Fatigué par une semaine chargée, je me suis octroyé mon vendredi après-midi. Architecte paysagiste, ma petite entreprise est florissante, le carnet de commande est rempli, jai une belle maison avec un immense terrain où jai réalisé mon premier jardin dagrément. A presque 34 ans, je crois que je suis arrivé au but que je métais fixé, marié depuis trois ans, jai conscience que je nai pas toujours consacré beaucoup de temps à ma vie familiale mais la clé de mon succès passait par ces petits sacrifices. Jai maintenant un peu plus de temps et jai décidé de sortir ce soir, resto, cinéma et peut-être un moment en boîte pour terminer la soirée. Jai laissé la voiture devant chez moi, évitant ainsi de devoir la ressortir tout à lheure, jentre dans le hall et jentends des voix dans notre chambre, mon épouse et sa mère doivent certainement être là. Je monte, ouvre la porte doucement et là, le spectacle qui se déroule devant mes yeux me laisse sans force, chancelant, mon épouse entièrement nue soffre sans retenue à un homme que je ne vois que de dos. Le moment de surprise passé, une rage folle sempare de moi, je me précipite, empoigne lhomme par les cheveux, le tire hors du lit et lui assène un violent coup de poing à la mâchoire. Cest alors que je reconnais le mari de ma sur, ma colère est encore décuplée, je le saisis à bras le corps, lui fait dévaler les escaliers et le jette dehors, entièrement nu. Ma femme qui se précipite sur moi subit le même sort. Je referme la porte, remonte à létage et par la fenêtre jette leurs vêtements.
Un peu plus tard dans la soirée, assis côte à côte, ma sur, que jai avertie, et moi sommes anéantis. En quelques minutes, nos vies ont basculé, une grande lassitude sest emparée de nous. Si la maison mappartient, il nen est pas de même pour ma sur, qui se retrouve à la rue. Nos parents informés par ma sur ont tenu à lhéberger, nous avons dû faire intervenir la police pour récupérer ses effets personnels.
Les mois ont passé, elle travaille maintenant avec moi et soccupe de mon secrétariat, nos divorces ont été prononcés aux torts de nos ex conjoints, ma vie a repris son cours mais un vide immense sest installé chez moi. Mes relations avec les femmes bien que correctes sont maintenant distantes, ma confiance ébranlée par mon infortune ne me permets plus détablir des relations autres que celles en rapport avec mon travail. Dautre part, mon isolement na eu que de mauvaises répercutions sur ma vie, je me suis laisser aller doucement vers la facilité. Mes tenues sont maintenant très négligées, je ne me rase quune ou deux fois par semaine, jai maintenant un léger penchant pour lalcool et je me suis mis à fumer, jai pris quelques kilos et je ne prends plus la peine dentretenir ma forme physique comme je le faisais auparavant.
Si mon entreprise est toujours au top, cest en grande partie à ma sur qui contrairement à moi a noyé son chagrin en se donnant entièrement à son travail et en se chargeant en partie du mien.
Cette situation ne pouvait continuer, un soir en rentrant passablement éméché, jai un accident de voiture qui mayant fortement commotionné, moccasionne en plus des fractures aux deux avant-bras et aux mains ainsi quune luxation de lépaule droite. Quand je reprends conscience sur mon lit dhôpital, je suis dans un triste état. Je suis plâtré aux deux avant-bras, mon épaule est immobilisée et jai des attelles à deux doigts de chaque main. Ma sur assise sur le bord du lit me regarde avec inquiétude. Elle membrasse, me demande comment je vais et rassurée par mes réponses, commence à mengueuler vertement. Je pris alors conscience de mon état, de la manière dont je métais comporté ces derniers mois et lui promis de me ressaisir.
Après quelques minutes, je ressens une envie pressante duriner, je demande à ma sur de bien vouloir sonner linfirmière pour maider à aller aux toilettes.
« Pas besoins de linfirmière frérot. Je vais taccompagner. Naie crainte je ne te violerai pas et de toute façon je devrai moccuper de toi quand tu rentreras chez toi. »
Je me laisse guider vers les toilettes, elle baisse mon pantalon de pyjama, saisi mon sexe et le dirige vers la cuvette.
« Vas-y, vide toi! »
Jurine depuis cinq secondes quand ma sur me dit:
« Hum !!!, je ne savais pas que tu avais une aussi belle queue frérot! »
Ces paroles ont pour effets darrêter ma sécrétion durine, une légère chaleur envahi mon bas ventre, ses doigts entourant toujours mon sexe, je le sens grossir. Voyant cela, sans dire un mot, ma sur commence à me branler. Je ne len empêche pas, je suis en manque et après une vingtaine de va et vient, jéjacule dans sa main. Je suis confus, je ne sais pas quel comportement prendre. Voyant ma gêne, ma sur pose ses lèvres sur les miennes puis porte ses doigts maculés de mon sperme à sa bouche, elle les lèche consciencieusement puis revient membrasser insérant sa langue engluée dans ma bouche.
« Ca ta plu? »
« Oui Sonia mais je suis ton frère, cest de linceste. »
« Et alors, tu as 34 ans, jen ai 30, nous sommes des adultes. Nous avons vécu tout deux une expérience douloureuse, je nai plus confiance aux hommes, toi aux femmes, nous, quoi quil arrive nous resterons toujours frère et sur. »
Je la regarde avec dautres yeux, elle est vraiment belle, ses yeux dun bleu intense, ses longs cheveux blonds, son visage finement sculpté, sa peau satinée, sa silhouette élancée, ses jambes magnifiques sont autant dappel à lamour. Je ne comprends pas comment mon ex beau frère a pu la tromper et avec mon ex femme qui en plus est loin dêtre aussi belle.
Je ne réponds pas, je mapproche delle et je lembrasse passionnément, elle répond à mon baiser. Pendant quelques minutes, nos lèvres restent collées, nos langues virevoltent dans la bouche de lautre. Cest linfirmière qui interrompt ce baiser, elle sourit, nous prend pour mari et femme, sexcuse et referme la porte.
Nous partons dans un fou rire qui me fait grimacer de douleur, Sonia compatissante maide à me recoucher, sassied sur le bord du lit et glisse la main dans mon pyjama. Elle caresse mon sexe, malaxe mes testicules.
« Cest à moi maintenant je vais en prendre grand soin. Je vais te laisser, je vais remettre de lordre chez toi et my installer pendant ta convalescence, quand tu en auras marre de moi, tu nauras quà me le dire et je partirais. »
Le lendemain, le médecin mautorise à rentrer chez moi pour autant que quelquun puisse soccuper de moi. Sonia avertie vient me prendre avec la voiture. Arrivés à la maison, je constate quelle y a déjà installé son bureau ce qui lui permet de travailler sans quitter mon domicile. De suite, elle soccupe de moi.
« Avant de tasseoir, laisse moi te mettre à laise, »
Sonia enlève mon pantalon, mon slip, ma chemise, je suis nu, elle emporte mes vêtements et revient avec un pyjama.
Elle massied dans le divan, se met à genou entre mes cuisses et englouti mon sexe dans sa bouche tout en malaxant mes testicules. Ma queue se met à grossir et mon gland touche le fond de sa gorge. Ses efforts pour remettre contractent sa gorge ce qui provoque un massage du gland. Je nai jamais connu une telle fellation, je suis au bord de la rupture, ma verge se contracte et dans un grognement de félin en rut, je décharge de longs jets de sperme au fond de sa gorge. Sonia se lève, enlève son chemisier et son soutien gorge, ses seins magnifiques en forme de poire apparaissent pour la première fois à ma vue, elle enlève sa jupe et son string et moffre la vision dun sexe petit et bien dessiné, entièrement épilé hormis un léger triangle de poils blonds qui garni son pubis.
« A toi maintenant, occupe toi de ma chatte, montre moi que ta langue est une bonne ouvrière, lèche moi, suce moi, fait moi jouir »
Sonia monte sur le divan jambes écartées de part et dautre de mon corps. De ses doigts elle écarte les lèvres de son sexe et vient poser celui-ci sur ma bouche. Sa chatte est imbibée de son nectar, jembrasse son sexe à pleine bouche, ma langue pénètre lentrée de son vagin, mon nez frotte contre son clitoris qui commence à grandir et sortir de son capuchon. Sonia est super excitée, elle frotte son sexe sur ma bouche, mon menton, elle mouille de plus en plus, elle humidifie ses doigts sur sa chatte et sen enfonce deux profondément dans son cul. Elle est au bord de lorgasme, elle presse de plus en plus sur ma bouche et soudain, dans un cri de profonde jouissance, elle décharge de longs jets durine que jessaie davaler. Ses jambes se dérobent, ses doigts sortent de son anus, elle sassied sur moi et sempale sur mon pieu à nouveau tendu à lextrême. Elle pousse un long gémissement quand mon gland vient presser contre son utérus. Nous restons sans bouger pendant quelques minutes, puis, lentement, elle commence à bouger, se lève faisant sortir ma verge à moitié avant de sempaler de nouveau. Mes vingt-deux centimètres lui labourent le vagin la faisant pousser des gémissements de plus en plus longs. Elle est de nouveau excitée à lextrême.
« Cest bon, tes gros, défonce moi, déchire moi salaud ouiiiiiiiiiii, encorrrrrrrrrrrrrre , je jouiiiiiiiiiiiii »
Dun bond, déchaînée, elle se lève, se retourne, écarte ses fesses des deux mains, elle vient poser son anus sur le bout de mon gland et violemment fait pénétrer mon sexe entier dans son rectum. Ses cris dénoncent toute la violence de la pénétration, ses va et vient sur ma queue ne lui suffisent pas, de son sac posé sur le divan elle sort un plug de belle taille quelle pose entre les lèvres gorgées de cyprine et quelle senfonce sans ménagement au fond du vagin dun coup sec. Non contente de cette double pénétration, elle saisi son clitoris entre le pouce et lindex et se met à le triturer en létirant et le pinçant, dépassant de loin le seuil de la douleur. Je sens lobjet frotter contre mon gland au travers de la paroi de son vagin, jai vraiment une trique denfer, je sens monter la jouissance, dans un grognement sourd, jenvoie plusieurs giclées de sperme dans son fondement. Ma verge qui tressaute à lintérieur de son corps déclenche chez elle un orgasme quil mest impossible de narrer tellement il est violent. Elle hurle des mots obscènes, elle lâche son clito pour des deux mains se pincer les bouts des seins, elle se contracte et le plug, dans un gargouillis de mouille est éjecté à plus dun mètre. Cela déclenche chez elle un nouvel orgasme qui la fait trembler de la tête aux pieds. Ma queue devenue molle est sortie de son anus, Sonia complètement relâchée ne peut se retenir et urine sur mes jambes.
Après plusieurs minutes, elle émerge et confuse sexcuse de sêtre laissé aller de la sorte. Elle me nettoie, me passe mon pyjama puis toute honteuse senferme dans la salle de bain. Après plus dune heure elle daigne sortir et rougissante vient sasseoir près de moi. Son visage prend une teinte écarlate quand elle saperçoit que le plug recouvert de liquide vaginal est toujours sur le tapis du salon. Elle se lève, lemporte à la salle de bain où elle le nettoie. La tête baissée, elle enfouit lobjet au fond de son sac et se rassied près de moi.
« Excuse-moi Pierre, je naurais pas dû me laisser aller de la sorte, mais depuis des mois je nai plus eu de rapport avec un homme et déjà avant avec mon mari cétait loin dêtre un feu dartifice. Cétait rare quand jarrivais à avoir un orgasme avant quil ne jouisse. En plus, il est loin davoir un sexe aussi long et aussi gros que le tien. »
« Je peux te poser une question? »
« Oui »
« Cest normal chez toi de faire lamour comme cela? »
« Oui, mais il faut pour cela que mon partenaire soi sur la même longueur donde. »
« Et tu as eu beaucoup de partenaire autre que ton mari? »
« Non, il ma eue vierge et je ne lai jamais trompé »
« Pourtant je me rappelle que tu as eu plusieurs petits copains! »
« Oui, cest vrai, mais je nai jamais pu en garder un longtemps car je me refusais de leur accorder autre chose que des baisers. Mais toi, ne mas-tu pas trouvée dévergondée de mêtre laissée aller comme cela? »
« Tu mas en effet surpris, mais je dois avouer que je nai jamais rien ressenti daussi fort. Jai vraiment aimé ta façon de me faire lamour, jai apprécié quand tu tes empalée sur ma verge, quand tu tes enfoncé le plug, quand tu mas pissé dessus, quand tu tes laissé aller. Jaurais voulu pouvoir me servir de mes mains pour te donner encore plus de plaisir, je veux que tu restes avec moi, même quand je serais guéri, je ne veux plus que tu partes. »
« Si je minstalle ici définitivement, que vont dire nos parents, nos amis, les voisins? »
« Ils pourront dire ce quils veulent, je men fou. Tant quils parleront de nous, ils ne parleront pas sur le dos des autres. »
« Cest vrai que je taime, tu as toujours été bon pour moi, tu mas toujours protégée, à lécole, au lycée et même avec papa et maman tu prenais toujours ma défense. Je veux bien rester avec toi mais si tu me délaisses, si tu te lasses de moi, ou si tu me trompes avec une autre, je partirais »
Je la regarde dans les yeux, approche mon visage du sien et lentement nos lèvres se touchent, nos bouches sentrouvrent et un long baiser rempli damour nous unis.
Les semaines, les mois passent, je suis déplâtré, les attelles de mes doigts sont enlevées, mon épaule est encore un peu raide mais la kiné me fait un bien fou. Jai repris mon travail, jai arrêté lalcool, le tabac, je prends à nouveau soin de mon corps. Sonia et moi rentrons du boulot à 17 heures, nous faisons tous les jours 8 kilomètres à travers les bois, puis nous passons ensemble sous la douche, nous dînons et nous nous installons dans le divan. Elle a pris lhabitude de se blottir dans mes bras, nous pouvons passer des heures comme cela sans parler, en nous câlinant. Nous faisons lamour trois à quatre fois par semaine, cest toujours aussi violent et aussi bon que la première fois. Je suis aux petits soins pour elle et elle me le rend au centuple. Nous sommes vraiment heureux ensemble. Mon entreprise est florissante, jai dû engager du personnel pour faire face à la demande. Jai un contremaître qui dirige mes trois équipes et jai une ancienne institutrice qui soccupent du secrétariat ce qui a libéré Sonia qui ne fait plus maintenant que de la représentation avec moi.
Un soir que nous sommes devant la télé, elle minterroge,
« Tu es songeur, à quoi penses-tu? »
« A toi ma chérie, nous avons beaucoup dargent et tu ne dépenses jamais rien, tu as toujours tes vieilles affaires, tu ne vas que rarement chez le coiffeur, tu ne vas jamais chez lesthéticienne, je voudrais que tu sois la plus belle. Demain nous irons faire les boutiques. »
Nous sommes en ville, je laccompagne car je veux linciter à changer de look, les jupes et les robes sont plus courtes et descendent à mi-cuisses, ses tops laissent apparaître sa magnifique poitrine et son ventre plat. Je linvite à renouveler ses dessous et ses tenues de nuit. Je la dépose au salon de coiffure pour une nouvelle coupe, une manucure et une séance de bronzage intégral. Pendant ce temps, installé dans un fauteuil, les paquets autour de moi, jadmire les jolies filles qui circulent dans la pièce prodiguant leur savoir faire aux clientes. Dans un coin du salon, une jeune fille vêtue misérablement discute avec le patron, celui-ci lui répond vertement et linvite à sortir. Tête basse, elle se dirige vers la porte, au moment où elle passe devant moi, je linterpelle.
« Mademoiselle, venez ici, asseyez-vous un instant. »
Le patron nose pas intervenir, cest probablement ma carte de banque qui len empêche. Dabord hésitante, elle sinstalle à côté de moi. Je la détaille alors et je constate que sous ses défroques et ses cheveux mal soignés cette fille est splendide, la finesse des traits de son visage rappelle la beauté des filles du sud. Son corps bien quen partie dissimulé par ses oripeaux laissent apparaître de longues jambes parfaitement galbées et une silhouette légère.
« Que se passe-t-il Mademoiselle? Pourquoi cette triste mine, racontez-moi, si je peux vous aider, jen serais ravi. »
Après de longues hésitations, elle mavoue sêtre sauvée de la ferme où elle avait été placée par lassistance publique italienne, quaprès bien des péripéties elle est arrivée en France où elle vit de petits boulots et où elle dort dans des asiles daccueil.
« Quel âge as-tu? »
« Dix-neuf ans Monsieur »
« Comment te prénommes-tu?
« Sarah, Monsieur »
La profondeur de son regard me fait penser à ma sur. Jappelle le patron et sur un ton qui ne permet pas la réplique, lui dit
« Je veux que votre personnel soccupe de Mademoiselle, sauna, douche, massage aux huiles essentielles, manucure et pédicure, lesthéticienne pour lépilation des jambes, des aisselles et du maillot. Enfin, votre domaine, une coupe longue et des soins capillaires qui la mettent en valeur. Vous trouverez en plus dans ces sacs, de quoi la vêtir correctement. »
Après plusieurs courbettes qui traduisent son caractère intéressé, il appelle deux jeunes dames qui après avoir pris ses ordres disparaissent avec ma protégée vers les cabinets de soins.
Une heure plus tard, ma sur se présente devant moi.
« Whouaahh !!!, ma chérie, tu es magnifique. »
« Merci »
Sonia a les cheveux qui tombent en volute sur les épaules, le dessus du dos et sa poitrine, elle est maquillée avec soin ce qui donne à son regard une profondeur que je ne connaissais pas. Elle est vêtue dune courte robe noire qui met ses longues jambes bronzées en valeur. Son décolleté est profond et laisse apparaître le sillon et le dessus de deux seins au galbe parfait.
Je me lève, lui prends la main et la fais tourner doucement sur place admirant ses courbes magnifiques. Je me sens irrésistiblement attiré vers elle, je lui prends délicatement le menton, lembrasse tendrement et lui dit:
« Je taime »
« Merci mon amour, moi aussi je taime, rentrons que je te remercie comme tu le mérite »
« Attend mon ange, assieds toi, jai quelque chose à te dire »
Je lui raconte dans le détail ce qui sest passé avec la jeune Sarah, mon indignation de la voir repoussée, mon plaisir à obliger le patron à soccuper delle et enfin les vêtements que je lui ai donné.
« En attendant que tu aies terminé, jai pensé à une chose. Nous avons déjà parlé de prendre une aide ménagère, pourquoi ne lui proposerions-nous pas cet emploi? »
« Nous ne savons rien delle »
« Si nous engageons quelquun dautre, nous nen saurons pas plus »
A ce moment, une jeune femme magnifique, aux cheveux noir geai, à la bouche pulpeuse, au teint hâlé se présente devant nous, elle est vêtue dune mini jupe en jeans et dun chemisier blanc noué sur le ventre, elle porte des escarpins avec des talons de cinq centimètres qui mettent ses longues jambes en valeur. Je suis abasourdis, Sonia se lève, lui tend la main.
« Tu es Sarah? »
« Oui Madame »
« Appelle-moi Sonia, tu es magnifique et mes vêtements te vont à ravir »
« Oh, excusez-moi, je vais les enlever »
« Non, non, gardes les. Pierre, ferme la bouche et invite nous à diner, je meurs de faim et nous avons à parler »
Au restaurant, nous abordons le sujet qui nous préoccupe. Tout de suite, Sarah est daccord pour travailler chez nous. Je constate quelle est mal à laise dans ce restaurant sélect.
« Ne tinquiète pas, Sonia va soccuper de toi, dans quelques temps tu seras une parfaite femme du monde »
Nous rentrons à la maison, installons Sarah dans une des chambres damis, Sonia lui donne des vêtements pour la nuit et me rejoint dans notre chambre.
« A nous deux maintenant, je vais dabord te remercier pour ce que tu mas offert aujourdhui, je me sens vraiment belle et désirable, ensuite je vais te faire payer très cher de mavoir trompée mentalement avec Sarah »