Histoires de sexe hétéro Histoires de sexe sœur Histoires gays

Les cousines – Chapitre 2

Les cousines - Chapitre 2



CHAPITRE 2

Maud raconte

Je viens d’avoir dix-huit ans. Je n’ai pas de copain et mon corps est en pleine tempête hormonale. Depuis quelques mois, mes seins se sont mis à gonfler, mon pubis s’est recouvert de poils sombres, mon bas-ventre subit des vagues de chaleur et se mouille tout seul.

J’ai découvert récemment les délices que mon corps peut m’apporter. Un soir, dans mon lit, j’ai posé par hasard ma main sur mes seins. J’ai immédiatement senti les pointes qui se dressaient et durcissaient. En frottant légèrement dessus, j’ai ressenti une vague de chaleur envahir tout mon corps. Inconsciemment, mon autre main est descendue vers mon ventre et mes doigts ont rencontré le petit bouton qui se trouve au-dessus de ma fente. J’ai cru recevoir une décharge électrique! Tout mon minou s’est entrouvert et j’ai senti couler un liquide chaud et doux contre mes doigts. Je les ai alors frottés sur ce petit bouton et, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mon corps a tressauté dans tous les sens et j’ai connu mon premier orgasme.

Cela se passait dans la chambre que je partage avec ma cousine Isa chez ses parents. Cette chambre est aménagée sous les combles et occupe tout le dernier étage. Nous avons partagé ce grand espace en deux coins, chacun équipé d’un lit, d’un bureau et de divers rangements pour nos vêtements et nos affaires d’école. Une salle de bain complète a été installée au bout. Moi, je vais encore au collège, Isa est en fac.

J’espère qu’elle n’a pas remarqué mes soubresauts. C’est peu probable car nos lits sont disposés aux deux extrémités opposées de la pièce.

Isa est une belle jeune fille de vingt-deux ans, blonde comme les blés, grande, mince et élégante. Elle a un copain, Cédric, qui a trois ans de plus qu’elle. Il est le premier garçon que je côtoie régulièrement et, depuis que j’ai découvert les émois de mon corps, je rêve souvent de lui. Je sais bien qu’il ne m’est pas accessible, il a sept ans de plus que moi et, surtout, c’est le copain de ma chère Isa. Chasse gardée. C’est pourquoi je ne me prive pas de fantasmer sur lui car je sais qu’il n’arrivera jamais rien entre nous.

Un jour, en début d’après-midi, le proviseur du collège entre dans la classe et nous informe que la prof de science est absente. Vu qu’elle devait nous donner les deux dernières heures de cours de la journée et qu’il ne dispose de personne pour surveiller l’étude, il nous annonce que nous pouvons retourner chez nous.

C’est ainsi que je rentre à la maison vers quinze heures. Isa est encore à la fac et ses parents sont tous les deux au boulot.

Je monte immédiatement dans ma chambre, bien décidée à profiter de cette opportunité pour me faire abondamment du bien! Arrivée au pied de mon lit, je dépose mes affaires d’école sur mon bureau et me déshabille entièrement.

Couchée sur mon lit, je laisse mon esprit vagabonder et, tout de suite, c’est l’image du copain d’Isa qui m’envahit.

Cédric est un beau jeune homme de 22 ans, grand, mince et athlétique. Il est en terminale d’ingénieur et va bientôt obtenir son diplôme haut la main. De plus, il pratique pas mal de sport, dont la natation, ce qui lui a sculpté une silhouette magnifique. Je les ai déjà accompagnés à la piscine, Isa et lui, et j’ai pu admirer son corps pratiquement nu, juste vêtu d’un maillot de bain moulant.

Je n’ai donc aucune difficulté à l’imaginer étendu à mes côtés dans le plus simple appareil, sa virilité tendue en mon honneur. Dans mon rêve, il passe ses mains sur mon corps et me procure des sensations délicieuses. Sa bouche court sur mes lèvres et sur mes seins et ses doigts explorent ma fente embrasée et humide. Pendant ce temps, je malaxe sa colonne de chair brûlante qui palpite entre mes doigts. Dans la réalité, ce sont mes propres mains qui me caressent la poitrine et le sexe. La tension monte rapidement dans mon ventre et, sans que je ne puisse le retenir plus longtemps, un violent orgasme me secoue tout le corps. Je cherche à le prolonger le plus longtemps possible en agitant frénétiquement mes doigts sur mon clitoris, mais je dois finalement m’avouer vaincue et je retombe tétanisée de plaisir sur mon lit.

"- Bravo, jolie performance! " entends-je dire depuis la porte de la chambre. Je rabats prestement le drap sur mon corps et je me retourne paniquée pour voir qui est là, bien que je le devine déjà. Bien sûr, c’est Isa qui est postée à l’entrée de la chambre. Elle a dû rentrer plus tôt que prévu de la fac et je ne l’ai pas entendue monter, tout affairée que j’étais à grimper les derniers échelons de la jouissance.

"- Pas de soucis Maud, ne sois pas honteuse et, surtout, ne regrettes rien, ce que tu viens de faire est parfaitement naturel. Moi aussi je me caresse souvent pour me donner du plaisir. Et pourtant, je reçois régulièrement les câlins de Cédric, mais ça ne me suffit pas. Je ne vais donc certainement pas te faire de reproche. Tout le monde se fait du bien quand il en a l’occasion et d’ailleurs, rien qu’à parler de ça , je commence à avoir des fourmillements au fond de mon slip. Je vais te prouver tout de suite que tu n’es pas la seule à te masturber dans cette chambre."

Sans transition, Isa dépose ses affaires et commence à se déshabiller lentement face à moi. J’ai l’impression qu’elle se livre volontairement à un strip-tease provocant pour me faire remonter dans les tours, ce qui réussit parfaitement. Quand elle jette son string, dernier rempart de sa pudeur, je suis déjà occupée à me caresser intensément. Elle se poste alors droit devant moi, son sexe à hauteur de mes yeux et commence sa folle sarabande.

Ses mains courent sur tout son corps dans une longue caresse jusqu’à ce qu’elle enfonce deux doigts qu’elle agite furieusement dans son vagin. Je vois le liquide s’échapper de sa fente et j’entends le bruit mouillé de sa main pénétrant son sexe à un rythme infernal. Elle appuie son dos contre le mur, fléchit légèrement les jambes et projette ainsi vers mon visage son bassin secoué d’intenses ondes de plaisir. Je perçois maintenant l’odeur délicieuse de son sexe en fusion ce qui achève de me faire exploser dans mon deuxième orgasme de l’après-midi.

Mes gémissements de plaisir lui donnent le coup de grâce et elle jouit en projetant une giclée de cyprine dans ma figure. Cela ne me dérange pas, au contraire. Je recueille tout le jus du bout de mes doigts que je lèche avec délectation. Je viens de connaître mon premier émoi saphique, mais pas le dernier, loin s’en faut.

Lorsque le corps d’Isa lui permet de redescendre sur terre, elle recouvre ses esprits et vient se coucher à côté de moi dans mon lit. Elle me caresse tendrement les seins et me dit:

"- Tu vois, ma chérie, je ne suis pas différente de toi. J’éprouve aussi le besoin de jouir le plus souvent possible, mon équilibre en dépend. Je fais cela depuis que j’ai à peu près ton âge et, en plus, depuis que je connais Cédric je me suis perfectionnée dans l’art d’aller chercher les dernières parcelles de plaisir. Si tu veux, je peux te faire profiter de mon expérience et te permettre de mieux jouir de tes sens."

Si je veux!!! Mais tout mon corps n’aspire qu’à ça. Je lui souffle donc:

"- Isa, tu peux faire de moi tout ce que tu veux. Mais, explique moi d’abord pourquoi j’ai des poils sur mon minou et pas toi?"

"- Tout simplement parce que je les rase!"

"- Tu les rases! Mais pourquoi?"

"- Car Cédric me le demande."

"- Cédric te demande de te raser les poils du minou? Pourquoi donc?"

"- Il trouve ça plus excitant et, surtout, c’est plus doux quand il me lèche le clitoris."

"- Il te lèche le clitoris? Mais c’est dégueu!"

"- Oh non, ce n’est pas dégueu. Au contraire, c’est merveilleux. Mais tu ne peux pas savoir car tu n’as jamais essayé. Si tu veux, je te fais goûter, ce sera ma première leçon!"

"- Euh puisque tu me dis que c’est délicieux, je te fais confiance. Vas-y, mais, si je n’aime pas, promets-moi d’arrêter si je te le demande."

"- Promis! Mais je ne m’inquiète pas. Si tu me demandes quelque chose, je suis sûre que ce sera plutôt de ne pas m’arrêter!"

Elle se glisse donc vers le bas de mon ventre et se met à caresser mon clitoris du bout de son doigt, histoire de le faire gonfler. C’est la première fois que quelqu’un d’autre me le touche et cela me fait l’effet d’une bombe. Je sens instantanément tout mon corps s’enflammer, mon sexe se mouille et s’ouvre comme une fleur.

Isa pose alors sa bouche sur mon bouton et commence à le lécher de haut en bas, puis en tournant la langue tout autour. J’éprouve une sensation jamais connue et je comprends pourquoi elle m’a dit que j’en redemanderais. En effet, c’est tellement extraordinaire que je voudrais que ça ne s’arrête jamais.

Elle referme maintenant ses lèvres autour de mon clito et plutôt que de le lécher, elle se met à le sucer avidement. Je ne peux pas retenir un long gémissement qui sort sans fin de ma gorge. Elle a compris bien sûr que je ne vais pas lui demander d’arrêter. Elle entreprend alors de me faire ce qu’elle s’est fait à elle-même et commence à introduire un doigt dans mon vagin.

Mais moi, au contraire d’elle probablement, je suis toujours vierge! Elle sent que je me contracte et me dit:

"- Ne t’inquiète pas et détends-toi, ça va bien se passer. Je ne vais pas te faire mal ni même te déflorer. Je vais juste passer doucement mon doigt à travers ton hymen sans le déchirer. J’ai fait ça chez moi aussi et, en le répétant plusieurs fois, au fil du temps ta membrane va s’assouplir. Tu finiras même par pouvoir y introduire un godemichet pourvu que tu ne le prennes pas trop gros. Tu pourras ainsi décupler ton plaisir tout en gardant ta virginité pour l’offrir au garçon que tu choisiras plus tard."

Et effectivement, je sens son doigt passer avec précaution à travers ma virginité et pénétrer ainsi au plus profond de ma grotte. Elle se redresse sur un coude tout en gardant son doigt tout au fond de moi, penche la tête vers mon torse et me suce les tétons. Elle atteint maintenant les parois internes de mon vagin et les caresse par un doux va-et-vient. La combinaison des deux sensations simultanées m’anéantit de plaisir et je me sens couler comme une fontaine. Incapable de résister plus longtemps je me laisse aller avec délice à mon premier orgasme vaginal qui me dévaste totalement.

Pantelante dans mon lit, j’ai la tête dans les étoiles. Je n’aurais jamais cru qu’une telle jouissance était possible et je savoure l’instant présent en haletant avec volupté. Il me faut un long moment avant de retrouver la parole.

Isa a retiré sa main et me contemple en souriant. Je crois voir dans son regard trouble un sentiment à la fois de bonheur et de fierté de m’avoir emmenée au septième ciel.

"- Mon Dieu, que tu es belle quand tu jouis." me dit-elle." Rien qu’à te regarder j’en ai moi-même éprouvé un brutal orgasme. Je crois que tu apprendras très vite sous mes doigts et que nous connaîtrons beaucoup d’autres moments aussi intenses qu’aujourd’hui."

Elle m’embrasse tendrement sur la bouche et je sens sa langue s’entortiller autour de la mienne dans un long baiser qui n’a plus rien de fraternel. Je comprends alors que nous venons de tomber amoureuses l’une de l’autre.

La suite

Et de fait, plus rien n’est resté comme avant. Le temps a passé et j’ai maintenant vingt ans. De cousines affectueuses nous sommes devenues amantes passionnées. Profitant de notre chambre commune, nous faisons l’amour le plus souvent possible en toute discrétion, mais avec fougue. Isa m’a enseigné toutes les caresses buccales et manuelles qu’elle apprend dans les bras de Cédric. Seul me manque le goût du mâle.

Je m’en suis déjà ouverte à Isa en lui demandant carrément si son homme, dont elle est toujours éperdument amoureuse, pouvait un jour participer à nos ébats car maintenant je ressens le besoin de plus en plus pressant de perdre réellement ma virginité et de baiser avec un garçon. Mais, dès que j’aborde ce sujet, je sens qu’elle se tend et qu’elle cherche à changer de conversation. J’en déduis donc qu’elle ne veut en aucun cas risquer de devoir partager son homme, même pas avec moi.

D’un côté je suis déçue car ça me démange vraiment, mais, d’un autre côté je comprends. Car Cédric et elle, ce n’est pas un simple flirt ni même une amourette de jeunesse, c’est le grand amour.

De toutes manières, de grands changements se préparent et m’inquiètent: Isa et Cédric vont se marier. Que vais-je devenir toute seule dans ma grande chambre? Si je ne peux pas faire l’amour avec Cédric ni même avec Isa, je vais perdre la tête. Je suis devenue accro au sexe et il faut absolument que mon corps exulte. La masturbation, même la plus sophistiquée, ne me suffit plus. Il va donc falloir que je me lance toute seule à l’aventure car pas question de me passer de sexe.

Heureusement, je suis moi aussi maintenant à la fac et celle-ci est mixte. Ce ne sont pas les garçons qui manquent. En plus, ça fait longtemps que j’ai remarqué que plusieurs d’entre eux me regardent avec du désir plein les yeux. Normal, sans me vanter, je suis plutôt canon et, d’après ce que m’a dit Isa, j’irradie le sexe tout autour de moi. Et ça, c’est grâce à elle, j’ai été à bonne école.

Je décide donc de sauter le pas. Il y a dans mon cours un garçon nommé Sébastien, à peine plus âgé que moi et qui ne me déplaît pas. Il est plutôt mignon, mince, les cheveux châtains et de taille moyenne. Comme moi-même je ne suis pas très grande, il ferait bien l’affaire. J’entreprends donc de le séduire ce qui n’est pas compliqué et il tombe comme un fruit mûr dans mes bras.

Je vous passe les détails, mais ce qui devait arriver est arrivé, et très rapidement: trois jours après le mariage d’Isa, elle est déjà remplacée dans mon lit par Sébastien.

Comme au début de mon aventure avec Isa, je profite d’un après-midi de fourche pour emmener mon ami dans la maison déserte. Vu qu’on est dans le même cours, ça facilite les choses. Je crois que Sébastien s’attendait seulement à un flirt dans le canapé, mais quand il voit que je l’emmène directement dans ma chambre, il comprend que son jour de chance est arrivé.

Nous nous embrassons à pleines bouches tout en nous déshabillant mutuellement. Cela peut paraître paradoxal, mais malgré toute l’expérience sexuelle que j’ai accumulée depuis deux ans avec Isa, je ne me suis jamais retrouvée nue devant un garçon. De même, je n’ai jamais vu un garçon entièrement nu devant moi. Et surtout, je n’ai jamais touché un sexe masculin.

À la fois éblouie et timide, je pose ma main sur sa verge pas encore totalement tendue et le contact achève de le faire durcir complètement. Je tiens maintenant un gourdin brûlant dans ma main et je commence à le masturber comme je l’ai vu faire dans les vidéos X que je regardais parfois avec Isa. Je sais que je ne dois pas y aller trop vite car il est probablement puceau et, comme ma cousine me l’a dit, je risque de le faire éjaculer avant d’avoir pu en profiter. Ayant l’expérience des longs préliminaires avec elle, je lâche sa queue et je remonte vers son torse que je caresse en lui titillant les mamelons.

De son côté, il me palpe les seins et lèche mes tétons saillants et durcis. Rien qu’à l’idée de ce qui va enfin m’arriver, je mouille déjà abondamment. Il ne peut évidemment pas ne pas le remarquer et il pose une main sur mon sexe qui s’ouvre instantanément. Il glisse alors un doigt dans mon sexe et rencontre mon hymen qui, bien que devenu symbolique tellement il s’est assoupli, est toujours là.

"- Tu es vierge! Moi aussi. Tu sais ce qui va arriver si on continue? Si tu préfères arrêter c’est maintenant, après je ne pourrai plus En fait, il est déjà trop tard, je crois que je ne vais plus pouvoir renoncer! J’espère que tu prends la pilule car je n’ai pas de préservatif et d’ailleurs je n’ai pas envie d’en utiliser un. Nous sommes tous les deux vierges donc pas de risque de maladie sexuelle possible."

"- Je n’ai aucune envie d’arrêter, c’est pour faire l’amour que je t’ai emmené ici. Ne t’inquiètes pas il n’y aura pas de problème. Cela fait un moment que je sais que cet instant va arriver et, en prévision, je prends effectivement la pilule. J’ai vingt ans, je ne suis plus une gamine et j’ai furieusement envie de toi."

Sur ces mots, je l’empoigne par la queue et je l’entraîne dans ma chute sur le lit. Là, je lui laisse l’initiative car il est sensé n’avoir aucune expérience tandis que moi Mais je ne tiens pas à ce qu’il le sache, ça c’est mon jardin secret.

Je me couche donc sur le dos et j’écarte les cuisses. Incapable de résister, il se met sur moi, avance sa trique et la pose à l’entrée de mon vagin. Il pousse lentement son sexe dans le mien et me pénètre sans difficulté ni douleur. Quand il est arrivé bien au fond, il fait une pause et je devine que c’est pour éviter d’exploser tout de suite.

Ma tête appuyée contre son épaule, je pleure à chaudes larmes. Il redresse le visage et lèche gentiment mes larmes.

"- Pardon mon amour, je t’ai fait mal. Mais je crois qu’il est impossible de déflorer une fille sans ce passage obligé. Encore pardon."

", Mais non, grand fou. Ce n’est pas de douleur que je pleure, c’est de bonheur. Il y a tellement longtemps que j’attends cet instant. Je n’ai rien senti et maintenant je suis à toi. Alors vas-y, baise-moi à fond et fais-moi jouir autant de fois que tu le peux."

À ces mots, je jette mes jambes autour de ses reins et je l’aspire dans mon vagin. Il répond en m’envahissant complètement de son sexe bien dur et il ne faut pas longtemps pour que cette folle cavalcade se transforme en montée au ciel. Il se raidit comme un arc et éjacule tout son foutre dans mon ventre. Pour la première fois, je sens du sperme brûlant gicler contre mon utérus et cela provoque chez moi un orgasme vaginal inouï qui me fait éjaculer à mon tour sur son pubis.

Anéantis de jouissance et de bonheur, nous nous laissons retomber sur le lit, Sébastien toujours fiché en moi. Je lui caresse tendrement la tête et le dos pendant qu’il récupère. Comme tous les garçons de son âge, je suppose qu’il se branle régulièrement et donc qu’il connaissait les bienfaits d’un orgasme. Mais je suppose aussi qu’il ne s’attendait pas à perdre son pucelage avec une vierge folle! Mais, chut Je ne vais rien lui dire. Tout comme Cédric ignore notre relation incestueuse avec Isa, Sébastien ne doit rien savoir non plus. Car si maintenant je fais l’amour avec un garçon et que ça me plait, je n’ai nullement l’intention de renoncer à mes amours lesbiens avec Isa.

Petit à petit, je sens sa queue ramollir dans mon ventre. Je décide que, pour une première fois, il ne faut pas abuser des bonnes choses. Je l’embrasse donc et lui dit:

"- Mon amour, mes parents (il ignore mon histoire familiale un peu compliquée) ne vont pas tarder à rentrer. Ils ne t’ont jamais rencontré et ça ne ferais pas bon genre qu’ils fassent ta connaissance dans mon lit, ta queue bien enfoncée dans ma chatte!

À cette idée, nous éclatons de rire ce qui nous vide des dernières gouttes de nos liquides emmêlés. Nous nous levons et prenons rapidement une douche ensemble. Puis nous retournons dans la chambre pour nous rhabiller. Sébastien passe devant moi et j’admire son corps nu par-derrière. Je l’attrape par la main et le fais pivoter pour le regarder par l’avant. Il est magnifique. J’ai décidément bien choisi mon étalon et je me dis qu’avec un tel partenaire, je peux m’attendre à vivre de nombreuses heures de jouissance dans le futur.

En fait, je crois bien que je suis amoureuse!

La conclusion

Les années ont passé. Isa et Cédric roucoulent toujours ensemble. Ma cousine et moi, nous nous sommes organisées pour célébrer des fêtes du sexe à nous deux lorsque son mari est en voyage, ce qui arrive souvent. Notre attirance physique mutuelle n’a pas faibli, mais Isa n’a toujours pas changé d’avis et ne veut pas mélanger sa vie conjugale et notre aventure saphique.

De mon côté, j’ai vécu une belle histoire avec Sébastien, mais au bout de deux ans j’ai eu envie d’aller voir ailleurs. Nous sommes restés amis et même amants de temps en temps.

Je pense que ma boulimie sexuelle ne s’arrêtera pas de sitôt, et je change souvent de partenaire pour explorer toutes les facettes de la sexualité. Quand je dis toutes, c’est faux Aussi avide de jouissances que je sois, je ne pratique que le sexe humain, pas la zoophilie ni toutes les dérives tordues. Je refuse également de me soumettre au sado-maso et je n’apprécie pas la sodomie. Pour moi, l’amour ça se pratique avec le sexe, les mains et la bouche. De même, pour moi, l’amour ça se partage, ça s’offre et ça se reçoit, ça ne s’impose pas et surtout, ça ne se vole pas. Mais, cela admit, tout est possible, le sexe est devenu le moteur de mon existence.

Puis est arrivé ce vendredi après-midi d’été où j’ai enfin atteint l’ultime palier de mes désirs: j’ai fait l’amour avec Cédric, mon fantasme absolu et, cerise sur le gâteau, c’est Isa qui me l’a offert en participant activement à cette apothéose.

Depuis lors, chaque fois qu’il rentre de voyage, nous nous arrangeons pour être libres toutes les deux et nous l’accueillons à bras (et chattes) grands ouverts et nous célébrons son retour par un festival du sexe! La réticence d’Isa à m’offrir son homme a totalement disparu. On dirait que plus on baise ensemble, plus elle est heureuse. Depuis lors, selon elle, Cédric est devenu encore plus amoureux car elle lui a permis ce jour-là d’assouvir son propre fantasme inavoué: faire l’amour avec moi.

Nous fantasmions donc l’un pour l’autre, sans le savoir, depuis de nombreuses années et, maintenant, nous formons un trio hyper doué pour l’orgasme ce qui ne m’empêche pas de continuer à explorer le sexe et d’avoir d’autres amants!

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire