Jeannot, trente huit ans, est marié avec Estèle, superbe blonde de trente deux ans. Le couple s’entend à merveille, mais, depuis quelque temps, Jeannot remarque un petit flottement dans leurs relations sexuelles.
De plus, sa femme s’absente tous les mardi et vendredi après midi, prétextant une visite chez Nadine, âgée de trente ans, sour de Jeannot.
Il contacte Roger, détective privé, ami de longue date, et lui explique la situation.
-Pas de problèmes Jean, je m’en occupe.
Une semaine, deux, puis trois, rien d’anormal, si ce n’est que ces jours là, Estèle se rend bien chez Nadine. Roger tient son ami au courant de ses investigations.
Jeannot se sent rassurer.
Un mardi après midi, Jean a un client à voir, tout prêt de sa sour Nadine. Il est quinze heures, il décide de se faire payer le café. La voiture de sa femme est garée dans la cour.
Il sonne, pas de réponse. Il tourne la poignée, fermée. Il trouve ça bizarre. Il fait le tour par le garage. Ah, c’est ouvert. La porte de service aussi.
Il rentre sur la pointe des pieds, et se retrouve dans le hall. Il entend du bruit à l’étage, provenant d’une chambre.
Il monte doucement, pousse légèrement la porte. Il est stupéfait par la scène qui se déroule devant lui. Les deux femmes sont nues sur le lit, enlacées.
Les langues se nouent entre elles, les mains recherchent les parties intimes.
Jeannot hésite. Fait-il un scandale, ou profite-t-il du spectacle. Il choisit la deuxième solution, beaucoup plus excitante.
Estèle est allongée sur le dos, jambes écartées.
Nadine est sur le côté. les langues sont toujours en contact.
-Si nos époux savaient ça, murmure Nadine, qu’on se gouine toutes les deux.
-Ne pensons pas à ça, répond Estèle, profitons de l’instant présent. Regarde comme je suis ouverte, s’il te plait, caresse moi la chatte.
-Tu me supplie maintenant, sourit Nadine. tu aimes te soumettre à ta maitresse, hein?
Nadine descend une main entre les cuisses de sa belle sour. Elle décalotte le clitoris, et joue avec les lèvres humides d’Estèle.
-C’est ça que tu veux, petite vicieuse. Tu vas en avoir ma chérie, tout l’après midi.
-Oh oui, chatte moi, ha..ha..oui..oui, que c’est bon, rentre tes doigts, bien profond. Branle, branle, je joui, ouiii.
Nadine a pris les seins d’Estèle à pleine bouche, mordant les énormes bouts.
-Je t’ai bien doigtée, hein? Salope. Tu vois quand tu es sage. Tu en veux encore?
Jeannot se surprend la main dans son pantalon.
-Oh oui, supplie Estèle, caresse moi, vas-y. Moi aussi je vais te caresser.
Les femmes se positionnent en soixante neuf. Les langues commencent leur fouille minutieuse. Les corps ondulent l’un sur l’autre. Les râles de plaisir traversent la pièce. Les muscles se tendent.
Les deux amantes changent de position, pour se placer chatte contre chatte, clitoris contre clitoris. Les bassins se défient à grand coup de reins.
Mais à ce jeu, Nadine est plus forte.
L’orgasme d’Estèle est terrible, inondant le lit.
-Ha, c’est quoi ça? hurle-t-elle, c’est la première fois que ça m’arrive. Oh mon dieu , que c’est bon. Continue ma chérie. Oui..ouiiii.
Quand Jeannot rentre le soir, sa femme est déjà là.
Il l’a prend par la taille, et l’embrasse dans le cou.
-J’ai pensé à toi toute la journée, dit-il, ce soir, je vais bien m’occuper de toi, tu veux bien?
-Bien sur mon chéri, répond-elle. Je suis un peu fatiguée, mais j’assumerai. On a fait du rangement tout l’après midi avec ta sour. Elle m’a demandé d’y aller vendredi.
-Tu as dis oui j’espère, elle est si gentille.
Après le diner, Jean regarde le match à la télé.
A dix minutes de la fin, Estèle monte dans la chambre.
-Je vais me préparer, mon amour, tarde pas trop.