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Les animaux de Priape – Chapitre 9

Les animaux de Priape - Chapitre 9



Ce soir là, nous étions prêts pour la cérémonie qui devait, une fois de plus, nous conduire au bout du monde ou, en tout cas nous permettre de voir ma femme y aller et s’y faire démonter par tous les trous.

Nous étions tous déjà nus. Méfistophallos bandait déjà dur. L’eau frémissait déjà dans la cuve de bronze mais il ne se passa rien. Nous attendions étonnés. Rien.

Après une très longue attente, déçus, nous comprîmes que cette fois, la magie n’opérait plus. Que se passait-il ? Avions nous déplu au dieu du sexe ? Nous étions-nous trompés ?

Méfistophallos tournait en rond, le sexe de plus en plus figé, suintant abondamment. Soudain il se figea et regarda vers la porte. Quant à ma femme, sa chevelure gonflait, ses seins pointaient de plus en plus fort et elle basculait progressivement vers les transes sexuelles de son office de grande prêtresse.

Méfistophallos s’élança vers la porte et, pour la première fois, il sortit de la crypte. Pacôme, Aldéric et moi étions très inquiets. Un monstre pareil dans la nature, cela ferait du bruit dans le pays, mais que faire ? Le monstre était d’une telle force qu’aucun de nous n’aurait pu le retenir.

Aldéric dit : "Il revient, il revient… mais il n’est pas seul…. pas seul… ce soir, les enfants de Priape vont perdre leur virginité" !

Il s’écoula deux à trois minutes. Ma femme, s’était mise à genoux, jambes écartées, puis avait basculé son corps en arrière offrant sa moule à qui voudrait la pendre. Et ma queue était parée pour. Dans l’ombre on vit apparaître deux personnes vêtues de capes et, derrière, nous reconnûmes la silhouette de Méfistophallos.

Mes yeux ne voulaient pas croire ce qu’ils voyaient. C’étaient mes enfant, mon propre fils et ma propre fille qui avançaient.

–  Buvons ! dit Pacôme.

Attrapant un gobelet, nous le plongeâmes dans la cuve et en prîmes chacun une grande rasade. Elle eut pour effet de lever toute inhibition.

Toujours derrière mes enfants, Méfistophallos détacha leur cape dévoilant leur nudité. Je les savais superbes tous les deux mais je ne les avais jamais vu nus depuis leur enfance. Ma fille ressemblait à sa mère. Ses formes étaient parfaites, à faire bander un mort. Mon fils arborait un sexe colossal dont la masse mole se balançait majestueusement à la cadence de ses pas. Il me parut beaucoup plus poilu que d’habitude, du pubis jusqu’aux tétons, sans oublier ses cuisses massives. Il paraissait extraordinairement viril, presque animal.

Il s’approcha de sa mère puis fut debout devant elle. Il n’y eut aucun mot échangé. Sa bite se déploya majestueuse au dessus d’elle.

Méfistophallos déploya alors sa langue, il lui caressa le bout de la queue et alors il s’opéra une stupéfiante métamorphose. Sa bite grossit encore et le gland se transforma et devint exactement semblable à celui d’un cheval.

Mon fils regarda le bout de sa pine d’un air absolument consterné et désemparé. Puis il échangea un coup d’il avec Méphistophallos et ils se comprirent immédiatement, alors, désormais visiblement satisfait de sa bite, son visage s’éclaira d’un immense sourire de contentement.

Alors il s’allongea sur sa mère et la saillie commença. Il n’y eut pas de préliminaires. L’énorme gland se fraya un passage entre les grands lèvres. Puis il se mit à aller et venir. Ma femme dégustait et changea de position pour se mettre en missionnaire. Il s’allongea sur elle, se campa sur ses deux bras et la tête basculée en arrière, les yeux fermés il se mit à la troncher avec ardeur.

Et il gueulait : "Putain,que c’est bon la baise ! Oh la vache ! Pourquoi vous m’avez pas fait faire ça avant ? Ça glisse tout seul. Tu la sens ma grosse queue hein ? C’est bon, hein salope, tu kiffes ma grosse queue de cheval hein" ?

Ma femme encaissait les coups avec beaucoup de plaisir qu’elle manifestait à hauts cris et avec force caresses.

Ma fille se mit à quatre pattes à côté et Méfistophallos se mit à la grimper mais sans la pénétrer autrement qu’avec la langue qui se baladait dans tous les trous et glissait sur tout le corps avec les contorsions et les sinuosités d’un serpent et la rapidité d’un lézard. Les mains pétrissaient les nichons. Les deux autres hommes et moi regardions, terriblement excités.

Je n’y puis plus tenir. Il fallait que je prenne cette croupe dressée et je m’approchai bien décidé à tirer mon coup mais Méfistophallos m’écarta avec violence.

Je compris que je ne pourrais rien faire tant qu’elle ne serait pas dépucelée. Et comme le monstre ne l’avait pas encore déflorée en dépit d’une queue tendue à tout rompre qu’il appliquait sur toutes les parties de son corps en laissant d ’énormes traces de mouille pareilles à la bave qu’un escargot géant aurait laissé dans son sillage, je compris que quelqu’un d’autre s’en chargerait. Mais qui ? La statue du faune était en train de changer de couleur. Il reprenait vie. Un chien aboyait et allait bientôt apparaître sans doute…

Je n’eus pas longtemps à attendre. L’inexpérience joua en faveur de mon fils et il jouit rapidement.

–  Bordel de merde. C’est booooooooon Tu la prends ta dose, là hein salope, tu la prends. Tu les sens les giclées là ?

Visiblement ses couilles étaient bien pleines car cela coulait abondamment et la pièce s’emplit immédiatement d’une très forte odeur de foutre.

Quand, enfin il put extraire sa bite du trou dégoulinant, elle avait repris sa forme humaine et dégonflait rapidement. Alors il se mit au cul de sa sur pour bien lui renifler la moule puis la lui lécher ainsi que le trou de balle. Méfistophallos pendant ce temps lui agaçait les tétons du bout de sa langue tentaculaire.

Puis sa langue rampant toujours comme un serpent, s’en fut vers le nombril, s’immisça entre la raie et la langue de mon fils. La langue continua à se dérouler à s’étendre et parvint à nouveau à la verge autour de laquelle elle s’entortilla jusqu’à ce qu’on ne la voit plus du tout puis, la libérant tout à coup elle dévoila un nouvelle et complète métamorphose. Cette fois, c’est tout le sexe et pas seulement le gland qui s’était transformé. C’était un sexe de chien. Un énorme sexe de chien, très pointu, rouge vif qui pissait déjà et qui palpitait tout en enflant prodigieusement à la base.

Ma femme ordonna

–  Vas-y, Fais lui sauter l’opercule. Déflore cette petite trainée qui n’attends que cela Et fait vite. Ta boule va tellement enfler que tu ne pourras plus la monter après convenablement.

Mon fils agrippa donc sa sur par les hanches et poussa l’énorme pic rouge dans la fente offerte et humide. Un cri perçant déchira nos tympans. Du sang coula. La pine fut poussée au bout et, m’étant allongé derrière de façon à bien voir, je constatai que l’énorme bulbe continuait sa croissance écartant les chairs du con.

Le jeune mâle déboitait la jeune femelle avec frénésie. La mère se mit devant la fille afin qu’elle lui léchât la moule encore toute remplie du foutre familial.

C’était une putain de bonne scène de cul.

Ma femme commandait comme rarement je l’avais vue faire.

–  Déboite-lui la chatte à cette petite pute. On voit bien qu’elle attendait que cela. Et Vous, préparez vos bites. Il va falloir la fourrer par tous les trous cette salope !

Cette dernière réplique s’adressait à nous mais aussi au faune et à Méfistophallos dont les tiges gigantesques bandaient avec furie autour de la scène.

Aussi dès que mon fils eut vidé ses couilles dans la chatte de sa sur, le faune prit-il sa place pour la bourrer toujours en levrette, inaugurant le plus lubrique des gang bangs.

Ma fille exultait sous les coups de bite. Les secousses du faune vibraient dans tout son corps agité d’un gigantesque séisme sexuel. Sa bouche cherchait toujours une bite avec avidité et nous alternions dans la tâche de la satisfaire.

La bite de mon fils avait repris sa forme humaine mais avait atteint des proportions portenteuses telles qu’aucun homme n’en a jamais connues. Elle dépassait sûrement les 30 cm, était courbée comme un arc et les gland luisait dans sa colossale rondeur. Et surtout, comme pour nous tous, à chaque fois qu’il se soulageait les burnes, la bite, après quelques secondes de repos, reprenait une vigoureuse turgescence et on pouvait retourner dans l’action.

Ce fut donc une sarabande de sexe. Nous pouvions bander et éjaculer autant de fois que nous le désirions, à volonté. Il faisait juste très soif mais il y avait de l’eau à profusion pour nous désaltérer.

Ma fille encaissait les six majestueuses verges non seulement sans difficultés mais, bien plus elle semblait avoir toujours fait ça. On la prenait par tous les trous, elle sautait sur les chibres, les dévorait avec ardeur, gobait les roustons, avalait et ruisselait de sperme. Mais, même en lui faisant des triples pendant qu’elle suçait, il n’était pas possible de satisfaire que quatre mâles en même temps. Ma femme reprit donc du service pour soulager les deux bites toujours en mouvement qui patientaient avec difficulté et, bientôt, côte à côte, elles encaissaient les sexes avec force cris de jouissance.

Au fur et à mesure qu’on les remplissait de foutre, les femelles semblaient redoubler de résistance. Les nichons de ma fille avaient presque doublé de volume et les braquemarts s’y épanouissaient, lâchant leur sauce en l’air quand, pris par la pression trop forte que les deux mamelles comprimées par des mains expertes, ils arrivaient à un nouvel orgasme incapable à contenir.

C’est alors que surgirent un représentant de chaque espèce animale qu’il nous avait été donnée de voir dans nos soirées d’initiation, un chien, un cheval, un taureau et un singe.

Tour à tour, ils grimpèrent sur ma fille alors que Pacôme, Aldéric et moi étions désormais dépourvus de la capacité de triquer à volonté. Nous étions spectateurs impuissants mais intéressés, rendus à notre faible condition humaine.

Seuls mon fils, Méfistophallos, le faune et les animaux bandaient encore, et très vigoureusement mais seuls les animaux et mon fils continuaient de niquer. Quand mon fils pinait sa sur en même temps que n’importe quel animal, sa queue, par mimétisme, en prenait la forme et les proportions…. et c’était vraiment très impressionnant.

Chacun son tour, les animaux la remplirent de semence. Il ne restait plus que mon fils à l’uvre.

Méfistophallos s’en fut alors vers la cuve, prit une coupe, la tendit à ma femme qui y ajouta du sperme pris sur le corps de ma fille, ce qui n’était pas

bien compliqué vu qu’elle en était couverte de partout, et directement au chibre de mon fils lorsqu’il éjacula pour la dernière fois. Puis on nous en fit boire et, lentement la torpeur nous prit.

A suivre

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