La nuit tombe bien vite et sortent les démons. Dans la petite chaumière des pleurs se faisaient entendre. Kallyssa allait se faire prendre par son père. Pour le moment perdue dans les bras de sa soeur, les larmes formant une tache sur sa robe blanche.
— Je ne veux pas partir. Je… Veux te protéger. Mentis-je, bien que j’aime énormément ma soeur.
— Non, tu as promis. Va-t-en! Sauves toi et fais ta vie autrement que comme esclave. Me dit-elle en me regardant droit dans les yeux, les larmes brouillant sa vue. S’il te plaît..
Je baissais les yeux en signe d’acceptation.
— C’est l’heure!
La voix de notre père nous effrayas . Il attendait là, devant la porte et nous regardait avec un air de pervers. Ça me plaisait, Ça me plaisait! Kallyssa m’embrassa et je lui rendit en lui promettant que je la retrouverais, puis elle quitta la chambre. je n’avais plus qu’à attendre.
Dans la grande chambre, Kallyssa se posta face au lit, la tête baissée pendant que mon père refermait la porte grinçante. Il se tourna ensuite vers elle et se plaça contre son dos, les mains sur les épaules de sa fille. Il caresse, faisant rouler les bretelles de sa robe sur les bras jusqu’à libérer sa poitrine. Dans un murmure qui caressa sa nuque, il lui dit.
— C’est pour toi, ma fille, que je le fait.. Ils seront si brut, si violent.. Tu comprends.. Ils te feront si mal si je te vends vierge..
Ses mains puissantes dévalent sur ses bras emportant les bretelles, et la robe finira au sol. Elle put sentir le souffle sur sa peau, les lèvres perverses et la morsure douce. Il commença à caresser ses seins, faisant rouler les pointes entre ses doigts, les palper fermement. Kallyssa garda le visage baissé, continua de renifler. Mon père dépité grogna et poussa brutalement sa fille sur le lit qui grinça fort, tout comme elle cria.
— Puisque tu le prends comme ça! Hurla t-il en défaisant toutes attaches de son pantalon, le faire tomber aux chevilles et exhiber sa queue de taille considérable. Il bandait comme un âne.
— Non.. S’il te plaît, papa.. Je Non.. Je vais.. PAPA! Crie t-elle soudainement prise de panique en voyant celui ci s’approcher rapidement du lit pour lui sauter dessus.
Face à face à l’horizontal, il força sa fille à écarter les cuisses et y glissa son bassin. D’une main, il prend la gorge de celle ci, de l’autre, il conduisit sa bite contre la chatte serrée de sa fille. D’un coup de hanche violent, il déchira l’hymen. Elle poussa un cri que son père n’atténua pas. Les yeux grand ouvert, les larmes roulant. Son père se mis à la baiser violemment. Il cogna son gland profondément en elle et râla de plaisir.
Moi dans mon coin, j’entendais tout.. Ma mère sûrement aussi, mais elle ne bougea pas d’un poil.. Encore moins quand elle me vît quitter la maison sans même un regard pour elle.
A force de cris douloureux, Kallyssa n’avait plus de voix, mais son père continua de limer la chatte de celle ci. Les chevilles relevées, tenue par les mains de son père. Il regardait ses seins qui ballottaient à la puissance de ses coups. Et elle. Elle n’était plus qu’un pantin de chair qui continuait de pleurer.
— Je vais te remplir ma salope. je vais t’en mettre plein dans le fond de ta chatte! Gemit-il en accélérant les coups de reins.. peut-être s’amusait il de l’espoir qu’il perçut dans les yeux de sa fille. Et je te baiserai le cul ensuite!