Histoires de sexe arabes Premières histoires de sexe

Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Anne-Marie, sa mère – Chapitre 3

Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Anne-Marie, sa mère - Chapitre 3



LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK

Anne-Marie sa mère. 3

Mon fils m’encule avec sa merveilleuse bite

Bonjour, je m’appelle Anne-Marie et si vous avez lu les histoires précédentes, vous savez que j’ai un amant extraordinaire, mon FILS.

Si vous voulez savoir comment nous en sommes arrivés là, il va falloir se plonger dans les épisodes précédents.

Je ne dis pas que c’est devenu une routine mais il ne se passe peu de jours sans que je ne résiste à ma fringale de sexe avec mon rejeton.

Aujourd’hui Patrick rentre de son entraînement de natation, nous nous embrassons dès qu’il a passé la porte mais ce baiser est celui d’un amant et non d’un fils à sa maman.

Celui-ci est sur les lèvres et je sens sa langue s’introduire dans ma bouche. Depuis quelque temps toutes les occasions sont bonnes pour baiser.

Je tiens Patrick dans mes bras, la chair de ma chair, le sang de mon sang, mais je ne vois plus en lui qu’un mâle sacrément bien monté.

Bien sûr, c’est déjà assez rare et ça n’aurait pas suffit à me rendre folle de son corps si il n’y avait ses autres particularités qui font d’un homme normal un amant extraordinaire.

 Il a une endurance telle que çà lui permet de forniquer des heures durant avec des éjaculations dantesques de 6 à 10 giclées très volumineuses et surpuissantes projetant son sperme à plus d’un mètre. L’Exception qui confirme la règle !

 J’arrête de l’embrasser et lui dit fermement d’une façon volontairement grossière:

-Je peux jouer avec ta bite ?

Il hoche la tête restant muet comme si c’était une banalité évidente entre une mère et son fils. Je me mets aussitôt à genoux devant lui, descends son short et sans dire un mot, glisse mes doigts le long de cette protubérance qui ne demande qu’à grandir pour finir sur ses bourses. Sa verge à peine bandée déforme déjà son slip.

— Laisse maman voir cette incroyable queue qui va me baiser si bien et si fort que je vais jouir à en mourir.

Sous mes caresses, l’extension de son membre est de plus en plus importante mais elle est brimée vers le bas par son slip que je baisse sur ses cuisses, sa grosse bite s’échappe enfin et se redresse violemment venant frapper mon visage.

Mes lèvres s’entrouvent pour accueillir cette prune violette et je commence à l’avaler tout en la léchant avec ma langue, en tournant autour de ce gros membre, sur le gland et sur toute la longueur de ce bâton de chair si épais.

Graduellement je laisse mes lèvres glisser autour de sa grosse bite, absorbant cm après cm cette trique géante et palpitante, stoppant au tiers de sa queue, réalisant que je peux m’étouffer si je ne reprends pas ma respiration.

Pressant mes lèvres autour de la tige épaisse, je respire un bon coup et je pousse le gland vers l’arrière de ma gorge, tenant la partie encore libre dans ma main. Je continue de le branler de ma bouche et de ma main, le faisant gémir et se tortiller de plaisir. Je le suce avec application pendant des minutes interminables et je sens qu’il ne va plus tenir longtemps avant d’envoyer la sauce.

Sa bite palpite de plus en plus dans ma bouche de suceuse émérite, je sens qu’il va bientôt dégorger ce doux et jeune nectar. Je me prépare psychologiquement à la copieuse dose que je vais être obligée d’avaler aussi rapidement que je pourrai.

— Ahhhhhhhhh… je vais juter !" gémit Patrick. " Ooohhh! Prépare-toi maman Ça va gicler !

Wouuuaaah !!!…j’ai ma 1ère récompense, il commence à entrer en éruption, son sperme chaud remplit ma bouche assoiffée, gicle dans ma gorge et je reçois goulûment la crème d’amour qui sort de sa lance intarissable.

Je déglutis avec difficulté ce flot de sperme ininterrompu mais je continue de m’accrocher à l’énorme bâton crémeux, appréciant le goût de la semence de mon fils.

Il s’est enfin tari. Je me relève et en quelques instants, je me retrouve en tenue d’Eve devant Patrick lui mettant sous les yeux ma poitrine opulente mais encore acceptable pour mon âge.

Je repense de nouveau à ce phallus majestueux toujours dressé sous mes yeux à qui je refuse mon cul depuis des jours. Mais est ce que le si gros pieu de Patrick pourra pénétrer dans mon trou du cul sans me déchirer ? J’ai un peu peur, je sais que mon cul n’est plus vierge mais un engin de cette taille ?!….

Je suis prête à le recevoir et j’attends les yeux fermés qu’il me procure ce plaisir, qu’il m’envahisse de toute sa longueur, mais sans avertissement il s’agenouille devant moi et je sens sa langue chaude pénétrer dans la fente de ma chatte.

Je rouvre mes yeux et je vois son visage enfouit entre mes cuisses et sa langue s’activant dans ma chatte dégoulinante de cyprine.

— Oh, petit salaud, tu veux me bouffer la chatte…hein c’est ça? Humm…je sens ta langue qui plonge dedans ! Je me suis toujours demandé d’où tu tiens une telle science ?

J’en ai des frissons dans tout le corps et, instinctivement, j’ai attrapé sa tête et tiré sur ses cheveux, en l’attirant encore plus près de ma chatte. J’écrase carrément sa bouche contre ma vulve pour qu’il enfonce sa langue le plus loin possible.

 – OOUUIIIII, BÉBÉ, Baise mon con avec ta langue…lèche-moi, mords-moi, suce mon clito qui n’attend que çà ! Prends dans ta bouche le bouton d’amour de ta mère !

Une vague énorme d’excitation traverse mon corps. Oh oui mon bébé, mange-moi…suce bien la chatte à maman…enfonce ta jeune langue au plus profond dans ma fente trempée…bouffe cette chaude chatte humide…bois le jus qui suinte !

Je gémis et crie de plaisir quand il explore chaque partie de mon vagin avec sa langue. Mon clito est tendu et vibre de joie quand il le suce goulûment, qu’il le mordille doucement mais fermement.

Sa bouche engloutit le bouton de mon clitoris et le suce vaillamment et je sens sa langue tourner autour tellement il s’est allongé par les stimulations qu’il reçoit.

Hou lala, je sens également un doigt qui fouille ma chatte et qui caresse le haut de mon canal, là où c’est très sensible. Puis, ce sont deux doigts qui furètent, puis un troisième et un quatrième qui veut faire comme les copains.

 Un feulement rauque de ma part le récompense de son initiative, l’incitant même à mieux fourrager dans le mon sexe de plus en plus trempé.

Patrick !… Oh oui, c’est bon, mon chéri…

                                         

  Malgré la folle envie que j’ai de pouvoir m’empaler sur ce membre raidi, je ne peux me soustraire au merveilleux plaisir qu’il me procure. Mais alors que je me laisse envahir par une douce euphorie sexuelle je ressens un soudain frisson sensuel intense me traverser le corps depuis mes entrailles jusqu’à ma poitrine douloureuse.

 Patrick vient de frôler une zone particulièrement érogène à l’intérieur de mon vagin. Peut-être ce mystérieux point G, le siège d’une zone érogène de grande sensibilité permettant d’obtenir excitation sexuelle et plaisir intense.

Au violent tressaillement qui secoue mon corps, accompagné d’un gémissement aigu, Patrick réalise que je viens de ressentir un nouveau plaisir manifeste, il repasse ses doigts à l’endroit qui a déclenché ce sursaut voluptueux chez moi.

Il tâte la face interne du vagin du bout de ses doigts, un nouveau soubresaut, suivit d’un râle de plaisir, lui apporte la preuve qu’il vient de découvrir là un point très sensible. Il insiste alors sur cette partie de l’anatomie vaginale qui a le pouvoir de déclencher une telle réaction.

Oubliant son propre désir, il s’efforce de me procurer un maximum de plaisir.

Ma chatte dans laquelle il agite ses doigts déborde littéralement d’un liquide chaud et onctueux. Mais devant l’afflux de cyprine qui s’échappe de ma vulve, je suis sûre qu’il n’aurait jamais imaginé un pareil débordement. Je mouille de façon insolente. La chaude liqueur vaginale lui poisse les doigts et la totalité de la paume.

Sous cette merveilleuse caresse je prends conscience que pour la 1ère fois de ma vie je connais la jouissance ultime, de longs frémissements de plus en plus rapprochés m’irradient les entrailles, se propageant dans tout mon corps. Une véritable rivière s’écoule de mon coquillage intimement fouillé, me trempant l’intérieur des cuisses avant de poisser la main qui me mène inexorablement à un orgasme foudroyant. Je bloque le poignet de Patrick et réussis à articuler…

Arrête, arrêêête..chéri, C’est trop bon… Tu me fais jouir sans arrêt!…

Mais il n’en a cure, il s’empresse de reprendre ses attouchements à l’intérieur de ma chatte torride retrouvant immédiatement cette zone fortement érogène, il la masse furieusement à l’aide de ses deux phalanges accolées.

Je ressens une onde voluptueuse d’une intensité foudroyante me traverser me faisant me cambrer convulsivement, déclenchant cette extraordinaire houle de plaisir.

Aaahhh, non !… Chéri arrête !… Je t’en prie, enlève ta main… Oh non !… Arrête !… Noonn chéri !…Je ne peux plus supporter le frottement de tes doigts! Je mouille, je n’arrête plus!…

Il remplace sa main par sa langue qui se met à sucer, à lécher et à grignoter les chairs de ma chatte humide qui coule à flot dans sa bouche. Je ressens l’orgasme sans fin à l’intérieur de mon ventre, je l’attrape par les cheveux et l’arrache de ma chatte.

 – Ooooooh, sainte mère, je jouis…ouiiiiii… je jouiiiiis…..Ouahhhh… Merde, ça fait mal mais je ne veux pas que ça s’arrête.

Je ne sais plus ou j’en suis, je perds la tête, mon vagin ne m’appartient plus, il bouge frénétiquement tout seul sur le visage de Patrick et il continue à l’inonder de mon jus.

Je le regarde, sa queue toujours bandée, droite comme un mât de bateau, longue, dure, magnifique dans toute sa splendeur, en attente…

Son visage est couvert de mon jus brûlant et brille sous la lumière.

— Merci Patrick, c’était divinement irréel, mais maintenant je veux que tu fasses ce que je t’ai toujours refusé jusqu’à présent de peur d’être déchirée par ton monstre de queue, il est temps de planter ta putain de grosse bite dans mon cul!

Je me détache de lui et je me mets à genoux sur le canapé en lui présentant mon cul bien haut. Je plante mes genoux fermement dans les coussins et j’agrippe de mes 2 mains le haut du dossier. Je crois que je suis en bonne position pour qu’il me sodomise ! – Allez, prends mon cul, fils ! Je veux sentir ton gland écarter ma rosette.

Je vais réaliser un autre de mes fantasmes mais entre nous j’ai peur de souffrir.

 J’ai déjà absorbé des belles queues mais de la taille de celle de Patrick… jamais.

Je sens sa bite qui appuie contre ma chatte qui voudrait bien être envahie par cette chose, mais… ce soir c’est mon cul qui doit se préparer à une énorme pénétration.

Je me prépare à l’assaut de mon dernier rempart mais il plonge son chibre dans ma chatte détrempée pour l’enduire de mes épanchements. Mais assez rapidement sa langue vient prendre le relais et dérive sur mon petit trou, elle s’active et papillonne de ma vulve à ma corolle fripée.

Quelle sensation, ooohhh, merde, sa langue et ses doigts arrivent à leur fin et un énorme orgasme me fait mouiller à nouveau!!!

-Petit pervers, tu n’as pas pu t’empêcher d’y passer la langue, hein ?

Et je n’étais qu’un début car maintenant, il explore mon petit conduit avec son index après l’avoir lubrifié lui aussi avec ses voisins au jus de ma chatte.

Il travaille maintenant mon sphincter pour l’aléser, multipliant ses doigts, j’en ai maintenant 3 qui s’activent en moi.

Peu à peu des sensations que je croyais à jamais oubliées se propagent dans mes entrailles et dans le creux de mes reins. Il se recule et prenant son sexe en main il le présente entre mes fesses trempées. Il appuie son gland plein de cyprine contre mon petit trou, ne bougeant plus pour voir ma réaction. Je n’ai pas souvent pratiqué la sodomie et jamais avec un tel calibre mais ce soir je veux repousser mes limites.

Je suis complètement immobilisée. Mon corps tremble de désir et je me prépare à l’assaut en m’agrippant avec mes mains au dossier du divan.

 – Allez, vas-y,…… Baise mon cul avec ton monstre….encule-moi.

 

Mais je sens soudain quelque chose de froid, il est en train d’appliquer du gel anal entre mes fesses après s’en être copieusement enduit son défonce-cul.

Cette fois je sens la tête de son gland humide sur mon petit trou et je sais que le moment fatidique approche.

Je serre les dents et j’essaye de détendre le trou de mon cul.

— Prête à un nouveau plaisir maman? demande Patrick qui ne doute décidément de rien.

— Ohhh ouuiii. Je le suis ! Encule-moi et explose-moi les boyaux !

Maintenant, c’est son gland qui appuie sur ma rosette, il pousse un peu plus et mon sphincter s’ouvre enfin. Je respire profondément quand je sens la grande tête épaisse franchir l’étroit passage.

Doucement il commence à me pénétrer mais a du mal à entrer dans mon petit orifice.

Mon anus accepte difficilement l’intromission du gland volumineux.

-Ooohhh aïe aïe doucement Patrick, tu me fais mal, tu es si gros!

Il pose ses mains sur mes hanches et pousse encore plus fort.

-Aaaaaaaaaaaaaah !!! Mon dieu que ça fait maaaaaal noooooooon !!!

Mon trou se dilate progressivement sous la pression de ce gland énorme.

-Putain tu me casse le fion avec ton bélier !!!

Mais mon corps dit le contraire car je recule mes fesses pour m’empaler sur son membre. Son engin s’insinue lentement dans mon étroit conduit. Sa verge glisse en moi me procurant une sensation puissante.

Je gémis mais il n’arrête pas sa poussée Il m’encule pour la première fois, et sûrement pas la dernière! Un véritable régal !

Tout mon corps en tremble et je suis contente de constater que je suis capable d’absorber par derrière la force virile si imposante de Patrick.

Je crie quand même quand, sans attendre il augmente la pression et que progressivement son énorme queue s’introduit dans mon étroit conduit. Son gland défriche le chemin au fur et à mesure de sa progression. Je supporte stoïquement la douleur, j’ai l’impression qu’il me déchire mais petit-à-petit, le plaisir reprend le dessus.

Ses mains tirent sur mes hanches pour qu’il entre encore plus loin en moi.

Je hurle, le suppliant d’arrêter, mais plus rien ne peut le réfréner. Il commence un lent va et vient enfonçant son mandrin au trois quart, sa bite ressort et ce renfonce toujours un peu plus gagnant 2 à 3cm à chaque poussée.

— Je ne te fais pas mal ? me demande-t-il.

— Non oui tu es si gros et si dur mais je ne veux pas que tu t’arrêtes!

 Il continue sa poussée et la douleur sournoise est encore présente, des larmes coulent sur mes joues. Je serre les dents à chaque centimètre supplémentaire de son monstre dans mon cul. Et d’un coup il enfonce sa bite jusqu’à la garde dans mon fondement.

Il m’encule de toutes ses forces dilatant mon cul à l’extrême, me faisant hurler à en faire trembler les murs.

— Aaaaahhhhh…..ouuuuhhhh…. AAAAAHHH Putain!!!! Tu aurais pu prévenir !

-Wouaaaaaaaah!! ooooooooooh !!! noooooooooooon !!!

Il s’immobilise, la totalité de son manche au plus profond de mes entrailles, me laissant enfin un instant de répit pour m’habituer à cette présence incongrue.

— Maman…, Tu n’as pas trop mal, je peux lâcher les chevaux ????

— Ooooh… ouiiiii… mon bébé, montre-moi de quoi tu es capable, libère-toi.

— Oh maman Ton cul est si serrée et je vais le pilonner a mort, tu vas jouir comme une chienne car je vais te dérouiller comme tu n’a jamais connu!!!

Et il me ramone le cul dilaté par sa queue gigantesque, son monstre de chair entre et ressort a vive allure de mon rectum.

Il retire sa queue et la renfonce d’un coup, m’arrachant un hoquet de douleur, et il recommence encore. La douleur se mélange au plaisir me faisant doucement onduler du bassin.

— Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse queue, t’arrête pas putain, oh oui!

Il ne me ramone plus maintenant, il me pilonne carrément comme un fou, comme une machine avec son monstrueux piston.

Je me cambre comme une furie et recule mon bassin pour être possédée plus complètement.

Il me promène sur son axe d’acier et je l’entends murmurer :

-« Tante Michèle avait raison, dans la famille toutes les femmes adorent les grosses bites! »

Je bouge mon cul, avançant doucement pour faire sortir son bâton de chair puis reculant aussitôt pour me ré-empaler. J’ondule des fesses en même temps que Patrick s’agite en moi, je m’empale toute seule en prenant soin de ne pas laisser s’échapper sa verge.

— Ouaiiiis…C’est pas une bite que tu as, c’est un manche de pioche, que dis-je, non une véritable poutre…Vas-y, défonce-moi le cul, éclate-moi le derrière!

 

J’ai glissé une main dans ma chatte pour ressentir son rostre qui me secoue dans tous les sens. Elle coule comme une vraie fontaine sous ses assauts d’une rare violence

Il ahane :

— Putain maman, t’es chaude du fion, je me régale !

Il me bourre encore plus fort avec des «han » de bûcheron.

— Continue mon chéri oooh ouiiiiiiii !!!

Je suis aux anges, des ondes de jouissance contractent ma chatte et mon cul. Ma jouissance est telle que je m’évanouie presque sous ses ruades folles.

Je ne peux retenir de véritables jets de cyprine qui giclent de ma raie !…

Il rigole en s’exclamant :

-Ooooooh maman tu jouis comme une véritable trainée !!!

Notre baise est intense, mon cul est serré et contracté autour de l’immensité de sa bite qui me martèle et quelques secondes plus tard, encore un autre orgasme énorme traverse l’intégralité de mon corps. Comment peut-il déclencher en moi ces jouissances en rafale ?

Mon cul est en feu. Je ne suis plus qu’un pantin de son au bon vouloir de Patrick qui s’active comme une véritable machine, il continue à déchirer mon derrière, poussant son piston en moi. Je dois retirer ma main de ma chatte et me tenir des 2 mains pour pouvoir résister à ses poussées monstrueuses.

 L’endurance de Patrick est inconcevable! Je m’attends à ce qu’il explose à l’intérieur de moi à tout moment, mais ça ne finit jamais, j’ai perdu la notion du temps!

Il accélère encore le rythme. Je voudrais que ça ne s’arrête plus mais je commence à fatiguer, il me pilonne comme un marteau piqueur pour me faire crier encore plus.

Je le supplie :

— Je n’en peux plus, j’ai le cul en feu, les bras comme de la guimauve, envoie la sauce Lâche ton jus dans mon cul… Remplis-moi mes boyaux… Allez vide-toi les burnes, mon fils!

 Je me projette en arrière pour le faire pénétrer encore un peu plus loin si c’est possible pour m’exploser les entrailles. Lui aussi me pétrit les fesses en m’attirant contre lui pour me remplir complètement de son beau boutefeu.

Il crache enfin au fond de mon cul en poussant des râles sourds.

D’énormes jets de semence déferlent au plus profond de mes intestins, avec une telle force qu’ils vont certainement remonter jusqu’à mon estomac ! Mon fils vient de me crépir les entrailles de son sperme incestueux si abondant.

— Aahhhh… ouiiiii… Graisse-moi les boyaux, remplis-moi comme une outre !

A chaque coup de rein qu’il donne encore, je le sens continuer à se vider en gémissant de plaisir.

Il retire enfin sa verge qui obstrue mon cul complètement dilaté et aussitôt une incroyable quantité de sperme s’écoule sur mes cuisses lors de contractions incontrôlées de mon sphincter.

Je me redresse, je tremble de tous mes membres, je n’ai jamais été baisée comme ça !

— Tu es le dieu des enculeurs mon fils, mais ce n’est pas permis à tout le monde de pouvoir supporter un tel supplice!

 

Mais mon tourmenteur est insatiable, il se met derrière moi, plie les genoux et me remplit de nouveau le cul de son braquemart et en même temps rentre ses doigts dans ma chatte, pinçant, tirant, limant, explorant ma motte, au point de sentir à travers la mince paroi son membre qui pistonne mes boyaux.

Je pleure presque, hoquetant à chaque fois que ses couilles butent sur mon cul. Les orgasmes sont violents avec cette grosse et fabuleuse bite qui me ramone le fondement sans discontinuer, le temps est comme suspendu pendant qu’une main presque entière me travaille la chatte, me donnant orgasmes sur orgasmes, me faisant jouir en continu…

Ses mains bien cramponnées à ma large croupe, il se redresse soudain en me soulevant et se met à me limer comme un fou, enfonçant puissamment sa grosse queue dans mon cul de femme en rut, qui n’arrête pratiquement plus de jouir. Quelle vision je dois donner avec mes fesses bien écartées et son membre qui entre et sort avec la régularité d’un métronome rythmé par mes cris de jouissance !?

Il repart pour une nouvelle joute mais je ne suis plus que son instrument, je n’ai plus la force d’accompagner son orgie de sexe pendant les minutes qui suivent.

D’un seul coup, puissant, Patrick s’enfonce brutalement, maintenant plus rien ne compte que son plaisir à lui…il va décharger pour lui, vider tout le sperme qu’il a encore dans ses couilles dans le ventre de sa mère…

Qu’il est fort mon fils pour me porter si longtemps en me baisant.

Me tenant abutée il me pistonne à petits coups rapides, ce qui a pour effet de m’envoyer encore en l’air quand je sens grossir sa queue…

Je pousse un hurlement quand il me repousse loin de lui avant d’enfoncer la totalité de sa grosse bite, il recommence à jouir, une giclée de foutre sort avec force lui procurant un dernier soubresaut de bonheur et me force à redescendre sur son pal toujours dressé et recommence à me besogner pour une nouvelle course d’amour qui se termine par un envoi au fond de l’intestin maternel de ses dernières giclées de sperme chaud et épais.

Oui mon chéri vide-toi dans maman !!!

Longtemps il me pistonne encore me reposant au sol.

Enfin il se retire du cul avaleur de bite.

-C’était…c’était…unique, formidable, incroyable… j’aime ta bite géante… et je t’aime, toi, pour le plaisir et l’amour que tu me donnes.

Je suis descendue de ses cuisses et au passage je frotte mes seins sur sa bite dégoulinante, mais je n’y crois pas ! Malgré ses éjaculations importantes il y a quelques instants elle est à peine débandée.

Depuis, nous pratiquons très régulièrement cette façon de faire l’amour, et ces temps-ci, c’est vraiment le paradis.

Je reprends mes esprits et ses paroles me reviennent

-Qu’a tu dis tout à l’heure? Qu’est-ce que t’a dit ma sur ?

A suivre.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire