LES ANCETRES DE PATRICK
Notre rencontre avec Henri.
(Le père de Patrick.)
Avec ma femme Martine, nous écumons depuis des années les boites de rencontres.
Une année pendant nos vacances, j’ai dégoté une maison spéciale ou l’on pouvait observer dans une salle centrale des couples ou des groupes de personnes en train de faire l’amour.
Ses pensionnaires draguent des inconnus et jouent de leur charme pour les ramener dans cette pièce et, inconscients du fait que la scène est vu par des illetons donnant sur de petites alcôves avec un divan, ils se donnent à plein pour honorer leur conquête.
Cette vue nous excite énormément et nous tirons en même temps un feu de joie des plus délicieux.
Nous sommes tous deux agenouillés sur le divan jouissant des plaisirs langoureux qui suivent l’acte, lorsque nous entendons des soupirs et des exclamations obscènes qui viennent d’à coté.
Eux aussi nous ont entendus et sont en pleine copulation. Nous faisons connaissance en sortant de cet établissement et comme nous avons la même lubricité, nous tombons d’accord pour nous retrouver chez eux et échanger nos partenaires.
Une fois chez eux, nous nous déshabillons rapidement, ma nouvelle compagne est splendidement faite, avec une abondante toison triangulaire au milieu de laquelle se dessine une fente toute rose, c’est une belle blonde. L’ayant étendue sur le lit, je me mets à lui lécher le clitounet très apparent et dardé. Pendant ce temps, elle examine ma verge, déclarant qu’elle n’en a pas encore vu de si grosse et l’embrasse aussitôt, je fais un bon 19 cm. Elle m’avoue.
— J’ai pour la première foi une vraie queue devant les yeux, quelle merveille!
Je prends sa main que je dépose sur mon sexe. Elle la prend délicatement entre ses doigts et entreprend de le décalotter doucement, laissant entrevoir un gland luisant. Elle décide de le sucer un peu puis de le lécher. Je pousse alors sur sa tête pour l’introduire dans sa bouche. Elle se retrouve avec mon gland complet en bouche, l’aspirant et le faisant glisser sur sa langue. Sa main imprime le rythme des va-et-vient et la profondeur de la pénétration de mon sexe dans sa bouche. Il va maintenant de plus en plus profond et bute sur son palet. Tout à coup mes cuisses se raidissement .
Heureuse à l’idée de sentir du sperme dans sa bouche elle se redresse. C’est au moment de la sortie de mon engin de sa bouche qu’une grosse giclée de sperme asperge son visage. Je la maintient fermement par la nuque et réintroduis presque de force mon boutefeu dans sa bouche pour redémarrer des mouvements plus vifs et ma bite va encore plus profond. Elle ne peut rien faire d’autre que d’avaler mes giclées de sperme.
L’autre couple a procédé de la même manière que nous mais met plus longtemps pour arriver à la 1ère conclusion.
— Tiens! Je te donne tout, je me déverse en toi! S’écrie Jean.
Nous sommes ravis du changement de partenaires et varions les plaisirs.
L’homme est un rapide, sa queue a déjà retrouvé toute sa vigueur et se dresse tel un fier étendard.
Putain ! Ce mec a une bonne vitalité sexuelle. Il me faut un peu plus de temps pour retrouver une érection. Je m’assois dans un fauteuil pendant que Sophie, sa femme redonne vie à ma chose toute flasque. Avant que je comprenne ce quil a en tête, il saisit ma femme par la taille et la soulève.
Ne comprenant pas plus que moi, elle se laisse faire et il la hisse sur moi où elle vient sempaler sur mon braquemart. Elle émet un petit « Ho ! » surpris en écarquillant les yeux.
Il veut nous voir baiser devant lui ? Et bien pourquoi pas ! Il actionne le mécanisme dinclinaison du fauteuil, nous obligeant à adopter une position plus allongée.
Cela ne la perturbe pas, elle persiste à me chevaucher activement, le laissant lui reluquer larrière train sans complexe.
Soudain, je la vois ouvrir de grands yeux et sa bouche largement ouverte forme un O parfait en laissant échapper un tout petit cri étranglé.
En sentant ses parois vaginales se resserrer étroitement sur mon sexe, je comprends immédiatement lorigine de sa soudaine surprise. Jean est en train dinvestir lentement lautre orifice de ma femme, le dernier quil na pas encore visité.
Nous avons déjà expérimenté la sodomie mais, jusquà ce jour, nous n’avons jamais eu loccasion de pratiquer une double pénétration.
Il enfonce inexorablement son phallus entre les fesses de ma femme, la paroi est si fine entre les deux cavités et je sens si parfaitement son gland faire son chemin dans le rectum de ma chérie le long de ma propre verge que jai presque limpression que cest moi quil pénètre.
Il commence à la pilonner lentement et quelques secondes suffisent pour quelle atteigne lorgasme, je devrais dire les orgasmes, car ça ne sarrête plus, nous accélérons le rythme et elle crie de plaisir tellement cest bon. Enfin, je le sens se raidir, sa bite se vide à grosses giclées tout au fond de son cul, je continue à limer ma femme avant de me vider en elle, mon sperme rempli son vagin et elle a un dernier orgasme juste avant que l’on ne se retire.
Nous avons variés les partenaires et les positions jusqu’à l’épuisement.
Avant de nous quitter, notre hôte Jean veut nous faire une proposition.
— Je peux vous présenter à un jeune étalon de ma connaissance, même Julie ma femme ne le connait pas et je vous promet quelque chose de rare que votre vie de débauche n’a sûrement jamais connu, vous aurez du mal à en croire vos yeux, mais vos corps vont s’en souvenir toute votre vie! Tout est disproportionné chez lui, mais je ne veux pas vous gâchez la surprise. – Mais Pascal, J’espère que tu n’es pas un homme jaloux car même à deux nous ne faisons pas le poids comparé à lui!
Alléché par ses sous-entendus, nous acceptons avec joie. Je crois quand même qu’il fabule grave, notre ami Jean.
Nous nous retrouvons donc le lendemain et faisons la connaissance d’Henri, un très beau jeune homme.
Je pousse Martine dans la direction d’Henri. Jean lui demande de le dévêtir, elle commence par lui ôter sa chemise découvrant un torse musclé, puis s’attaque au pantalon qui rejoint très vite la chemise. Il est en slip, nous voyons son sexe qui déforme le tissu. Ma femme abaisse ce dernier rempart et se retrouve à quelques centimètres d’un mandrin qui pend le long de ses cuisses, cette bite au repos mesure dans les 18cm, pratiquement aussi longue que la mienne qui fait déjà 19 cm en érection sur 4 de large. J’en reste baba.
– Ca alors! C’est de la queue !!!! Son engin tape contre ses cuisses à chaque mouvement. Ma femme a un regard curieux sur ce sexe inhabituel vraiment hors norme. Je vois au bout de quelque temps que l’entrecuisse de ma femme s’est soudain modifié, ses lèvres sont gonflées et son vagin s’ouvre tout seul avec une belle couleur rouge vermillon, on peut voir qu’il est tout ruisselant de mouille! Henri l’a aussi remarqué et sa bite semble de plus en plus lourde et longue mais elle pend toujours. Elle approche donc sa main et saisit cette verge douce et chaude.
Je lui suggère.
– Met toi à genoux, tu seras plus à ton aise pour tâter le morceau!
Jean rigole devant le comique de cette situation. La queue d’Henri fait des soubresauts dans sa main. Elle se met donc à genoux et commence à caresser ce gode vivant taille XXL. A chaque caresse sur son gland, je le voit prendre du volume. Les vaines saillantes forment un lacis enchevêtré sous la peau tendue. Il est devenu d’une grosseur monstrueuse.
– Elle est magnifique, vraiment on en mangerait, je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir! S’extasie Sophie, notre hôtesse. Et elle s’agenouille à coté de Martine, met un peu de salive sur la paume de sa main et en enduit le gland trigonocéphale puis fait glisser sa main sur ce phallus géant.
Il ferme les yeux pour mieux apprécier pendant que je me masturbe ainsi que Jean. Sophie agite toujours sa main sur le membre aidée de Martine. Il est énorme, d’un diamètre exceptionnellement large, au moins 6 cm de diamètre sur 24cm. Je suis extrêmement excité par la vue de cet engin. Il présente sa queue devant le visage de Sophie. Elle adore sucer une bite et une de cette taille l’excite encore plus. Elle ouvre toute grande sa bouche et gobe ce bout monstrueux. Le gland, puis une bonne longueur de la hampe glissent avec difficulté dans la bouche de la suceuse, en forçant le passage des lèvres qui ont bien du mal à laccepter, engloutissant un maximum de son membre.
Il soupire. – Aaahh! Tu suces comme une déesse, continue! Elle accède à sa demande. Mais cela ne suffit pas à son amant qui pousse doucement son sexe plus en avant, tout en bloquant la tête de Sophie entre ses mains. Enfin le pieu qui a pris possession de sa bouche ressort doucement, lui laissant juste le temps de reprendre sa respiration, avant de repartir de lavant pour aller, cette fois, tout au fond de sa gorge, déclenchant un réflexe de reflux. Cette fois elle a absorbé les trois quarts de la queue et je fantasme de voir bientôt moi aussi mon sexe englouti jusquaux couilles dans cette bouche. Henri recommence une dizaine de fois le viol consenti de la bouche de sa baiseuse mais elle ne peut tout l’absorber.
Martine prend la relève et engloutit lentement au plus profond de sa gorge ce pieu si impressionnant. Je peux voir ses lèvres qui semblent ramper et onduler le long de la tige, gagnant millimètre après millimètre, jusquà venir buter sur le pubis et les couilles. Incroyable, ma tendre épouse se révèle capable dun exploit que peu de professionnelles de la fellation peuvent atteindre. Quand je pense quelle arrive à lui faire une gorge profonde avec un sexe de cette taille. Le gland a dû dépasser la luette.
— Bravo! Une seule femme a réussi avant toi et elle avait une sacrée expérience. Dis donc, tu caches bien ton jeu, jen connais un qui doit apprécier et qui a de la chance.
Elles se relaient sur ce colosse de chair depuis près d’un quart d’heure mais n’arrivent pas à le faire jouir. Jean et moi n’avons pu résister et avons jouis à tour de rôle dans la bouche en attente de cet énorme phallus.
Et enfin le grand moment arrive, il se retire, saisit sa verge turgescente et envoie en lair un premier jet de foutre surpuissant qui monte bien haut avant de retomber sur Martine , elle en a plein le dos, des fesses jusque dans ses cheveux. Les suivant sont nombreux et aussi puissant. Cest bien la première fois que je vois tant de sperme sortir du même endroit. Je finis de me branler sans arriver à jouir.
— Ok, ca suffit, il est temps que je vous baise!
Son sexe est toujours au garde à vous, il n’a pas débandé du tout, le mec!
Et là, plus de douceur, plus de tendresse, il relève Sophie, la dépose sur le canapé, la poitrine contre le dossier, écarte ses cuisses et dun coup, sans préambule, lempale sur son mastodonte!
-Aaaahhhh arghhh mais tu es fou, tu me fait mal!!!
Hurle t’elle les larmes aux yeux.
Il sort son énorme queue pour la rentrer plus fort encore, recommence, encore et encore. Elle crie sa souffrance mais après quelques minutes commence à ressentir des ondes de plaisirs lenvahir. Il la défonce et elle en redemande.
-Taime ça, dis le que taime ça!
-Oui ouiii cest bon, jadore ta queue au fond de ma chatte, défonce moi!
Il la retourne, pose les jambes sur ses épaules et senfonce de nouveau, plus profondément encore. Après 15 minutes de ce traitement, il se retire, en nage, la bite toujours fièrement dressée et ordonne à Martine de prendre sa place.
Viens ! D’une seule poussée il entre de plus de la moitié dans sa grotte d’amour, il pèse sur son ventre. Il avance encore. Martine bascule son bassin et écarte encore (si cela est encore possible !) ses cuisses. Une dernière contraction de ses reins et cette fois il est entré pratiquement en entier. Son gland vient buter conte le col de son utérus. Elle est pleine, remplie, son sexe est complet, ne peut plus rien accepter. Chaque poussée vient taper un endroit que jamais personne ne semble avoir touché.
Elle jouit brutalement sous la pénétration profonde, souvre encore. Elle lui donne son sexe.. Il sent qu’elle jouit. Il entame une cavalcade, une courte série de va et vient. Il accélère la cadence. Elle nen peut plus. Il la pilonne de longs coups de reins. Chaque butée lui fait pousser des petits cris. Il accélère le mouvement, la possède "à fond", la remplit, lui défonce le sexe de longues minutes… Jamais je ne l’ai vu connaître une telle jouissance, un tel plaisir sous ma queue. Elle crie sous la violence de lorgasme… Elle est un jouet au bout de son sexe démoniaque. Mais cest trop bon. Je gémis en la regardant dans les yeux qui lui disent tout mon plaisir de la voir se faire défoncer par cet étalon sauvage. ¬ Elle crie son bonheur, sans limite comme une bête. L’intellectuelle a cédé la place à une femelle qui jouit sous l’étreinte d’un mâle qui la besogne interminablement, sous les regards de 2 hommes en rut. Je lui envoie ma semence sur la bouche, dans la bouche. Jean fait de même avec Sophie, elle ne s’en occupe pas, l’autre l’embroche violemment. – Mais quand même, il doit bien éjaculer de temps en temps et du coup avoir un peu de mou dans la tige? dis-je en rigolant.
Elle gémit toujours. Il la prend durant dix minutes dans cette position, contre laquelle elle ne peut pas se défendre. Puis elle le sent s’immobiliser au fond de ses entrailles, il éjacule. Un gros jet de sperme vient d’inonder son vagin. Il projette d’énormes quantités de foutre continuant inlassablement à se vider les couilles en elle. Son sexe toujours aussi dur et tendu ne débande pas et crache sa semence par vague. Martine s’exclame. – Bon sang, c’est incroyable, mon mari crachouille comparé à lui, il se vide par flots, mon sexe
déborde de foutre !
Il ne répond pas. Son engin est toujours aussi dur et tendu. Il accélère le rythme et s’arque boute dans son sexe faisant ressortir la semence de sa grotte d’amour sous la pression de son fabuleux piston de machine. Ca gicle de la moule de ma femme et macule leurs corps. Il s’affale sur elle, couverte entièrement elle émet un gémissement insensé, sans cesse donnant de rapides coups de bassin pour chercher la bite, prolonger la pénétration. Elle ne ressent plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de son énorme bite turgescente. Il se relève, son manche de pioche est toujours aussi gros et dur, ce qui commence à m’inquiéter, je n’ai jamais connu un tel étalon. Jean nous interroge en riant. – Alors! Quand pensez vous, je n’ai pas exagéré? Et ce n’est pas encore fini! – Oui sans conteste, un sacré mâle! Rétorque Martine.
Henri reprend la parole. – Si vous êtes tous d’accord, je vais vous sodomiser tous les quatre! Nous n’en revenons pas de sa proposition mais je veux savoir ce que ça fait de prendre un tel monstre dans le cul.
Nous donnons nôtre accord mais il propose qu’avant de passer à son calibre d’aléser les fions avec de plus petits diamètres. Nous trouvons son idée géniale et à tour de rôle Jean encule les femmes puis passe et applique son gland turgescent sur mon fion, sa verge est entrée entièrement sans trop d’efforts. Puis les lents va et viens de Jean ont progressivement éveillé mon plaisir poussant mon derrière vers son sexe afin de me faire pénétrer encore. Je fais de même avec mon calibre largement supérieur mais je ne tire qu’une petite grimace de mes partenaires déjà préparées par Jean avant que leur plaisir ne reprenne le dessus. Henri nous regarde entretenant son érection avec sa main et nous informe. – A mon tour, à toi Sophie! -Vas-y bourre la. Puisque c’est ce qu’elle veut! Prend là par devant, qu’elle puisse profiter aussi du spectacle. Je veux qu’elle voit ta matraque! Suggère son mari.
Henri lui fout un doigt dans la fente et s’aperçoit immédiatement qu’elle dégouline. – Elle a l’air d’en vouloir ta bonne femme ! Elle mouille comme une chienne en chaleur ! Son mari lui passe une main dans l’entrejambe pour vérifier et hume ses doigts qu’il vient de fourrer sans ménagement dans son intimité.
— Hum, prête à point ! J’ai hâte que tu la bourre.
Henri la prend par les hanches et il présente son pénis à l’entrée de son antre.
Son trou du cul bien qu’alésé résiste.
— Je ne rentre pas, tu n’es pas encore assez dilaté de lanus petite chienne Il écarte ses fesses, crache sur son anus puis sa langue entre en action, il lubrifie l’illet, l’assouplit, se redresse et place son gourdin contre son temple de Sodome. Il la prend par les hanches, la tire et avance son bassin, et appuie son gland violacé sur son illet entrouvert mais son sphincter recrache la queue …. la douleur est terrible. Il pousse encore, l’anneau cède et le gland volumineux pénètre lentement. – Aiiiiiiiie !!!, c’est insoutenable! S’écrie Sophie en se tordant de douleur. – Noooon c’est trop groooos !!!
Il arrête quelques secondes puis reprend la poussée.
– Aaaaaah ouaaaaaaaauh !!! le monstre est enfoncé au trois quart, il se retire de quelques cm puis replonge d’un coup violent….la voila empalée jusqu’au couilles.
— Ca a été ? Je ne tai pas fait mal ? – Jai eu limpression que tu me déchirais mais cest bon maintenant, tu me fais mal, mais les douleurs font place au plaisir!
Ses gémissements lui font comprendre qu’elle apprécie énormément cette pénétration, elle gémit de plus en plus fort.
– Jai jamais eu un truc aussi gros dans le cul et en même temps je sens que je ne vais pas tarder à venir! Il la besogne une dizaine de minutes puis décide que c’est au tour de Martine.
Je la connais bien, elle est très serrée et se laisse rarement prendre par là mais accepte le défit.
Entièrement offerte, largement ouverte par les deux pouces de ce mâle et préparée par nos soins, elle n’esquisse aucun geste et attend passive la pénétration impossible. Le calibre de la bite semble encore plus gros qu’avant, un bon gros salami, le gland violet, gonflé ne passera jamais!!!! Il pousse du bassin, mais glisse sur les reins de ma femme. Il réessaye trois fois mais sans succès. Il lubrifie abondamment son cul et sa bite. Elle l’encourage.
— Viens, viens, viens! Autour chacun se secoue la queue. L’étalon saisit sa verge gluante et la tient appliquée contre l’anus de ma bien-aimée, elle pose elle aussi une de ses mains sur cet imposant phallus pour aider cette intromission si douloureuse, il pousse en avant et je vois s’ouvrir son anneau.
Ma femme ouvre la bouche en grand, sans respirer, concentrée sur la sensation. Le gland massif se fraye un passage et efface le sphincter qui l’avale. Elle pousse un hurlement de folie. Voilà, il est fiché dedans ma belle enculée.
L’homme ne bouge plus, son sphincter s’est resserré juste après le passage de son énorme gland en forme de champignon, les vingt centimètres restants de son sexe patientent une dizaine de seconde à l’extérieur de ma femme. Ma femme? La sienne plutôt! digne d’une actrice d’un porno hard.
La tension sexuelle est forte, Martine les yeux vitreux ne fait aucun cas apparent de nous qui nous branlons devant elle, le regard perdu elle subit. L’étalon fait coulisser sa verge en avant, arrachant un long râle à sa partenaire, la femme de ma vie, sa bite de cheval lui parcourant les reins, profond, entrant centimètre par centimètre son phénoménal vit. Elle reçoit sa longueur en entier, les derniers centimètres, les plus gros, lui dilatent son petit trou au-delà de ce qu’elle peut supporter. Et il recommence à besogner, ses reins puissants se retirant pour revenir claquer ses fesses. Je ne sais pas comment elle peut l’accepter, mais elle jouit comme jamais, un seul râle aigu, incessant, sort de sa bouche. L’amant collé à ses fesses la laisse se baiser seule, enfin il se retire avec un bruit de succion, elle reste au sol, le rectum largement dilaté ne se referme plus.
— Ah lhorreur, quelle enculade! sexclame Martine.
— Je la pratique parfois, mais je nen tire pas tellement de plaisir. Et là, vu la taille de lengin, j’ai cru quil méclatait le rectum! Elle se met sur le ventre. Il a comprit et lenfile à nouveau. Il ne débande jamais ce type!!!
Il la pose par terre en lui disant qu’il préfère la levrette, que c’est plus bandant et confortable. Et ni une ni deux, il la reprend par derrière. Sophie en profite pour s’agenouiller devant elle et se fait dévorer le minou par une langue experte. La scène est incroyable. Il s’enfonce plus profond encore que tout à l’heure et l’impression est planante. Quand il finit de la limer et qu’il sent l’éjaculation proche, il se retire les mains toujours sur ses hanches pour décharger sur son dos. Elle est à bout de souffle.
Son monstrueux tuyau en liberté soubresaute sur ses fesses, une première giclée chaude atterrit sur son dos, suivit d’une autre encore plus violente qui s’élève et macule la poitrine de Sophie à plus d’un mètre, et une autre et encore une autre, il n’en finit pas de se vider, même ça est disproportionné chez lui, il l’arrose des fesses aux cheveux de longue giclées épaisses. Il a déchargé trois fois dans la soirée et sa queue débande à peine. Sophie arrive aussitôt, elle lèche les gouttes de jute, puis elle le prend en bouche, lui suce le gland quelques secondes, et hop cest reparti, il enfile Martine à nouveau qui n’a pas eu le temps de partir, ni même de changer de position et la besogne encore quelques minutes avant de ressortir, sa queue débande enfin. – Tu parles dun cas!!!
Il est satisfait, mais je peux enfin m’occuper de ce phénomène. Je vais le laver dans la salle de bain. Jinsiste sur son sexe pour le nettoyer un peu, il est aller si profond qu’il a ramener de la merde. Il bande à nouveau, avec lui il suffit de demander et ça repart illico. Il me demande de le branler encore et il retrouve sa forme olympique. – Je vais de te mettre ma grosse verge dans ton cul, mais il faut prévoir des étapes de dilatation. Tu vas aimer, tu verras.
C’est mon tour, il est toujours aussi raide et gros, il cherche lentrée, jattrape son membre, le lubrifie abondamment et le guide vers mon cul en lui demandant de me pénétrer lentement, je sens son gland forcer sur mon trou ridé.
— Oh, mais ton cul est aussi serré que celui dune jeune fille !
Je me dis "merde, il va menculer le salaud, pourvu quil ne me déchire pas, les 14cm de Jean ne m’ont pas assez dilaté! Il me fait mal, je lui dis que cest trop douloureux, il arrête enfin, il bande comme un taureau.
Mais il ne mécoute plus et, tout en me bloquant, il tente de forcer le passage du sphincter.. Mais il narrive pas à entrer, il plaque ses deux mains sur mes hanches et sans prévenir dun coup de reins, il arrive à faire entrer son gland dans le conduit convoité. Je pousse alors un cri de surprise et de douleur qui aurait fait reculer tout amant inexpérimenté, mais Henri ne se laisse pas démonter et profite de son avantage pour senfoncer jusquà la garde.
Arrête. Non. Oh jai mal, arrête, retire-toi.
— Désolé, je me suis laissé emporter, ça ma tellement excité de penser que jallais prendre ton cul, mais ne tinquiètes pas je suis tout dedans, le plus dur est fait.
Après une ultime résistance, il commence ses va et vient doucement sous le regard de mes 3 voyeurs.
— Magnifique ! Eh bien, mon chéri, je suis heureuse que tu te sois livré entièrement à notre étalon et quil ait pu te faire jouir si fort et par des chemins nouveaux pour toi. Déclare Martine en me prenant en bouche. Sous ces 2 sensations, je ne résiste pas longtemps et éjacule dans sa bouche. Voir ma queue dans sa gorge est un hymne à la fellation et jamais je naurais pensé que mon cul puisse recevoir en entier sans se déchirer ce sexe monstrueux! – Oh, mon chéri, je te remercie de ce beau cadeau que tu mas fait en te livrant sans retenue à notre ami et j’espère que tu a aimé le spectacle! – Quant à Henri, sa réputation nest pas usurpée, cest un étalon hyper membré, endurant et ses couilles fournissent une telle quantité de sperme que je n’aurais jamais cru ça possible. – Dis-moi, as-tu aimé le sucer et avaler son foutre ? As-tu aimé aussi te faire enculer ? Ce nétait pas trop douloureux ? Elle rétorque. – Non, et j’en redemande encore et encore!
Après moi, Henri s’occupe de Jean mais on voit que ce n’est pas la première fois qu’ils font ça ensemble et il lui décharge dans le cul.
Jean et moi ne sommes plus capables de bander après nos nombreuses copulations. Mais Martine décide de reprendre le chibre d’Henri dans sa bouche et en 2 minutes il retrouve une trique phénoménale.
Mais comment fait il?
Alors il enserre sa taille et la soulève comme une plume, la ramène vers lui et lorsqu’elle est au dessus de sa colonne de chair il la laisse retomber brusquement dessus ! Son abricot heurte violement le gland qui est inondé immédiatement de sa mouille et sa grosse tête pénètre au delà des lèvres vaginales distendues à fond comme ses lèvres buccales tout à l’heure!
Il enfonce son mandrin à moitié dans son con sur presque 15 centimètres et après une minute de répit, il entreprend de soulever ma femme et de la laisser retomber et ainsi de suite si bien que plus ça va et plus sa bite rentre dans son vagin mais il ne peut de toute façon pas tout rentrer quand même! Ma femme couine et gémit, douleur et plaisir à la fois! Je suis pour ma part dans une excitation folle et j’ai envie de toucher moi aussi à cette belle bite immense que j’envie. Il me fait signe de venir plus près et je m’approche pour peser dans mes paumes les grosses couilles qui ballotent, j’arrive à bander et voyant le trou du cul de ma femme écarté par ses mains, je fais signe et il comprend très vite, alors il ralentit son mouvement pour que je puisse prendre le train en marche ( ou l’arrière train plutôt!) Je m’enfonce donc d’une seule traite dans l’anus de ma femme et je peux sentir le pénis monstrueux qui est en elle et qui la pilonne comme un marteau piqueur ! Je décharge assez vite dans son cul et en me reculant je le vois dégager ma femme de son vit pour lui envoyer une giclée de sperme tellement puissante que son visage et ses seins sont aspergés d’impact de foutre qui dégouline! Il débande enfin. La bite ramollie est encore plus impressionnante, elle ressemble à la queue d’un cheval !
Nous partons enfin prendre une douche ensemble pour nous laver.
Mais Sylvie veut tirer un dernier tribut d’Henri et s’agenouille devant son tuyau flasque.
— Je parie qu’elle n’y arrivera pas! Jette Martine un peu jalouse.
Il lui faut beaucoup de persévérance mais sous les caresses conjuguées de ses 2 mains et de sa bouche, nous assistons de nouveau à la croissance de cet obélisque. Lentement il grossit et grandit forçant la bouche de Sylvie à s’éloigner de son ventre sous la poussée de son monstre.
Il lattire sur lui et la presse sur son torse. Il la soulève par le dessous de ses cuisses, il va la baiser debout !! Elle se tient à lui comme elle peut, il la soulève pour la faire redescendre sur son pal. Il enfonce la totalité de son gourdin, faisant disparaitre entièrement son pénis au fond de ses reins. Il la hisse un peu trop haut et son sexe bien droit s’éjecte de son illet et il a du mal à lintroduire à nouveau. Martine se précipite, le suce un coup et le guide de sa main pour qu’il l’embroche à nouveau. Il la bourre ainsi de longues minutes, la maintenant solidement et toujours emmanchée il lemporte sur le lit tout proche, son membre en pleine érection enfiché jusqu’aux couilles dans son derrière.
Il continue de l’enculer, sa bite poursuit son chemin dans son antre. Il la transperce, ses couilles maintenant battent sur ses fesses, il ahane et souffle de plus en plus. Ses mains sur ses hanches accélèrent le mouvement, ses fesses claquent, Chaque poussée de sa queue dans ses reins la tord de douleur mais aussi de plaisir. Elle hurle.
— J’ai même plus mal putain ça devient même très bon !!!vas y encules moi à mort, fais moi jouir par le cul !!!
Il sort la queue de son cul, et vient plonger dans sa chatte pour se lubrifier correctement le chibre. Le contraste est saisissant, autant la progression dans son cul était lente, autant sa queue s’enfile jusqu’à la garde dans sa chatte sans résistance.
Il prend ses seins dans ses paumes, les pétrit les malaxe. Il se retire brusquement et s’écrie. – Suce moi maintenant!! et il enfourne difficilement le mandrin qui est toujours gonflé entre ses lèvres, elle tète sa monstrueuse bite.
Il décharge une quantité énorme de sperme dans sa bouche. Continuant inlassablement à se vider les couilles. Son sexe toujours aussi dur et tendu ne débande pas et crache sa semence par vague. Bon sang, c’est incroyable, il se vide par flots, comment peut-il en avoir encore autant dans les burnes?! Elle essaie de déglutir mais ne peux suivre le rythme, 2 filets de foutre coulent aux coins de ses lèvres. Il bande toujours, un vrai cas clinique.
Son sperme sort en longues saccades, Henri jouit pleinement, les yeux fermés, il n’arrive plus à débander ce salaud et reprend ses petit va et vient dans sa bouche pendant quelques minutes avant de se retirer.
Et c’est ainsi que se termina cette mémorable journée.
Nous avons eu d’autres occasions de revoir Henri. Cet amant extraordinaire. Cet étalon infatigable.
Jamais nous n’avons pu retrouver d’homme capable de tels exploits.