MA FEMME AU DESSERT (4em épisode)
Je m’attends à une nuit torride. Maria est en transes animales.
Elle cesse de se fourrer la chatte avec les bananes et se retourne pour se poser sur son ventre. Elle bombe le torse et cambre ses reins.
Elle est vraiment dessinée comme un violoncelle, une taille bien fine et des hanches larges. Je lui ai souvent dit, pour plaisanter, qu’elle avait une mine d’or au bas de son dos. Aucun homme ne peut croiser une femelle pareille sans s’attarder sur son cul bombé, rêver d’y poser les mains et réchauffer son gland.
Ce soir, les deux hommes sont allés plus loin. Ils ont payé pour s’offrir une inconnue qui a fouetté leurs fantasmes à la minute même où elle a pénétré masquée dans cette salle de restaurant.
L’homme âgé s’avance vers elle et se saisit de la combinaison qu’il déchire sur toute la longueur, jusqu’aux reins. Les fesses de Maria apparaissent dénudées, délivrées, exhibées.
Le plus jeune a posé ses mains sur les reins de ma femme et lui écarte lentement les deux globes. Elle ouvre ses jambes pour mieux aider à la vision de sa chatte mouillée. Elle vérifie que plus elle est chienne plus les hommes bandent, et ce soir elle veut faire durcir ces belles queues jusqu’à les vider de leur semence.
Elle ondule langoureusement comme une panthère et s’ouvre de plus en pus, à s’en faire mal.
? Cà vous fait bander ce que vous voyez ? Regardez ma chatte, elle dégouline déjà de plaisir… et je sens de l’électricité aux bouts de mes tétons… Vous voulez les toucher ? Alors déchirez ce qui reste de nylon sur mon corps et traitez moi comme une salope, une garce…ce que je suis d’ailleurs…et c’est bien meilleur ! Mettez moi nue et je serai votre esclave…vos grosses queues me rendent folle….je suis brûlante… – elle nous regarde tour à tour avec un regard avide -…massacrez-moi… ?
Alors, nous mettons à nu le corps de Maria, ne lui laissant que son masque rouge et son collier noir.
La musique ambiante – beggars banquet des Stones – flotte des ses éléments et la lumière des bougies coule par petites gouttes sur ses reins. Elle se retourne, écarte encore plus les jambes des deux cotés de la table et me demande de presser ses tétons pour en faire jaillir des petites perles d’un nectar que je connais bien.
C’est le signal !
Maria s’allonge, pose la tête sur les coussins que le garçon de salle a disposé sur la table et jusqu’au bout de la nuit va s’abandonner au désir des mâles.
Le plus âgé commence par mettre sa queue sur son visage. Elle l’embrasse avec passion et lèche du bout de la langue ce membre gonflé qui se présente à l’orée de sa bouche.
Les deux autres hommes prennent à pleines mains ses globes et mordent à belles dents les tétons qui prennent sous ces assauts des proportions indécentes.
Je m’agenouille pour avoir le sexe de Maria bien en face de ma bouche et la lèche à pleine langue en mordillant avec délectation et rage le bourgeon de son clitoris qui ressemble, ainsi allongé, à un petit sexe. Durant toute la nuit nous lui faisons subir les outrages les plus obscènes et son corps répond à toutes nos sollicitations.
Tour à tour, nous nous faisons sucer la queue et les couilles…tour à tour, nous la prenons par la chatte et par le cul e dans une véritable débauche de sperme.
Et Maria crie.
Elle va crier toute la nuit sous mes assauts et ceux des trois mâles inconnus dotés d’une virilité qui ne semble ne faiblir à aucun moment. Quatre barres de feu qui lui brûlent les entrailles et l’entraînent dans un orgasme sans fin. Elle est dans un état second, métamorphosée en bête de sexe, haletante, offerte et dégoulinante du foutre que nous déversons à plusieurs reprises, surtout le plus jeune et le garçon de salle, sur toutes les parties de sa peau. Elle vit le moment sans aucune retenue, se donne comme une chienne sur cette table de restaurant où des mains la placent et la déplacent à leurs grés…tantôt sur le ventre pour lui prendre le cul un après l’autre et se vider sur ses fesses ou au plus profond de sa raie…tantôt à genoux au dessus de celui qui la baise avec force, avec derrière elle un autre qui l’encule et les queue des deux autres enfouies au plus profond de sa gorge.
Ces hommes lui font perdre la tête et je la regarde perdre la tête.
Elle est belle.
A un moment de la nuit, Maria, déchaînée, passe un accessoire que lui propose l’homme âgé – une lanière de cuir qui lui enserre la taille et le haut des fesses, terminée par un sexe de plastique dur d’une longueur de trente centimètres. A sa demande, Maria, bestiale, enfouit le long manche dans les fesses de l’homme et le laboure tout en le masturbant avec sa main passée sous les couilles. Le vieux hurle plaisir et demande qu’elle continu à lui faire mal ainsi !
Le plus jeune se place alors derrière elle et la sodomise brutalement
C’est pour elle un moment extraordinaire de sauvagerie sexuelles…jamais elle n’a imaginé cela… et pourtant c’est un instant d’une beauté perverse où elle coule dans des hurlements bestiaux.
Dès les premières lumières du jour, le ton s’apaise un peu.
Maria n’est plus qu’une loque ennivrée de sexe et dégoulinante de sperme.
Nous nous asseyons autour de la table où ma femelle est toujours étendue sur le dos. Elle regarde nos sexes qui n’ont plus la vigueur qu’elle désire.
Nous l’avons possédé toute la nuit et pourtant je sens qu’elle est toujours prête à jouer le rôle qui était enfouie depuis longtemps dans son inconscient. Je sens qu’elle en veut encore, une dernière fois avant le jour, un feu d’artifice…
Au milieu de sa respiration saccadée, elle s’adresse à nous :
? Alors ! Un peu fatigués mes salauds ! Vous avez peut-être besoin d’un petit vivifiant bien cochon ! Je suis sure qu’il reste encore un peu de nectar au fond de vos couilles ! Je veux tout ce que vous pouvez me donner…et la nuit n’est pas tout à fait finie ! Toi, le vieux cochon pédé, donne moi le gode avec lequel je t’ai cassé le cul pour que je le fourre au fond du mien. C’a t’as plu tout à l’heure quand je te le promenais au bout de ton souterrain. Dis-moi que je suis la plus belle cochonne que tu ais vu en action. ?
L’homme se baisse, ouvre sa serviette d’homme d’affaire respectable et en sort u gode long d’une cinquantaine de centimètre avec aux deux extrémités, deux glands hors normes.
Elle se saisit de l’objet qu’on lui tend et continue avec des lumières dans les yeux :
? Ah ! Mais tu me gâtes là ! Et bien sur tu vas te branler en me regardant me mettre cette gigantesque bite dans mes deux orifices gluants de vos plaisirs… Tu vas te régaler dans ma bouche… Je veux boire ton foutre jusqu’à la dernière goutte… Et vous aussi vous allez vous déverser dans ma bouche… Je vous veux tous les quatre au fond de ma gorge et vous traire jusqu’à vous assécher…mettez-vous près de moi et regardez. ?
(à suivre)
Je vous remercie pour tous les messages ? élogieux ? que nous recevons et vous êtes très, trés nombreux à vouloir LA contempler dans ses ébats sur les sentiers des dépravations que je lui fait subir avec délectation.
Continuez à nous écrire mais soyez un peu patient pour la réponse…mais elle viendra et tous vous pourrez vous régaler en la regardant après avoir lu ses ? soirées ? !