Mon mari, Pierre, 40 ans m’a demandé de vous raconter l’histoire que nous avons vécue. Je ne voulais pas car elle est trop intime mais j’ai cédé, comme souvent. J’ai 35 ans, brune, 1,60 m et je suis bien "bustée" (95D). Mon mari est fou de mes seins sur lesquels il s’acharne.
J’ai un fils de 10 ans. Mon beau-frère, Éric a 30 ans et vit à Londres pour son travail. C’est un garçon effacé, timide, auquel on ne connait pas de liaison amoureuse.
Pour les vacances d’été, il a souhaité passer quelques jours avec nous. C’est avec plaisir que l’avons reçu et donné la chambre d’amis. La 1ère nuit, mon mari a voulu faire l’amour. Je lui ai dit non car Éric avait la chambre à coté. Pierre a su se montrer persuasif et je n’ai pu retenir mes gémissements tant sa langue sur mon clitoris et sa queue bien raide dans mon ventre ont su y faire. Éric m’a même reprise en pleine nuit en me disant que ça m’excitait de savoir mon jeune beau-frère à côté. J’ai réjoui en lui avouant que oui.
Le lendemain, Pierre m’a demandé de m’habiller sexy, de mette des bas noirs et de mettre en valeur ma poitrine généreuse. De guerre lasse, j’ai encore cédé. Lors du diner, après que mon fils se soit couché, Pire a commencé à faire des remarques sur mon corps, sur mes seins et dit à Éric que je portais des bas. J’ai protesté mais j’avais un peu bu. Éric ne disait rien mais me regardait intensément. Quand je suis revenu de la cuisine, Éric a demandé si les bas tenaient seuls ou avec un porte-jarretelle. Pierre a dit " allez montre lui tes bas, ce sera son cadeau". Dans un état second, le rouge au joues, je me vois remonter ma jupe lentement devant mon beau-frère qui s’est mis a transpiré. Pierre a compris que la soirée allait chavirer. Il dit à Éric " tu n’as pas vu le haut, c’est encore mieux". Pierre m’a enlevé mon tee-shirt et je me suis retrouvé en soutien gorge balconnet noir, les seins débordant des bonnets. J’avais peur que mon fils se réveille et assiste au spectacle. La voix étranglée mon mari a dit " allons dans la chambre, Éric et moi on va te faire jouir toute la nuit". Il dit à son frère " tu vas voir comme ta belle sur est bonne". Le vocabulaire dérapait. Se fut un festival de caresses et de commentaires qui m’ont autant excité que les actes. Éric avait une queue longue, plus que mon mari mais assez fine. Pierre lui est assez court mais large. Pierre a dit à son frère" commence par le haut je m’occupe du bas. Ces 2 voyous se sont partagés mon corps. Éric, fasciné par mes seins lourd s’est acharné des mains et de la bouche. Pierre s’est occupé de mon point faible, mon clitoris qu’il a fait frétiller à coups de langue patients. Il alternait en enfonçant sa langue dans mon vagin avec des " je vais te lécher les ovaires". La suite au prochain numéro.
Je vous raconte la suite de cette nuit de débauche.
Éric grognait de bonheur en s’occupant de mes globes. Pierre lui a dit " viens voir sa chatte tu vas te régaler". Le pire est que je les ai laisser faire tellement j’étais excitée. Éric a dit" j’ai envie d’autre chose pour l’instant : "une bonne cravate de notaire".Mon jeune beau-frère est venu s’installer entre mes seins; la queue congestionnée et a commencé à me baiser dans le sillon mammaire. c’était bon et j’ai commencé à participer en serrant mes globes, je voyais son méat s’ouvrir.
Puis j’ai sucé mon mari pendant qu’Éric me dévorait entre les cuisses. J’ai joui à mort. Mon mari a gémi son plaisir en giclant sa liqueur. Je n’avais jamais vu autant se sperme. Pierre voulait me faire parler. " dis le que ton beau-frère est bien monté, dis-le que tu veux qu’il explore ton vagin. Je dis oui. Éric m’a pris en levrette pendant que j’ai resucée mon mari qui " me faisait les seins".Éric s’est retiré pour ne pas gicler trop vite. Ils se sont relayés dans ma bouche et dans ma chatte pendant des heures. Les commentaires fusaient " ta bouche est bonne". Pierre a demandé à son frère de me " faire frissonner les ovaires". Jamais mon mari n’avait été aussi grossier et ça m’excitait. Ils ne me laissaient pas répit. Je suis allée aux toilettes. A mon retour Pierre a voulu que je me fasse sodomiser par son frère dont la queue était plus faite pour cela. J’ai cédé encore. Et j’ai joui comme une salope car pendant qu’Éric allait en venait doucement dans mes fesses, Éric s’était glissé dessous et dévorait ma chatte et me branlait.
Je n’oublierai pas cette nuit de folie.