La semaine dernière, en discothèque à Saint-Domingue, j’avais un peu bu, j’avais envie de faire la fête et, plus encore, de me faire baiser comme une chienne. Mon amant, resté en France, m’envoyait des textos de salaud qui me faisaient monter une envie de sexe pas possible…
Il me savait devenue salope et baiseuse limite pute…De toute façon en rentrant j’allais passer à l’acte avec un collègue de travail. Je me l’étais bien chauffé celui là, bien paluché dans le local de la Radio…il m’avait aussi copieusement tripoté la motte me faisant couler comme une salope…
Salope, ça oui alors…salope…pleinement salope… grâce à un autre salaud, crapuleux, lubrique, salace, qui m’avait fait devenir baiseuse, accro à sa grosse queue bien juteuse qui me remplissait la chatte…
Donc ce soir, en boite j’en avais un peu marre de la drague polie des hommes du coin. J’avais envie de me faire tirer. Une série de slows et un beau mâle me prend par la taille et danse, collé à moi. Il ne me parle pas, on danse, on se frotte, je le chauffe autant que possible, j’en deviens superbe de luxure, salace, pute…oui…pute…je veux de la queue et je vais en avoir. J-P me le dit souvent : ? l’occasion, l’herbe tendre… ? Et la femme bien sage se comporte comme la dernière des hétaïres en rut, qui veut la dose de foutre qui va lui tapisser les muqueuses.
Ma main glisse vers son entre jambe. Je sens son membre durcir un peu, je branle furieusement son pantalon et il semble apprécier mon initiative. Il glisse une main dans mon short, sur mon cul, il malaxe mes fesses à pleine main, tire sur mon string pour qu’il me rentre dans la chatte. Je suis en feu. Nous sommes de plus en plus à l’écart de la piste et nous ne dansons plus vraiment. Il m’entraîne vers un coin sombre et nous continuons à nous caresser furieusement, sans douceur. Il me malaxe les seins en me regardant droit dans les yeux, sans un mot, il a le regard froid, il ne sourit pas. Il passe à nouveau une main dans mon pantalon mais devant cette fois, brutalement il m’enfonce un doigt dans la chatte.
Il m’emmène vers les toilettes, je sais qu’on nous regarde, ça m’excite au plus haut point, je sais qu’il va me prendre comme une pute et j’aime ça. On s’enferme dans un WC, il me pousse violemment et verrouille la porte. C’est petit mais ça me va. Il referme la cuvette et me déshabille sans un mot et sans douceur. Je l’aide. Il me fait me pencher en avant, en appuie sur la chasse d’eau, il malaxe ma croupe, m’enfonce deux doigts dans la chatte et me branle. Une fois ses doigts bien lubrifiés, il fait de même avec mon anus, il n’a pas de mal à rentrer, je suis toute dilatée.
Il ouvre sa braguette et sort sa bite. Elle est énorme, pas encore tout à fait raide mais en bonne voie. Je me baisse et je le suce. Je sens son braquemard au fond de ma gorge, il me tient la tête, me force à avaler toute sa queue, il se branle avec ma bouche, je me sens objet, j’aime ça. En me tirant par les cheveux il m’indique que c’est fini. Il sort alors un préservatif et se le met tout seul. Il se branle un peu puis me remet les mains appuyées sur la chasse d’eau. Il m’enfile brutalement, ma chatte semble vouloir éclater sous la pression de son engin. Il est brutal. J’émets un râle et il me met la main sur la bouche, m’obligeant au silence. Il me lime comme ça un moment, je sens le plaisir qui arrive, c’est nouveau pour moi et s’il n’y avait pas sa main, je me laisserai aller à briser le silence, à crier ma joie de me faire prendre, enfiler, défoncer…
Il sort sa bite de ma chatte et entreprend de me la mettre dans le cul. Sur le coup je crois que je vais hurler, ça ne peut pas rentrer, c’est pas possible. A ma grande surprise, il rentre son engin dans mon cul ; mon anus laisse petit à petit l’énorme bite le défoncer. Je ne pourrais pas m’asseoir avant un long moment je crois. Il commence les va et viens. Je suis transportée par le plaisir et la douleur. Il ne tient plus ma bouche, je ne dirais rien, je sais qu’il faut se taire. Il a prit mes hanches et me fait bouger selon son bon plaisir. Soudain, le plaisir m’envahit, pour la première fois de ma vie je jouie par le cul. Il l’a senti, il se retire de mon anus dilaté et dirige ma tête vers sa bite.
Il retire le préservatif et se branle à nouveau avec ma bouche. Il éjacule par terre car je refuse d’avaler, j’ai pas envie de me choper le sida… Il se rhabille et ressort du WC me laissant par terre, nue, il laisse la porte ouverte en partant, il y a du monde dans les toilettes, tout le monde peut me voir. D’un revers de la main je m’essuie. Je tire enfin la porte et me rhabille à mon tour. Je sors de là sous les regards des voyeurs. Je suis retournée à ma chambre où dormait mon fils, gardé par une copine, juste après ça.
En y repensant, je mouille. Je crois qu’il faut que je me fasse une raison, je suis devenue une bonne salope et j’ai besoin qu’on me baise comme une belle pute en chaleur, c’est ça qui me fait jouir. Je vais tout raconter à mon amant…un beau salaud celui là, qui va me tirer copieusement en entendant tout ça.
Je sais qu’il faudra que j’aille chaque fois un peu plus loin, il m’en faudra toujours plus…