Nous avions décidé de rappeler tous nos amis pour les vacances de Noël. Un réveillon de premier de l’an torride s’annonçait. Seulement Germain souhaitait que nous fussions plus nombreux. Henri serait bien venu avec un de ses cousins qui, disait-il avait une quéquette plus grosse que celle de Germain mais cela coûterait cher. Pas de problème, on paierait l’avion.
Tugdual pouvait venir avec un pote…. Six mecs, pas mal. Enfin, Vincent proposa d’amener son petit frère, encore célibataire. Sept !
"Ma chérie" dit Germain il y a du gangbang dans l’air.
Cependant, il fallait attendre quatre mois entiers avant cette "fête". D’ici là, bien sûr, notre ménage à trois reprit son allure normale.
De plus en plus souvent, j’assistai en spectateur plutôt qu’en acteur. Je trouvais tellement plus beau de les voir s’accoupler. Tous les deux, néanmoins, étaient bien accrochés à nos plans à trois. Germain insistait beaucoup pour que nous fassions des doubles. Il adorait çela. Anne-Sophie préférait, quant à elle, avoir une pine dans le cul et une dans la bouche. Germain eut donc une idée originale.
– Et si on clonait ma bite ?
Evidemment, Anne-Sophie souscrivit aussitôt à cette proposition. Mais les kits de clonage existant en ligne ou dans les sex-shops sont faits pour des pénis standards. Rien de la taille de notre étalon ou, autrement dit, il ne pourrait être possible que de reproduire l’extrémité du braquemart… insuffisant.
Mais Germain est bricoleur. Ce qu’il fallait, c’était un moule assez-grand. Après, il n’y avait qu’à acheter deux kits pour avoir la quantité de silicone suffisante à la duplication de la quéquette tant appréciée.
Il faut reconnaître que cette cuisine nous amusa toute une soirée. Il ne fut pas difficile, on s’en doute, d’obtenir une érection parfaite et d’obtenir un moulage des plus réalistes.
– Comme ça, en plus, on pourra t’emmener en voyage dans mes valises, remarqua ma petite vicieuse de femme.
Et Germain ajouta qu’on pouvait même en refaire trois ou quatre exemplaires….
Pour l’instant un seul suffisait à notre bonheur. L’essai fut probant et je m’amusai de voir Germain jouer avec la copie de sa queue, la regarder sous toutes les coutures et la voir rentrer dans tous les trous en gros plan comme il n’avait évidemment jamais pu le faire.
Et puis, comme Germain venait assez rarement en semaine, accaparé par son travail et nous par le nôtre, Anne-Sophie pouvait ainsi tuer le temps et je la surpris plus d’une fois, rentrant tard de consultations à domicile en train de se goder dans le lit.
En octobre, Germain nous réserva un surprise.
Il avait commencé des travaux en été dans les vastes bâtiments de sa ferme, trop grands pour lui et dont il n’occupait qu’à peine la moitié de ce qu’il aurait pu en logement.
Les travaux finis, il nous invita à pendre la crémaillère.
C’était un samedi soir. Il pleuvait à verse, aussi traversâmes-nous l’espace qui sépare nos deux portes sans faire attention à la voiture garée dans la cour.
Il nous accueillit dans son vaste séjour-cuisine. Le feu ronronnait dans la cheminée. Il était entièrement à poil… mais eût-il été habillé que cela n’aurait rien changé. Nous savions bien et Anne-So même l’espérait, que la visite des nouvelles pièces terminée, ce serait la fête à ses fesses.
Nous prîmes le couloir, dépassâmes sa chambre puis une autre qui lui sert de bureau et enfin nous nous trouvâmes, après avoir franchi une porte dans une nouvelle entrée qui donnait sur l’extérieur de la ferme et qu’il venait de faire percer. Nous nous arrêtâmes un instant pour admirer les travaux puis il nous fit entrer dans le nouvel appartement. Mais, ce qui nous surprit, il frappa d’abord avant d’entrer. Une voix lui répondit :
– Nous sommes prêts. Entrez.
La pièce nous surprit au moins autant que les personnes qui s’y trouvaient.
– Bienvenue dans mon baisodrome ! dit Germain.
Tendue de rouge avec des miroirs sur chaque mur et au plafond, un jacuzzi dans un coin, une douche, des matelas et des fauteuils, un immense écran de télé, une croix de Saint-André, un sling, l’ancienne et vaste grange à foin avait été reconfigurée pour le sexe.
– Mes locataires. Michel et Roselyne.
– Enchantés !
Germain nous expliqua, tout en prenant un verre, qu’il venait de créer un gîte échangiste. Il l’inaugurait ce soir avec nous.
Le couple était quadragénaire. Ils était nus tous les deux, si on excepte la femme qui portait juste des cuissardes qui lui montaient jusqu’à l’entrecuisse. Elle était très brune avec les cheveux descendant jusqu’aux culs. Ses gros seins commençaient à tomber mais leur aréole parfaite et l’épaisseur du téton les rendaient encore extrêmement bandants.
Les poils de la chatte étaient finement taillés. On voyait les lèvres si rouges qu’on les eût dit maquillées, épaisses, prêtes à l’emploi.
Le type était plutôt courtaud, chauve, très poilu. Ses Membres étaient très gros son torse puissant et son ventre énorme mais ferme et tendu, faisant saillir un nombril qui lui faisait comme un troisième téton.
Un gros cylindre, tout droit, avec un prépuce dégageant seulement l’extrémité d’un gland très dessiné entamait un début de bandaison qui promettait d’être aussi complète que celle de Germain.
Pourtant, il y avait quelque chose chez ce mec qui ne me disait rien.
Les présentations faites, les explications données,les premières gorgées de Champagne avalées, Roselyne se mit accroupie devant germain dont elle avait tripoté les pompons d’une main produisant un effet immédiat sur sa verge. Elle prit une belle gorgée de vin et se mit à le sucer ainsi.
Ayant posé le verre, elle se caressa le clito d’une main et lança l’autre vers ma braguette. Je sentis la ferme pression des doigts sur ma bite qui tressauta violemment.
Germain avait passé ses bras derrière sa tête, faisant ressortir le dessin de ses biceps et dévoilant les poils blonds de ses aisselles qui émoustillent toujours Anne-So, très friande de ce qu’elle considère comme une marque absolue de virilité.
Germain ordonna :
– Anne-So, rends donc à notre hôte ce que sa femme me donne ! Je lui dois bien cela. Tu sais qu’elle pompe magnifiquement ! Fais-donc une belle gâterie à Michel, comme tu en as le secret.
– C’est vrai ? Me demanda Michel. Ta femme suce bien ?
– C’est une des meilleures suceuses du monde répondit Germain. Maintenant, elle arrive à gober mon gros nud presque jusqu’aux couilles.
Pendant ce temps, Roselyne m’avait débraguetté et pris aussitôt le sexe dans sa bouche.
Je vis grossir la queue de Michel, toute droite, presque à angle droit avec le pubis, n’était-ce une légère courbure vers le haut à l’extrémité de la hampe, presque à la racine du gland. Mais cependant sa bite n’atteignait pas complètement les proportions gigantesques de celle de Germain qui, de plu,s monte toujours très droit vers le ciel.
C’était néanmoins un très beau morceau mais il me semblait qu’Anne-So ne le suçait pas avec son ardeur habituelle. Le gars, très vite excité, se cramponnait à la tête de ma femme pour plonger son pieu le plus loin possible. La salive coulait à flots C’était une irrumation faite dans les règles de l’art.
– Putain elle est trop bonne. J’ai grave envie de la sodomiser. Je peux ? Demanda Michel
– Bien sûr, répondit Germain, elle adore ça.
– Vous savez, vous pouvez éclater le cul de Roselyne si vous voulez. Elle en a vu des bites, hein, ma chérie ?
– Hmmm, hmmm, répondit elle sans s’arrêter de me sucer.
Germain désormais se faisait pomper par Anne-So pendant que, penchée, les jambes bien écartées, elle offrait sa croupe au gros porc déjà suant, qui lui arrosait la rondelle de gel. Puis il présenta le gros morceau qui disparut progressivement dans les chairs au son des gémissements de ma pauvre femme. Quand le zob fut bien au fond, Michel se pencha légèrement en avant pour attraper les nichons. Et il se mit à défoncer le cul à toute vitesse.
Quant à moi, ma compagne de jeu m’invita sans équivoque à la pénétrer en s’allongeant sur un matelas et en ouvrant grand les jambes.
C’est à ce moment que je compris ce que le kamasutra veut dire quand il classe les femmes, en biches, juments ou éléphantes. Je plongeai ma bite dans le vagin mais jamais je ne m’y suis senti aussi large. "L"éléphante assurément" me dis-je. J’ai pourtant pas une petite queue mais là, je dois avouer que je flottais ou presque.
En même temps vu le calibre de son mari et leurs pratiques sexuelles, je ne doutais pas un instant qu’elle n’eût connu des doubles d’anthologie avec des calibres surdimensionnées.
Son mari bavait de plaisir :
– Ouais, ça c’est un bon cul. T’aime être baisée toit ça ce soit. T’es une bonne salope, une bonne grosse truie. T’as vu ma chérie comme elle encaisse bien ma grosse bite. Ça t’excite aussi, hein , et le monsieur, il te démonte bien ?
– Oui, c’est bon !
– Tu veux la grosse queue de Germain dans ton cul pendant que l’autre il te dilate la raie ?
– Oh oui…
Alors, je dus me mettre sur le dos. Roselyne vint se ficher la chatte sur mon pieu, face contre la mienne, tendant son fion à Germain.
– Non, pas de gel… j’veux le sentir passer. Il est si gros. Prends-moi comme une bête.
Germain lâcha donc le tube et sans aucune préparation se mit à la déchirer.
– Aaahh !
– Tu voulais à sec, tu l’as à sec salope… enfin si on peut dire. Tu mouilles tellement du cul !
– Aaah c’est gros, c’est dur ! T’as une bite en bois ma parole.
Je sentis la pression exercée par le membre géant de Germain contre le mien, toujours le même sentiment de presque toucher ce zob gigantesque ce qui décuple mon excitation. Après je n’eus pas à bouger. Les coups de Germain étant tellement vigoureux qu’il faisait le boulot tout seul.
Michel et ma femme s’étaient mis contre nous, à hauteur de ma tête pour que je puisse bien voir le mec s’acharner dans le cul.
Puis, il retira son mandrin, se mit de la salive sur les doigts, caressa la vulve et changea de trou avec un gros ouf de satisfaction.
– Ouais, trop bon, elle est étroite comme une jeune mariée. La vache, qu’est-ce qu’on est bien dedans. Qui pour une double avec moi ?
Je me serai bien proposé mais, placé ou j’étais, je n’avais pas la main.
Germain se retira aussitôt. Ils mirent Anne-So sur le côté et la prirent en Sandwich, un dans chaque orifice.
De mon côté, je retournai l’autre gueuse sans ménagement et entreprit de la sodomiser à mon tour sans chichi. Bien que plus serré que son con, le trou duc cul me parut lui aussi assez dilaté, plus en tout cas que celui de mon épouse. J’y entrai sans problème et me mis à y coulisser avec autant de facilité que dans le vagin, à tel point qu’on aurait cru ce cul enduit de cyprine ou de gel.
De la sorte je ne perdis rien des deux gars démontant ma femme. Et j’aurai bien voulu en avoir ma part aussi car elle est franchement plus belle et mieux faite que Roselyne.
Anne-Sophie se laissait faire mais on aurait dit qu’elle subissait. Elle ne parlait presque pas, gémissait à peine ce qui excitait les mâles et notamment Michel.
– Putain, elle a l’air dure à faire jouir ta copine là. On voit qu’elle est montée souvent et qu’il faut pas faire que de lui en promettre. Mais attends, on va bien te ramoner salope, on va te faire couiner. Tu vas te pâmer ma belle !
La prétention de ce mec m’exaspérait. A part sa queue, il n’avait rien pour lui… si l’endurance quand même.
Germain, dans le cul, ne faiblissait pas. Il donnait de violents coups de bite, très profonds, assez rapidement. De temps en temps il s’arrêtait, laissant l’autre se démener comme un beau diable dans la chatte et, pendant ce temps, je voyais qu’il susurrait quelque chose à l’oreille de ma femme. De sa main libre, il lui pinçait assez fortement l’un ou l’autre des tétons qui étaient gonflés comme jamais.
– Aller, entre les nichons là.
Et Michel se mit à faire coulisser son chibre entre les mamelles alors que ma femme s’empalait sur le sexe de Germain, allongé sur le dos. Comme souvent, je tins moins longtemps que les deux autres et je me retirai pour venir éjaculer sur le visage de Roselyne.
– Ouah ! T’as vu ma colombe, t’en est couverte ! Dis-donc il a la seringue bien pleine le petit toubib. Aller, sois gentille avec lui, essuie-lui le manche à fond. Et toi ma belle, il parait que t’es une vraie gueule à jus, aller va lécher la bonne sauce de ton mec sur les nichons de ma femme… aller grouille-toi… ça lui glisse et tout va tomber sur le plumard.
Anne-So s’exécuta sans enthousiasme et elle fit ce que Michel lui avait demandé. Elle ramassa tout mon sperme et le gros porc qui m’énervait de plus en plus, vint la palocher en tournant sa langue comme s’il se fût agit d’une lessiveuse.
– J’vais vous arroser la gueule de foutre toutes les deux, vous allez voir ça !
Mais avant, il demanda à ce que les deux femmes se mettent côte à côte en levrette pour les prendre alternativement. Germain pilonnait la sienne pendant que lui pilonnait la mienne et vice versa. Germain prenait moins d’initiatives que d’habitude, peut-être parce que ses préférences allaient de façon trop visible à Anne-Sophie.
Puis ils firent la même chose mais en missionnaire, avant de changer de place, pour aller vers un lit plus haut sur pieds (décidément, Germain a mis les grands moyens) qui permet à l’homme d’être quasiment debout pour enfiler la dame "à la hussarde".
A la fin, Michel explosa, en exigeant, au préalable, que les femmes se mettent à genoux devant lui pour recevoir son sperme sur le visage et les seins. Ce que voyant, Germain décida aussi de hâter son orgasme. Les couilles de Michel se délestèrent, abondamment il faut en convenir, sur les paires de nibards tenues fermement par chacune des deux femmes et Germain, à son our, déchargea avec la même abondance que s’il se fût agi de sa première éjaculation.
Ainsi bien recouvertes, nos femmes furent priées de se frotter les seins l’une contre l’autre et de se les sucer mutuellement pour échanger la jute.
Après quoi nous rentrâmes chez nous.
Le lendemain, Germain vint nous chercher pour recommencer. Nous le suivîmes sans rien dire mais la semaine promettait d’être longue car ce couple de locataires de nous convenait guère. En fait le culot du mec, son côté grande gueule, m’étaient insupportables.
Le lundi matin, bien qu’il fît très frais, je vis Michel entrer dans ma cuisine entièrement nu, sans frapper.
– Salut !
– Salut.
– Elle est pas là ta femme ? J’ai grave envie de la sauter là.
– Désolé. Elle n’est pas en libre service. Elle n’est pas là.
– Ah merde… et toi, tu peux venir baiser la mienne ?
– Désolé encore, mais moi je travaille et je dois y aller là…. vois avec Germain.
– Ben non, il est déjà au boulot…. bon, à tout à l’heure.
– C’est ça. A ce soir.
Ma journée fut chargée. Vers midi, je reçus un message de Germain :
– Slt ! Tu veux pu niké Mich et Roselyne ?
-Si pkoi ?
– Ont dit que pas dispo!
– Pas ce matin. Boulot. Anne-So crevée.
– OK. @plus.
– @plus.
Je rentrai tard, à plus de 22 H00. Anne-So n’était pas là.
Je me rendis au gîte, pas vraiment disposé à partouzer mais je voulais savoir où ils en étaient car je devinais bien qu’ils n’étaient pas en train de jouer au scrabble.
Les fenêtres de la grande salle étaient éclairées. Il y avait une ombre devant, à l’extérieur. Je fis donc un détour pour m’approcher en silence. Quelqu’un observait, tiens, tiens ! Encore de l’imprévu.
A sa haute stature, je reconnus Christian, un gamin du village, un jeune de 19 ans, un de mes patients, qui se tenait à bonne distance de la fenêtre et qui matait. Malgré le froid d’octobre, il avait baissé son caleçon et se branlait.
A l’intérieur, on voyait très nettement les deux mecs en train de se taper les femmes.
— Ça te plait ? dis-je doucement dans son dos.
Contrairement à ce que je pensais, le jeune ne sursauta pas, il resta concentré en se masturbant, sans me regarder.
– Putain ouais, t’as vu comme elle sont bandantes.
– Grave.
– Et les mecs, t’as vu les gaules ?
– Oui.
– On a bien fait de venir. Je t’avais bien dit qu’il se passait des trucs ici. Putain, elles sont chaudes… surtout la femme du toubib.
– Tu la trouves bien ma femme ?
Et là, il se retourna effaré, comme s’il avait vu le diable en personne.
A suivre.