Cette histoire (La suite des prémices de ma soumission) est toujours du pure phantasme.
Suite à la mise à la porte de la maison, il y 6 mois maintenant, j’étais devenu un prostitué. Il faut dire qu’avec mes 18 ans, mon mètre 70, mes 60 kg et blonds aux yeux bleus, ça se bousculaient à l’entrée de mon cul. J’étais devenu une vrai petite salope vénale. De 20h à 5 h du matin, je vendais mon corps. Merci Papa de m’avoir viré, j’ai trouvé ma voie, enfin pas tout à fait. C’est vrai que j’offrais mon cul, ma bouche mais je trouvais çà banal. J’en voulais plus.
Je voulais un maître, un vrai. Pas du style à vous abîmer. J’en ais vu des allumés, des pervers, des vicieux qui voulaient juste se servir d’un corps comme de la viande. Bien sur j’ai été baffé, attaché, mis en tournante, violé (Consentant) mais c’était pas suffisant. Je voulais être esclave. Appartenir à quelqu’un. Oui je sais, j’avais 18 ans (J’en ais 25 maintenant). Un soir, alors que fumais tranquillement une clope habillé très pute (Jean court déchiré, blouson nu dessous et des baskets), une voiture style grosse berline s’arrêta à ma hauteur. Le mec me dévisagea des pieds à a tête. Le visage par la portière, il me demanda mes tarifs que je lui indiquais. Il me voulait pour tous le week-end. 2000 euros cash. Le mec sortir 2 billets de 500 Euros, le reste dimanche.
Une fois montée dans sa voiture, il me demanda de le sucer. Même pas bonjour. Moi c’est vrai, j’allais pas lui demander autre chose que ce je devais faire. Il sortit sa bite, un beau morceau de 21 cm par 5 que j’engloutis dans ma bouche. "Vire ton blouson et tes baskets et appelé moi Monsieur" Il avait une voix grave. Je lui obéi et me retrouvais torse nu et pieds nus. "Mieux que ça salope, avale la, je demande de la téter" Mon maître, je l’ais peut-être trouvé. Alors je me suis appliqué et il a jouit. "Avale salope" J’ai avalé. "Et puis ne te rhabille pas. Tu est a moi jusqu’à dimanche"
Nous sommes arrivé dans une grande maison à Vaucresson. Avec un superbe jardin. Il me fit sortir sans m’avoir demandé d’avoir ôte mon jean. Il laissa mes vêtements dans sa voiture et mon pognon. De son coffre, il sortit une laisse et un collier que je du mettre et c’est à 4 pattes que je franchissais la porte d’entrée. "suis-moi, esclave"
Il me fut renter dans une grande pièce. Il me fit installer sur un coussin à genoux. "Bon voila, je suis homme qui vis seul et j’ai besoin d’un esclave tout les week-ends. Toi tu es mignon, je t’ai choisis. Ici tu n’es qu’un esclave disponible ou et quand je veux. Que ce soit en intérieur ou en extérieur. Ta tenue ici c’est comme tu es là ; dehors c’est jean, t-shirt et basket. Je pratique le SSR, pas de violence ni de marques. Tu mappelleras Monsieur. Tu mangeras après moi. Tu ne devras jamais te masturber et si on est amené a se revoir les week-end suivants, tu auras une ceinture de chasteté. Bien sûr tu ne devras plus te prostituer. Je ne veux pas d’un putain chez moi. Tu as 10 minutes pour réfléchir. Si tu dis non, je te rends tes vêtements et tu pars. Si tu dis oui, tu viens me lécher les pieds" Je lui lécha les pieds …
Je devins donc son esclave. Les premiers temps furent assez durs. Il ne s’occupait pas de mon plaisir. Je passais mon temps enre sa bite dans ma bouche ou dans mon cul. Le rituel était le même tous les week-end. Me présenter en tenue d’esclave au lieu de travail de mon maître. Ma tenue était simple ; Pantacourt, blouson nu dessous, nu pied dans mes baskets. Arrivé à son bureau, je devais aller sous son bureau et le succer. Des fois, il y avait des mecs qui me baisaient devant lui. Il était patron d’un boite de batiment, c’était le plus souvent maghrébins ou des noirs. Une fois, il m’a meme laissé toute une nuit. Arrivé che lui, après m’être mis nu et avec mon collier (Kelvin, esclave de Monsieur), il me baffait pour me montrer qu’il était le maître et je ne devais pas pleurer sinon n’étais double ration. Ensuite durant tout le week-enef, j’étais attaché, enculé, gode, pluggé. Je buvais sa pisse, le léchait partout, mangeais ses restes à ses pieds, le suçait bien sur, devait être toujours à 4 pattes ou à genoux, je recevais la fessés ou des claques. Dès fois, il invitait des amis ou m’emmenait en extérieur (Sex shop, wc public, aire d’autoroute …) J’étais devenu ce que je voulais, le parfait esclave. Cette vie me convenait parfaitement. Le reste de la semaine, je devais me consacrer à mes érudes (Il était très sévère si je ne travaillais pas). Ma vie était contrôlé. Voici 11 mois.
Un dimanche soir, il me dit "Assieds-toi je dois te parler" Je lui obéissais. " Kevin, tu me donnes totale satisfaction. Tu es né pour servir les mâles, c’est ta nature. Mais, je dois quitter la région pendant quelques temps. Je ne peux pas te laisser sans collier. J"ai décidé de te prêter à un autre maître qui a des esclaves en pension" Je ne comprenais pas. J’aimais mon maître il allait me laisser avec un autre maître. "Non Monsieur, ne me laissez as, c’est vous que j’aime. je vous appartiens." Et je me suis mis à pleurer comme une femelle. Mon maître se leva et me donna une claque monumentale. "Tu n’as pas à discuter mes ordres. Tu me dois obéissance. Je t’envoie chez Maître Karl, lui seul sera ton maître le temps de mon absence. Ta condition d’esclave dépend de la lettre que je vais lui faire. Tu pars demain à 6h00. Prépare toi des ce soir.N’enmènes aucun vêtement, tu partiras nu" "Bien Monsieur" Je partis à 4 pattes me préparer. Je ne revis plus jamais mon Maître.
Une autre vie allait commencer. A bientôt 19 ans.