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L'envers du décor… – Chapitre 1

L'envers du décor... - Chapitre 1



Cette série est une série dérivée de "Première fois mutuelle", mais peut toutefois être lue indépendamment.

Qu’ai-je fait ! C’est ce que je n’arrêtais pas de me répéter sur le chemin qui me ramenait vers la maison. Qu’avais-je fait ? Rien d’autre que de céder à mes envies. J’avais du mal à le vivre après coup. Je l’aurais certainement mieux vécu si je savais ce que faisait Julien dans mon dos.

J’ai toujours eu l’image de la fille modèle. Même s’il m’est arrivé de me rebeller, j’avais toujours cette étiquette qui me collait à la peau. Gaëlle est douée à l’école, Gaëlle est jolie, Gaëlle est gentille, Gaëlle est ceci, Gaëlle est cela. Alors quand j’ai atteint l’âge des premiers amours, j’ai inconsciemment choisi un garçon qui collait avec ce qu’attendaient mes parents. Nous avons pris le temps de nous découvrir et il ne m’a jamais forcé, contrairement à ce qu’ont vécu certaines de mes amies. Julien est mon premier vrai petit copain. Les premiers baisers, les premières caresses… la première fois. Ce n’était pas une super première fois, mais j’ai apprécié que ce soit avec lui. La seconde fois fut bien meilleure. Et puis nous avons grandi. Etais-je amoureuse de lui ? Je pensais l’être. Mais quand je suis véritablement tombée amoureuse, j’ai refusé de le voir et j’ai lutté pour ne pas craquer.

Comme le prévoyait mon cursus scolaire, j’étais partie pour vivre en immersion totale chez ma correspondante britannique, Bethany. Vivre avec elle, aller à ses cours… Jusque-là, nous ne nous étions jamais vues, du moins pas en réel. Nous avions beaucoup échangé et nous avions beaucoup de points communs. Bien que cela signifie que je sois éloignée de Julien, j’étais très impatiente de pouvoir vivre cette expérience. Dès mon arrivée chez elle, je sentais que nous allions bien nous entendre. Comme moi, elle vivait encore chez ses parents le week-end et dans un appartement proche de sa fac la semaine. Elle partageait son appartement avec son frère jumeau, Peter, ainsi qu’Helen, sa meilleure amie.

Je ne sais pas pourquoi ni comment, mais dès que j’ai vu Peter, j’ai eu une sensation étrange. Comme une attirance irraisonnée, peut-être même un coup de foudre. Dès le premier soir, j’ai senti que je lui plaisais et je dois bien avouer qu’il ne me laissait pas indifférente. Mais, même si je ne me débrouillais pas trop mal en anglais, la langue était une barrière de taille pour exprimer clairement nos sentiments. De toute façon, j’étais en couple. Mais Beth avait bien compris, et dans sa chambre que nous partagions pour 3 semaines, elle m’a fait parler sur son frère. J’ai évincé le sujet comme j’ai pu, mais elle avait bien senti qu’il ne fallait pas trop me pousser pour que je succombe à son charme.

Du fait que Peter était dans la même promo que sa sur, cela m’a contraint de me rapprocher d’un étudiant de la mienne. Nicolas, qui me tournait autour depuis un certain temps et dont j’avais déjà repoussé plusieurs fois les tentatives. Il avait fini par comprendre et me laisser tranquille. Je craignais un peu que la promiscuité ravive ses envies, mais il a heureusement été très correct. Il faut dire qu’il y avait deux autres filles à regarder qui, elles, étaient beaucoup moins pudiques que moi. Beth se baladait souvent en petite tenue ou en T-shirt culotte. Quant à Helen, aller seins nus de sa chambre à la douche ou encore s’habiller sans fermer sa porte de chambre ne lui posait aucun problème, même avec la présence de Nicolas. J’espérais secrètement que Peter ait les mêmes habitudes. Je l’ai vu torse nu une fois où Nicolas était sorti de la chambre au moment où je passais dans le couloir.

Mais la promiscuité permettait également de belles soirées ! Nous discutions et nous nous amusions beaucoup. Je trouvais toujours un prétexte pour m’éclipser surtout quand les évènements prenaient une tournure intime, voire légèrement sexuelle. C’était principalement pour ne pas céder à mon attirance pour Peter que je ne voulais toujours pas m’avouer. J’ai tenté de la réprimer durant tout mon séjour. Il y avait une grande complicité entre les trois amis et nous étions très souvent ensemble avec Nicolas. Rapidement, Helen et lui se sont rapprochés… et même plus. Il n’était pas rare que j’entende des bruits de pas, la nuit, allant de la chambre des garçons à celle d’Helen. Au moins, Nicolas ne chercherait plus à me mettre dans son lit avant un bon moment. Au moins, ça détournait l’attention de Bethany sur mon amour aussi secret que naissant pour son frère. Ça aurait été certainement plus facile si je n’avais pas senti la réciprocité de mes sentiments pour lui.

Il était vraiment sympathique, bien plus que les mecs de ma promo que nous rejoignons de temps en temps. Peter ne semblait pas se soucier des autres filles qui avaient fait le voyage. C’était vraiment moi qui l’intéressais, et pas simplement le fait que je vienne d’un autre pays. C’était plutôt flatteur, mais ça n’arrangeait pas mon problème. Parfois, je me disais que personne n’en serait rien et que, de toute façon, on ne se reverrait plus après. Alors je me laissais séduire quelques instants sans pour autant céder à mes envies les plus profondes. D’autres jours, je luttais pour ne pas craquer. Est-ce pour cela que je n’arrivais pas à me dégager beaucoup de temps pour correspondre avec Julien ? Peut-être bien ! Dans un sens, ça m’arrangeait un peu, cela m’évitait de parler de Peter et de trahir mon trouble.

J’ai tout de même réussi à lui envoyer quelques messages très stéréotypés et à faire quelques courtes séances en webcam avec lui. De son côté, il ne m’assaillait pas de message non plus et quand il le faisait, il se plaignait un peu des attitudes provocantes de ma sur. Cela ne m’étonna pas, elle m’avait dit à plusieurs reprises que Julien lui plaisait beaucoup et avant de partir, elle m’avait même dit qu’en mon absence, elle prendrait bien soin de lui. En gros, ma petite sur voulait se taper mon copain. Il y a des jours où j’espérais qu’elle y soit parvenue, ça m’aurait déculpabilisée si je venais à craquer. C’est sans doute pour cela que j’ai pris le temps de contacter Julien avant de partir à une fête, quelques jours avant notre départ. Nous avons pris le temps de discuter un peu, mais je guettais des indices. J’ai cru en percevoir quelque chose et j’ai essayé de le faire parler. Il était un peu étrange, mais il m’a affirmé que tout allait bien avec ma sur.

Je m’étais sans doute fait quelques films, peut-être pour me déculpabiliser de regarder Peter comme une friandise. Peut-être qu’il s’était passé quelque chose entre Heidi et Julien, peut-être pas. Peut-être que c’était avec une autre… en tout cas, j’ai réussi à me persuader qu’il me cachait quelque chose. L’heure de la fête arrivait et j’avais envie de lâcher la pression.

Quand nous nous sommes préparées, Bethany m’a branchée un peu sur notre tenue. Qu’allions-nous mettre pour cette soirée ? Je n’avais pas trop envie d’être super sexy parce que certains mecs de ma promo se seraient certainement fait des idées. Déjà qu’en cours, ils ne se gênaient pas pour me faire des avances…

Cependant, j’avais envie d’être suffisamment jolie pour plaire à Peter et peut-être même plus si affinité. Qu’avais-je dans ma valise ? J’ai sorti beaucoup de vêtements, dont un top blanc crème qui plaisait bien à Beth. Je lui proposais de le passer, il lui allait très bien. Elle était vraiment magnifique et je lui ai dit de le garder pour la soirée. Son copain serait là et elle avait des idées beaucoup plus débridées que les miennes sur la fin de la soirée. Pour ma part, un simple caraco noir suffirait, il mettait bien ma poitrine en valeur, et puisque mes seins me le permettaient, je restais sans soutien-gorge. J’allais passer mon jean quand, voyant Beth en string, je me souvenais que j’avais emmené le petit cadeau de Julien. Certes, je n’allais pas mettre la nuisette, mais le string, lui, était tout à fait mettable pour la soirée. Pour finir, je mettais les talons que je m’étais offerts le week-end précédent.

Devant le miroir, Beth m’accrocha par la taille. "We are the most beautiful girls of the universe ! " Nous étions prêtes ! Beth prête à faire tomber son petit ami et moi, prête à me laisser tenter par l’éventualité d’un flirt hypothétique avec Peter. Juste avant de partir, Beth a fait une remarque sur mes fesses. Mes talons me donnaient une posture qui les mettait bien en valeur. "Pretty ass !" fit-elle en tapotant ma fesse droite. "If I were a guy I would like…" elle fit un mouvement d’il sans équivoque. Mais je n’étais pas prête pour ce genre de pratique et j’ai fait une grimace accompagnée d’un "Beurk !" qui a bien fait rire mon amie.

Quand je suis sortie de la chambre, j’ai eu plusieurs compliments de la part d’Helen. Nicolas n’a rien dit, mais son regard en disait long. Jusqu’à cet instant, je ne m’étais jamais rendu compte de mon charme. Je ne considérais les compliments sur ma beauté que pour de la séduction. Pour la première fois, je prenais conscience que c’était peut-être autre chose et que j’étais réellement jolie. Et j’ai eu confirmation quelques instants plus tard, quand Peter me trouvait vraiment très jolie et l’éclat dans ses yeux me troubla énormément. J’étais encore toute fébrile quand nous sommes arrivés à l’école de Bethany pour le début de la fête. Il y eut toute une partie très officielle avec discours et autres petits fours accompagnés de cocktails. Puis un repas au cours duquel, j’ai tenté une petite approche discrète vers Peter. Du moins, discrète pour ceux qui ne partageaient pas ma vie depuis presque 3 semaines. Helen et Beth ont eu un regard amusé. Je crois que les autres n’ont rien vu.

Et surtout pas Nicolas qui ne détachait plus son regard d’Helen.

Après la patrie officielle de la soirée, comme d’autres groupes nous sommes allés au pub. Nous y avons rejoint Aiden, le copain de Beth, qui nous y attendait. Bethany et lui se sont embrassés longuement avant qu’elle ne commence son jeu de séduction. Peter, lui, a continué le sien avec moi. L’alcool aidant, j’ai commencé à craquer. Jusque-là, j’avais réussi à garder mes distances malgré mon approche ambiguë. Je m’étais ravisée, mais l’alcool venait de briser mes barrières. Volontairement ? Disons que je me suis cachée derrière mon ébriété pour me laisser séduire. Tout s’est fait progressivement et peu à peu, je me laissais envahir par ce que je refusais d’admettre depuis presque 3 semaines. Cette attirance étrange et incompréhensible dont on ne se sait pas d’où elle vient…

Alors que j’essayais encore de lutter contre elle, j’ai regardé autour de moi et je me suis aperçue que certaines personnes, dont je savais être en couple, se laissaient aller aux probables liaisons d’un soir. J’ai même vu un couple séduire et être séduit chacun de leur côté. Alors pourquoi pas moi ? Je n’avais connu que Julien et Peter me plaisait beaucoup. Et puis, Julien avait certainement cédé aux charmes de ma petite sur… ou d’une autre… ou des deux…

Donc quand Peter effleura mon pied avec le sien, je lui ai fait un sourire plus coquin que gêné. Et quand il posa sa main sur ma cuisse, j’ai posé ma main sur la sienne. C’était un moyen de garder un minimum de contrôle, mais aussi un moyen d’éviter qu’il ne m’embrasse devant tout le monde. S’il était comme sa sur, il aurait pu commencer à me caresser de partout et je n’étais pas encore tout à fait sûre de vouloir m’offrir.

A la sortie du pub, Bethany a proposé qu’on aille danser avec les autres. J’adorais ça alors j’ai accepté. Mais Helen a proposé qu’on aille à leur appartement. C’était assez grand pour 6, on pourrait mettre la musique que l’on voulait et aussi fort que l’on voulait. Et une fois arrivés, nous avons repris un peu d’alcool. Nous étions tous bien imbibés quand nous avons commencé à danser. J’ai aimé le rock avec Aiden, je me suis amusée avec Beth et Helen, allant presque jusqu’à nous embrasser par moments. J’ai grandement apprécié le cours de danse avec Will et le duo acrobatique avec Nicolas. Et ce slow que je n’oublierais jamais. Helen et Beth étaient déjà avec leur copain respectif et je me suis retrouvée rapidement dans les bras de Peter. Je n’aurais pu rêver mieux ! Mon regard coquin était revenu dès que j’avais accepté son invitation.

Peter et moi étions le seul couple qu’on pouvait qualifier d’illégitime. Ça s’embrassait de tous les côtés et je rêvais de la même chose avec mon cavalier.

Au départ, les trois couples étaient proches et, de manière tout à fait naturelle, les couples légitimes se sont éloignés chacun de leur côté. Alors j’ai arrêté de m’occuper des autres pour me laisser aller. Aussi, quand Peter m’a serrée un peu plus contre lui, j’ai posé la tête sur son épaule. Ses mains dans mon dos sont descendues sur mes hanches, un peu à l’arrière. Je me sentais bien. Et, quand il m’a dit "I love you, Gaëlle !" je l’ai regardé tendrement en espérant qu’il m’embrasse. Il n’a pas tardé à le faire et j’ai répondu favorablement. C’était tellement agréable de se sentir désirée par celui qu’on aime ; alors quand Peter a passé sa main sur mes fesses, je l’ai laissé faire. Je l’ai même encouragé à continuer en lui caressant le dos pendant notre baiser.

Notre baiser n’a cessé que quand Peter s’est arrêté de me caresser les fesses pour tirer sur mon caraco pour le sortir de mon jean. "Awesome French kiss !" Je savais ce qu’il voulait et j’étais toute disposée à lui offrir s’il en faisait la demande. Moi-même, j’en aurais été incapable même si j’aurais tout fait pour y arriver. En attendant, je le laissais m’embrasser et passer une main dans mon jean pour caresser mes fesses. Comme j’avais mis mon string, il a pu le faire au sens littéral. "Gaëlle… I’m fancy you !" C’était dit ! En temps normal, je ne lui aurais pas laissé faire le dixième, mais là j’étais dans une disposition toute particulière, l’alcool me retirant toute culpabilité vis-à-vis de Julien. J’étais en manque de tendresse et, moi aussi, j’avais envie de lui. J’étais bien heureuse, et j’avais envie de m’offrir pour connaître le grand frisson. Oui, j’aimais Julien et j’aimais la complicité que nous avions dans les moments intimes, mais j’étais amoureuse de Peter.

Et puis, je dois bien avouer que Julien n’a jamais été l’amant du siècle.

A cet instant, je crois que j’étais assez désinhibée pour m’offrir totalement à Peter, sans aucune retenue. Cependant, du fait que je suis un peu éméchée, je n’étais pas tout à fait sûre de ce que j’avais compris. Peut-être qu’il en pinçait simplement pour moi, même si sa main dans mon jeans qui me caressait de plus en plus intimement ne laissait aucun doute. "Do you mean… you want to make love… to me ?" Peter commençait déjà à m’embrasser dans le cou et à tirer le tissu de mon haut pour passer son autre main sur mon ventre puis sur mes seins. "You turn me on, Gaëlle… mostly without bra !" Un peu forcée ? Non, totalement consentante malgré mon ébriété. Excitée par la situation et son initiative, je commençais à mon tour à tirer sur sa chemise pour passer mes mains dessous. Je sentais mes seins pointer sous les caresses de Peter et mon string déjà s’humidifier plus que de raison. J’avais envie qu’il aille plus loin, qu’il en fasse plus, mais j’étais si anxieuse.

Un peu comme une première fois. Je tournais la tête vers Beth et Aiden. Ils étaient dans le même mode que nous, tout comme Helen et Nicolas qui se dirigeaient doucement, mais sûrement vers la chambre que Peter et Nicolas partageaient. Un peu rassurée, j’ai à nouveau embrassé Peter. "You too… you turn me on !" J’avais à peine terminé ma phrase que je sentais Peter titiller mon anus, ce qui me fit frissonner. J’avais de plus en plus envie de lui. "Peter… would you like untie my pants ?" Il m’appuya contre le mur et dégrafa mon jeans sans me le retirer pour autant. Juste pour dégager ma taille. Il en profita tout de même pour me retirer mon caraco et m’embrasser les seins. De mon côté, je profitais qu’il soit penché pour détacher sa chemise et la lui retirer pendant qu’il caressait et embrassait agréablement ma poitrine. « I love your breasts, honey ! » Mes seins pointaient dans sa bouche et c’était véritablement délicieux.

Je tournais la tête vers les autres couples, comme pour me rassurer. Les filles avaient rejoint une chambre leur copain. Helen et Nicolas avaient la porte entrouverte et on pouvait entendre qu’elle prenait un certain plaisir. Beth aussi, à la différence qu’avec la porte entièrement ouverte nous avions le son et l’image ! J’étais rassurée. Quoiqu’il se passe entre Peter et moi, il n’y aurait pas de témoin gênant. Alors, quand il m’embrassa à nouveau en passant sa main dans mes cheveux, je me mis à fondre d’envie en le prenant dans mes bras. "I love your lips !" Quel charmeur, mais j’avais besoin de ça pour me détendre. Pour lui montrer mon consentement, et profitant que mon jeans soit bien ouvert, j’ai frotté mon string sur la bosse qui déformait son pantalon. "Oh Peter… you have… an erection !" Le sourire aux lèvres, il commençait à nous faire aller vers le canapé "Yes… you make me hard, girl." Jusque-là, nous pouvions encore apercevoir Beth et Aiden, en 69 sur le lit.

Puisque la seule chambre encore libre était celle d’Helen et que je ne mimaginais pas m’offrir à Peter dans le lit de mon amie, sur le canapé, ce sera plus intime.

Je savais comment tout cela allait se terminer et j’en avais envie autant que lui. Pas parce que j’étais alcoolisée, pas parce que j’étais en manque d’amour et de tendresse, mais bien parce que Peter me plaisait beaucoup et aussi (et surtout) parce que je voulais réellement m’offrir à lui. Il me plaisait depuis la première fois où je l’avais vu et je ne peux pas m’expliquer cette attirance que je n’avais pas voulu admettre jusque-là. J’avais lutté depuis le début contre cette envie, parfois de toutes mes forces. Cette soirée et ces quelques verres m’avaient fait craquer et l’heure n’était pas aux regrets… bien au contraire. Mais un éclair de lucidité a bien refroidi nos ardeurs. Alors que j’étais à demi allongée sur le canapé avec Peter dans mes bras et que nous étions en train d’échanger une longue série de baisers, je lui posais une question à l’oreille.

C’était également un moyen de lui signifier mon envie qu’il me fasse l’amour. "Peter, do you have… a condom ?" Peter blêmit, se releva et s’assied à côté de moi.

You don’t take the pill ?

No… I don’t.

So, I suppose you don’t want make love without condom.

No… I don’t want to be pregnant.

I understand… Damned !

It’s OK Peter, don’t worry. It doesn’t stop us from taking pleasure.

Un peu frustrée, mais bien décidée à ne pas m’arrêter là, je lui détachais son pantalon avant de passer mes mains dans son caleçon. "Gaëlle, what do you do ?" Je libérais son érection qui avait, me semblait-il, perdu de sa robustesse durant notre discussion. Puis je retirais sensuellement mes chaussures avant de m’agenouiller devant lui. Alors que je le masturbais doucement, Peter retrouvait sa vigueur. "Oh ! You don’t will…" Si j’allais… Et le regardant dans les yeux, je le lui confirmai en français. "Oui ! J’ai envie de te faire ce plaisir." Je déposais quelques baisers sur la longueur de son membre tendu avant de le prendre délicatement dans ma bouche. "It’s so good, sugar !" D’abord le gland, doucement. Je le prenais bien dans ma bouche et revenais en aspirant légèrement, m’attardant sur la pointe. Puis je recommençais sous les gémissements de plaisir de mon amant.

J’ai varié les plaisirs, ne prenant qu’un côté de son sexe tendu d’envie pour moi, puis l’autre côté, je le frottais à l’intérieur de ma joue, je donnais des coups de langue tout en prenant sa hampe à la base avec ma main. De temps à autre, je le léchais, je l’embrassais ou je le frottais de mes lèvres. Je n’ai pas cherché à le prendre profondément dans ma bouche, mais j’ai plutôt essayé de ressentir le plaisir de mon amant et c’était beaucoup plus plaisant que le mouvement mécanique que m’imposait Julien. Je salivais dessus, je l’effleurais du bout des lèvres et les gémissements de Peter me satisfaisaient autant qu’il faisait monter mon désir. Alors j’accélérais un peu, ne prenant guère plus que son gland dans ma bouche et toujours en l’effleurant de mes lèvres. Je m’arrêtais de temps à autre pour y déposer un baiser ou donner un coup de langue.

Sa main dans mes cheveux fut, pour moi, un encouragement et c’est de moi-même que j’ai commencé à amplifier le mouvement et le prendre d’une bonne moitié dans ma petite bouche déjà bien pleine. C’était vraiment très excitant et je le prenais de plus en plus dans ma bouche. Sa main est passée de mes cheveux à mes épaules, puis à mes seins alors que je commençais à lui caresser les testicules. J’étais vraiment folle d’envie et j’ai eu un petit haut-le-cur quand je l’ai eu entièrement dans ma bouche. Je l’ai ressorti rapidement et j’ai toussoté quelques instants.

Le temps de me remettre de cette sensation un peu désagréable et j’ai recommencé à prendre Peter entre mes lèvres. Doucement, effleurant à nouveau juste le gland pendant qu’il titillait la pointe de mes seins du bout des doigts. C’était comme une invitation. Je n’avais jamais pris autant de plaisir à faire une fellation. Avec Julien, c’était surtout pour lui faire plaisir. Son impatience faisait que je n’avais jamais été libre de lui faire ce que je voulais comme je le voulais. Là, Peter m’avait laissé faire et j’avais vraiment apprécié qu’il me laisse le temps de ressentir le plaisir que je lui procurais. Ça m’avait beaucoup excitée et s’il avait décidé d’éjaculer dans ma bouche, je l’aurais certainement laissé faire. Certes, nous ne pouvions pas faire tout ce que nous voulions, mais cela ne nous empêchait pas de prendre du bon temps. Alors j’ai aspiré un grand coup en sortant ce sexe dur de ma bouche pour le loger entre mes seins.

J’ai commencé à le faire coulisser, assez maladroitement je dois le reconnaître. Peter avait tout de même l’air d’apprécier. Avec ma salive, ça glissait tout seul et c’était très plaisant à faire. Je crois que pour la première fois de ma vie, je prenais autant, sinon plus, de plaisir que mon amant durant cette pratique.

J’avais envie de rendre Peter fou de désir. Aussi, je me relevais et fis glisser aussi doucement que sensuellement mon pantalon le long de mes hanches. Je le retirai en remuant légèrement des fesses et revint me frotter agréablement contre Peter en le chevauchant. "You’re wonderful, my lovely French girl !" En l’embrassant langoureusement, je m’amusais à frotter sa queue dure contre mon string mouillé d’excitation. Notre respiration en disait long sur le plaisir que nous prenions durant nos jeux complices. Peter me caressait le dos et les fesses alors que ma poitrine frottait délicieusement contre la sienne. C’était vraiment très agréable. Il fallait juste faire attention à ne pas succomber à cette envie irraisonnée de s’offrir l’un à l’autre. Chose difficile à tenir, car je pouvais sentir son sexe dur et tendu frotter contre ma toison humide malgré le tissu.

Peter semblait apprécier tout autant que moi. "Nice pussy… so wet !" Je n’ai pas pu m’empêcher de lui répondre "It’s your fault !" ce qui l’a fait rire. Mais déjà, nos mouvements se faisaient dangereux et je sentais Peter écarter doucement mes lèvres intimes avec sa hampe et se frotter d’un toujours délicieux mouvement. C’était bon, j’avais envie de craquer et d’écarter mon string pour lui ouvrir l’accès. Je pense que son désir était aussi fort que le mien et c’est sans doute pour cela qu’il me souleva pour m’asseoir sur le canapé avant de peser lourdement sur moi en m’embrassant. "I want to cover you with kisses, my love !" C’était une véritable déclaration et j’avais, moi aussi, envie de lui crier mon amour.

Sûrement pour ne pas me mettre mal à l’aise, il a fait ce qu’il voulait faire, couvrir mon corps de baisers. J’appréciais énormément le soin que mon partenaire de jeu prenait pour déposer ces baisers. Dans mon cou, sur mes épaules, mes seins, mon ventre, mes hanches, mes cuisses… qu’il releva… en embrassant l’intérieur pour remonter… jusqu’à ma toison… qu’il couvrit de baisers également. J’en frissonnais d’un désir humide. Puis il posa ses mains sur mes hanches et agrippa mon string. Il commença à le baisser et s’arrêta à la moitié de mes fesses. "You’re agree for…" Je l’ai embrassé avant de lui répondre.

Yes, I am… if you don’t try to make me love !

You don’t want to try… without condom ?

Oh si… mais il ne faut pas !

What do you say ?

Nothing ! Just… took off… my… I would like to be nude in your arms.

Je suis sûre qu’il avait compris. Il parlait un peu français malgré ce qu’il disait. Quoi qu’il en soit, il finit de me retirer mon string. Aussi nu l’un que l’autre, nous comptions bien continuer à prendre du plaisir et à en donner à l’autre. Assez vite, il se mit à me caresser et me donner des coups de langue agréable. J’ai rapidement senti le plaisir monter encore un peu plus et je le poussais à continuer en murmurant une série de "Oh yes !" En peu de temps, ses caresses et ses coups de langue conjugués me firent perdre la tête. Je sentais l’orgasme arriver et j’en étais heureuse. "Yes… lick my… my…" Je n’arrivais pas terminer ma phrase tellement j’avais le souffle coupé par ce plaisir grandissant qui m’envahissait avec une puissance rare. "Your juicy pussy ?" Effectivement, je dégoulinais de plaisir tant les ondes de plaisir qui commençaient doucement à parcourir mon corps étaient agréables.

Peter en profita pour accentuer un peu sa caresse et commencer à immiscer son index en moi. J’aimais sa douceur, c’était beaucoup agréable que la manière de faire de Julien. Bientôt, son majeur prit le même chemin. Agréablement, ses doigts allaient et venaient en moi, allant un peu plus profondément à chaque fois, insistant agréablement sur certaines zones. Peter prenait son temps à faire monter mon plaisir et cela me rendait encore plus folle d’envie. Je commençais à me dire que s’il me donnait autant de plaisir avec sa bouche et ses doigts, il devait être un bien meilleur amant que Julien. J’avais vraiment envie de le laisser me prendre, même sans préservatif. Mais la raison était encore la plus forte. Alors pour éviter d’y penser, je me suis laissée envahir par ce plaisir. Oui ! Fais-moi l’amour avec tes doigts… continue ! Mon orgasme fut puissant, bien plus que tous ceux que j’avais connus jusque-là dans mon couple. Même seule, je n’avais jamais atteint de tels sommets.

Un plaisir immense tant j’ai ressenti une série de puissantes ondes de plaisir venir du creux de mes reins pour envahir le reste de mon corps au rythme des battements de mon cur. Et il battait très fort et très vite. Prise de spasmes agréables, j’ai senti des tremblements incontrôlables dans mes jambes comme si mon corps se relâchait dans un bien-être indescriptible ! Un moment de pur plaisir comme jamais je n’avais osé imaginer, comme si je formais un tout avec ce qui m’entourait ! Une véritable explosion des sens où je me suis même sentie gicler de bonheur dans un râle silencieux…

J’ai eu du mal à reprendre mes esprits. Et j’ai perdu un peu la notion du temps et des choses. J’avais tellement pris de plaisir, ça avait été tellement intense que j’étais trempée comme jamais. Je l’étais jusqu’aux fesses. D’ailleurs, alors qu’il m’embrassait, Peter commença à me les masser, puis à titiller mon petit trou. Tout ce que Peter me faisait était agréable, même ça. De son pouce, il frottait mon petit bouton à plaisir, encore sensible. "You’ll make me crazy, again !" Et alors que son index commençait à entrer dans mon anus qui semblait s’ouvrir pour l’accueillir, il me répondit d’un "Yes… I love make you crazy about pleasure !" Je commençais à soupirer à nouveau profondément et alors que Peter commençait à me doigter doucement le cul, sa deuxième main s’occupait de… my juicy pussy ! C’était vraiment bon et j’avais envie de plus, beaucoup plus.

Je ne pensais pas prendre du plaisir par-derrière et une fois de plus, je repensais au fait qu’il était probablement un excellent amant. "Oh it’s so good… yes… oui… Oh oui…" J’avais de plus en plus envie de lui, j’avais envie de m’offrir complètement, de tout mon corps, de tout mon amour que j’essayais encore de réprimer…

Si étrange que ce soit, j’ai apprécié son deuxième doigt et j’ai commencé à avoir un mouvement lui faisant faire un agréable va-et-vient des deux côtés de ma personne. "Oh my god !" C’était étrangement bon et d’un coup j’avais envie de plus… j’avais envie de connaître le plaisir (ou la douleur) que l’on ressent quand notre amant… Mais je n’osais pas demander. Timidité, préjugés personnels… je ne saurais le dire. Quoi qu’il en soit, je continuais à bouger sur ses doigts qui fouillaient mes entrailles, les enfonçant moi-même au plus profond de moi par mon mouvement de hanches. "Sweety Gaëlle… I wish take your… anal virginity… if you agree to offer me it !" C’était si élégamment demandé… comment refuser. Ce qu’il me faisait n’était pas désagréable et j’avais vraiment envie de répondre favorablement à sa proposition. Etais-je vraiment prête à lui offrir cette partie de mon anatomie ?

En même temps, il avait été tellement doux, tellement précautionneux, tellement attentif, tellement… s’il devait y un avoir un premier autant que ce soit lui. Pourtant j’avais peur de dire oui, même si j’en mourais d’envie. "I don’t know… I… I’m not… I have never done… there !" Peter m’embrassa agréablement alors que ses doigts continuaient sa progression avec une délicieuse douceur. "Don’t worry… if it isn’t nice, I will stop." Comme Peter corrigea un peu ma position pour que je sois plus à mon aise, j’ai ressenti une vague de plaisir qui m’arrache un soupir sans équivoque. Peter sortit alors délicatement ses doigts de mon cul ouvert. La sensation de vide me laissa une impression étrange alors qu’il frottait son sexe dur sur ma toison trempée, comme pour se lubrifier. Puis il fit glisser sa pointe entre mes fesses jusqu’à l’entrée de mon anus ouvert et prêt à l’accueillir.

Il s’y frotta un peu en attendant mon autorisation, commençant tout de même à entrer par moments avant de ressortir. "You seem to appreciate… do you want try more ?" J’étais là, sur le dos, offerte et consentante, cuisses écartées… je n’avais qu’une phrase à dire pour assouvir ce dernier désir. J’ai bredouillé un truc incompréhensible en français, paniquée que j’étais. "Euh… oui, enfin… peut-être…" Peter eut un sourire avant de m’embrasser. Je le sentais entrer doucement en moi et ce n’était pas désagréable. "You go gently… please !" J’avais réussi à donner le feu vert et j’ai vu le visage de Peter s’illuminer. "Don’t worry, my love. It will be fine…" Peter m’embrassa et je sentais déjà sa queue surinvestir mon cul crispé par la peur.

Peter entrait doucement en moi tout en m’embrassant et me caressant. Je crois que le fait qu’il joue avec mon petit bouton m’a aidée à me détendre et à lui ouvrir le passage un peu plus. C’était tout même difficile et comme je suffoquais un peu, Peter me demanda si tout allait bien. "It’s… strangely pleasant !" Alors il a continué sa progression et bientôt, son gland entra en totalité en moi. J’ai tressailli à ce moment, poussant un petit cri de douleur malgré la précautionneuse douceur de mon amant. Peter s’est arrêté, attendant un peu que je m’habitue. J’ai poussé un soupir de soulagement accompagné d’un sourire quand la sensation de brûlure fut passée. "We can continue, Peter !" Peter m’embrassa avant de commencer un doux mouvement de va-et-vient, allant un peu plus loin à chaque fois. Doucement, tendrement, presque agréablement il s’enfonçait en moi.

You’re so tight, my sweety love !

You’re so large… inside my big ass.

Your ass is wonderful… and… it’s making me happy.

Only my ass makes you happy !

Your ass, your mouth, your body… all of you !

I prefer… you’re a lovely and wonderful boy !

Are you fine ? You frown !

Je crois que parler pendant l’acte m’avait certes aidée à me détendre, mais en même temps, cela fait que Peter était entré un peu trop vite en moi pour que ce soit agréable. Il devait être d’une bonne moitié en moi et la douleur commençait à se faire sentir, alors oui je grimaçais un peu malgré mon envie et sa douceur.

It’s good but it’s a few painful.

Do you want stop ?

No, I don’t… we can continue a few.

You’re sure ? I can cum inside your ass if you prefer stop.

You want cum now ? Inside me ?

It would be an honor.

May be between my breasts but not in my ass… it hurts !

OK, girl… you want we stop ?

It was good at the beginning and I’m happy but now… yes, stop please.

Peter est ressorti doucement, en prenant soin de ne pas me faire plus mal. Il y parvint sans trop de difficulté. Je soufflais tout de même, car, si bonne avait été cette première expérience, je n’étais pas encore prête pour cette pratique. Peter s’est laissé tomber sur le dos. Je ne lui ai pas laissé le temps de réagir et je me suis penchée sur lui pour le prendre entre mes seins. Comme pour la fellation, il m’a laissée faire et c’était très plaisant. Le caresser doucement avec la pointe de mes seins, le faire glisser entre eux, resserrer les épaules pour mieux le sentir…

Peter en gémissait de plaisir et moi, j’avais une respiration forte, tant cela m’excitait. De temps à autre, je m’arrêtais pour embrasser son érection, voire même la lécher ou la prendre dans ma bouche. Puis j’ai senti Peter proche de l’extase alors je l’ai laissé prendre les choses en main. C’était loin d’être désagréable, même si j’avais l’impression d’avoir de la gelée à la place des seins tant il s’activait entre eux. Rapidement, je l’ai senti frémir, et d’un coup, je l’ai entendu grogner. "Oh Honey… I’ll cum for you !" J’ai regardé Peter dans les yeux en lui souriant. Je pouvais voir son plaisir dans son regard. J’ai été surprise par le premier jet qui est parti au-dessus de ma tête et j’en ai eu dans les cheveux. Alors que je m’exclamais d’un "Wahou !" la seconde saccade est partie. Ce coup-ci, j’en ai eu sur le visage et un peu m’est arrivé dans la bouche. J’en ai eu à nouveau dans les cheveux. Les jets suivants m’ont arrosé le cou, les seins et un peu le ventre.

Je restais béatement à regarder Peter, la bouche ouverte avec un peu de sa semence sur la langue. J’avais beaucoup d’appréhension sur le goût, en fait c’est surtout la texture qui me dérangeait. J’ai attendu que Peter me sourit avant d’avaler. J’ai grimacé et mon expression l’a fait rire. Encore une fois, c’était surtout la texture plus que le goût qui m’écurait.

Nous sommes restés quelque temps enlacés dans les bras lun de l’autre sur le canapé, mais le temps de se rhabiller est venu rapidement. Je me suis essuyée un peu comme j’ai pu. J’ai remis mon string, puis mon jeans. Puis j’ai fait quelques pas pour récupérer mes chaussures. "You’re so beautiful, my love !" J’ai souri à Peter pour le remercier de ce compliment. Déjà, une sensation amère s’empara de moi quand j’ai passé mon top. Je luttais contre ma mélancolie grandissante alors que je m’approchais de Peter, je sentais des larmes poindre au fond de moi, des larmes de tristesse. J’ai embrassé Peter tendrement, peut-être pour la dernière fois. Il me restait trois jours et je ne savais pas si j’allais pouvoir tenir face à ce désir irraisonné de m’offrir complètement à lui. Oui, j’étais amoureuse de lui, j’en étais sûre. Mais mon éducation faisait que je ne pouvais pas quitter Julien. Déjà, cette soirée était une belle entorse à mes principes.

Helen et Nicolas sont arrivés peu de temps après. Cela m’a évité un face à face avec Peter. Puis ce fut Beth et Aiden. J’ai repris mes distances avec Peter même si tout le monde devait se douter que nous n’avions pas joué aux cartes en les attendant. D’ailleurs, j’avais encore un peu de sperme dans les cheveux. Beth m’a fait un signe pour me l’indiquer, mais tous ont eu la délicatesse de ne faire aucun commentaire. Je ne regrettais pas mon écart, loin de là. Mais je commençais à culpabiliser vis-à-vis de Julien. Qu’ai-je fait ? La question commençait à me hanter sérieusement.

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