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Leïla, maman soumise – Chapitre 7

Leïla, maman soumise - Chapitre 7



10 jours ont passé, je reçois une photo de Leïla. Elle est nue dessus et sur son ventre une ordonnance. En message, elle me marque « RDV fait, examen nickel, reste plus qu’à aller chercher ma pilule ». Je souris et lui réponds « A demain alors ! »

J’informe Delphine par message comme quoi notre jouet est de nouveau dispo. Elle me répond uniquement par un pouce en l’air.

Place au jeu et à la dépravation de cette jeune maman.

Le lendemain matin, j’amène les enfants à l’école et demande à Leïla de prendre sa première pilule avant d’aller à l’école. Je lui donne aussi les instructions suivantes :

— Viens à l’école habillée d’une robe courte sans rien dessous et des escarpins. Tu as le droit à une petite veste.

Elle me répond par l’affirmative.

J’arrive à l’école, Leïla n’est pas encore arrivée. Mes enfants rentrent et quand je me retourne, je la vois arriver sur le trottoir d’en face. Elle n’a pas fait dans la demi-mesure, elle arrive dans une robe vichy noire style Brigitte Bardot, des escarpins rouges et un petit perfecto en cuir noir dessus. Elle a coupé ses cheveux et fait une teinture rouge. Enfin pour sublimer le tout elle a fait un maquillage sophistiqué, ni trop ni trop peu. Bref en un mot parfait. Je passe devant elle sans m’arrêter. Quelques mètres plus loin je lui envoie un message.

— Parfait, rendez-vous devant ton immeuble.

Devant ce dernier, je n’attends pas longtemps pour la voir arriver. A ma vue, elle accélère le pas. Toujours sans un mot, nous rentrons dans l’immeuble puis dans l’ascenseur. La porte à peine fermée, que je lui saute dessus et lui roule une pelle. Nos langues s’entremêlent, mes mains caressent son corps. Leïla dégrafe ma ceinture et ouvre mon pantalon. Je dézippe sa robe et retire son perfecto. Ils tombent tous les deux sur le sol de l’ascenseur. Elle se retrouve devant moi entièrement nue uniquement montée de ses escarpins.

— Monsieur est ravi.

— Tourne-toi !

Je ne lui laisse pas le temps de le faire seule, j’attrape son bras et la retourne face au miroir de l’ascenseur. J’écarte ses jambes outrageusement, et me mets à genoux derrière elle. Mes mains se posent sur ses hanches et mon visage s’enfonce dans sa raie. Le nez planté dans sa rosette, ma langue commence à lécher le nectar d’amour qui suinte entre ses lèvres. Leïla geint presque immédiatement. L’ascenseur sonne, on arrive à son étage, je me redresse et reboutonne mon pantalon.

— Remets juste ton blouson !

Elle obéit et sort juste après moi sa robe à la main. Elle ouvre la porte de son appartement, je la pousse dedans et claque la porte derrière nous. Je fonds de nouveau sur elle, mes mains sur ses seins, je la colle au mur. Je lui pince les tétons jusqu’à la faire crier. Cri étouffé par ma langue qui est dans sa bouche. Je passe ensuite mes mains sous ses genoux et lui fais décoller terre. Elle passe ses mains derrière ma nuque et m’enlace avec ses jambes. Je nous décolle du mur et l’amène dans son salon. Je la dépose sur la table, je me recule et la retourne. Ses pieds touche à peine le sol, je baisse mon pantalon et mon boxer et me rapproche d’elle. D’une main sur la nuque, je lui écrase la joue sur la table ainsi que le buste. De mon autre main, je dirige ma bite vers cette chatte tant désirée. Mon gland gonflé et rouge frotte cet antre suintant de désir. Il entre à peine et ressort immédiatement. Je recommence l’opération plusieurs fois pour la frustrée un maximum. Une fois au comble de la frustration, je la pénètre d’un coup sans retenue. Elle crie de douleur, cri que se transforme rapidement en gémissements. Je la pilonne avec rage, la table bouge et grince sous mes coups de butoir. Leïla s’agrippe aux rebords pour ne pas trop bouger. D’un coup, je la relève en l’attrapant par les cheveux et la jette au sol. Elle se retrouve le cul sur le sol, les mains en arrière pour se retenir et les jambes à moitié pliées laissant apparaitre sa vulve fraichement épilée. Sans un mot de ma part j’enfonce ma bite au fond de sa gorge. La saisie de part et d’autre de la tête et lui baise pendant quelques secondes la bouche. Une fois fait, je lui rejette la tête en arrière, ce qui l’a fait se mettre à plat dos. Là, à genoux devant elle, je pose ses jambes sur mes épaules et pénètre son con. Elle geint directement. Cette joute dure jusqu’à épuisement. C’est avec les joues rouges d’excitation et des feulements plein la bouche qu’elle atteint son orgasme. J’arrive peu de temps après, je me répands au fond de son vagin pour la première fois mais certainement pas la dernière.

Une fois décollé d’elle, je me relève et me rhabille avant d’aller m’asseoir sur le canapé.

— Va me faire un café !

Elle commence à retirer son blouson.

— Non reste habillée comme ça, j’aime bien ta tenue.

— Bien, monsieur !

Elle obéit sans broncher et respecte les règles, elle est prête pour la suite. Quand elle revient avec mon café, je lui fais signe de s’assoir par terre à mes pieds. Docile, elle pose sa tête sur mes cuisses, je lui caresse sa chevelure tout en buvant mon café.

— Tu t’es déjà fait fister ?

Elle relève la tête, ses yeux sont grand ouverts.

— Non, c’est quoi ?

— C’est le fait d’introduire un poing, en l’occurrence ce serait le mien, dans ton vagin ou ton cul.

— C’est impossible, vous allez me déchirer !

— Mais non ! T’es une chienne tu y arriveras, je vais te faire voir les prouesses du corps humain. Regarde !

Je me redresse un peu pour prendre mon portable, j’ouvre la galerie et recherche un des derniers fists de Delphine. Je lui tends le téléphone. Elle le prend avec ses deux mains comme une petite chose fragile. Elle ne quitte pas l’écran des yeux.

— Tu peux tourner les photos !

Elle ne dit rien pendant quelques photos et d’un coup.

— Vous croyez que vous arriverez à faire ça sur moi ?

— Biensûr ! Si Madame y arrive tu es capable de le faire ! Il n’y a rien de sorcier. D’ailleurs on va commencer ton initiation aujourd’hui !

— Maintenant !

— Oui ! Tu as la chatte pleine de mon sperme, y’a pas meilleur lubrifiant au monde ! Allez ! Retire ton blouson et mets-toi le cul en l’air et le visage sur le sol.

Elle s’exécute sans broncher. Je me lève et m’approche d’elle. Comme par réflexe maintenant, à peine à sa hauteur que je la fesse. Son cul rougit immédiatement. Sans plus de préparatif, j’insère directement trois doigts dans son con. En réponse, Leïla se cambre plus. Après quelques va-et-vient, mon quatrième doigt entre dans ce vagin dégoulinant d’un mélange de foutre et de mouille de notre dernier coït. Leïla geint de plaisir tout en se mordant les lèvres. Je me retire, recule un peu pour retirer mon T-shirt et mes chaussures ainsi que mes chaussettes, je me retrouve uniquement en pantalon. Je reprends mon action. Directement j’enfonce mes quatre doigts dans ce vagin si accueillant. J’approche mon pied de son visage.

— Suce mon gros orteil comme si c’était une bite !

Leïla ne réfléchit pas un instant, elle ouvre sa bouche pour recevoir mon orteil. Elle le suce divinement bien, preuve qu’elle aime mon traitement. Je continue à fouiller son intimité, mon pouce s’insère dans son rectum et prend contact avec le reste de mes doigts à travers la paroi. Cette nouvelle intromission la fait aller plus vite sur sa succion. Elle est prête à passer à la vitesse supérieure. Je retire ma main de son sillon et replonge instantanément deux doigts de chaque main, je tire légèrement puis plus fort de chaque côté pour bien dilater son périnée. Sa grotte d’amour est maintenant bien dilatée, j’aperçois facilement son col de l’utérus qui se spasme de désir. J’attrape le mug de café sur la table basse et commence à l’enfoncer dans ce trou de plus en plus grand. Elle essaie de se redresser suite à cette pénétration, je l’en empêche en posant mon autre main sur son dos.

— Laisse-toi faire et suce !

Elle reprend sa succion, moi de mon côté, je commence à faire tourner sur lui-même le mug planté dans ce trou de perversion. Elle apprécie son traitement, je m’enhardis un peu plus encore et le gode avec avant de le retirer d’un trait. Son vagin reste béant un instant, avant qu’il ne se referme trop je replonge le mug dedans mais du côté le plus gros cette fois-ci. Il rentre sans trop de difficulté, je décide donc d’augmenter son traitement. Je repose le mug gluant sur la table basse et plonge mes cinq doigts de ce vagin dilaté. Ma main bloque au niveau des têtes des métacarpes, normal pour une première fois. Je la pistonne sans ménagement, le traitement lui fait arrêter de me sucer l’orteil, elle crie à gorge déployer son plaisir, elle griffe le sol et bouge sa tête dans tous les sens. Je me positionne derrière elle et en profite pour essayer de dilater plus ce vagin récalcitrant. J’enfonce maintenant trois doigts de chaque main et tire de part et d’autre pour l’ouvrir au maximum. Elle hurle sous ce traitement sauvage.

— Écarte tes fesses avec les mains tu vas bientôt sentir ma main dans ton ventre salope !

— J’ai… j’ai… j’ai peur… monsieuuurr !!!!

— T’inquiète, tu es une salope et une salope se fait fister !

Elle agrippe son cul tant bien que mal, elle mouille abondamment, la phase finale arrive. Elle a empoigné ses deux merveilleux globes fessiers et tire les plus qu’elle peut dessus, son visage à même le sol, j’écarte un peu plus ses genoux avec mon pied et la cambre encore plus. Elle est en position parfaite pour son premier fist. Je réunis mes doigts en forme de pointe, je m’approche de ses grandes lèvres tout enduites de nos sécrétions intimes et les frottent dessus pour bien les lubrifier. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Elle va crier mais c’est pour mon plaisir avant tout et après le sien sûrement si elle arrive à se détendre après cette pénétration hors norme. Mes doigts s’enfoncent entièrement sans résistance, Leïla est plutôt détendue encore, je les tourne, fais des mouvements de piston que j’accentue au fur et à mesure. Je force une première fois, elle se raidit un peu, je reprends les rotations et force l’intromission en même temps. Elle grimace et sert de plus en plus son cul comme pour essayer de l’écarter au maximum. Je n’hésite pas plus, il faut que le prochain essai soit le bon. Je me rapproche d’elle et passe mon bras libre sous son ventre et je saisis son poignet opposé, je ressors ma main fisteuse légèrement et tout en la tirant vers moi, je force sa matrice d’un coup. Ma main entre entièrement à l’intérieur, je replie mes doigts pour fermer complètement le poing. Leïla crie de douleur et de surprise, son vagin vient d’accepter la chose la plus grosse jamais passée entre ses jambes hormis sa fille à la naissance. Elle a les jambes qui tremblent, si je ne la tenais pas elle serait déjà à plat ventre au sol. Je reste immobile un instant, le temps qu’elle reprenne un peu ses esprits.

— Vous m’avez déchiré, je ne sentirais plus jamais rien par-là !

— Ta gueule, salope ! Tu vas voir si tu ne vas plus rien sentir !

De colère je décide donc de la pistonner. Poing fermé j’amorce les va-et-vient qui deviennent rapidement de plus en plus violents. Je la pistonne et fais tourner mon poing dans ce vagin si accueillant et si chaud. Des clapotis obscènes résonnent dans le salon, Leïla hurle maintenant, des larmes coulent de ses yeux, elle a lâché ses fesses pour essayer de se retenir et ne pas trop bouger. Je m’en donne à cur joie, je lui mets littéralement des coups de poing dans le vagin, il est maintenant plus détendu, j’en profite pour sortir ma main et la replonger immédiatement après, je refais cette opération plusieurs fois pour bien faire comprendre à cette chienne que je suis son maître et qu’elle n’a pas le choix de son sort. A chaque sortie de cette dernière, j’admire ce trou outrageusement béant que se livre à moi. Je bande comme un âne. Je décide donc d’arrêter mon fist pour l’enculer à sec. Je sors donc ma main de sa chatte ravagée par mes assauts manuels, pour retirer mon pantalon et mon boxer. Leïla tombe sur le côté et se met en position ftale. Une fois à poil, je l’attrape par les cheveux et allonge son buste sur la table basse, son cul m’est offert. Je le claque par plaisir et approche mon gland de cette rosette si serrée par rapport au trou que je viens d’abandonner lâchement. Sa rosette réagit au contact de mon gland mais pas Leïla, elle est encore sous l’effet du fist et reste inerte sur la table. J’en profite, j’entre mon gland, pose mes mains sur ses hanches et d’un coup de bassin, ma colonne de chair rentre jusqu’à la garde dans son fondement. Action qui fait réagir ma soumise, elle relève la tête et ouvre la bouche en grand, la douleur est tellement vive qu’aucun son ne sort. Elle repose sa tête et s’agrippe à la table. Je me fis de sa douleur, seul mon plaisir importe. Il ne me faut pas longtemps pour me répandre dans son intestin, je me retire laissant s’écouler un filet de foutre brun et je m’assois sur le canapé proche d’elle.

— Nettoie-moi !

Elle tourne la tête, les yeux encore pleins de larmes.

— J’attends, vite !

Elle se redresse péniblement et se positionne entre mes cuisses, se saisit de ma bite à demi dure et commence à la lécher. Après quelques succions de nettoyage, je lui fais signe de s’arrêter.

— Bien, ça t’a plu cette séance ?

— Je sais pas trop, monsieur.

— Comment ça ! Tu n’as pas aimé que je m’occupe de toi ? Tu veux arrêter ?

— Non, non monsieur ! Je nai pas voulu dire ça !

— Alors tu as aimé ?

— Oui, c’est juste que je ne savais pas que ça allait être aussi intense ce matin. C’est tout !

— Ok ! Allez, vas te préparer on se revoit plus tard dans la journée !

— Vous partez ?

— Oui et de toute façon toi tu vas travailler, non ?

— Oui c’est vrai, je sais pas si je vais réussir à marcher mais je dois y aller.

— Bon alors ! Au fait, tu m’as fait plaisir aujourd’hui, tu peux me tutoyer à nouveau !

— Merci !

— Mais attention la prochaine fois on ne retourne pas en arrière, tu me désobéis encore je cesse tout avec toi ! Compris !

— Compris !

— Dernière chose, tu vas me donner un double de tes clés !

— Oui, mais pour quoi faire ?

— Simple tu es ma chienne, mon vide-couilles, ma chose, du coup j’y j’ai besoin de te baiser à n’importe quelles heures, je veux pouvoir entrer chez toi, te baiser et repartir sans réveiller ta fille ou d’attendre que tu m’ouvres !

— Ok, je vais te chercher les clés !

Leïla se lève difficilement et s’éloigne en boitant et laissant sur le sol des gouttes de ma semence. Je souris, fier de mon uvre. Quand elle revient dans la salle, je me suis déjà rhabillé, surprise elle me tend les clés.

— Au fait, dans la semaine, je vais venir installer des caméras, comme ça je pourrais te voir et te demander de faire des choses, même si je ne suis pas là et comme ça Delphine pourra aussi te voir te faire baiser par son mâle.

— D’accord, tu viens quand ?

— Tu verras bien. A très vite !

Je l’embrasse et pars sans me retourner vers la sortie. Sourire aux lèvres je monte dans l’ascenseur. Une fois dedans, je porte ma main au nez et sens ses effluves sexuels laissés par cette chienne maintenant complètement soumise. Je rentre à la maison, Delphine est déjà partie au travail, je lui envoie un message lui relatant tout la matinée et je file prendre une douche bien chaude. J’ai hâte de recevoir les caméras et de les installer.

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