Pourquoi jai signé ce contrat ?
Cette question me hante depuis 2 jours. Mais chaque fois, la même réponse me revient en mémoire : les factures à payer . Parce que je ne me fais pas dillusions. Non, sil ma embauchée, cest pour être sa pute. Mais comment jai pu en arriver là ? Ah bah oui, ces saloperies de factures ! Joublie vite décidément
Car oui, je préfère être une pute quune SDF. Et en étant un peu pragmatique, je vais avoir quelques avantages à retirer de tout ça : une sécurité financière, un confort de vie. Je dois être assez matérielle finalement, car depuis quil ma baisé la bouche comme on baiserait une poupée, je nai pas envisagé de faire marche arrière et de tout arrêter.
Allez, cest mon premier jour et je sens quil ne vaut mieux pas que je sois en retard. Et je sais quil faut que je me prépare consciencieusement. Petite jupe, haut sexy, talons et maquillage. Il va falloir être jolie sinon je nimagine pas comment ce salop me traiterait.
Me voilà arrivée à laccueil. Une secrétaire, Sarah, maccompagne jusquà mon poste de travail et mexplique les rudiments. Elle est enthousiaste et dynamique. Je me demande si elle se fait baiser elle aussi ? Je ne pense pas. Elle a lair trop normale pour subir ce genre de choses.
Lhorloge tourne et le stress me gagne de plus en plus. Je redoute le moment où mon patron va arriver. Jespère quil va me laisser tranquille aujourdhui au moins ! Puis ses mots me reviennent en mémoire Taimes ça sucer des queues hein ? Petite salope Avale tout sale pute !. Non, il ny a aucune chance quil soit gentil avec moi.
Le désespoir me gagne. La panique fait trembler mes jambes. Mais je me force à me calmer. Quelque part, jaimerais que tout ça soit fini, lattente est trop angoissante.
Comme si le destin lisait dans mon esprit, voilà que Franck, mon nouveau patron (et bourreau) entre. Il salue cordialement la nana qui ma aidé à minstaller et se dirige vers son bureau, juste à côté du mien. Je le vois arriver et son regard carnassier se pose sur moi.
— Bonjour mademoiselle… Rappelez-moi votre nom ?
— Elodie Valler.
— Oui !!! Ma petite Elodie ! Bon et bien, je vois que vous êtes connectée, super ! Je vais aller minstaller et hummm apportez-moi un café serré, je vous prie.
Le café. Ah bah oui, il ne faut pas sattendre à faire autre chose que la pute et lesclave bien sûr.
Je me lève et retourne voir Sarah pour lui demander où est la machine à café. Toujours aussi sympa, elle me montre tout et me voilà avec le café de mon patron en direction de son bureau.
Miraculeusement, je nen fais pas tomber une goutte. Je le dépose sur son bureau et mapprête à repartir.
— Jai encore besoin de vous. Fermez la porte, je vous prie.
OK, cest maintenant que ça commence. Voilà lidée qui me traverse la tête en fermant la porte de son bureau.
Ne sois pas timide voyons ! Approche-toi.
Je retourne lentement à son bureau en regardant le sol fixement.
— Alors, fais-moi voir ce que tas mis sous ta jupe
Je cherche du courage dans une profonde inspiration et je mexécute.
— Mouais. Pas terrible. Désormais je veux que tu portes des dessous très sexy. Des strings, de la dentelle, du transparent. Jadore ça ! Et montre-moi ton soutif. Retire ton haut.
Je fais ce quil me dit et continue de fixer le sol.
Ah oui, cest mieux là. Un soutif bien pigeonnant, jadore !
— Tes seins mont lair encore plus imposant ! Viens ici, allez assieds-toi sur moi.
Je contourne le bureau et massois sur ses genoux. Je me fais leffet dêtre une gamine, cest peut être un de ses fantasmes. Il sirote son café et retire mon soutien-gorge. Ses mains semparent de mes seins et les doigts sactivent à les masser et pincer les tétons. Ils étaient encore endoloris du traitement quil leur avait fait subir à lentretien et je grimace.
— Taime pas quand jte pince les tétons ? Dit-il en les tordant encore plus fort
— Aïe ! Non, jai mal. Arrêtez.
Il sactive encore plus à les maltraiter ce sadique, entre deux gorgées de café.
— Moi jadore les tétons. Je pourrais y passer des heures. Tu vas ty habituer, tu verras.
Puis il laissa sa tasse à café vide pour téter mes seins directement. Sa langue jouait, sa bouche aspirait, ses dents mordaient. Je restait immobile attendant la fin de mon traitement.
Ses mains nétaient pas en reste et palpaient tout mon corps. Lune delle commença bien vite à se frayer un chemin vers ma petite culotte. Il en écarta les bords et caressa mes poils pubiens.
Il me fit me lever pour masseoir au bord de son bureau. Ainsi, il pouvait plus librement prendre possession de ma chatte. Ses doigts se mirent en quête de mon clitoris quil masturba lentement. Au bout dun moment il introduisit un doigt dans ma fente et sourit en constatant que je commençais à mouiller. Javais envie de lui dire de ne pas semballer, que cétait une réaction mécanique uniquement, mais je me tus.
— Taimes ça petite salope ! Oui, taimes ça te faire doigter par ton patron, hein ? Sale garce, tu fais ta sainte nitouche, mais jvais te décoincer moi, tu vas voir.
Il accélère ses va et viens après avoir rentré un 2ème doigt. Sa bouche lâche enfin mes seins pour sécarter un peu et pouvoir mieux mater cette pénétration. Je vois à quel point ça lexcite. Il me fait bien écarter mes jambes. Je suis à sa merci.
— Ahhhh jen peux plus, faut que jte baise sale trainée. Allez retourne-toi sale pouffe. Tu vas voir ce que jvais te mettre, pétasse.
Il me retourne sans ménagement et plaque mon buste contre son bureau, retire ma culotte et place mon cul bien tendu vers lui. Jentends sa braguette et son pantalon qui descendent et dune grande poussée il menfonce sa bite au fond de mon vagin. Je savais quil allait y aller fort, mais la violence de cette pénétration ma fait lâcher un cri.
— Oh oui sale pute, putain cque tes serrée. Ah oui, cest trop bon de te bourrer la chatte ma salope. Ahhhh taimes ça avoue !
Et il me pilone comme un fou. Cest un animal qui me bourrine à grands coups de bite. La cadence est effrénée mais il ne finit pas vite comme je laurais espéré. Je sens ses couilles taper contre mon pubis chaque fois quil senfonce à fond dans ma chatte. Ses mains agrippent fermement mes hanches et me ramène contre lui pour senfoncer toujours plus loin. Je suis son jouet, sa poupée, sa pute.
Une de ses mains lâche prise pour me flanquer une grosse claque sur la fesse et le revoilà parti dans les insultes.
Sale chienne, taime ça te faire défoncer hein ? Oh oui petite trainée cest que le début, tu vas en bouffer de la queue.
— Ahhhh cque tes bonne. Prends ça sale pute. Voilà ce que tu mérites.
Et plus il me frappe le cul et plus il minsulte. Et plus il minsulte, plus il frappe fort mon cul. Sa bite tape au fond de mon vagin et toujours à fond. Mon corps nest que douleur.
— Ahhh putain jvais jouir sale putain. Viens là, jvais cracher sur ta gueule de salope.
Il sort de mon trou brusquement, me retourne sans ménagement et mimpose de me mettre à genoux juste à temps pour recevoir tout son foutre sur mon visage. Je sens ce liquide épais et chaud couler dans mon cou. Jen ai dans les cheveux. Je regarde ce pervers qui a vraiment lair dêtre en extase.
Je suis humiliée et honteuse. Après tout, jai accepté dêtre une pute, alors je tiens bon.