Sophie8
Ce week-end Victor a décidé de memmener à la pêche avec François et Eric.
Maman, elle, passera un moment avec Laura pour du shopping a-t-elle dit. Mais personne nest dupe, les deux femmes vont samuser. Daprès François, Laura est impatiente de goûter au gode ceinture de Maman.
Jai préparé un sac avant de partir, car je savais ce que voulait Victor. Cétait passer la nuit avec moi, du moins, je lespérais. Je mis dans le sac une nuisette, une guêpière à jarretelles rouge et noire,un porte-jarretelles, des bas de soie noirs, quelques culottes très sexy, mes hauts talons à lanières, un chemisier blanc et une jupe noire très courte et très serrée. Je choisis une perruque blonde et une brune, mon nécessaire de maquillage et un tube de lubrifiant.
Cest Victor qui conduit. Eric a voulu monter devant, je me retrouve avec François à larrière de la voiture. Alors que nous nous mettons en route, je sens la main de François dans mon cou. Il me caresse la nuque avec douceur. Je frissonne, il glisse sa main sur ma poitrine et me pince délicatement le téton. Je tremble dexcitation. Il prend ma main et la guide vers son membre déjà dressé à moitié. Je me saisis de sa queue et me mis à le branler lentement au travers du pantalon. Il dégrafa sa ceinture, baissa sa braguette et fit jaillir son membre si long.
Eric se retourna et vit son père la queue à lair en train de se faire astiquer. Je titillais son gland, lui pressais la hampe. Il mattira à lui et membrassa fougueusement. Je changeais de main pour le branler et mabandonnais à son baiser de feu. Victor intervint pour dire « du calme derrière, on a tout le week-end pour ça ! » Eric avait glissé son bras pour me caresser la jambe.
François me relâcha et me dit à loreille : « nous ferons lamour tout à lheure »
Cest sûr ça allait être ma fête ! La pêche était un prétexte pour ces trois mâles dabuser de moi. Javoue que la perspective dune folle nuit damour mexcitait.
Nous arrivâmes au gîte. Il était bien équipé : cuisine, deux chambres, salon cuir
Jallais dans la chambre pour me préparer, je me lubrifiais lanus avant de revêtir mes atours féminins.
Pendant ce temps, mes hommes sétaient mis à laise dans un canapé près de la cheminée. Quand je revins dans la pièce Victor me dit : «Sophie, prépare nous des apéritifs et viens nous servir ! ». Je mexécutais en préparant un plateau avec trois verres.
Je servis mes hommes tout en ondulant sur mes hauts talons pour les allumer.
Victor glissa une main sur mes cuisses, puis, me saisit le poignet pour mattirer à lui. Il me fit asseoir sur ses genoux. Après mavoir longuement caressé les jambes, il me saisit la nuque et membrassa. Sa grosse langue fouillait ma bouche. Je faisais tourner la mienne. Ce baiser dura longtemps, au point que François simpatienta.
« Aller ! à nous maintenant ! Prête nous la ! » Dit-il.
Il parlait de moi comme dune chose. Jétais leur chose
Victor me libéra et je me relevais pour mapprocher de François. Il se leva du divan pour menlacer. Il me prit le menton délicatement et posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue et la mienne se liaient en un ballet sensuel. Il me caressait le dos de sa main. Il me flatta la croupe puis se saisit de mes fesses. Il les malaxa tandis quil membrassait avec passion.
Je sentais la raideur de sa bite sur mon bas ventre. Jondulais du bassin pour frotter mon sexe sur le sien. La sensation était agréable pour nous deux.
Pendant ce temps Eric avait sorti son membre et se masturbait devant le spectacle que son père et moi offrions. Jouvris la braguette de François pour me saisir de son long pénis.
Je le masturbais lentement tout en restant collé à lui.
Son fils ny tenant plus vint derrière moi pour se frotter la bite contre ma raie.
Gêné par ma jupe étroite, il me la remonta sur les hanches. Il soufflait comme un buf ou plutôt comme un taureau en rut !
Il écarta la dentelle de ma culotte pour glisser son gland entre mes fesses. Il voulait me prendre tout de suite !
Son empressement le rendait maladroit. Il buttait mon sillon sans trouver mon petit trou.
Enfin, après lavoir guidé, il trouva lentrée de ma caverne. Il senfonça dun ou deux centimètres, se replaça et menfonça sa bite de quelques centimètres supplémentaires. Malgré ma préparation, il me faisait mal. Je me dégageais de François puis pris appui sur le canapé et écartais mes jambes au maximum. Il entra complètement en moi. Sans attendre, il me mit des coups de buttoir. Ressortait complètement avant de menfiler à nouveau.
Javais la queue tendue dexcitation. Jadorais le coté bourrin de mon cousin. Il mettait de la fougue dans ses assauts. Je haletais de plaisir.
Victor intervint pour dire : « Ce soir Sophie est à moi ! » sous-entendu je suis sa femelle et quil va me dominer ! Jattendais ce moment avec impatience.
François sétait débarrassé de ses habits et attendait la queue tendue vers le ciel que son fils libère la place.
Ce dernier sorti de moi alors quil était prêt à exploser.
Victor, désormais nu lui aussi, lappela en lui montrant sa grosse queue. « Viens me sucer ! »
Cétait dit comme un ordre et Eric sexécuta et sagenouilla entre les jambes écartées de Victor.
Mon cousin semblait impressionné par la dimension de la bite mais il réussit à engober le monstre.
François mavait attiré à lui. Il me fit allonger en soixante neuf sur lui. Il me goba la bite avant même que je prenne la sienne. Jétait, jupe retroussée sur ma guêpière, en train de sucer mon oncle qui lui-même me pipait. Je caressait ses fesses et lui mes bas, mes jarretelles, ma culotte. Après de multiples attouchements, je pénétrais son anus de mon doigt, il tortilla pour mieux être pénétré.
Javais à présent deux doigts en lui et lui deux doigts en moi. Jaspirais sa longue bite, la léchais, la branlais comme je pouvais. Lui me pompait admirablement, mieux que maman
Il me fit me relever pour me faire agenouiller sur le canapé.
Il se mit derrière moi et menfila lentement.
Il me caressait les épaules, la nuque, le dos avec douceur. Il entama un long va et vient, puis un autre. Il me perforait, sa longue queue allait si loin en moi ! Il y allait plus rapidement maintenant. Il soufflait à mon oreille.
Il me susurra des mots damour, ma parole il était amoureux de moi. Cela expliquait des baisers passionnés.
Victor intervint au bout dun moment pour dire « Sophie, viens ici ! »
François sortit de mon cul à regret. Et me laissa approcher du couple formé par mon cousin qui suçait avidement la grosse queue de Victor.
« Viens remplacer Eric ! »
Ce dernier se releva et alla rejoindre son père. François présenta son postérieur à son fils et lui jeta un regard complice. Eric bandait mou, aussi, François se retourna et entreprit une fellation sur son fils.
Ce dernier, ayant regagné en vigueur, se positionna derrière François et entreprit de lenculer.
Moi, jétais à genoux devant Victor. Je me saisis du totem et me mis à le branler lentement tout en faisant pression sur son gland.
Je mis son sexe énorme dans ma bouche et me mis à le sucer tout en le branlant à deux mains.
Je sentais son membre durcir sous ma langue.
Il me dit : « Tu suces bien Sophie, mieux que ton cousin, il faudra lui apprendre ».
Jétais fière du compliment. Jenfonçais son membre au plus profond de ma gorge. Le ressortais, reprenais ma respiration puis menfonçais à nouveau.
Il appréciait ma pipe, mais me fit me relever.
Il me fit mettre à genoux sur le fauteuil. Il vint derrière moi et menfila sans ménagement.
Je me sentais une nouvelle fois écartelée, perforée sous la pression quil exerçait pour senfoncer. Comme cétait bon de se faire prendre par Victor, il était si viril. Il me tenait les hanches et me pénétrait lintimité.
Enfin à fond, il entreprit un va et vient très lent. Mon anus distendu shabituait à la grosseur de son engin. Il me mit une claque sur chaque fesse. La douleur me fit dabord tressaillir. Je me penchais en avant pour mieux offrir mon cul. Il me fessa tout en me labourant. Je ne savais pas ce que je préférais. Il me reprit par les hanches et se consacra à me baiser.
Javais les fesses brûlantes, sa queue qui allait et venait de plus en plus rapidement menflammait le cul. Je le sentais grossir encore. Il se crispa et menvoya un jet puissant de sperme puis un autre puis encore un autre.
Il mavait farci de sa semence. Il resta fiché en moi et reprit sa pénétration. Le jus coulait de mon cul mais il continuait à me perforer.
Il continua un petit moment à me prendre, puis se retira.
François à quatre pattes se faisait toujours limer par son fils, sa longue queue battait la mesure. Victor sessuya le membre et me tendit la serviette que je glissais entre mes jambes.
Il se rassit sur le fauteuil et mattira dans ses bras musclés. Je me lovais sur sa poitrine et regardais le spectacle de mon oncle se faire défoncer par son fils.
Victor me dit à loreille : « Ce soir tu dors dans mon lit !»
Tout un programme sannonçait.
Après avoir fait le repas, je dressais la table.
Jétais assise à coté de Victor et face à François. Tout le repas, ce dernier me fit du pied. Il me draguait comme une femme. Je me laissais faire et appréciais le moment. Je fis coulisser mon pied sur sa cheville, il soufflait en étant tout rouge de désir.
Il me jetait des oeillades amoureuses, ce qui me gênait un peu.
Victor avait glissé sa main sur ma jupe et me flattait les jambes. Ma jupe serrée lempêchait dêtre plus entreprenant.
Toutefois sa caresse associée à celles de François finit par mémoustiller. Je commençais à bander. Victor me saisit la bite au travers de ma jupe et la serra très fort. Il me dit « Je vais te niquer toute la nuit ! ». Je nattendais que ça !
La soirée se terminait, javais fait la vaisselle pendant que mes mâles rigolaient dans le salon.
Eric vint à moi et menlaça. Il chercha à membrasser lui aussi.
Il me saisit sans ménagement et fourra sa langue dans ma bouche. Je répondais à son baiser sans passion. Il était tellement rustre !
Les deux autres hommes sapprochèrent. François me tira par la main et me détacha de son fils. Il mattira et membrassa à son tour, il me serra contre lui tout en me fourrant de la langue. Javoue que jaimais cette passion quil mettait dans ce baiser. Je bandais à nouveau.
Il me pelotait les fesses tant quil pouvait. Ses mains glissaient dans mon dos. Je frissonnais dexcitation.
Je lui dit « Ce soir, je suis à Victor » sous entendu une autre fois je serais à lui !
Victor me dit « aller, Sophie on va coucher »
Je passais par la salle de bain pour me démaquiller et me changer pour enfiler une culotte fendue et ma nuisette. Je gardais ma perruque pour conserver une image féminine.
Victor mattendait dans le lit. Je me glissais sous les draps et me lovais contre lui. Je glissais une jambe sur la sienne et lui demandais « Que veux tu que je fasse ? »
« Fais moi une pipe et après je vais te baiser !»
Je couvrais son torse de bises puis glissais sous les draps pour atteindre son entrejambes. Je pris lobjet du désir entre mes lèvres. Puis engloutis son gros saucisson. Je le pompais de toutes mes forces. Je le branlais en lui léchant le gland. Il se laissait faire mais avait glissé sa main sous ma nuisette. La culotte fendue que je portais permettait à mon sexe dêtre dégagé. Il sen saisit et me branla doucement.
Je mouillais mon doigt puis le posais sur sa rosette. Jouvris la bouche pour engloutir sa queue puis fis tourner mon doigt sur son anus.
« Ta mère ta bien appris ! »
Il me saisit par les épaules et me ramena à lui. Il me dit « viens sur moi».
Je le chevauchais et mis sa bite en position. Je descendais lentement sur sa grosse queue je prenais le temps denfoncer le pieu en moi. Je mempalais avec délectation. Chaque centimètre me déchirait et jaimais ça !
Sa bite était à moitié en moi quand je décidais de lenfoncer complètement.
Il fut surpris, mais donna un coup de reins pour senfoncer plus encore.
Je restais là, enfichée sur son mandrin. Je ne voulais plus bouger. Son gros sexe memplissait le cul, comme cétait bon !
Je remuais de gauche à droite tout en écartant les fesses. Je contractais mon anus sur sa hampe. Il se saisit de ma bite et me masturba tandis que je commençais mon long va et vient. Sa bite sortit de mon cul mais vite je la remis en place. Jaimais sa poigne sur mon sexe, il me branlait au rythme de mon enculade. Il se redressa tout à coup, pivota pour poser ses pieds au sol et me souleva comme une plume. Je restais collée à lui en lenlaçant et les jambes serrées autour de lui. Il me plaqua, dos sur la cloison. Il me burina le fion avec sa grosse queue. On entendît des gémissements venant de la chambre dà coté. Victor me porta et ouvrit la porte séparatrice.
Le spectacle était édifiant. Eric gémissait sous les assauts de son père. Victor et moi regardions la longue bite de François aller et venir dans le cul dEric. Ce dernier couinait de plaisir. La scène semblait exciter Victor, car il repris mon labourage tout en me tenant par les fesses. Sa bite était bien dure dans mon cul. Il y allait avec force.
Il me déposa sur le lit près dEric et repris sa charge. Il aimait me violer le cul. François me regardait me faire prendre par mon maître. Il me fit un clin dil et mima un baiser.
Nous étions à quatre à forniquer les odeurs et les bruits se répandaient dans la chambre.
« Vas y papa défonce moi ! » geignit Eric.
Je tenais Victor par les épaules, lui me tenait le bassin et me niquait, me niquait !
Il se raidit et menvoya une tonne de purée dans les intestins.
Il se retira presque aussitôt, quel dommage !
Il se releva et alla dans notre chambre et revint avec une serviette quil me tendit pour messuyer lanus. Je me levais pour aller aux toilettes puis dans la salle de bain. Javais le cul en feu. Cela faisait quatre enculades aujourdhui.
Victor me rejoint dans la salle de bains, il se nettoya la bite dans le lavabo. Sa toilette faite, il menlaça puis membrassa. Sa langue fouillait la mienne. Ma queue se dressait dans ma nuisette, il sen saisit et me caressa longuement.
Il me dit : « Tu vas te faire sucer par ton cousin, aller viens ! »
Nous sommes retourné dans la chambre de François et Eric. Ils copulaient toujours. François limait son fils depuis près dune demi-heure. Le cul dEric devait être brûlant, la pine de son père entrait et sortait depuis si longtemps. Victor souleva ma nuisette et dégagea ma queue bandée. Je la présentais à Eric qui lengoba. Ses plaintes étaient étouffées par mon sexe. Je menfonçais dans sa bouche. Il fit tourner sa langue sur mon gland très maladroitement. François me saisit la queue et la confisqua. Il sapprocha de ma verge et lengloutit goulûment. Il me suçait avec passion tout en labourant son fils.
Je me positionnais sur les genoux pour lui faciliter la tache. Comme il me suçait bien !
Victor assistait à la scène, assit dans le fauteuil. Eric me caressait les jambes alors que son père me suçait la bite et que lui se faisait enculer. François faisait aller sa langue sur mon gland, cétait délicieux ! Je sentait monter la sève et ne fit rien pour me dégager de sa bouche. Jéjaculais en lui !
Il me caressa les testicules tout en avalant mon sperme. Il était surexcité de recevoir tout mon jus. Il se contracta et je vis Eric aux anges de recevoir en lui la semence paternelle.
Je rejoignais Victor pour que nous retournions dans notre chambre.
Je mallongeais près de lui. Me lovais dans ses bras. Je caressais son torse velu. Il se retourna vers moi et membrassa divinement. Il me dit « je vais te faire lamour !».
Il me fit me retourner et présenta son gland entre mes fesses. Jondulais du bassin pour sentir sa queue raide le long de ma raie. Il semblait aimer ce jeu. Il me caressa les épaules, le cou, il me pinça les tétons, je soupirais de plaisir sous ses caresses qui convergeaient vers mon sexe.
Il prit ma queue en main et commença à mastiquer. La pipe de François mavait vidé toutefois, je retrouvais de la vigueur sous la poigne de Victor. Il présenta son gland contre mon anus. Je le sentais impatient ! Aussi, jentrepris daller à la rencontre de son gros zob.
Comme toujours, les premiers centimètres étaient difficiles. Sa queue était si imposante.
Il donna un léger coup de reins pour me pénétrer davantage. Comme cétait bon. Jaimais cette lente progression de son membre jaurais voulu que ça dure des heures ! Sa grosse bite me sondait le cul au travers de ma culotte fendue. Je criais de douleur tandis quil senfonçait en moi. Il me pressa la bite de sa poigne virile. Je mordais mon oreiller puis dis « défonce moi mon amour, baise moi fort » Il ne se fit pas prier et se mit à me labourer !
Il me dit : « Telle mère, telle fille ! Tu aimes quand je tencule ! »
« Oh oui Victor, vas y encule moi fort, jaime ta grosse bite ! Tu es mon maître et moi ton esclave, ta soumise ! »
Il y allait à fond et ma rondelle était en feu.
Il éjacula en moi une quantité énorme de foutre. Javais le cul rempli. Il mavait déjà baisée trois fois en peu de temps.