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Les bains Japonais – Chapitre 2

Les bains Japonais - Chapitre 2



C’est alors qu’intervient son directeur, Philippe qui, comme lautre jour, d’après ce que racontaient les deux gars du vestiaire assis également dans le groupe, lui oppose des arguments tranchants qui déstabilise Ana.

Mais les arguments avancés par son directeur commercial sont de toute évidence mal fondés, et même de mauvaise foi.

Alors, est-ce qu’elle joue le jeu où fait preuve de la même naïveté ? Toujours est-il qu’elle s’emporte dans une diatribe enflammée et que sa serviette monte et descend au gré des mouvements de la main qui la tient et qui illustre ses propos.

Bientôt, les gars ne l’écoutent plus et ne regarde que son corps qui se déhanche et ses tétons qui n’arrivent plus à rester couverts.

Ils se mettent à rigoler et un type lui agrippe la serviette alors qu’elle continue imperturbablement dexposer son point de vu qu’elle juge juste tout en tirant sur la serviette que le gars veut lui subtiliser. Elle peste que personne nécoute.

Je bande franchement à nouveau devant le spectacle lorsqu’un autre gars tire aussi sur la serviette qui, cette fois lui échappe. Elle se retrouve complètement nue, debout au milieu de tous ces hommes. Elle essaye de la récupérer mais ils se la passent de main en main et rigolant.

Elle suit la serviette et se heurte aux genoux des gars assis en demi-cercle et manque de tomber à chaque enjambement qui dévoile son intimité, ce qui ravi toute l’assistance.

Ses seins s’agitent dans tous les sens, contribuant à surexciter les hommes qui sentraînent dans les remarques salaces et quolibets grivois.

La petite serviette saute d’un homme à l’autre en tournant tout autour de ma femme. C’est une course sans issue… Elle ne l’attrapera jamais…mais ils s’amusent de la voir chevaucher leurs genoux et trébucher le bras tendu devant elle, en claquant malgré elle, sa lourde poitrine qui se dandine dans leurs visages.

Ils font alors exprès d’écarter leurs genoux pour rendre l’enjambement plus difficile tout en lui agitant la serviette sous le nez.

« Rendez-moi ma serviette ! »

Elles doit maintenant écarter les jambes au-delà de la décence pour passer d’un gars à l’autre. Son sexe est complètement écarté et exposé à la vue de tous.

Certains la retiennent pour ne pas qu’elle tombe mais font exprès de lui faire garder ses poses impudiques et commencent à la peloter ouvertement. Elle se débat en repoussant les mains vicelardes qui s’insinuent entre ses cuisses et cherche encore d’un regard implorant la serviette qui s’éloigne sans arrêt

Cette situation désespérée semble l’amuser car elle est prise d’un fou rire nerveux qu’ils perçoivent, à raison, comme un encouragement à ce que les choses dégénèrent.

Mais Philippe, en cette soirée de fête, ne semble pas cette fois vouloir intervenir. Il n’y a désormais plus que moi qui pourrait stopper cette débauche.

Il suffirait que je me lève et crie : "Stop, je suis son mari…" Je mapprête à la faire quand un des gars sort d’un ton rigolard " Dis donc, qu’est-ce qu’il dirait ton mari s’il te voyait en ce moment ?"

Je me fige et me renfonce dans leau.

"Il serait surement en train de bander comme un âne" répondit -elle avec un naturel désarmant.

Ils partent tous dans un four rire complice.

Du coup, je ne le fais pas ! J’ai trop envie de voir la suite car ma femme ne semble pas en danger. Bien au contraire, elle est parfaitement consentante et peut-être même quelle aurait aimé que je la vois ?

La dizaine d’hommes s’est alors rapidement rapprochée pour l’encercler et leurs mains s’insèrent partout. Plus rien ne peut les arrêter à présent et elle le sait…

Elle est sur le dos et repose sur leurs genoux, tenue par de multiples bras qui l’écartèlent tandis que des mains pelotent ses seins et jouent avec ses tétons.

D’autres caressent sa chatte et des doigts la pénètrent ouvertement alors que les commentaires vont bon train et que ma femme continue de se débattre mollement en gémissant de plaisir.

Ils jouentElle fait semblant de se relever et de vouloir séchapper. Ils la retiennent alors mais pas trop non plus. Le jeu les excite beaucoup. Moi aussi.

Les doigts ressortent couverts d’une mouille gluante qu’ils reniflent d’un instinct animal… et sucent avec délectation !

Certains sexes sont tellement bandés quils sortent de l’eau à la verticale.

Un des gars veut lui présenter le sien à sa bouche mais devant la situation qui dégénère franchement, Philippe suggère de lever le camp et de se diriger vers le hammam hommes pour ne pas être dérangé par l’arrivée inopportune d’autres baigneurs.

Un gars costaud charge ma femme sur son épaule comme un vulgaire paquet de riz. Elle est pliée à l’équerre, les fesses et le minou exposés indécemment à la vue de tous et à hauteur des yeux des autres qui suivent tous comme des toutous en chaleur avec leurs sexes droits qui se balancent de gauche à droite en claquant leurs cuisses d’un bruit de chair mat.

Soudain, deux autres de leurs collègues font irruption dans le grand bain et demandent ce qui se passe. Les autres leur répondent d’un ton surexcité quil va y avoir du spectacle et finalement ils emboîtent le pas, trop contents d’une telle occasion.

C’est le moment ou jamais ! Je me lève à mon tour et rattrape le groupe discrètement en me mêlant aux autres. Mais je réalise que ma femme va me voir ! Je reste bien caché derrière deux ou trois gars alors qu’on arrive dans le hammam.

Ensuite… ensuite… eh bien, j’improviserai….

Au milieu, trône une table ronde en mosaïque en forme de champignon à la tête plate qui fait partie intégrante du sol et des murs tout en mosaïque également.

Il fait chaud et un brouillard humide remplie la pièce.

Le costaud dépose avec précaution ma femme sur la table ronde et l’allonge sur le dos. Elle se laisse faire et ferme les yeux, comme si elle se tenait prête et soumise à leur bon vouloir.

Ils n’en demandent pas tant. Très vite les types s’approchent d’elle et la pelotent à nouveau ; partout, vraiment partout. Une douzaine de types, ça fait vingt-quatre mains ! Tout en gardant les yeux fermés, elle gémit de plaisir et se tortille entre leurs mains.

J’ai alors une idée que je souffle à mon voisin quil reprend à la fanfaronnade.

"Eh les gars, et si on lui bandait les yeux ?"

A l’écoute de cette phrase, Ana ouvre les yeux et est prise d’un petit spasme de plaisir, comme une décharge électrique…et tout le monde acquiesce avec enthousiasme.

Je suis à la fois mortifié et honteux d’être le conseiller de cette luxure impliquant ma femme mais pas mécontent d’avoir trouvé un stratagème pour qu’elle ne puisse me voir.

Un type déchire une serviette pour en extraire un lambeau qu’il noue autour de la tête de ma femme en lui bandant les yeux avec zèle.

Elle souffle profondément, comme happée par un sentiment d’excitation exacerbée mélangé à une angoisse certaine d’être ainsi à la merci d’autant d’hommes.

Deux types approchent alors leurs sexes de son visage et lui tapotent les joues avec leurs bittes toutes dures et humides de jus qui perlent de leurs méats.

Le bruit mat et obscène résonne dans le hammam.

Je m’approche à mon tour mais on est serré comme des sardines car la table sur laquelle elle repose est plus petite que son corps. Ses bras et jambes pendent en dehors et il n’y en a pas pour tout le monde.

Les types lui écartent les jambes au maximum et lui pétrissent les cuisses et le ventre alors que d’autres se frottent le sexe sur ses pieds et ses mains. Elle prend alors une bitte dans chaque main et commence à les masturber tandis que l’un des deux types qui jouait avec son sexe sur sa figure lui colle la sienne sur ses lèvres

La tête renversée en arrière, elle engouffre la moitié du membre turgescent !

Les types sont tellement surexcités que l’un de ceux qui se fait masturber explose d’un coup sans prévenir ! Son sperme vole à plus d’un mètre dans une longue salve !

Le reste du foutre remplie la main de ma femme qui continue de l’astiquer doucement dans un bruit de gargouillis dégoûtant alors que l’autre force sa bouche en s’enfonçant toujours plus loin. Il grogne et vacille lorsque son engin saccade et décharge un lourd flot de foutre épais qui déborde de la bouche d’Ana.

Je suis subjugué dassister à un tel spectacle et qui plus est, avec ma femme !

Le gars se retire. Le sperme reflue et dégouline par terre tandis que lautre éjacule dans son autre main qui se couvre du liquide blanc et crémeux. Immédiatement, dautres prennent leur place.

Des mains lui triturent la chatte et s’introduisent dedans avec des va-et-vient gluants qui ont bientôt pour effet de la voir se trémousser de plaisir sur la table. Elle tire sur ses pieds que retiennent des mains alors que des sexes se frottent dessus.

Je me rappelle alors ses remarques sur le ligotage…et souffle à un autre gars une nouvelle idée…

"Et si on lui attachait les pieds ? Et les mains ?" annonce le gars avec un air enjoué.

"Avec quoi?"

Je leur tend des liens que j’ai discrètement confectionnés avec des serviettes depuis plusieurs minutes.

Lorsqu’elle entend ça, ma femme tente de se relever comme si ça lui avait provoqué un déclic mais les collègues la plaquent à nouveau sur la table et c’est avec un enthousiasme coupable qu’ils l’attachent en se servant du pied de la table pour rejoindre les quatre cordons de fortune.

Elle se met à gémir et à respirer fortement dans ses liens. A chaque inspiration profonde, sa poitrine se soulève fièrement très haut, ornée de ses magnifiques tétons gorgés au maximum qui s’offrent aux multiples mains qui viennent les triturer avec bonheur.

Maintenant, elle est parfaitement entravée en position écartelée et complètement à leur merci

Son sexe béant brille de son excitation et se retrouve au bord de la table, totalement vulnérable.

Mon érection, et celle des autres, décuplent à la vision impudique de ce corps magnifique offert et qui fait semblant de se débattre.

Elle pousse quelques petits cris de protestation mais lorsqu’un des deux Japonais se présente entre ses jambes, il la pénètre doucement avec son gland. Les chairs s’écartent et elle est prise d’un petit spasme. Ses mains et pieds se tortillent dans les cordes serrées, tandis que le gars s’enfonce doucement… jusqu’à la garde.

Une autre main lui triture son bouton complètement exhibé, décalotté et en érection.

Elle gémit tout en suçant une nouvelle bitte qui lui ramone la gorge.

Je n’en peux plus !

J’ai envie de la baiser aussi !

Le Japonais se répand en elle en seulement quelques coups de reins, tant il était excité. Il se retire pour laisser la place à un autre qui la pistonne violemment, bestialement. Ana est prise de spasmes erratiques et jouit en hurlant de cris étouffés entre deux va-et-vient de la grosse bite qui lui trinque la bouche.

Les hommes se succèdent et le corps de ma femme se couvre lentement de sperme qui coule entre ses jambes et dans ses cheveux. Une vraie traînée !!

Je laisse passer tout le monde…

Ana se fait enquiller alors par le costaud qui lui agrippe les hanches et la pistonne comme un animal en rut !

Elle est secouée de toute part sous les violents assauts. Sa poitrine gigote indécemment et se balance d’avant en arrière dans des mouvements amples d’un érotisme insoutenable.

Elle part à nouveau dans un orgasme sans nom et manque de sétouffer avec une épaisse queue qui lui obstrue toute la bouche !

Le costaud explose en elle et se fige dans un cri rauque qui résonne au-delà du hammam.

En se retirant, une large coulée de sperme régurgite et coule lentement dans la raie de ses fesses ouvertes. Le spectacle est dantesque.

Je m’apprête à passer à mon tour mais il reste Philippe, son directeur commercial, qui transpire d’une surexcitation intenable trop longtemps refrénée. Il est comme moi. En rut et incontrôlable.

Il s’enfonce dans sa chatte d’un méchant coup de rein ! Ana le rend fou !

Ses couilles viennent en butée et sécrasent sur sa chatte à chaque poussée et il ne peut contrôler son rythme tant il est pressé de jouir en elle. Il la bourre, il la culbute comme un forcené ! Le corps dAna valdingue dans tous les sens et tomberait par terre si elle nétait pas attachée.

Les autres continuent de la tripoter sans vergogne alors quun énième gars se vide dans la bouche de ma femme et que ’autres, qui n’avaient pas la patience d’attendre qu’un orifice se libère, se déchargent sur elle en se masturbant frénétiquement.

C’est ce que j’ai eu envie de faire moi aussi depuis longtemps, tant l’attente est insupportable.

Une vraie torture.

J’ai alors une autre idée et méclipse un instant pour aller chercher la rose que j’ai laissé dans le casier des vestiaires.

Lorsque je reviens, du sperme zèbre et macule son corps de toute part !

Philippe est en train de jouir et dans un grognement qui ressemble plus à celui dun homme des cavernes quà un directeur commercial, il agrippe ses hanches, enfonce ses doigts dans sa chair et explose en elle, les couilles écrasées jusqu’à la garde et ne bouge plus !

Puis, il se retire… enfin, épuisé et transpirant à grosses gouttes.

Il ne reste plus que moi…

Certains types sont déjà partis mais il en reste presque une dizaine qui continuent de jouir visuellement du spectacle et de la peloter.

Ana relève sa tête comme elle peut pour recracher du foutre qui lui encombre la gorge.

Elle toussote.

Je fais signe aux autres de la détacher pour… la retourner.

Et l’attacher à nouveau. " Qu’est-ce que vous faites ? " demande t elle inquiète.

Elle a les yeux toujours bandés…Personne ne répond ; surtout pas moi.

On l’attache à plat ventre sur la table les bras tirés vers le sol, les cuisses grandes écartées et les pieds repliés sur ses fesses et attachés ensembles…

La chatte arrive juste au bord de la table….

La vision de la belle secrétaire, ligotée et offerte ainsi avec de larges coulées de sperme qui ressortent de sa fente grande ouverte, les fesses rebondies sous les yeux lubriques de la dizaine d’hommes dont certains bandent à nouveau devant cet angle de vu humiliant est des plus émoustillant, des plus dépravé et dune impudeur carrément orgiaque.

Je pose mes mains sur ses jambes et les fait glisser tout du long en englobant ses genoux pliés, puis je continue sur les cuisses grandes ouvertes, remonte lentement… et presse son minou de chaque côté, les mains bien à plats en serrant la chatte pour forcer les jus mélangés de sperme de sexpulser, de sextraire comme lorsque quon presse un agrume bien juteux Les grosses lèvres se gonflent jusqu’à se toucher Je les frotte lune contre lautre en faisant couler le jus gras sous les yeux lubriques des acteurs devenus spectateurs.

Elle gémit comme une folle.

Puis, avec mes deux pouces, j’emprisonne son clitoris et commence à le triturer dans tous les sens. Elle gémit encore plus et respire fortement.

Je passe une main sur son sexe et frotte son gros bouton avec la paume… Il est tout décalotté et tellement vulnérable. Je lui masturbe carrément.

Elle se trémousse dans ses liens et pousse des cris.

Je ne m’arrête pas jusqu’à ce que soudain, elle se crispe et jouit comme une folle !!

Son corps se révulse et se contracte dans une position aussi extrême que ses liens lui permettent.

Je pousse alors … enfin, mon sexe entre ses grosses lèvres et m’enfonce dans son fourreau granuleux et trempé…

Mon gland nage dans le bonheur. Je m’enfonce encore plus loin. Mon gland racle sur les parois étroites qui menvoient des sensations à perdre pied. Elle respire d’un souffle rauque et je sens ses muscles vaginaux se resserrer sur ma verge surdimensionnée.

Je ne peux plus me retenir plus longtemps. Je me mets à la baiser plus vite et plus fort sans pouvoir me contrôler. Un instinct bestial menvoûte. Mon cerveau ne répond plus.

Elle crie et m’encourage ! "Ouiii, plus fort, allez-y !"

Ça me galvanise ! Je me mets à lui labourer le fion comme une bête en rut ! Mes couilles viennent frapper ses fesses rebondies dans un bruit obscène ! Je transpire abondamment. Mon corps ruisselle et mon cur semballe.

J’enfonce mes doigts dans la chair de son cul et l’écarte au maximum, offrant son petit trou dilaté à la vue de tous ses collègues qui sagglutinent de chaque côté pour ne rien louper…

Elle grogne comme une truie en chaleur alors que je la défonce ! Un bruit dégouttant de gargouillis emplit et résonne dans le hammam.

"Allezzzz ! Baiser moi comme une putain ! Baiser moi !"

Je suis tellement atterré par son langage que je n’avais jamais entendu dans sa bouche auparavant, que je lui claque les fesses et dans un coup de rein monstrueux, je lâche TOUT !!!

C’est alors que je lui saisis un sein et lui fourre la rose sous le nez !!!!

Elle comprend immédiatement mais c’est trop tard ! Elle est prise de convulsions incontrôlées et est submergée par un délirant orgasme alors que mes couilles se vident dans ses entrailles. De puissants jets de sperme successifs la remplissent jusqu’à ras bord alors que ma bitte ralentit mais continue de sortir et de s’enfoncer doucement dans cette mixture de liquides visqueux et odorants…

Les gars qui pelotent encore machinalement Ana, complimentent ce final insolite.

Ana, épuisée, se demande inquiète si c’est bien moi ! Elle se démène dans ses liens, ce qui pousse son cul à se tortiller et sa fente à fuir d’encore plus de foutre qui lui dégouline entre les jambes.

Son con baigne dans une marre de foutre.

"Retirez moi mon bandeau ! Détachez-moi" implore t elle pour savoir si c’est bien moi.

Mais je ne réponds pas et fais le tour pour maccroupir à sa hauteur. Je l’embrasse alors passionnément sans lui enlever le bandeau et lui souffle dans l’oreille.

" Oups, je crois que j’ai loupé mon avion…"

"Salaud…" me fait-elle dans un soupir.

" Et bien un salaud doit pouvoir s’entendre… avec une salope de ce calibre !"

Elle me sourit… et on s’embrasse langoureusement sous le regard attendrit de ses collègues.

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