« Nos positions d’enculage sont variées, reprit Jasmine. La levrette permet une bonne pénétration, profonde et jouissive, surtout quand mes fesses sont bien écartées. Tantôt je me positionne comme toi hier soir, en soumission totale. D’autres fois nous restons debout et mon amoureux me couche sur la commode. Ses poussées sont plus fortes alors car je peux m’agripper au meuble et résister à la pression de son organe dans mon derrière. Il me tient alors le popotin bien ouvert et je sens sa grosse bite jusque dans mon ventre.
« Mais sa position préférée est sans contredit celle du missionnaire. Ton père adore me faire face et observer mes expressions et ainsi que mes réactions. Cela commence toujours de la même manière : il m’embrasse d’abord langoureusement, je suis couchée sur le dos, lui se trouvant au-dessus de moi et s’appuyant sur ses bras et sur ses genoux posés entre mes cuisses. Il me baise dans le cou en m’observant du coin de l’il. Ma vue commence à s’embrouiller alors que je fixe le plafond.
« Ton père avale mes seins un après l’autre et après les avoir essuyés de sa grosse langue, il descend explorer mon ventre qui frétille déjà d’excitation. Mes genoux sont légèrement pliés. Je sens ma mouille qui coule déjà sur mon anus et dans ma raie. Ça me chatouille énormément. Se repositionnant, la langue gourmande est maintenant dans mon conin, pendant que mes doigts passent et repassent dans sa chevelure noire et bouclée. Je me demande comment il se fait qu’il ait encore tous ses cheveux tellement j’ai l’impression de les arracher par moment!
« Doucement, il me prépare à la pénétration anale. Quand je le sais d’avance, je me prépare en conséquence, mais comme c’est souvent une surprise, on s’attend, disons, à des petits imprévus, poursuivit Jasmine en ricanant. Ton père me lève alors les jambes que j’agrippe avec mes bras afin de bien exposer ma rondelle. Sa langue douce et charnue s’applique à travailler mon petit trou qui s’ouvre graduellement. Déjà je ne me contiens plus, anticipant la suite.
« Enduit de cyprine et de salive, un doigt est introduit en explorateur. Je le sens titiller l’intérieur de mon anus qui frétille de plaisir. Quand le passage semble libre, on passe à l’étape suivante. Dans le cas où le doigt détecte la présence de matières indésirables, mon amoureux m’invite délicatement à faire le ménage. Dans les premiers temps, cela me gênait, tu ne peux t’imaginer comment! Expulser ces choses immondes, dans mon lit, devant mon amoureux, me donnait carrément l’impression de l’insulter plutôt que de lui plaire. Mais Jérôme tournait l’exercice en jeu en me disant que si je ne m’exécutais pas, il ferait la job lui-même, à la main. Donc, il me graissait généreusement l’anus et m’invitait à pousser tout doucement. Je gardais mes jambes en l’air, ce qui facilitait la chose. Ton père attendait avec des tissus absorbants à la main. Je dois te dire que c’était beaucoup plus agréable qu’un accouchement! C’était une véritable jouissance anale et psychique. Je fantasmais en m’imaginant que le monde entier me voyait faire. Humiliation totale, abandon, laisser-aller, perte de contrôle. Le nettoyage complété, on reprenait rapidement nos ébats. »
Sophie écoutait silencieusement, en souriant. De toute évidence, elle se laissait transporter par le récit de sa mère.
« Le pénis de ton père est tout à fait spécial, pour ne pas dire unique. Je peux te l’affirmer même si je n’ai pas connu d’autre homme. Quand il saisit mon trou de derrière, je ressens une sensation de plénitude et de bien-être qu’aucun gode ne m’a encore procurée. C’est chaud, envahissant, frétillant et surtout vivant. Son éjaculation est abondante et les secousses en sont ressenties jusque dans mon ventre. Ma jouissance vient plus rapidement quand je stimule mon clitoris mais tôt ou tard, l’extase anale finit toujours par me gagner. Ton père prend alors plaisir à me regarder gémir et jouir alors qu’il se décharge dans les parties les plus cachées et interdites de mon corps. »
Sophie ouvrit sa robe de chambre et en observa le fond tout imbibé de mouille. Une petite gêne la saisit, elle qui était pourtant connue pour ne pas être attirée par les mâles.
« Wow, dit-elle à sa mère, tu dois être la femme la plus comblée au monde. Je suis vraiment heureuse pour toi.
– Ton père, reprit Jasmine, a un désir sur son cur. Tu pars demain, de tes propres ailes, et ta vie avec Alicia n’appartiendra qu’à vous deux. Cependant, il aurait aimé te faire vivre, probablement pour la seule et unique fois de ta vie, l’expérience d’un vrai mâle et d’un vrai pénis.
– Mais Maman, répondit celle dont l’anus venait tout juste d’être défloré, tu sais que je ne suis pas attirée par les hommes. Ils sont pleins de poils partout, je les trouve grossiers et aucun d’eux n’aura jamais la douceur et la tendresse d’une femme.
– Tu as raison pour le premier argument mais crois-moi, le reste ne s’applique pas à Papa. Tu le connais aussi bien que moi, il est délicat, respectueux, et il m’a promis d’être le plus doux possible avec toi. Il te l’offre pour ta sécurité, avec lui tu ne cours aucun risque. Il t’attend ce soir, dans notre chambre.
– Lors de ton récit au sujet de la maladie de Papa, j’ai eu compassion pour lui. Et il a toujours été un bon père pour moi. J’ai été choyée d’avoir deux bons parents pour bien partir dans la vie. Alicia n’a pas eu cette chance. »
Après quelques secondes de silence :
« J’irai vers Papa, et je me donnerai à lui, si tel est son désir. Je vous dois tant à tous les deux. »
Sophie se reprit aussitôt :
« J’ai ma partie de volley-ball cet après-midi. Alicia compte sur ma présence. Tu sais qu’elle est en nomination pour le titre de capitaine de l’année? Je n’aurai probablement pas le temps de me rafraîchir.
– Peu importe, répondit Jasmine. Ton père te prendra telle que tu seras. L’odeur de transpiration féminine a toujours excité Jérôme. Il en sera plus que ravi.
– Mais Maman, je voudrais que tu m’accompagnes. S’il te plaît, ne sois pas loin.
– Oui, ma puce, je serai là. Tu auras probablement besoin de moi encore cette fois. »
Cette dernière parole maternelle eut tous les effets chez Sophie, sauf celui de la rassurer. Elle venait cependant de donner sa parole, et Soph n’avait qu’une seule parole.
(À venir: La méchante blague de Jérôme)