Mon mari est professeur. Il a ça dans le sang l’enseignement. Parfois, lorsque je me sens d’humeur taquine, je lui chuchote à l’oreille qu’il serait la personne ideale pour combler un de mes fantasmes. Voyez-vous, je reve de me delecter du sexe moite d’une belle demoiselle et que ce soit un homme qui m’enseigne l’art de la faire fremir de plaisir. Timide de nature, pas question de me lancer a la recherche de la candidate ideale. Par contre, si mon tendre epoux prenait l’initiative d’une douce intermede a trois, je serais aux anges. Je lui en parle parfois. Tout en caressant son membre gonfle de desir, je lui raconte en details comment je vois le deroulement de cette exquise experience. Voici un peu comment cela se deroule.
Il y a cette jolie dame, enseignante, comme lui. Grande. Ronde. Elle a un sourire absolument irresistible. J’aime me l’imaginer nue, sur notre lit conjugal. Dans mon fantasme, mon mari me deshabille lentement, deposant de legers baisers sur la peau exposee. Je tremble. Il sourit. La pointe de mes seins se herisse. J’ai ce desir brulant dans mon bas-ventre. L’autre femme se
delecte du spectacle de nos corps nus. ’Viens. Je vais te montrer comment’, me dit-il simplement.
Cote a cote, ma joue droite contre sa joue gauche… un peu comme si nos tetes etaient soudees l’une a l’autre, il me fait respirer la douce moiteur de notre complice. D’une main experte, il entrouvre ses replis et m’expose, a mon plus grand etonnement, l’intimite feminine qui me fait tant envie. Bientot, sa langue fouille, explore, titille, leche. Je suis fascinee. Quel spectacle! L’eau m’en vient a la bouche. J’exige de lui un baiser. Je goute ainsi, pour la premiere
fois de ma vie, les douceurs d’une vulve toute moite d’excitation. C’est bon!
’Allez. Ton tour’, souffle-t-il. Je touche du bout de ma langue ce beau clitoris que je convoite depuis un bon moment. Etrange sensation. Je le suce. La reaction de notre complice m’encourage; elle ecarte un peu plus ses jambes et arque le dos. J’enfouis ma langue dans son sexe, la fait tournoyer. J’ai son gout dans la bouche. Ca m’excite. De ma langue, je recommence a darder son clitoris. A cette etape-ci de mon fantasme, mon mari intervient.
’Ne sois pas si gourmande!’, dit-il en feignant de me gronder.
Et paf! Il me sert une fessee.
’Leche. Caresse avec tes levres. Doucement. Fais-la languir. C’est lentement que
tu dois lui faire atteindre les hauts sommets de l’extase’, conseille-t-il, d’un air expert.
Puis il replonge son visage entres les cuisses accueillantes de notre douce et patiente complice. Quelles merveilleuses lecons particulieres! Tour a tour, nous nous delectons du nectar de cette femme. J’apprends vite. Puisqu’il s’agit de mon fantasme, c’est moi qui la fait jouir. Elle pince ses mamelons, se tord, gemit. Son corps tout entier est secoue par les vagues de plaisir que lui
procurent ma bouche et ma langue. Au meme moment, mon mari qui, agenouille pres de nous, caressait deja son penis depuis quelques instants… atteint l’orgasme avec elle dans un synchronisme des plus parfaits. Son sperme gicle sur le beau
ventre rond. Elle et lui gemissent et leurs douces plaintes font un sensationel duo a mes oreilles. En guise de grande finale, c’est ma langue gourmande qui nettoie le beau ventre rondelet. Le melange des deux gouts est absolument divin.
’Bravo! Tu as passe avec succes l’examen’, me felicite mon mari.
Mon fantasme se termine ainsi. Souhaitez-moi qu’il se realise!