Plus le temps passait, plus j’avais dexpérience. A présent, mes trous étaient systématiquement pleins. Ma bouche ne restait jamais libre très longtemps. J’avais le devoir de ne pas rester plus de cinq minutes sans sucer de queues. Puis mon cul était offert à qui le voulait. J’aimais bien. Me sentir vulnérable était une sensation qui me remplissait de joie. A l’école, je me faisais défoncer la chatte quinze fois par jour. Roger disait que c’était pour entretenir ma forme physique. J’étais souvent ligoté. Puis, parfois, lorsque je n’avais pas été une bonne élève, le concierge m’attachait à un pilonne au milieu d’un rond point, il découvrait ma poitrine et titillait mes tétons, puis, il inscrivait au feutre noir, sur mon front, " pute gratuite".
Nombre de personnes s’arrêtaient et m’observaient sans oser s’approcher. Les mères dissimulaient les yeux de leurs enfants et me jetaient des regards offusqués. Par contre, vers la fin de la journée, les hommes devenaient plus entreprenants. Des mains venaient parcourir mon corps et sinsinuer en moi. Certains se plantaient devant moi, se masturbaient et me redécoraient de leur foutre. Ce foutre si précieux. En effet, pour prouver à Roger que j’avais bien fait mon travail, il avait installé un sceau à mes pieds pour que les hommes puissent se décharger. Ainsi, en fin de journée, il pouvait mesurer létendu de ma performance. Si la quantité n’était pas suffisante, j’étais de nouveau punie ; alors je suppliais ces messieurs. Mais, tous ne l’entendaient pas de cette oreilles. Ils préféraient m’ensevelir sous des quantités impressionnante de liquide séminal. De temps à autre l’un d’eux m’arrosait de sa pisse. Et je le remerciais pour cette douche salvatrice.
Il serait bientôt 20 h 30 et ma punition s’achevait à 21 h. Mon sceau n’était pas rempli à moitié, j’étais désespérée. Je suppliais tous les hommes qui passaient. Un groupe d’arabes bien montés se posta devant moi. En bout de laisse, ils avaient un labrador. Celui-ci semblait attiré par l’odeur que je dégageait. Ce chien vint me laper la chatte. La sensation était nouvelle pour moi et je partis rapidement dans un orgasme. Je ne perdais pas de vue qu’il fallait que je remplisse mon sceau. Je pris donc en bouche, les une après les autres, les queues de ces hommes qui me faisaient face. Ils déversèrent des quantité incroyable. Je n’avais jamais vue cela. Et pourtant, à la fin, la quantité ne suffisait toujours pas. Au bout de la rue, je voyais Roger qui revenait vers moi. Mon groupe d’arabes partit alors qu’il arrivait à ma hauteur.
Il regarda le contenu du sceau et me fit une moue réprobatrice. Mais un sourire en coin se dessina sur son visage. Il semblait ravi que je ne sois pas parvenu à remplir ma mission. Il me détacha, me donna l’ordre de me mettre à genoux comme une chienne. De toute façon, c’était ce que je devenais, alors j’acceptais. Il m’attacha un harnais et installa une muselière. Pour finir, il m’enfonça un plug énorme dans le cul. J’ai eu l’impression qu’il m’enfonçait un tronc d’arbre. je hurlais de toute mes forces, mais la muselière empêchait le son de sortir. "Nous allons rentrer à pied, me dit-il". Plus on progressait, plus le plug faisait son effet. Mon cul s’élargissait et ma chatte, trempée était ouverte béante, si bien que ma mouille se mis à couler le long de mes jambes.
Nous n’avons pas pris le chemin que nous faisons d’habitude. Nous arrivions dans une zone pavillonnaire. Roger me dit : "J’ai quelque chose pour toi." Il ouvrit alors la porte d’un garde-meuble et en sortit une cage qui était sur roulettes. Il me demanda d’y pénétrer, ce que je fis malgré mon appréhension. Puis, il la referma avec un cadenas. Il me dit : "Ce soir, ma petite pute, ta vie va prendre un autre virage. Tu es très endurante maintenant. Mes partenaires m’ont assuré que tu en voulais encore après chacune des parties auxquelles tu as participé." Il disait tout cela en poussant la cage à travers les rues. " Nous nous sommes réunis et avons convenu que si aucun de nous n’étions capable de te satisfaire, alors peut être qu’une machine y parviendrait." Sur ces mots, il stoppa notre progression. On se retrouva en face de l’entrée d’un hangar. Il tapa à la porte, et un gros bonhomme aux cheveux grisonnants ouvrit. A lintérieur, il y avait tout une foule d’hommes aux visages dissimulés derrières des masques. A mon arrivée, ils s’écartèrent pour laisser entrer la pute. Roger me poussa au milieu de la foule. Et l’on parvint bientôt à côté d’une machine.
Elle était composée de deux énormes pistons.
Roger m’installa, il m’enfonça le premier pistons dans le cul et le second dans la chatte.