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Les aventures de Thérèse – Chapitre 1

Les aventures de Thérèse - Chapitre 1



Ma vraie vie sexuelle démarre à 20 ans quand jai fait connaissance de mon mari. Vous découvrirez dans mon récit une des premières étapes de ma soumission.

Bonjour, je mappelle Thérèse. Je suis une brune dun mètre 75, très bien proportionnée selon les hommes, cest pourquoi les femmes mexècrent concurrence oblige ! 95 B de tour de poitrine, des pointes qui ne demandent quà être étirées et mordillées et un cul à faire pâlir un moine…

Agée de 30 ans aujourdhui je suis, comme les gens comme il faut le disent, une salope !

Ce nétait pas le cas il y a 10 ans lorsque jai rencontré pour la première fois celui qui allait devenir mon mari. Philippe, cest son prénom, héritier dune grande famille dindustriels du Nord, vivait de ses placements en bourse et côtoyait la Jet set. Plus âgé que moi, il avait 30 ans, il tombât fou amoureux de moi dès notre première rencontre. Il était beau, intelligent, la réciproque fut vraie. Cétait le coup de foudre !

Ce nétait pas le premier homme qui faisait lamour avec moi, mais dès notre première nuit après une soirée bien arrosée ce fut un enchantement. Son expérience des femmes nétait pas à démontrer dautant quil était équipé dun sexe plus que respectable 22 cm x 4 de diamètre (Je sais jai mesuré un jour alors que nous riions comme des fous !). Infatigable, il ne débandait pratiquement pas, il me laissa à la fin de cette nuit passée ensemble, épuisée. Il mavait fait lamour dans toutes les positions, il avait utilisé tous mes orifices, jétais couverte de sperme et dans les moments où, fatigué, il reprenait des forces il me fistât après mavoir introduit dans la chatte et dans lanus divers instruments pour mécarter au maximum.

Jétais tellement heureuse que je lui dis que désormais il pouvait faire de moi ce quil voulait. Je serai son esclave, sa maîtresse, sa prostituée ! A cette déclaration son il brillât. Il me répondit quil maimait et quil mapprendrait tout pour être ce que je désirai être. Il serait mon initiateur. Peu de temps après nous nous mariâmes, ma formation allait commencer et cest ce que je vais vous narrer maintenant au travers des différentes expériences que jai vécues jusquà ce jour. Nhésitez pas à me faire part de vos commentaires après chaque épisode afin que je puisse réagir en conséquence. Jaimerais en fait que ce récit soit interactif pour mieux préciser à vos yeux certaines situations.

ACTE 1 : Le voyage initiatique – Premier épisode

Depuis maintenant un mois nous consultons un serveur Minitel, Internet nexistait pas encore, dédié aux rencontres. Philippe ma convaincu quil serait préférable que mon initiation soit faite par un étranger expérimenté offrant toute garantie de sérieux et, surtout, appartenant à un milieu spécialisé où la sécurité vis à vis du Sida était parfaite : difficile de pratiquer certaines choses avec des capotes. Il existe des clubs où les membres sont filtrés dans cette optique. Une charte stricte les mène. Tous les membres sont cooptés après un test HIV. Une fois ladhésion obtenue, aucun membre ne peut faire lamour avec quelquun qui nappartient pas au club. Ils sy engagent sur lhonneur.

Notre choix porte finalement sur un homme prénommé Jean, âgé de 45 ans, que Philippe, mon mari, rencontre rapidement afin de régler tous les problèmes dadmission dans son club.

Ils conviennent que mon initiation démarrerait dès le premier lundi du mois suivant, le temps de faire le test HIV, à la descente du train en provenance de Lille où nous habitons. Je dois rester dans lignorance de ce qui mattend. Tout ce que je sais cest que je dois être dune hygiène irréprochable tant génitale quanale après un bon lavement et que je dois être habillée comme une bourgeoise, en jupe et corsage sage, sans soutien-gorge, ni culotte, ni bas. Ce lundi arrive, Jean nous attends à la Gare du Nord, il me scrute des pieds à la tête et me demande si jai bien respecté ses consignes et si, comme je lai signé sur un contrat, je suis toujours consentante. Il me demande aussi si je connais bien le mot de passe qui arrêtera dans mon initiation ce que je pourrai considérer comme un débordement inacceptable de ma part.

Ma réponse : Oui Maître le satisfait.

Il nous entraîne alors au fin fond du parking où il a garé sa voiture et là, sans aucun préliminaire, il me prend par le bras et me force à mallonger sur le capot. Il soulève ma jupe, sort de son pantalon un sexe que je crois respectable compte tenu de la sensation que je perçois entre mes fesses, puis, sans aucune forme de procès, mencule dune seule poussée, sans aucun ménagement. Jai déjà lhabitude de la sodomie mais là, sans aucune préparation, je ne peux mempêcher de pousser un hurlement que je ne peux totalement exprimer car il a pris la précaution de me bâillonner avec son écharpe.

Prenant son temps, il fait entrer et ressortir son sexe dans de grands mouvements du bassin. Ses mains empoignent mes seins puis saisissent mes pointes quelles étirent dans de longues tractions vers lavant. Peu à peu la douleur sestompe pour faire place à une douce chaleur qui envahit mes reins et remonte jusquà mes seins. Je menvole vers lorgasme. Mon anus est défoncé, mes seins martyrisés, mais cest mon bonheur que jai envi de crier ! Jean me fait jouir, longuement, sans retenue. Lui na pas fini. Il se retire de mon cul, me tourne vers lui, menlève son écharpe de la bouche et, appuyant sur ma tête, me force à avaler son sexe en entier jusquau fond de la gorge. Je hoquette sous lassaut brutal de ce Priape dun goût fortement musqué, plein des senteurs de mon anus dont il sort. Mon mari, spectateur jusquà présent, se positionne derrière moi, saisit mes hanches et après sêtre débraguetté, senfonce profondément dans mes reins sans aucune difficulté. Ce nest alors quune alternance de sexes : un coup dans la gorge, un coup dans le cul… Je suis ballottée dans tous les sens. Philippe et Jean font durer le plaisir abusant longuement de moi. Je ne compte plus les orgasmes et cest finalement ensemble quils finissent dans ma bouche et dans mon cul.

Jean mordonne alors de monter à larrière de sa voiture, une Espace Renault dont les vitres sont polarisées, empêchant de voir à lintérieur, et de me déshabiller entièrement. Il donne les clés à Philippe pour quil prenne le volant, puis il monte à côté de moi.

Lintérieur du véhicule est emménagé de telle sorte que larrière est isolé de lavant par une cloison opaque, une seule banquette au fond, le sol et les côtés couverts de moquette épaisse. Au milieu, un tabouret étroit, recouvert de cuir, est fixé au plancher.

Jean sassoit sur la banquette et mordonne de me mettre à quatre pattes sur le sol les fesses tournées vers lui, mes bras prenant appuie sur le tabouret. Il appuie sur le bouton de linterphone et dit à Philippe que nous pouvons désormais prendre la route vers une destination inconnue pour moi et quils sont, bien entendu, les seuls à connaître.

Dans la position où je suis, définitivement consentante, jai lanus complètement offert et les seins pendants. Mes lèvres et ma figure sont couvertes de sperme et mon sexe, délaissé jusquà présent, ruisselle de ma jouissance.

Jean menjoint alors de me masturber. Ma main droite vient doucement titiller mon clitoris, je létire lentement entre mon pouce et lindex et ce seul geste suffit à me faire jouir immédiatement.

Jean ouvre alors une mallette devant moi. A lintérieur, un assortiment de godemichet de différents formats. Lun dentre eux est monstrueux puisquil est aussi gros quune batte de base-ball. Malgré la relative fraîcheur, la sueur menvahit à la vue de cet instrument et je mimagine déchirée par lui. Jamais au grand jamais je ne pourrais absorber un tel objet dans mon sexe, encore moins dans mon cul ! Et tout de suite je me remémore le mot de passe qui pourrait éventuellement tout arrêter.

Comme sil lisait dans mes pensées, Jean dit alors :

Non ce gode nest pas pour tout de suite, il te faudra dabord y être préparé. A la fin de ton apprentissage, lorsque tous tes orifices auront été visités de différentes façons, lorsque ton corps et ton esprit seront complètement malléables, alors, suprême récompense, tu auras le droit à Supergod. Ce que tu ne vois pas, cest quil est équipé dun robot intelligent qui réagit à toutes les sensations féminines. A lépreuve finale et seulement si tu as réussi brillamment tous les tests que tu vas subir, une fois son intromission effectuée, tu jouiras comme jamais tu ne la fait ou tu ne le referas dans ta vie. Supergod analysera tous tes désirs à lavance et te procurera toutes les sensations que tu espères. Mais pour linstant, passons à des choses plus prosaïques !

Durant plus dune heure, le temps darriver à destination, hormis Supergod, je dus essayer tous les instruments de la mallette. Jean me défonçât le cul et la chatte avec des boules de geisha, des godes aux formes bizarres, couverts de nodules ou annelés, de différentes tailles, avec ses doigts que je devais lécher et finalement avec le goulot dune bouteille de champagne quil avait ouverte pour se rafraîchir. Il ne me laissât aucun répit. Il ne sarrêtait que pour mempêcher de jouir.

Cest frustrée, quune fois arrivée, je descendis nue, sans chaussures, de la voiture. Nous étions dans la cour de ce qui semblait être une gentilhommière normande au toit de chaume. Bruits et odeurs de la campagne, telles étaient mes premières sensations. Au loin des meuglements de vaches, plus près, des oiseaux, émoustillés par le Printemps, chantaient dans les arbres. Plus près encore, des odeurs provenant probablement dune écurie et confirmées par ma vue directe sur des stalles doù dépassaient la tête de quelques chevaux.

Qui aurait pu penser que jallais les connaître de plus près encore… !

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