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Les auto-stoppeurs Hollandais – Chapitre 1

Les auto-stoppeurs Hollandais - Chapitre 1



Nous roulions sur la E25 en direction de la France pour nous rendre à Fréjus et y passer nos vacances.

C’était un jour d’été comme on les aime, chaud et ensoleillé sans être caniculaire. La température avoisinait les 27°, le ciel d’un bleu immaculé et l’autoroute pas trop encombrée.

Bref, les vacances commençaient sous les meilleurs auspices.

A peine arrivés au Luxembourg, comme tous bons belges qui se respectent, nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour faire le plein d’essence et prendre notre petit-déjeuner.

Cela fait, nous avons rejoint notre voiture et, avant d’y monter car nous ne fumons pas à l’intérieur de l’habitacle, nous avons allumé (vilain défaut, je sais) une cigarette.

Tandis que nous fumions, un couple de jeunes s’est approché de nous. Ils devaient avoir 19/20 ans au maximum et ne pouvaient cacher leurs origines Batave. Tous 2 étaient d’un blond lumineux, grands et les traits fins. La demoiselle portait une micro-jupe en jeans, un tee-shirt orange qui laissait deviner une poitrine nue en-dessous et des petites sandales à lacets montants sur ses chevilles. Lui était en short, tee-shirt et baskets.

Tous 2 portaient un sac à dos relativement volumineux.

Ils nous ont dit bonjour et nous ont demandé si nous allions vers le sud car ils se rendaient à Nîmes.

Nous leur avons répondu affirmativement et ils ont demandé si nous pouvions les charger pour un bout de chemin.

Eux parlaient et moi je ne pouvais détacher mon regard de la poitrine de la demoiselle. Ses seins n’étaient pas énormes (mais c’est ainsi que je les aime), mais ses bouts terriblement pointus me donnaient envie de les croquer.

J’ai regardé ma femme qui m’a fait comprendre que cela ne posait aucun problème pour elle (dés l’âge de 16 ans elle partait chaque année dans les gorges du Verdon en auto-stop).

J’ai acquiescé et nous avons chargé leurs sacs dans le break.

Nous avons repris la route tous 4 et je dois reconnaître que ils étaient très sympathiques.

Ils étaient de Breda, mais le garçon avait de la famille à Namur et parlait très bien le français. La demoiselle s’exprimait moins bien dans la langue de Molière, mais son accent et ses petites fautes de langage augmentait la sensualité qui se dégageait d’elle.

A peu près 350 km plus loin, je me suis arrêté pour me dégourdir les jambes. Nous en avons profité pour nous désaltérer et nous rincer un peu le visage à un robinet publique.

Quand nous sommes remonté en voiture ma femme a pris place à l’arrière avec la demoiselle tandis que le jeune homme est venu à l’avant.

Toutes 2 n’ont cessé de parler, on aurait dit 2 vieilles copines qui se retrouvaient après des années !

Arrivé à hauteur de Saint-Rambert d’Albon, je suis sorti de l’autoroute car nous allions passer la nuit dans un hôtel tout proche comme chaque année.

Je me suis arrêté pour les déposer ainsi que leurs sacs et suis remonté en voiture. Ma femme continuait à parler avec la demoiselle (Héléna pour la jf et Harm pour le garçon) et tardait à reprendre place dans l’auto.

Elle se pencha par la vitre ouverte et me demanda si je serais d’accord pour les inviter à l’hôtel et, le lendemain, continuer la route avec eux.

Je répondis par l’affirmative, tout en prévenant que il n’y aurait peut-être pas de chambre libre pour eux (pour nous, nous avions réservé depuis plus de 3 mois).

Ils sont donc remonté dans la voiture et nous avons pris le chemin vers l’hôtel.

J’étais sceptique, en cette saison toutes les chambres devaient être prises.

Arrivés à l’hôtel, ma femme se rua à la réception où on lui renseigna que plusieurs chambres restaient disponibles.

Il est vrai que nous étions un jeudi, le vendredi n’aurait certainement pas été la même chose.

Ma femme tint à régler les 2 chambres, la nôtre et la leur.

Nous avons été déposé notre petit sac dans notre chambre et eux ont pris possession de la leur située presque à l’autre bout du couloir.

J’en ai profité pour me rincer un peu le visage, changer de tee-shirt et me recoiffer.

Ensuite, tous 4 avons pris la direction d’une pizzeria toute proche et sommes allés nous restaurer.

La demoiselle était assise face à moi, elle avait changer de tee-shirt également et celui-ci lui moulait encore plus le corps.

Pour mon plus grand plaisir elle ne portait toujours pas de soutien-gorge et je me délectait de la vue.

Le repas fut agréable, les pizzas délicieuses et le rosé très frais.

Vers 22h00 nous avons repris le chemin vers l’hôtel. La demoiselle n’était pas vraiment saoule, mais dans un état de gaieté assez avancé. Je pense que la chaleur plus les quelques verres devaient avoir eu raison d’elle.

Tout en avançant, ma femme et elle se tenaient par la taille et discutaient tout en riant.

Lorsque nous fûmes dans notre chambre, ma femme me prévint que la demoiselle allait venir pour parler encore un peu.

Je lui ai répondu que cela ne me dérangeait pas mais que j’allais prendre ma douche et qu’on ne se coucherait pas tard car il y avait encore du chemin à faire le lendemain.

5 minutes plus tard Héléna arriva. Je n’avais pas encore eu le temps d’aller me doucher et je rejoignis la salle de bain tandis qu’elles bavardaient et riaient comme 2 folles.

Alors que j’étais sous la douche, la porte s’ouvrit sur Héléna en plein rire.

Elle me bredouilla quelques mots que je ne compris pas du fait de son mauvais français et du bruit de l’eau.

Son rire devint sourire et son regard se porta sur mon sexe. Elle ne le quittait pas des yeux, comme si c’était un gâteau au fraises.

Je suis d’une constitution normale, pas à me plaindre mais pas extraordinaire non plus (19cm en érection).

Ma femme vint la rejoindre dans l’embrasure de la porte et lui dit: "Tu vois, il est épilé entièrement".

Elle se plaça derrière Héléna et se mit à lui caresser la poitrine.

Héléna mis ses mains sur celles de ma femmes et l’accompagna dans ses mouvements tout en ne détachant pas son regard de mon entre-jambes.

Ma chérie remonta le tee-shirt d’Héléna et continua à caresser ses seins, pinçant également ses tétons qui pointaient en ma direction.

L’effet fut presque immédiat, je me mis à bander comme un âne !

Me regardant en souriant, ma femme cligna d’un il et retira la blouse d’Héléna. Mon Dieu, comme j’aimais cette poitrine jeune et ferme !

Toujours coquine, ma femme retira la jupe d’Héléna puis son string rose ainsi que ses sandales puis la poussa dans la douche avec moi.

Héléna vint se coller à moi et empoigna ma queue qu’elle masturba avec beaucoup de douceur.

D’une main j’ai diminué le jet d’eau puis ai entrepris de la caresser à mon tour.

Elle s’est agenouillée et sa langue est venue titiller mon gland avant qu’elle ouvre la bouche et y engouffre mon sceptre.

Ma femme s’est approchée légèrement et m’a annoncé qu’elle allait rejoindre Harm dans sa chambre pour tenter à son tour de le câliner.

Resté seul avec Héléna, j’ai pris un pied terrible. C’est sous la douche que je l’ai prise. Tantôt par devant, tantôt par derrière. Elle était appuyée contre le mur, bras et jambes écartées et je la bourrais tant et plus tandis que l’eau ruisselait sur son corps.

J’ai éjaculé en plusieurs spasmes et elle a joui dans le même temps.

Je suis sorti de la douche et elle y est restée un petit temps pour se rincer.

J’étais nu, couché sur le lit quand elle vint me rejoindre et s’allongea à coté de moi.

Nous nous embrassions, nous caressions, que du bonheur.

Un certain temps plus tard ma femme est entrée dans la chambre en tenant Harm par la main. A voir son visage illuminé je compris que elle aussi venait de passer un agréable moment.

Harm était en short, torse nu. Ce gars possédaient des abdos à faire rougir Ronaldo, et moi également. Il est vrai que je m’étais un peu laissé aller ces derniers temps et que le sport avait pris certaines distances avec moi (depuis j’y ai remédié, lol).

Sans aucune timidité, tous 2 se sont déshabillés et sont venus s’étendre sur le lit à nos cotés. Nous étions répartis de la sorte: moi à l’extrême gauche, Héléna, ma femme puis Harm.

Ma chérie s’est emparée de la main d’Héléna et l’a amenée à son abricot où celle de Harm se trouvait déjà. Ils se sont mis à 2 pour la masturber et après quelques instants j’ai vu ma femme faire de petits soubresauts et l’ai entendue gémir.

Tout ça m’avait remis en forme et, vu qu’Héléna me tournait le dos, j’ai humecté un de mes doigts puis lui ai enfoncé dans son petit cul. La coquine aimait ça, c’est elle qui faisait les mouvements d’avant en arrière.

J’ai retiré mon doigt puis suis descendu mettre ma langue entre ses fesses pour lécher son petit trou que je savais tout propre.

C’en était trop, je n’avais plus qu’une envie et c’était de la sodomiser !

Je l’ai fait mettre à 4 pattes sur le lit et l’ai pénétrée d’un coup. C’était divin, sa rosace encore fort étroite enserrait ma queue comme un étau !

Voyant ça, ma chérie prit la même position qu’Héléna et Harm la sodomisa aussi. Quel spectacle merveilleux cela aurait été si un voyeur avait pu être présent, 2 jeunes femmes sodomisées côte à côte et jouissant à l’unisson.

Harm fut le premier à éjaculer, je l’ai suivi quelques instants plus tard.

Jamais rassasiée, ma chérie proposa alors que nous finissions la nuit en couple échangé. Elle est partie avec Harm et je suis resté avec Héléna.

Au petit matin je fus réveillé tel un prince, j’avais encore les yeux fermés quand je sentis une main venir flatter ma queue. C’était tellement agréable que je fis semblant d’encore dormir, afin qu’elle continue.

Ma queue raide comme un bois, elle continua ses caresses dessus avant de descendre sous le drap et de me pratiquer une fellation sublime.

Je lui ai envoyé toute la sauce au fond de sa gorge ! Elle a continué et l’a gardée en bouche durant encore de longue minutes, comme si elle ne voulait pas la quitter. Malheureusement il fallait partir, donc je me suis levé à contre-coeur et Héléna s’en est allée rejoindre Harm.

Ma chérie est revenue et, après avoir pris une douche tous les 2, nous sommes allé prendre le petit-déjeuner dans la salle où Héléna et Harm nous ont rejoint.

Nous avons repris la route, Héléna à mes cotés et ma chérie avec Harm à l’arrière.

Eux ont encore flirté un peu, moi je n’ai pu profiter que de quelques caresses d’Héléna.

Arrivés à l’endroit où nos chemins se séparaient, nous avons échangé nos coordonnées en nous promettant de nous revoir après l’été.

Ce fut chose presque faite. Durant leurs vacances, Héléna et Harm s’étaient disputés et à la rentrée s’étaient séparés.

Héléna seule accepta avec ravissement de venir passer un WE chez nous et c’est en octobre qu’elle vint.

Un week-end formidable où nous lui avons fait découvrir un club échangiste proche de chez nous.

Depuis lors, elle vient en moyenne 4 à 5 fois par an. Malgré qu’elle soit en couple, elle vient chaque fois seule.

Son nouveau copain n’est pas très ouvert et elle ne lui dit pas les vraies raisons de ses visites chez nous.

Elle est devenue presque plus une amie qu’une partenaire sexuelle, même si à chaque fois nous baisons ensemble.

Il y a des amitiés gâchées par le sexe, nous c’est le contraire qui nous est arrivé.

Héléna a une sur qui vient de fêter son 18ème anniversaire, elle nous a montré des photos d’elle, c’est une véritable petite bombe et j’ai terriblement envie d’elle. Mais je n’ose pas le dire à Héléna, j’ai peur qu’elle soit jalouse et mette un terme à notre amitié sexuelle.

Peut-être un jour m’y risquerais-je, mais il faut que, subtilement, j’arrive d’abord à savoir si la surette est aussi ouverte d’esprit qu’elle.

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