme cette dernière, elle désirait mettre fin à ce goûter bizarre qui la mettait également très mal à l’aise.

« Je ne voudrais pas en rajouter, ma belle-fille, dit à son tour Jasmine qui, à genoux derrière elle, caressait la toison couleur d’ébène du pubis d’Alicia, la main entre les cuisses de cette dernière, avant de fourrer à son tour sa langue dans un anus collant et sucré. Je te trouve toute féminine et mignonne malgré ces fesses musclées. Sophie doit maintenant bien s’amuser avec toi maintenant que ton petit trou est redevenu normal ! »

À ces mots, Alicia adressa un regard réprobateur à sa conjointe :

« Qui lui a parlé de ça ? lui demanda-t-elle.

— Euh, eh bien, hésita la petite rouquine, je pense que c’est moi. Excuse-moi. J’aurais pas dû, n’est-ce pas ? »

Alicia pointa des yeux grondeurs en direction de sa copine confuse.

« Désolée, gros minet, avoua Sophie en rougissant. Je parle trop des fois, c’est vrai. »

Jasmine savoura la portion que venait de lui libérer Alicia :

« Ton cul est nettement plus doux que celui de ma fille, avec ce parfum, Ali, mais je dois t’avouer que je n’ai pas détesté la saveur épicée des fesses de ta copine, quand je l’ai initiée au sexe ! »

Sophie, remarquant alors la vive réaction de surprise dans le visage de Catherine, alors que sa mère émettait cette réflexion salace, se sentit conduite à lui fournir quelques explications :

« Euh…, oui, c’est que c’est Maman qui m’a tout… montré… la veille de mes noces. En commençant par la sodomie, ce qui était tout nouveau pour moi et… »

Le visage maintenant écarlate, elle résuma son explication :

« Comme tu as sûrement constaté, Cathy, nous constituons une famille très libertine. On aurait peut-être mieux fait de te mettre au courant, j’sais pas ? »

Catherine resta silencieuse, jusqu’au moment où, n’en pouvant plus, elle pouffa bruyamment de rire :

« Libertine, tu dis ? gloussa la blonde. Je dirais aussi drôle’ ! Vous êtes toutes le fun, toute la gang. Mais vous êtes cool en même temps, je dirais. Vous m’amusez énormément ! »

Jasmine acheva de balayer de la langue la raie et l’anus de sa belle-fille, essuyant au passage les gouttes de sperme sucré que celle-ci laissait encore échapper. Alicia ne put alors réprimer un léger sourire de plaisir et d’amusement, reconnaissant dans les mouvements de sa belle-mère ceux que lui fait avec volupté sa biche chérie lorsque c’est à elle de minoucher ses parties intimes. La mère de Sophie se releva à son tour et disparut, laissant Sophie et Catherine seules en compagnie d’Alicia qui se remit à sourire d’une façon espiègle.

« OK, les filles, annonça la jeune femme. Tout le monde est parti maintenant, alors…

— On peut enfin s’en aller ? demanda Sophie.

— Pas du tout ! C’est ici que le fun commence. Allez-y les filles, c’est ma tournée !

— Quoi ? Tu voulais pas finir ça au plus sacrant ?

— Mais avec vous deux, c’est pas pareil ! C’est la présence de nos parents qui me gênait. Allez-y les enfants, c’est à votre tour de me lécher le derrière, fit Alicia en libérant une quantité supplémentaire de foutre doux et tiède qui se remit à couler en direction de sa vulve humide. »

Sophie et Catherine ne se firent pas prier. Joyeusement, elles prirent à leur tour part au particulier festin qui s’offrait à eux. Pour Catherine, c’était un moment qui lui évoquait de doux souvenirs, se rappelant les nuits où elle et sa patronne s’ébattaient dans le lit étroit de leur chambre au Service de Santé du Resort de StoryX Island. Sophie, quant à elle, appréciait ce moment de pure intimité avec son Alicia chérie et leur complice Catherine, gratifiant son amie de cur de généreux coups de langue bien appliqués. Les doigts sur son bouton d’amour qui n’en pouvait de moins en moins, la sodomisée de ce soir connut un moment de jouissance inattendu alors que des langues frétillaient en alternance dans son anus sensible et stimulé. Une abondante cyprine s’ajouta donc à la dégustation à laquelle s’adonnaient les deux filles affairées entre les fesses d’Ali.

« Il n’y a plus rien, tout semble à sec, maintenant. Je pense qu’on a tout pris, annonça Sophie en se léchant les babines et en jetant un coup d’il à Cathy qui semblait également avoir apprécié.

— Attends ! fit Alicia. Je sens mon ventre gargouiller encore. Ça vient, je crois, ajouta-t-elle en amorçant un nouveau relâchement sphinctérien. »

La fille, toujours positionnée en levrette, sentit un peu de substance supplémentaire traverser de nouveau son orifice anal.

« Euh…, Alicia ! reprit sans tarder la rouquine quelque peu mal à l’aise, je crois que ce qui vient de passer ne figurait pas au menu !

— Oups ! fit Alicia, jetant un coup d’il par en arrière. »

Puis, s’adressant tout bas et presque en chuchotant à Catherine qui, se retenant de rire tout près d’elle, avait appliqué sa main sur la bouche :

« Je crois que je viens de faire caca sur la moquette ! » Puis, s’adressant à l’autre :

« Vite, Sophie ! Nettoyons tout ça avant que nos parents réapparaissent ! »

Sophie voulait rire aux éclats mais se retenait afin de ne pas alerter les occupants de la pièce voisine. S’exécutant rapidement, elle fit mine de réprimander sa copine :

« Alicia LeBel, je te sors plus ! T’as pas honte de faire, comme ça, sur le parquet du salon de mes parents ? Non mais qui t’a élevée ? ajouta-t-elle en riant sous cape.

– Môman ! lança l’autre à sa biche en ricanant, viens m’essuyer les fesses ! »

Le petit nettoyage terminé, Catherine remit, toujours en ricanant, à Alicia sa petite culotte ornée de papillons ainsi que sa mini-robe, Sophie se rhabilla également en vitesse et toutes pensèrent à planifier leur rentrée à la maison.

« Les parents de Sophie aimeraient que je reste un peu plus tard ce soir. Ils m’ont invitée à faire plus ample connaissance avec eux, annonça Catherine aux deux autres filles.

— Bien, répondit Sophie. Ali et moi allons retourner à la maison. »

Après les salutations et au-revoir d’usage, les deux tourterelles prirent congé des Durocher. Chemin faisant vers la maison, Alicia ne put s’empêcher d’exprimer son inquiétude concernant Catherine :

« Crois-tu que nous avons bien fait de laisser Cathy seule en compagnie de tes parents ?

— Maman sait qu’elle est vulnérable. Je crois qu’on peut leur faire confiance.

— Tu sais ce dont ils sont capables, lorsqu’ils perdent le contrôle, avertit Alicia. »

Les soupçons d’Ali n’étaient pas sans fondement, et Sophie le savait : les parents de cette dernière pouvaient devenir imprévisibles, quelquefois.

(À venir : Les malheurs de Catherine)

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