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Les aventures sexuelles débridées de Patrick. – Chapitre 5

Les aventures sexuelles débridées de Patrick. - Chapitre 5



— Maintenant il est temps de prendre le dessert !

Puis elle glisse de sa chaise et prend la bite molle dans sa bouche que ses nouveaux talents buccaux permettent de ramener à la vie.

Murielle est en train de faire un remarquable travail de succion sur la queue quand Emilie et Christine entrent dans la chambre et Christine grimace,

— Beurk ! J’ai cru entendre, il y a pas longtemps, que la fellation c’était dégueulasse !

Murielle relève la tête sans pour autant lâcher le sceptre royal sous les gloussements de sa sur. Christine enfonce pourtant le clou :

— Alors Murielle, on dirait que tu as changé d’avis devant une telle sucette ! Mais je t’ordonne de lâcher ce mandrin. Tu devras attendre ce soir pour un deuxième tour de manège !

Comme une fille respectueuse de sa mère, Murielle, à contrecur, abandonne ce mât dressé.

Elles ont laissé leur Etalon recharger ses batteries toute la journée.

— On reprend là où lon s’est arrêté. Décrète Christine une fois les trois femmes et Patrick dans le salon. A toi l’honneur, Murielle !

Murielle hoche la tête, fait sortir l’oiseau de son nid, et enfourne dans sa bouche la verge de Patrick. Il fait l’indifférent mais la langue et les lèvres de Murielle sur la queue flasque ont vite raison de sa paresse érectile.

Christine regarde le spectacle mais ne peut résister. Elle s’agenouille à côté de sa fille qui retire le boutefeu de ses lèvres pour l’offrir à sa mère.

Sans hésitation, Christine commence à retirer pantalon et slip pour libérer « l’espace de jeu »

Elle attend que le pic soit au summum de sa force dans sa bouche et fait disparaître en entier l’interminable manche entre ses lèvres, s’arrêtant uniquement quand son nez bute dans les poils pubiens de Patrick.

— Arrête Maman ! Tu vas t’étouffer ! Quel spectacle fantastique !

Christine reste de longues secondes peau à peau avant de régurgiter le pal luisant de filets de baves abondants.

Quand elle se retire, Murielle veut copier sa mère et avale la barre d’airain aussi loin quelle le peut mais manque de vomir sur Patrick.

Elle se tourne vers sa sur lui montrant l’épi vigoureux : – Emilie ! Ce n’est pas possible ! Comment Maman fait-elle ?

Emilie se glisse entre les deux femmes et prend son amant en bouche, titillant le gland brillant de la langue.

Les yeux plongés dans ceux de Patrick, comme au ralenti, elle enfourne elle aussi entièrement le formidable chibre.

— Ce n’est pas vrai ! Tu arrives à lui bouffer complètement son gros nud ! Mais vous faites comment ?

Pour la narguer encore plus, Emilie, écrase les couilles de Patrick pour avaler encore quelques centimètres de plus.

— Emilie, arrête ! S’écrie Murielle.

Sa sur retire le bâton crémeux de ses lèvres et lui assure qu’elle ne risque rien.

— Hein les filles ! Quelle chance on a d’avoir un si beau jouet à nous partager en famille ! Car je veux le partager avec vous ! Enfin ! Si vous êtes d’accord ?

Elles ânonnent de la tête avec empressement.

— Murielle, on va d’apprendre à faire les gorges profondes ! Il faut que tu connaisses la sensation quand son gland glisse dans ta gorge et bat contre ta luette !

Christine surenchérit :

Je détestais çà avant avec ton père mais maintenant, je ne peux plus m’en passer !

Murielle a repris le témoin en bouche en écoutant sa mère.

— L’autre nuit, quand Emilie s’envoyait en l’air avec Patrick, j’ai surpris ton père en lui taillant une pipe !

— Murielle est si effarée par les révélations de sa mère, qu’elle ne s’oppose pas à sa sur qui appuie sur sa tête. Sans vraiment s’en rendre compte, la tige pharaonique disparait jusqu’à la racine entre ses lèvres, ne s’apercevant de l’exploit uniquement quand son nez touche le bas-ventre de Patrick.

Sa sur garde sa main appuyée pour l’empêcher de se retirer, mais en état de choc, Murielle ne réagit pas immédiatement avant d’éjecter le pieu qui obstrue ses bronches en crachant et hoquetant avec des envies de vomir. Elle prend un grand bol d’air avant de s’exclamer :

— Ouah, putain de merde ! Cest génial ! Mais quel vit ! Je veux que tu jouisses dans ma bouche, le plus loin que tu pourras ! S’il te plait, Patrick !

Les trois femmes se relaient sur la colonne de chair. Patrick tient autant qu’il le peut mais sent qu’il ne va plus tenir le coup encore bien longtemps.

— A toi Murielle ! Je veux répondre à ta demande !

Elle reprend la lance en bouche et descend lentement, sentant le gland glisser sur sa langue, repousser la luette et pénétrer dans la trachée.

Patrick ne peut plus se retenir, les deux mains sur la tête de Murielle, il se vide enfin.

— Ooooooh ! AAAAAAHHHHHH ! Quelle famille ! Toutes des sacrées suceuses ! OUIIIIIII ! AAAGGGRRRHHH !

Sa semence ne tarde pas à monter dans la lance et des jets à hauteur de la bête de sexe qu’est Patrick envahissent l’organe respiratoire de Murielle. La quantité est si abondante que ce qu’elle ne peut avaler ressort aux commissures de ses lèvres et s’expulse avec force de ses narines en longs filaments blanchâtres.

Elle recrache avec vigueur en toussant la verge qui continue à expulser sa semence. Sa respiration est sifflante, elle a un haut-le-cur. Elle est à quatre pattes essayant pendant de longues minutes de retrouver son souffle. Deux filets de foutre pendent de son nez. Elle arrive enfin à reprendre sa respiration et se nettoie le visage des souillures spermatiques. Entre ce qu’elle a recraché par la bouche, par le nez et les dernières salves de Patrick sur son front et ses cheveux, elle est méconnaissable.

Murielle retrouve enfin le sourire avant de s’exclamer:

— Oh putain ! J’ai réussi ! Comme Emilie, comme Maman ! Mais j’ai cru mourir quand il a éjaculé! Ce qu’on fait toutes les trois est complètement immoral mais quel pied ! S’écrie-t-elle, le regard triomphant fixé sur Patrick.

— C’était vraiment incroyable ! Mais quand j’ai senti sa queue gonfler et se vider dans ma gorge ! Oh mon Dieu ! La dose qu’il m’a mise ! C’était horrible, j’ai cru que j’allais crever ! Un sacré Etalon uniquement pour trois juments bouillonnantes !

Mais Emile vient la doucher sur ses croyances.

— Ce que tu viens de ressentir, il l’a déjà fait connaître à sa sur, tu sais ? La fille avec qui je partage mon studio !

— Qu’est-ce que tu racontes ! S’écrie sa sur.

Emilie les laisse un moment sur leur faim avant de leur révéler.

— Et vous croyez qu’un tel homme avait attendu de nous connaître pour découvrir l’attirance qu’il avait sur les femmes ? Il faut que je vous fasse un petit topo de qui est Patrick. Il m’a tout avoué dès le premier jour bien que ça m’est rendu jalouse, je savais que j’allais tout accepter.

— Avant de me connaître, continue Emile, Patrick avait déjà eu des aventures avec Michèle, sa tante, Claire et sa mère Claude, sa première partenaire, sa mère Anne-Marie et sa sur Annie ! Murielle l’interrompt :

— Bordel de merde ! Il a baisé toute sa famille avant toi et tu acceptes ça ? Des liaisons incestueuses ! Ca ne te pose pas de problèmes déontologiques de savoir ça ?

— Avant que je te réponde Murielle, il faut que tu saches que ces femmes sont toujours ses amantes et se partagent ses faveurs. Avec nous trois, ça fait un total de SEPT Femmes en plus de toi qu’il honore. Mais maintenant que je t’ai tout dit, veux-tu renoncer à lui ?

Murielle est abasourdie par de telles révélations. Ca bouillonne dans sa tête. Mais elle finit par avouer d’une voix à peine audible :

— Non Emilie ! Je ne me reconnais plus, mais il est hors de question que je me passe du plaisir qu’il me donne, je n’en ai pas la volonté.

— Moi non plus ! La coupe Emilie, et en plus c’est moi qu’il aime et veut épouser. Et malgré que je vais devoir le partager avec d’autres femmes, je m’en fou ! Je sais qu’il nous respecte toutes, et malgré que ça me fasse un peu de mal quand il comble de plaisir une autre, je l’accepte parce que je l’aime !

— Mais Emilie ! Demande sa mère, comment pourra-t-il gérer autant de… Euh… Femelles en rut ? Il va y laisser sa santé !

— Tu l’as vu baisser pavillon avec nous trois ? Rétorque Emilie. Ne te pose pas de question, jusqu’à maintenant, ça ne lui a jamais posé de problèmes.

— Bon, arrêtons de se prendre la tête ! Reprend Christine, je veux à nouveau connaître le plaisir de me servir de la belle poutre de Patrick ! Tu me la prêtes, Murielle ?

— Si Emilie est d’accord je n’y voie rien à redire.

— Mon chevalier et sa hallebarde est à votre service, gentes dames ! Clame Emile. Qu’il vous comble de bonheur et de plaisir ! Profitez-en car je me le réserve pour plus tard !

Christine a été sage et ne s’est limitée qu’à quelques orgasmes et une seule obole spermatique de Patrick. Mais ça ne l’a pas empêché de gueuler de plaisir.

Le pire dans cette histoire, c’est que Jacques, le mari de Christine, n’a pas l’air d’être dupe. Et pourtant ces propos sont bizarres quand il dit à Patrick à leur dernière rencontre.

— L’atmosphère dans cette maison a complètement changé. Il y a longtemps que je nai vu Murielle aussi rayonnante ! Xavier lui-même m’a demandé ce qui a pu changer son caractère à ce point, il m’a aussi avoué qu’elle était transformée sur le plan sexuel. Il a l’impression de vivre avec une autre femme. Et je dois dire que moi aussi, je suis agréablement surpris du changement de comportement de Christine à mon égard. Au lit, c’est devenu une vraie furie ! Comme tout cela est consécutif à ta venue sous ce toit, j’ai bien une petite idée. On dirait que tu as un effet incroyablement bénéfique sur la gent féminine et je serais bien bête de te reprocher quelque chose et j’espère que ça durera.

— Vivement que tu sois marié avec Emilie et que vous veniez souvent à la maison (raviver la flamme)!

Voilà ! Mais avec un tel harem, il faut savoir s’organiser. Elles ont par accord tacite, élaboré un calendrier pour se partager leur étalon. Emilie est heureuse, même si elle doit attendre patiemment son tour. Mais le bonheur de sa mère et de sa sur la comble de joie.

Patrick a maintenant la quarantaine et trois belles-filles avec Emilie de 18, 17 et 15 ans.

Une fois par an (quand les parents se sont débarrassés des enfants qui s’amusent de leur côté avec leurs copains et copines) il réunit son petit cheptel de pouliches qui font la queue pour se faire saillir par leur Étalon. Chacune a sa préférence, qui dans la chatte, dans le cul, ou à plusieurs bouches sur cette formidable lance toujours aussi explosive.

Si la descendance de Patrick est aussi chaude, ça risque de faire des étincelles…

Pour faciliter les rencontres, Annie a emménagé dans la même rue avec leurs deux filles jumelles. Elle est mariée avec Michel, un copain de Patrick, (lire aussi Michel et sa famille) et a un garçon de 15 ans, elle ne sait pas qui est le père.

Claire et sa mère Claude élèvent leurs filles dans la même maison, elles vont bientôt avoir 19 ans, Claire et Patrick ont aussi un fils de 17 ans.

Le couple de Murielle et Xavier vit dans la ville d’à côté. Quand il s’est rendu compte qu’il ne pouvait la mettre enceinte, il a demandé avec l’accord de Murielle à Patrick de l’engrosser. Leur couple a maintenant un fils et deux filles.

Christine est à moins de vingt minutes en voiture et vient les voir plusieurs fois par semaine. Enfin Michèle est venue habitée avec sa sur, la maman de Patrick. En parfait fiston, il ne manque pas de leur rendre visite régulièrement.

Il me reste à vous conter encore quelques aventures de Patrick. Mais patience…

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