Je suis un mec de 62 ans, bi, mais j’aime de plus en plus les hommes.
On vient de passer une soirée et une nuit de rêve à trois, chez Jean-Claude, une salope finie de 79 ans.
Au petit matin son ami est parti, et on reste tous les deux.
Il me parle alors de deux autres de ses amis.
Ce sont des jeunes, de dix-huit et dix-neuf ans, et qu’il a rencontré récemment au sex-shop, lors d’une de ses maintenant rares visites.
Ils se faisaient un 69 sur un lit, dans la semi obscurité, et il les observait. Il leur a fait une proposition: les recevoir chez lui, pour qu’ils s’aiment sous ses yeux, et s’occupent éventuellement de lui.
Ce sont des étudiants, peu fortunés, et ils n’y voient que des avantages. Ils vont économiser le pris de l’entrée (dix euros chacun), ils vont pouvoir s’aimer au grand jour et non dans le noir, ils vont pouvoir faire leur toilette pour terminer.
Ils n’ont pas cours le jeudi après midi, et lui rende visite chaque semaine. Ils lui ont dit, eux aussi, que c’était dommage qu’il ne bande plus, et il sait qu’une partie à trois, avec un queutard, serait bienvenue.
Je lui demande de les appeler, mais il n’a pas leur numéro. C’est eux qui décident de venir quand ils veulent.
Il me promet de leur parler de moi lors de leur prochaine venue.
On se repose, on se rendort. A notre réveil, je le baise copieusement, avant de m’en aller.
Je suis comme fou à l’idée de baiser avec deux minets, et je n’en dors plus.
Le jeudi soir suivant, Jean-Claude m’appelle pour m’annoncer la bonne nouvelle: les jeunes sont d’accord pour me rencontrer chez lui.
Encore une semaine à patienter. Le jour tant espéré arrive enfin.
Jean-Claude m’a invité pour déjeuner, et à treize heures on a terminé. Les jeunes ne devraient pas tarder.
Dix minutes plus tard, ils sont là. Notre hôte fait les présentations, et on se fait la bise. Il s’adressent à eux:
— Vous nous faites le spectacle mes chéris?
— Bien sûr, vieux cochons, on est là pour ça.
Ils se déshabillent rapidement, et se retrouvent entièrement à poil. Ils sont beaux, magnifiques: grands, minces, musclés, pas un poil, le sexe rasé. Ils ont des fesses parfaites, bien fermes, bien charnues, et une longue bite qui pendouille à mi cuisses.
Ils se prennent dans les bras, se collent l’un à l’autre, se roulent des pelles tout en se branlant la queue et se pelotant les couilles. Oh, putain que c’est beau! Je bande.
Le vieux m’invite à les rejoindre.
Je me défringue à mon tour, et m’approche d’eux. Le plus jeune, Guillaume, s’adresse à moi:
— Tu aimes la bite il parait! Suce nous, salaud.
Ils se séparent pour m’offrir leur trique magistralement dressées. Ces bites! Ces bites! Elles sont superbes. Pas très épaisses, moins de cinq centimètres, mais bien longues, plus de vingt centimètres.
J’en embouche une, sans savoir laquelle, tellement je suis excité. Elle est bandée, sans être trop raide, un peu souple, et je peux la gober toute entière, en gorge profonde. Je la savoure quelques instants, puis je passe à l’autre pour ne pas faire de jaloux.
Je reprends le premier, il pose ses mains derrière ma tête, et éjacule dans ma bouche. J’avale tout, je passe à son copain, et je subis le même et heureux sort.
J’ai peur que ce soit déjà fini, et l’ainé des deux, Yannick, me rassure:
— Ne t’en fais pas, ça ne fait que commencer. On peut bander et jouir à volonté, demande à JC.
Jean-Claude me confirme que ce sont des bêtes de sexe, capables de triquer durant des heures, et d’éjaculer plus de dix fois. Ca me rappelle quand j’avais leur âge, et que j’en faisais autant.
Je me relève, chacun me roule une pelle, puis ils s’accroupissent tous les deux pour me pomper. Leurs bouches se rejoignent sur mon gland, très efficaces, au point de me faire rapidement décharger. Ils se partagent ma semence, et bouffe tout.
Ca démarre super bien, et j’espère un après midi d’enfer.
Ils sont à nouveau debout, le manche à l’équerre, tandis que le mien a pris un coup de mou. Ils me font me pencher en avant, et Guillaume me prend la bouche. Ce n’est pas moi qui le suce, mais lui qui me baise. Yannick s’adresse à JC:
— Au boulot, vieille salope, prépare lui le fion que je le défonce.
JC ne se le fait pas dire deux fois, trop heureux de l’aubaine. Bouffer du cul, c’est tout ce qu’il aime. Il me lèche, me fouille de ses doigts, les suce, enfonce sa langue. Il pourrait me brouter longuement, mais le jeune le fait stopper pour m’enfiler.
Je sens son gland sur ma rondelle, puis qui pénètre mon tube, profond, jusqu’aux couilles. Ils me ramonent tous les deux, et jouissent une deuxième fois, en même temps, un dans ma gueule qui engloutit tout, l’autre entre mes reins.
Ils se retirent, changent de place, et me reprennent jusqu’à jouir une troisième fois.
J’ai leurs spermes mélangés plein le cul, ça s’écoule, et ils lèchent et s’embrassent.
Ils n’ont pas menti sur leurs performances, et sont toujours au top, la bite bien tendue. La mienne l’est à nouveau.
On est tous les trois debout, à regarder avec désir nos belles bites en pleine érection. Guillaume s’approche de moi et me prend le manche à pleine main:
— Elle est belle ta queue!
— Merci, mais elle n’est pas aussi longue que les votre.
— Non, mais elle est plus épaisse, on doit bien la sentir. Ca te plairait de me la mettre?
— Avec plaisir mon chéri. Tu permets que je te dise mon chéri?
— Oui, je permets tout. Encule moi, j’ai envie.
Il se retourne, se penche, suce ses doigts et se fouille quelques secondes, avant de me dire qu’il est prêt. Je viens derrière lui et je l’enfile d’un seul coup:
— Oh, salaud! Oh putain, c’est bon! Vas-y, casse moi le cul, elle est bonne ta bite…..
Je le baise, l’encule, avec un immense plaisir. C’est la première fois que je me fais un jeune de dix-huit ans, un petit enculé de toute beauté, et je suis comme un fou. Je voudrais le défoncer, mais il faut que je réserve mes forces pour son copain, étant persuadé qu’il voudra lui aussi que je le sodomise.
Je pilonne Guillaume, et son ami vient lui donner sa bite à sucer. Il l’embouche sans hésiter, et on se le fait à deux, comme ils l’ont fait pour moi.
Ils changent de place, et c’est Yannick qui m’offre son fion, tandis que son pote lui baise la gueule. Il est bon son petit trou, autant que celui du plus jeune, bien serré, ces deux petits salauds n’ayant pas connu d’autres queues que la leur, longue c’est vrai, mais fine.
On change à nouveau, je reprends Guillaume, et Yannick me prend. Je suis en sandwich, ma bite dans un cul, et une bite dans le mien: oh, le pied, putain que c’est bon.
Mon enculeur éjacule une nouvelle fois entre mes reins, puis c’est au tour de son pote de me farcir.
Ils me bouffent à nouveau le cul tous les deux, pour savourer leurs semence, puis me retournent et me pompent à fonds pour un supplément de foutre.
Je suis vidé, mais eux sont toujours en pleine forme. Ils me baisent par les deux trous, la bouche et l’anus, encore et encore. Ils déchargent à volonté dans mes orifices affamés et assoiffés. Je nettoie leurs bites et je me torche le cul pour récupérer leurs abondantes éjaculations et m’en goinfrer.
Ils doivent bientôt partir, et vont s’occuper de Jean-Claude. Ils l’enculent tous les deux en même temps, une double sodomie dont le vieux raffole. Sa bouche est libre, ma queue reprend vie, et je lui donne à sucer.
Les jeunes le baisent longuement, ce qui me laisse le temps de jouir dans la bouche de notre hôte. On se retire tous les trois, les minets nous donnent leurs bites à nettoyer, puis ils terminent en se faisant un 69 gourmand.
Ils éjaculent l’un dans l’autre, en même temps, garde tout, et se roule une pelle au sperme avant d’avaler.
Ils sont ravis de ma participation, et on prend rendez-vous pour la semaine prochaine.
Ils vont à la salle de bain pour se laver, puis s’en vont.
Je reste avec Jean-Claude. Il est chaud comme de la braise, et je vais devoir assurer.
Fin