LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK
Anne-Marie sa mère. 4
4 femelles en folie pour une seule bite.
— Qu’a tu dis ? Qu’est-ce que t’a dis ma sur ? Hurle ma mère.
Zut, (j’ai gaffé) :
— Et bien il fallait bien que tu l’apprennes un jour, oui on baise ensemble depuis des mois, elle m’a surpris un jour avec Claude et sa fille.
— Quoi ? Et qui sont ces deux là ?
Et zut ! J’ai encore gaffé.
— Eh bien euh.. Si tu veux tout savoir, elle nous a surpris en plein triolisme et elle n’a pas pu s’empêcher de s’occuper de ma bite avant de se rendre compte que c’était celle de son neveu, et depuis elle ne veut plus s’en passer.
— Tu te tapes 3 poufiasses et moi par dessus le marché ! Mais tu es un véritable obsédé !
— C’est plutôt vous, dès que j’arrive quelque part, vous vous précipitez sur ma bite !!!
— C’est vrai que quand on a goûté à ta formidable queue et à la manière dont tu t’en sers, on ne peut plus s’en passer et que ce n’est pas à moi, ta mère qui doit en être jalouse. Et elles, elles acceptent de te partager ?
— Oh oui, et même on fait parfois des parties à 4.
— Et tu arrives à les contenter ?
— Jusqu’à maintenant elles ne se sont jamais plaintes et des fois, le soir, je devais remettre le couvert pour toi.
— D’après ce que tu me racontes, elles sont folles de toi et ne doivent pas te ménager et pourtant je ne t’ai jamais pris en défaut, la queue toujours vaillante et infatigable.
— Merci du compliment, maman.
Pendant une heure, je dû tout lui raconter depuis le commencement et par le détail le début de ma vie sexuelle déjà fort riche en expériences en tous genres.
-Je comprends mieux maintenant tes talents d’amant avec l’expérience que tu as emmagasiné avec ces accros de sexe.
Ce fût tout pour ce jour mémorable.
Une semaine après, je rentre à la maison et dans le salon que vois-je? Mon harem au grand complet.
Après mes révélations, Anne-Marie avait pris contact avec sa sur et après de longues explications assez orageuses au départ, elles s’étaient réconciliées et avaient décidé d’inviter Claire et sa mère chez nous.
Un peu gêné, je fais la bise à mes quatre amantes et demande de quoi elles parlaient à mon arrivée.
— De toi et de ton infatigable queue! Réplique ma tante.
Comme je pensais bien que j’étais le sujet de leur présence ici, je ne suis pas surpris.
Maman prend la parole :
-Tu te doutes bien que le sujet de la conversation tourne autour de toi et de la manière dont tu nous as rendues dépendantes de ta merveilleuse bite.
-Personne ne veut s’en priver et on s’est réuni pour faire un calendrier de baise pour pouvoir te partager en te ménageant des jours de repos pour que tu recharges tes accus.
Et Claude nous a expliqué pourquoi tu étais si unique que tu nous rends toutes folles de ton corps, on adore ton sexe d’une taille largement au dessus de la moyenne et surtout d’une épaisseur très rare, de la manière dont tu arrives à dominer ton priapisme léger qui te permet de rester en érection à ta convenance comme un acteur porno.
Elle nous a donné aussi un cours de médecine nous expliquant la spermatogénèse, la production débridée de semence qui te permet des éjaculations très rapprochées et nombreuses avec un volume de sperme dantesque.
— Et comme ton anniversaire est dans quelques jours, reprend Claude, on va te faire notre cadeau toutes ensemble!
Elles se lèvent et m’enlèvent avec frénésie mes vêtements en n’arrêtant pas les caresses et les baisers à pleine bouche sur toutes les parties de mon corps. J’en ressens aussitôt les effets si bien que mon sexe jaillit comme un diable monté sur ressort quand elles me retirent le slip.
Mes 4 Gourmandes approchent leurs jolies bouches pulpeuses de ma queue dressée.
Elles se mettent à la lécher doucement. Claire se couche sous moi et me gobe les couilles, Claude et Michèle se mettent à genoux face à face s’occupant chacune d’un coté de ma verge par de longs coups de langues tandis que maman avale mon gland.
2 langues sur la hampe, une autre sur les couilles, une troisième sur le gland, cette avalanche de sensations qui s’abat sur mon sexe est extraordinaire.
Les langues lèchent et les lèvres sucent. Je suis aux anges. Le manège continue et gagne en intensité. Celle qui s’occupe du gland, finit par le prendre totalement en bouche.
Elle le suce, elle le pompe, elle l’avale, en plus des langues et lèvres suceuses sur mes couilles et ma hampe, chacune d’entre elles vient butiner ma bite sans discontinuer. Elles échangent régulièrement leurs places et le délicieux supplice recommence, l’une se gorge de mon gland dans un mouvement délicat de va-et-vient, 2 autres lèchent chaque centimètre de ma queue, tandis que la quatrième s’occupe des couilles et frotte sur des zones très sensibles.
Le plaisir est tellement intense, que je voudrais qu’elles cessent. Mais je suis totalement soumis à ces bouches qui lèchent, qui sucent, qui avalent et qui pompent, partout sur mon sexe.
Ca me rend dingue. Soudain, une main se saisit fermement de ma queue et la maintient bien redressée. Trois jolies têtes s’approchent, langues tendues. Elles se positionnent sur le gland ; et avec leurs langues, elles se lancent dans un long massage de la base du gland jusqu’à son sommet.
Très vite je sens des sensations de plaisir intense. Avec ce massage en trois dimensions de ces trois langues conjuguées, je sens la jouissance monter inexorablement.
Mais, contre toute attente, elles marquent des pauses. La pression retombe et je décompresse. Puis, les langues reprennent leur ouvrage.
Elles s’arrêtent à nouveau, reprennent… Il s’agit là d’une véritable torture sexuelle. Une fois l’orgasme presque atteint, tout s’arrête.
Tant que les langues de ces trois tortionnaires sensuelles, ne se fatigueront pas, cela continuera. Je l’ai bien compris.
Cependant, les belles semblent se lasser, les trois langues se font plus dures. Elles frottent âprement la prune violette. Je sens que je vais jouir. Mon gland gorgé de sang, au bord de l’explosion, s’achemine vers un orgasme irrépressible.
Je crie à gorge déployée :
— Je vais exploser, attention les filles !!!
Maman prend ma lance pour en faire profiter toutes ces assoiffées. Un flux énorme de sperme sort de ma queue et noie le visage de Michèle, du menton aux cheveux. Une deuxième giclée bien épaisse frappe Claude la bouche ouverte qui avale mon sirop. Une troisième décharge surpuissante de mon foutre chaud et crémeux s’élève dans les airs et retombe dans les cheveux de ma mère.
C’est l’orgasme absolu de ce somptueux manche qui crache en saccades puissantes un liquide chaud, épais, lourd, gras. Une bouche vient de s’emparer de mon pénis. Un flot de foutre ininterrompu sortant de ma bite en feu la remplit.
Après un léchage en règle de ma queue, elles décident de changer d’exercice.
Récit de Claire :
Comme je m’y attendais, Patrick n’a pas baissé pavillon après ce prélude et je décide de passer la 1ère.
Je le fais s’étendre sur le divan et lui ordonne de rester passif, Michèle et sa sur continuent de branler Patrick et je profite de cet énorme membre bien droit pour me mettre à cheval sur ses cuisses et remplir ma chatte par ce vit exceptionnel.
Elle cède sous la violence de la pénétration mais je n’en ai cure et ma chatte est si humide que son engin glisse bien en moi et me reculant un peu je me l’enfonce profondément à l’intérieur pour profiter de cette grosse et longue queue.
— AAAAhhhh, putain que c’est bon ! Je veux sentir ta bite partout dans mon corps… humm… je suis remplie… et défoncée… par ta saloperie de grosse queue!!
J’entame des va-et-vient de plus en plus rapides, touchant le fond de mon vagin à chaque fois. Je retire sa queue de ma chatte et la positionne pour un enculage et d’un seul coup l’enfonce entièrement dans mon cul.
C’est comme un morceau de bois qu’on enfonce dans mon derrière. Mon trou du cul va éclater et Michèle en profite pour me dévorer la foufoune.
Pendant ce temps Claude à califourchon sur la tête de Patrick se pâme sous ses coups de langue dans sa vulve, il lui dévore le clito, le salaud !
Ses mains ne restent pas inactives, il cherche à tâtons les deux chattes orphelines avant de les envahir de ses doigts habiles. Il arrive pratiquement à nous amener au plaisir les 4 ensembles.
Au bout d’un moment, je cède ma place à Michèle et à tour de rôle, nous nous empalons sur cette chose immonde, si longue, si dure, ce phénoménal pieu de chair, interrompant notre orgie de temps en temps pour prolonger le plus longtemps possible ces moments merveilleux avant sa jouissance.
Cette ronde infernale a duré presque une heure avant que notre étalon nous honore une nouvelle fois de sa semence.
— Ooooohhhh, je jouiiiiiiiss. Aaaahhhh… putain de nom de dieu ! Vous me faîtes jouiiirrrr !
Nous nous sommes serrées à genoux devant sa monstrueuse queue avant qu’il éjacule de nouveau d’énormes quantités de foutre.
Tenant à pleine main son phallus qu’il déplace à chaque giclée pour nous asperger, il continue inlassablement à se vider les couilles.
Son sexe toujours aussi dur et tendu crache sa semence par vagues qui atterrissent sur nos seins, nos visages, maculent nos cheveux. Bon sang, c’est incroyable, il se vide par flots sans fin.
Son sexe est en train de terminer son travail, je ne vois plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de sa bite encore dure.
Lorsqu’il termine, il avoue :
-Putain, vous m’avez pratiquement vidé les bourses.
C’est surprenant mais son énorme sexe est toujours aussi gros, à peine moins bandé mais toujours si épais. C’est comme s’il ne venait pas d’éjaculer. Juste incroyable !
Récit de Patrick
Après cette ronde de folie sur ma bite, on a pris un instant de repos et une collation pour récupérer quand soudain ma mère est partie dans sa chambre et est revenue avec un étrange matériel.
Après avoir pris une bonne dose de crème dans le creux de sa main, elle entreprend de me masser le gland, forçant sur ses pouces pour bien faire pénétrer l’onguent dans les plis du prépuce.
La sensation est délirante et je rebande à mort illico. C’est comme si on avait plongé ma bite dans de la poix chaude.
Elle interrompt ses caresses, se penche en arrière et pèche sur la table un lacet de cuir.
Sans me laisser le temps de dire ouf, elle entoure la base de mon pénis avec le lien, le comprimant très fort.
— Ne t’inquiète pas si ça serre. Y’a pas de danger
Un afflux de sang sous pression se produit dans mon membre congestionné qui se gonfle encore plus gagnant 2cm supplémentaires de tour et prend une teinte violacée.
Bon dieu ! Je ne suis pas assez épais comme ça? Puis elle se saisit du long tube de plastique gris. Je comprends enfin à quoi tout ça rime.
Anne-Marie me veut au maximum de ma forme, au moment de « prendre l’empreinte ». Quelle vicieuse ! Ç’en est diabolique !
Elle dégage la base du tube et en coiffe mon nud dressé à la verticale.
L’intérieur du cylindre est rempli de gel. Au fur et à mesure qu’elle l’enfile sur mon membre, j’éprouve des sensations étonnantes, ma bite brûlante s’enfonce dans quelque chose de froid et d’humide, agréablement frais.
Une fois le cylindre bien en place, elle me demande de rester immobile une minute ou deux, avant de défaire le cockring improvisé à la base de mon sexe.
Ma bite dégonfle peu à peu, libérant un interstice entre moi et mon « empreinte ».
Sous les regards complices de mes 3 chiennes, Maman, très concentrée, entreprend le démoulage avec précaution, comme une petite fille retirant le moule d’un drôle de gâteau. Ensuite elle remplit l’empreinte d’une silicone spéciale à prise rapide et démoule après quelques minutes mon énorme queue ou plutôt sa réplique en silicone.
Je peux voir devant mes yeux pour la première fois de ma vie ma bite à quelques centimètres ! La congestion des corps creux l’a rendue énorme, hyper détaillée avec ses veines gonflées, presque vivante.
— Beau spécimen, n’est-ce pas ? S’exclame-t-elle. Mais il me paraît encore plus grand que son modèle ! Et elle en prend la mesure.
Effectivement, sous la pression exercée par son lien, ma bite s’est tellement gorgée de sang qu’elle a enflé.
La longueur a gagnée un cm et la grosseur est devenue monstrueuse, mon vit passant de 17 à pratiquement 19 cm de circonférence!
Maman reprend la parole : – Comme convenue, je vais faire pour chacune d’entre vous un exemplaire de sa formidable queue pour nous permettre de toujours l’avoir avec nous même lorsque Patrick est « occupé » ailleurs.
– Aussitôt dit, aussitôt fait, elle remplit de nouveau le moule 3 fois de suite et mes 4 vicieuses ont chacune leur gode géant.
J’ai su par la suite que Claude qui avait des connaissances dans des magasins érotiques avait proposé cet article à la vente. Ma bite trônait en vitrine et se vendait particulièrement bien.
Le modèle P
Après cette intermède et vu l’effet que fait un cockring à ma queue, elles veulent essayer en me mettant un anneau très serré sur ma verge.
Elle est redevenue énorme et d’une raideur incroyable qui me fait mal à la limite du supportable.
Elles se sont relayées jusque tard dans la nuit sur mon nud par tous les trous possibles.
Claire complètement déchaînée aidée de 2 complices tenant chacune un gode « made in Patrick » allant même jusqu’à mettre ma bite dans ses 3 trous en même temps.
Elles ont hurlées car le diamètre obtenu par ma queue a dû encore repousser les limites qu’elles pouvaient accepter dans leurs différents trous mais aucune n’a reculé et du fait que ma verge congestionnée ne pouvait plus ni débander ni jouir, plus rien n’empêchait une baise sans fin.
C’est bien joli mais moi, j’ai failli y rester et il m’a fallu 3 jours pour m’en remettre.
A suivre..