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les 40 ans du beauf – Chapitre 1

les 40 ans du beauf - Chapitre 1



En juillet dernier,mon beauf jean, pour fêter ses 40 ans, nous a invités, ma femme Annie, ma sur Agnès son épouse, 36 ans toutes les deux, moi Alain,34 ans, dans un superbe restaurant.

  Après un repas bien arrosé, on et partis, finir la soirée en boite de nuit., ou lon cest super éclatés.

    Mais vers 2 heures du matin, mon beauf ayant pas mal bu, ne tenait plus debout, moi aussi je commençais à bien être allumé.

  Les femmes, décidèrent quil était temps de rentrer.

  Ma frangine, étant restée sobre, pris le volant, et nous ramena dabord chez moi. Mais vu létat de Jean, ma femme, me demanda de rester avec Agnès pour laider à coucher Jean.

  Puis elle dit à ma sur, pour éviter de me ramener, de me garder à coucher chez elle et quelle nous attendait demain vers midi pour déjeuner.

  Arrivé chez ma sur, avec bien du mal on avait réussi à coucher Jean, après avoir aidé ma sur à le dévêtir, avec les efforts que javais fait,je commençais à tituber.

  Ma sur en me voyant ainsi, se précipita sur moi en me disant « allez à ton tour. »

  Elle passa sous mon bras pour maider tenir debout.

  Arrivés à létage, elle me conduisit dans la chambre damis, mais au moment de maider à mallonger, je mécroulais sur le lit, en lentraînant dans ma chute. Et là, je me retrouvais couché sur le dos,avec ma sur en travers, la jupe relevée, dévoilant un magnifique string en dentelles rouge et une jolie paire de fesses bien raffermies par des années de pratique de fitness. Cette furtive vision, me provoqua une solide érection.

  Mais déjà, ma sur sétant relevée, en riant aux éclats me demanda de retirer ma chemisette, pendant qelle soccupait de me retirer mon pantalon.

  Mais lorsquelle tira sur le bas de mon pantalon pour me lôter, mon caleçon vint avec, et là, je me retrouvais la queue à lair fièrement dressée devant ses yeux exorbités.

. Elle resta un long moment à fixer mon sexe.

Moi je restais inerte, à sa merci, puis en un clin dil, elle se mit à poil.

je pouvais admirer son corps splendide.

  Cest la première fois que je la voyais nue, bien gaulée pas grande mais bien proportionnée, sa chatte de brune bien fournie mais entretenue. Elle rampa sur le lit, une main posée sur son sexe, puis elle menjamba, pris mon sexe dans ses mains, le secoua de gauche à droite, et , murmura « oh frèrot comme elle est grosse ta queue elle me fait envie. »

  Puis joignant le geste à la parole, elle saccroupit au dessus de mon bas ventre, fit glisser mon gland entre les lèvres charnues de sa vulve luisante de mouille couleur rose bonbon et sempala doucement sur mon sexe, en gémissant de plaisir, se laissant doucement glisser sur toute la longueur de mon membre: un chuintement mouillé et obscène avait accompagné lopération..

Elle stoppa un instant, comme pour prendre la mesure de mon sexe, puis se mit à faire des va et vient langoureux.

  Je pouvais sentir la douceur de son fourreau, chaud et humide,enserrer mon sexe, javais du mal à croire que jétais entrain de baiser ma grande sur, mais je la laissais faire, jétais trop pété et en plus jadorais ça

  Puis elle accéléra la cadence, poussant un cri à chaque fois que ma queue

percutait le fond de sa matrice.

  Cela me sembla durer une éternité puis elle se cabra: lorgasme la submergeait tel un tsunami, elle hurlait son plaisir la bouche grande ouverte, les yeux mi-clos; « oh oui cest bon. »cria-t-elle.

  Une abondante émission de cyprine me trempa les bourses.

  Cette vision, provoqua ma propre jouissance, jinondais copieusement le fourreau étroit de ma grande sur, en beuglant comme un veau ,je sentais mon foutre jaillir de ma queue, se fracassant en vagues crémeuses contre les parois de son vagin, puis sous lemprise de lalcool et de la fatigue, je sombrais dans un profond sommeil .

  Le lendemain matin, vers 11 heures,après une bonne douche, je retrouvais mon beau frère dans la cuisine, avec une de ces tronches, senvoyant un café salé. Il rigola en voyant la mienne, et moffrit un même café.

  Jétais entrain de siroter ma tasse quand ma sur rentra, nos regards se croisèrent fugacement. Croyait telle que je ne me rappelais pas de ce qui cétait passé cette nuit.

  Perdu dans mes pensées, le son de sa voix me tira de ma réflexion.

  Allez dépêchez vous, Annie nous attend pour déjeuner

  Ma sur pris le volant, jean à ces cotés, moi assis derrière:

  pendant le trajet Agnès me lançait des regards interrogateurs mais discrets dans le rétroviseur. Elle voulait savoir si je me souvenais.

  Mais ça, cest une autre histoire.

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