Préambule
Je m’appelle Charlotte, et mon mari Julien. Mais on nous appelle habituellement Caro et Ju.
Quand je l’ai connu, en 1985, il était déjà naturiste, et très vite je me suis habituée à le voir évoluer nu à la maison puis à le faire moi aussi. Comme en plus c’est un chaud lapin, et qu’il est bien monté et endurant, nous n’arrêtions pas de baiser dans tous les coins, avec ou sans les accessoires amusants, qu’il m’a aussi fait découvrir. J’ai rapidement pris goût à lire des magazines et à regarder des films de cul.
Il m’a facilement persuadée de m’épiler entièrement, et je me suis tout de suite trouvée beaucoup plus sexy comme ça. D’ailleurs, quand nous sommes retournés nous bronzer dans les calanques, j’ai bien vu les réactions de certains appendices mâles à la vue de mon mont chauve. A ma demande, Ju qui se rasait déjà les couilles a fini par en faire de même, ne laissant qu’un filet de poils sur son pubis.
La première fois où j’ai dû me montrer sans mes poils devant ma gynéco, je pensais être gênée, mais en fait, ça m’a même plutôt excitée. Très vite j’ai fini par ne plus porter que des strings sous mes vêtements, y compris mes jupes les plus courtes en été, puis plus rien du tout. Je pense que les gens qui me suivent dans les escalators ont une vue très dégagée de la lune, même en plein jour!
A force, je suis devenue de plus en plus exhibitionniste. Par exemple en voiture, je remonte bien ma jupe pour que les autres usagers de la route en profitent un peu. C’est d’autant plus amusant quand je suis passagère dans celle de Ju car c’est une Méhari, et qu’en été on enlève les portières. Il n’y a que pour la baignade sur des plages publiques que je mets quelque chose, mais c’est juste un string-ficelle, et Ju n’en met pas plus par souci d’égalité.
Pour agrémenter un peu nos ébats, nous avons songé à trouver de partenaires, et pour ça, nous avons passé des annonces coquines dans des magazines spécialisés. Mais pour l’instant, les candidats ne nous emballent pas, il n’y a que des vieux moches. On attend des gens qui nous fassent flasher. Mais en 1989
J’avais pris l’habitude de consigner mon histoire dans un journal intime que j’ai ressorti récemment et que je vous livre par épisodes
Mercredi 21 juin 1989
Mes parents habitent une villa dans un lotissement à Luynes, avec tout le confort, dont une petite piscine. Cette année, ils ont décidé de partir en vacances en Espagne avant l’été pour profiter des plages moins bondées, et des prix plus avantageux. Ils emmènent ma sur de 17 ans et mon frère de 14 ans avec eux.
Comme depuis quelque temps il y a des cambriolages dans le secteur, ils nous ont demandé de nous installer chez eux pendant les deux semaines de leur absence. Nous avons évidemment accepté, ça nous changera de notre petit appartement du Panier.
Dès samedi dernier, aussitôt installés nous avons attaqué le plan B5: Baise, Bronzette, Baignade, Bouffe, Bière. Et si les voisins nous voient, tant pis pour eux (ou tant mieux)! Aujourd’hui, après un petit coup rapide mais bon au réveil, nous paressons à poil au soleil en cette belle fin de matinée lorsque la sonnette retentit.
N’attendant personne en particulier, je m’entoure du drap de bain et je vais ouvrir.
Je tombe sur une femme, la quarantaine BCBG qui est un peu confuse en voyant ma tenue très décontractée:
— Excusez-moi de vous déranger, je représente les assurances AXA et je viens vous proposer nos services. Mais je peux repasser plus tard
Encore excitée par notre récente baise, je fais en sorte de faire glisser un peu la serviette pour que mes tétons dépassent juste au-dessus, ce qui rajoute à sa confusion et je décide de m’amuser un peu:
— Mais non, nous n’avons rien d’autre à faire, entrez donc!
Elle hésite un peu, mais me suit jusqu’à la terrasse, où Ju s’est assis sur un fauteuil derrière la table qui masque son absence de maillot.
Je propose à la nana:
— Je vous laisse voir avec mon mari, c’est lui qui traite ces choses-là. Et moi, si ça ne vous dérange pas, je continue ma séance de bronzage.
— Non, non, ne vous gênez pas pour moi, faites comme si je n’étais pas là.
Forte de cette réponse polie, je déroule la serviette sur le transat en face, lui dévoilant mon cul déjà bien doré, puis je chausse mes lunettes de soleil, et je m’allonge confortablement, les jambes ouvertes.
La femme est médusée! Elle devait penser que j’avais au moins le bas du maillot, et elle découvre que je n’ai même pas de poils.
C’est Ju qui la réveille en lui désignant un fauteuil à sa gauche:
— Bon, expliquez-moi pourquoi je devrais changer d’assurance!
Elle contourne la table et se fige en s’apercevant enfin qu’il est dans la même tenue que moi.
Il la joue cool:
— Vous n’avez pas de problème avec le naturisme, j’espère?
Elle bredouille que non, s’assoit, déballe ses documents et commence son blabla.
Elle essaye de se concentrer sur son travail, mais quand elle s’efforce de ne pas jeter de regard vers sa bite dont le volume au repos est déjà intéressant souligné par son épilation radicale, est yeux sont irrésistiblement attirés par mon triangle lisse.
Je pousse un peu en me caressant négligemment mes tétons qui commencent à pointer et je sens ma fente s’humidifier.
Pour relâcher un peu la tension, je propose des boissons fraîches qu’elle accepte.
En posant le plateau, je fais en sorte de frotter ma hanche contre son épaule, puis je m’assois sur un fauteuil à droite de Ju en faisant mine de m’intéresser à son bla-bla.
Mais je décide d’aller plus loin, pour voir.
Je glisse ma main gauche sur la queue de Ju qui ne résiste pas et se met à bander.
Elle essaie encore de faire comme si elle n’avait pas vu le gland qui vient prendre l’air, mais je vais jusqu’au bout et je commence à le branler tranquillement.
Elle panique, et ne sait plus quoi dire.
Je lui souris de manière angélique, comme si tout était normal:
— Continuez, ne vous dérangez pas pour moi!
Comme elle reste tétanisée, je rajoute:
— Mais si ça vous dit, je partage
Ju en rajoute un peu:
— Chérie, au point ou tu en es, si tu me suçais pendant qu’on parle affaires?
Je m’agenouille sans tarder et commence à pomper le gland.
C’est là qu’elle réagit enfin. Elle se lève, ramasse sa mallette, et nous quitte en nous traitant de gros dégueulasses. Finalement, j’entends la porte claquer, et plus rien.
Ju me retourne et me prend en levrette. Je ne tarde pas à jouir, en pensant que ça aurait pu être notre première expérience à trois si elle avait été plus cool.
A suivre