Jean-Claude (79 ans), Philippe (45 ans) et moi-même (62 ans).
Jean-Claude a organisé notre rencontre pour nous voir nous aimer sous ses yeux.
Philippe est comme moi, il aime les hommes, mais est surtout actif. Il suce, pas à fonds, et ne se fait pas mettre. Par contre il se fait pomper jusqu’au bout, et défonce tous les culs qui s’offrent à lui.
Il a envie de connaître l’autre côté de la médaille, et je me laisse moi aussi tenter par l’expérience. On va s’offrir l’un à l’autre, comme des soumis, ou plutôt des soumises puisque l’on s’est travesti en femme.
On vient de passer des heures torrides.
J’ai sucé à fonds pour la première fois, j’ai tout bouffé. Je me suis aussi fait casser le cul, pour mon plus grand plaisir. C’est la même chose pour mon partenaire, qui s’est offert pour être ma pute, comme j’ai été la sienne.
On a laissé notre hôte participer, non pas de sa bite impuissante, mais de sa bouche gourmande.
On est ravi tous les trois. Il est dix-neuf heures, et on décide de prendre un apéro, puis de diner. On s’installe à nouveau au salon pour se restaurer vite fait, en regardant un film gay: des parties à trois avec une femelle et deux mâles bi; ils s’aiment tous les trois dans toutes les combinaisons possibles.
On bouffe, on se branle, on échange des obscénités, on bande.
C’est reparti pour un tour.
On va s’occuper du vieux, il l’a bien mérité. Je suis assis sur le canapé, près de Philippe, et on laisse à Jean-Claude la place de s’agenouiller entre nous. Nos bites sont magistralement dressées, et il va nous turluter tous les deux. On s’abandonne à ses pipes divines (près de soixante ans d’expérience), On admire nos queues, on se caresse, on se roule des pelles baveuses, on s’insulte tendrement, au féminin, avec des voix que l’on susurre:
Salope, Garce, Vicieuse, Pute, Catin, Trainée, Chienne, Cochonne, Truie, Trou à queue, Enculée, Garage à bites, Vide couilles, Sac à foutre, …
On trique comme des ânes, et Jean-Claude nous supplie de le baiser. On va à la chambre, on va se le faire. Il est à quatre pattes dans l’angle du lit, et on est debout, un qui lui prend la bouche, l’autre le fion. On le pénètre profond par les deux trous, puis on change de place pour profiter chacun de ses deux putains d’orifices.
On change de position. L’un de nous s’allonge sur le dos, et le vieux vient s’asseoir dessus pour empaler son cul sur le chibre tendu. L’autre vient derrière et l’entube pour une double anale. C’est Philippe qui est à la manoeuvre, et il le sodomise comme un bourrin. Je sens sa colonne qui écrase ma queue. Il jouit dans son fion, et je sens sa sauce bien chaude sur mon gland.
On change de place. Il n’a pas débandé, Jean-Claude s’enfile sur lui, et m’offre son trou pour une nouvelle double sodomie. Je le matraque à mon tour, j’éjacule entre ses reins, en même temps qu’il a un orgasme et gicle sur le ventre de Philippe.
Je me retire, il nettoie nos queues, nettoie son sperme, se torche le cul pour bouffer le notre.
Il est épuisé, nous remercie chaleureusement avec de grosses pelles expertes. A son âge, il ne peux pas jouer les prolongations, et décide de dormir tout seul, et de nous prêter la chambre d’amis.
Il y a une armoire avec de grandes glaces, et on va s’exhiber devant. On a remis nos petites culottes, on est toute mignonnes, et on va jouer les vicieuses qui aiment la bite. Il y a un radio cassette, on met des slows, et on va danser collés l’un à l’autre. On se frotte, on se caresse, on s’embrasse, on échange des mots crus et orduriers, on se dit notre envie de l’autre, de s’offrir à lui plus que de le posséder.
On rebande inévitablement, nos culottes sont vite arrachées, et on se suce, on s’encule, à tour de rôle devant le miroir.
On est prêt de jouir, et il s’agenouille pour que j’éjacule sur son visage. Je me branle énergiquement, et je gicle sur sa gueule. C’est à son tour de décharger sur mon museau. On se bouffe la poire, on se roule des patins, on se nettoie. On se couche.
Je suis à la retraite, et m’en fout de passer une nuit blanche. Philippe bosse, est routier, et il faut qu’il soit en forme au petit matin. Je lui laisse donc le choix de passer une nuit calme ou agitée.
Trois heures du matin, je suis réveillé par une sensation très agréable: Philippe me taille une pipe. Je cherche sa position à l’aveugle, puis me place pour un 69 dans le noir. J’imagine sa bite, sans la voir, tout comme il doit imaginer la mienne. On se pompe, on s’attend, on jouit au même instant, on sirote nos semences chaudes et fournies.
On se roule des pelles, on se dit qu’on s’aime, on se rendort.
Cinq heures trente, le réveil sonne. Je lui offre ma bouche pour une baise éclair. Il me pilonne la gueule en gorge profonde, et me remplit de sa sauce que j’avale. Il se douche, s’habille, s’en va, après que l’on se soit promis de se revoir.
Six heures passées, Jean-Claude l’a accompagné à la porte, puis me rejoint dans le lit. Il s’allonge tout nu contre moi, dans le noir, et sa main s’empare de mon paquet. Il me caresse, la bite et les couilles, et me fait bander rapidement. Sa bouche lèche mes seins, mon ventre, mon bas-ventre, pour finir sur mon service trois pièces.
Il me pompe, me gobe, avec des gémissements de cochonne gourmande, et je m’abandonne à sa divine fellation. Je jouis sans le prévenir, sachant qu’il n’attend que ça.
Il bouffe tout, aspire mes dernières gouttes, et s’allonge à nouveau contre moi:
— Tu es chaud mon salaud! Il t’a plu mon copain?
— Oh oui! Putain, c’est bon de se faire baiser! Si j’avais su!
— Je te l’ai dit, il n’y a rien de meilleur qu’une bonne queue.
— Oui, sauf deux queues! Quel dommage que tu ne bandes plus.
— Ca te plairait une partie à trois?
— Oui, ce serait le top, deux belles bites dressées juste pour moi.
— Je pense avoir ce qu’il te faut, si tu veux.
Il me parle alors de deux de ses amis.
Ce sont deux jeunes, de dix-huit et dix-neuf ans, et qu’il a rencontré récemment au sex-shop, lors d’une de ses maintenant rares visites.
Ils se faisaient un 69 sur un lit, dans la semi obscurité, et il les observait. Il leur a fait une proposition: les recevoir chez lui, pour qu’ils s’aiment sous ses yeux, et s’occupent éventuellement de lui.
Ce sont des étudiants, peu fortunés, et ils n’y voient que des avantages. Ils vont économiser le pris de l’entrée (dix euros chacun), ils vont pouvoir s’aimer au grand jour et non dans le noir, ils vont pouvoir faire leur toilette pour terminer.
Ils n’ont pas cours le jeudi après midi, et lui rende visite chaque semaine. Ils lui ont dit, eux aussi, que c’était dommage qu’il ne bande plus, et il sait qu’une partie à trois, avec un queutard, serait bienvenue.
Je lui demande de les appeler, mais il n’a pas leur numéro. C’est eux qui décident de venir quand ils veulent.
Il me promet de leur parler de moi lors de leur prochaine venue.
On se repose, on se rendort. A mon réveil, je le baise copieusement, avant de m’en aller.
A suivre…