On lui répondit aussitôt.
Qui c’est ?
C’est la petite chatte au rond rouge grand-mère ! Je vous apporte un petit pot de beurre que ma mère vous envoie !
Le loup lui cria en adoucissant un peu sa voix : "Tire la bobinette et la chevillette cherra". La petite chatte au rond rouge tira la chevillette et la porte s’ouvrit.
Referme vite la porte. J’ai froid !
Ah… mais on n’y voit rien là-dedans !
Le loup, de fait, avait pris soin de fermer les volets et les rideaux. L’obscurité était totale.
Rapproche-toi de moi.
Attends. Je cherche une bougie.
Y en a une près du lit. Viens !
La fille approcha à tâtons. En chemin, elle percuta une grosse masse au sol qui émit un grognement étouffé.
C’est quoi ça ? J’ai failli me casser la gueule !
C’est la chienne !
Tu as une chienne maintenant ?
C’est récent.
Ouf, j’y suis.
Tiens, déshabille-toi et viens t’allonger à côté de moi. Cela va me réchauffer.
Ben… j’voudrais pas m’attarder.
Il va faire nuit. De toute façon, tu es bloquée ici jusqu’à demain matin.
La petite chatte au rond rouge se fit une raison. Elle aurait bien voulu rentrer pour jouer avec la bite à papa, mais ce n’était pas possible. Réchauffer la vieille ne lui disait rien qui vaille, mais la soirée était mal engagée. Elle allait s’emmerder comme un rat mort, alors autant se pieuter, dormir rapidement et repartir tôt le matin. Avec un peu de chance, elle recroiserait son père et ses potes au même endroit. En songeant au pied qu’elle avait pris avec deux bites, elle se dit qu’avec trois, ce serait la fiesta.
Ben dis donc mémé, qu’est-ce que vous avez changé !
Ah bon ?
Mère-grand, vous avez de grandes oreilles !
C’est pour mieux t’entendre mon enfant.
Qu’est-ce que vous avez de gros muscles !
C’est pour mieux t’embrasser mon enfant.
Qu’est-ce que vous êtes poilue !
C’est pour mieux te réchauffer mon enfant.
Quand même ! En densité au cm2, ma chatte atteint pas le dixième !
J’ai pas eu le temps de m’épiler.
Non ?
Même pas le maillot !
Faites voir.
Et la petite chatte au rond rouge chercha le pubis de la grand-mère. Mais elle mit la main trop bas.
Mère-grand, que vous avez de grosses couilles… et quelle énorme bite… ????? C’est pas normal ça !
C’est pour mieux te sauter mon enfant !
Eh Ho ! C’est quoi cette arnaque ? dit-elle en bondissant hors du lit.
Le loup craqua une allumette et prit un bougeoir.
Il était allongé dans le plumard et bandait comme un âne.
Au pied du lit, ligotée, à genoux, le cul en l’air, bâillonnée, se trouvait la grand-mère ! Ce n’était pas une chienne comme le loup l’avait laissé croire… enfin pas au sens propre.
Grand-mère ! Qu’est-ce que tu lui as fait ?
J’étais en train de lui péter la rondelle, mais ça rentrait pas. Elle gueulait tellement que j’ai dû la bâillonner. On a dû l’entendre à l’autre bout de la forêt.
Et la petite chatte au rond rouge se souvint de l’écho bizarre qu’elle avait entendu quand les bûcherons la ramonaient.
Elle débâillonna la vieille.
Oh mémé, qu’est-ce qu’il vous a fait !
Rien justement ! C’est à c’t’heure là qu’t’arrives ! Il est où le pot de vaseline de ta mère ? répondit vertement l’ancêtre.
J’sais pas. J’vous amène du beurre !
Putain, mais qu’est-ce qu’elle peut être conne ! Fais vite, y a des heures que j’attends qu’il m’encule !
Eh doucement, la vieille ! dit le loup. Maintenant que la p’tite est là, j’vais la baiser d’abord. Toi, on verra après !
Ah non, c’est pas cool ! Depuis le temps que j’attends ! Prims !
Moi aussi j’attends, reprit le loup. Et d’ailleurs, t’as été bien contente de me trouver à la place du puceau qui t’a posé un lapin.
Au moins, détachez-moi pendant ce temps là… je fatigue.
Comme on la libérait, l’aïeule reprit.
Dis donc le loup, t’aurais pas un pote dans les parages ? J’vais pas faire que vous regarder quand même !
Euh… Si, y a mon grand-père.
Et il bande encore ?
Oui… dur ! mais il pue de la bite. J’te préviens.
Ça me va. Un zob, ça doit sentir un zob. De toute façon moi, je pue de la moule. Comme ça, on va rester en famille.
Le loup sortit, poussa un hurlement auquel répondit un cri lointain.
Il sera là dans dix minutes… Graisse-toi les trous en attendant, moi, j’m’occupe de la jeune. Allez ma poulette, montre ta chatte blonde et ta tache rouge… Joli, excitant… A quatre pattes dans le lit.
T’as vraiment une grosse queue et des grosse boules !
Attends d’l’avoir dans le cul. Là, je me retiens, mais ça va gonfler encore.
Ça va être plus gros que ça ?
Tu peux compter le double !
Ça rentrera jamais.
Avec la vaseline que t’as apportée, ça va glisser ma chérie, comme un patin sur de la glace. On pourra même faire entrer un baobab.
Qu’est-ce qui t’est arrivé à la bite ?
Rien pourquoi ?
Elle est toute rouge, pointue au bout et enflée à la base… et ça enfle encore. Et puis elle suinte.
C’est normal tout ça. J’ai pas un ridicule zizi d’homme avec le bout tout rond, pâle comme de la mortadelle et avec à peine un shooter de foutre… J’suis mieux équipé que ça… Tu vas la sentir passer ma belle !
La jeune fille se mit à quatre pattes. Le loup commença à lui lécher la fente.
Sa langue était longue, agile et rapeuse, et comme il était chaud comme la gueule de l’Etna, il la lui fourra profondément dans le trou, non sans en avoir donné au préalable un grand coup bien baveux sur la raie.
Il n’en fallut pas plus à la jeune fille pour gémir et bien tendre son cul.
Comme il lui enfonça le zob d’un coup dans la masse, elle hurla. Il n’avait pas menti. Excité comme un dingue, il bandait formidablement et sa boule avait la taille d’une grosse orange. Il força pour la faire entrer. La petite chatte au rond rouge regretta aussitôt les bûcherons dont le nud lui avait paru bien doux en comparaison. Mais elle se dit que cela finirait de la même façon, et même mieux, si le plaisir était proportionnel à la taille de l’engin.
Elle ne se trompait pas et fut bientôt foudroyée par un orgasme terrible.
Oh merde, tu jouis déjà, dit-elle !
Que dalle, pourquoi dis-tu ça !
Tu me remplis le vagin.
C’est comme tout à l’heure, je pisse toute les deux secondes… mais c’est rien à côté de la bordée de jus que tu vas prendre. Allez, entre les fesses maintenant !
Aïe… non. Trop gros… et j’ai encore mal de tout à l’heure.
Comment ça ?
Les bûcherons et les moines m’ont copieusement enculée.
Putain ! Les salauds ! Ça crie au loup toute la journée, ça fait trembler dans les chaumières, mais ça grimpe une demoiselle sans défense ! Quelle bande de tartuffes ! C’était bon au moins ?
Que oui ! Mais ta quéquette les surclasse… et pourtant, c’est pas de la petite queue eux non plus !
C’est même de beaux morceaux, renchérit la grand-mère.
Ah, parce que vous aussi mémé…
Qu’est-ce que tu crois ? Que ta mère m’envoie un pot juste pour soulager mes pieds secs ?
Justement mémé, envoie le pot que je lui graisse le fion !
J’pourrais te bouffer les couilles pendant que tu la troncheras ?
J’allais te le demander.
Le loup enfila donc la fille qui s’évanouit de douleur. Il profita de l’occasion pour lui élargir le trou comme un fossoyeur et, quand il y coulissa à son aise, il pria la vieille de mettre des sels sous le nez de sa petite-fille. Elle revint à elle, toujours dans la peine, mais elle s’y fit très vite.
Elle était en train de hurler au mâle de la bourrer comme une chienne quand le grand-père loup entra.
Alors pépé, il parait qu’on bande dur ?
Avisant les gros nichons de l’aïeule et leurs descendances emmêlées, il s’excita tout de suite.
Suce, la mère, suce… juge sur pièce.
La mémé sauta sur le sexe et l’avala goulûment.
La petite chatte au rond rouge regarda la vieille téter le gros morceau avec professionnalisme. Elle en prit de la graine.
C’est quand même vrai qu’il refoule du nud. Je le sens d’ici.
J’adore ! répartit la grand-mère avant de reprendre sa tétée. Ça, c’est de la bonne odeur de pine.
Maintenant, serre tes seins autour de la tige !
Pas con ça, dit le loup. Faisons comme eux.
Comme les deux queutards continuaient de jeter en l’air de petits filets de precum, les femmes eurent bientôt la poitrine trempée comme un ciré sous le crachin breton. Certains jets, plus puissants que les autres, atteignaient le visage. En quelques minutes, elles en furent couvertes.
La petite chatte au rond rouge se passait la langue sur les lèvres pour récolter le précieux breuvage. Le loup eut pitié d’elle et l’abreuva directement. Elle en était folle.
Vas-y mon loup, dose-moi, dose-moi. C’est meilleur que le lait maternel.
Elle s’allongea sur le lit, écartant bien les cuisses, et le loup vint se coucher sur elle. Elle l’embrassa à bouche que veux-tu en faisant attention quand même aux dents acérées. Il lui enfonçait la langue jusqu’à la glotte et bavait comme une éponge qu’on essore. Il donnait de gros coups de queue. Le vagin bien dilaté laissait entrer et sortir la totalité du zob jusqu’aux couilles, et quand la boule passait, le surcroit de pression arrachait un spasme de bonheur à la jeune femme.
En levrette, la grand-mère demandait grâce sous les coups du vieux mâle, trop heureux de profiter de cette bonne fortune.
Le loup éjacula enfin dans la chatte de sa jeune maîtresse. Il retira sa verge enduite de foutre qui dégoulinait en pendeloques lourdes.
Comme le vieux achevait aussi de tirer son coup, il exigea que la petite chatte au rond rouge vint lui bouffer les boules. Et dès qu’il eut joui, il lui fit pomper sa bite et lécher la chatte de la grand-mère qui pissait lentement du foutre. La perspective de bouffer l’abricot de mémé ne la branchait pas, mais elle avait tellement envie de sperme, qu’elle s’y mit de bon cur.
A force de lécher la grand-mère, cette dernière y prit goût et voulut rendre à sa petite fille ses bienfaits. Elles se retrouvèrent donc en 69 pour leur satisfaction réciproque.
Cela excita les loups qui, en un quart d’heure, reprirent toute leur vigueur.
Le vieux baisa la jeune et vice versa. Ils se servirent de l’une et de l’autre simultanément, les bourrant à deux queues, le jeune loup en dessous, avec une femme à califourchon sur sa gueule, la langue bien au fond de son vagin, pendant que la femelle pelotait celle qui, en vis-à-vis, se faisait prendre dans les deux trous. Puis on changeait.
Ils forniquèrent comme cela une bonne partie de la nuit et s’endormirent tous les quatre sur le lit qui craquait.
Le lendemain au réveil, la petite chatte au rond rouge fut tirée du sommeil par les gémissements étouffés de sa mère-grand. Le vieux loup était allongé dessus et il la baisait en douceur, en missionnaire, sans bouger beaucoup, en mode câlin. La vieille profitait de l’aubaine. A son âge, elle n’attirait plus guère que les veufs ou les vieux, souvent trop pressés, et quelques jeunes, trop boutonneux pour plaire aux nanas ou qui trouvaient ici l’occasion de perdre leur pucelage à peu de frais. Le vieux loup au moins était bien monté et très endurant.
Si la fille n’avait pas déjà eu envie de pine, la scène lui aurait donné des ardeurs. Il était temps de s’occuper de l’autre mâle qui dormait encore profondément. Pas de doute, il y aurait du sperme pour ces dames au petit-déjeuner.
Elle se mit donc à quatre pattes au-dessus de la tête du loup, la touffe au ras de la truffe et commença à se caresser la chatte.
Elle ne fut pas longue à mouiller et l’odorat sensible du loup fut stimulé par la fragrance de la moule chaude.
La petite chatte au rond rouge remarqua que le dard sortait de son fourreau, magnifique, rouge vif et sut que la bête était définitivement éveillée quand elle reçut un grand coup de langue sur la raie.
L’animal ne fut pas long à la retourner pour la saillir en levrette. Il s’agrippa aux montants du lit et la maltraita comme jamais. Heureusement, le meuble était solide.
L’autre couple en fit autant, abandonnant son quart d’heure romantique pour une grimpette déchaînée.
Les filles criaient fort et les loups hurlaient à tout rompre. Cela rameuta du monde. On crut au meurtre. Tout à coup, on frappa violemment à la porte. Puis elle s’ouvrit dans un violent fracas. Plusieurs hommes armés, dont les bûcherons et le paternel, se ruèrent sur les animaux pour les massacrer.
Arrêtez, arrêtez, qu’est-ce que vous faites ! hurla la petite chatte au rond rouge en s’interposant à temps.
Il faut reconnaître que plus que ses cris, c’est son corps couvert de sueur et de foutre qui attira l’attention des intervenants.
C’est pourtant simple ! On ne va pas laisser ces monstres abuser de vous !
Mais ils n’abusent pas de nous, au contraire…
Ah bon ?
Ben, oui. Vous pouvez nous laisser tranquilles maintenant ?
On va les tuer d’abord !
Mais vous n’êtes pas bien !
C’est ce qui se fait d’habitude.
Personne ne va tuer mon mari !
Ton mari ? Vl’a aut’chose !
Oui. Nous allons nous marier.
Mais c’est n’importe quoi ! rétorqua le père. Un loup n’épouse pas une jeune fille.
Les autres approuvèrent. On n’avait jamais vu ça. D’ailleurs, ils n’attendaient que la mort des deux queutards lupins pour baiser les femmes qui les faisaient bander grave.
La grand-mère prit la parole.
Vous êtes des hypocrites. Vous m’avez tous baisée ici, et pas qu’une fois… y compris toi mon gendre qui en plus saute ta fille tous les soirs.
Le loup intervint quand même.
Il y a du vrai quand même dans ce qu’ils disent… On n’est pas de la même espèce…
Et ça t’empêche de me sauter ? Avoue que c’est plutôt bien nous deux !
Oui, c’est clair.
La grand-mère débloqua la situation.
De toute façon, ça vous empêchera pas de nous fourrer quand vous voudrez. Nos futurs maris sont partageurs… et nous insatiables !
Un chasseur, qu’on avait rameuté pour l’occasion et qui n’en pouvait plus de se branler, demanda à voir.
On lui donna satisfaction, et jusqu’à une heure avancée de l’après-midi, la chaumière retentit des cris d’orgasme de ce gang bang rural.
Quand tout le monde fut parti et qu’il ne resta plus que les filles et les loups, le plus jeune des mâles demanda.
On fait quoi maintenant ?
On fait comme on a dit, répondit la petite chatte au rond rouge.
Ils firent donc ainsi.
Ils se marièrent et, grâce aux bûcherons et autres amis de passage, eurent beaucoup d’enfants.
Fin.
Prochain conte : Blanche-Neige