« Vous avez dîné ? » nous demande-t-elle.
« Heu … non, Radu, nous a vus alors que nous nous promenions et il nous a invités chez lui ! Nous sommes rentrés il y a juste 10 minutes ! »
« Ce n’est pas grave ! Venez, je vais vous préparez quelque chose ! »
Nous la suivons et, dans la foulée, elle nous offre un petit repas sur le pouce. Puis après la toilette, nous nous retirons dans notre chambre, après avoir confirmé le rendez-vous pour le lendemain 10h.
A peine entrée, Eva se défait de sa minirobe, se montrant à nouveau toute nue :
« Tu veux baiser encore ? Tu n’en as pas eu assez ? » Dis-je, un peu taquin.
« Laisse-moi tranquille avec ça, mon chéri ! J’ai eu tout ce qu’il me fallait et même plus ! » Me lance-t-elle sur le même ton. Avant d’enchaîner :
« Pour me faire jouir, ça, ils m’ont fait jouir ! Mais les deux frères, de vrais pots de colle ! Une fois la partie à quatre et ma masturbation terminée, j’ai cru qu’ils allaient me laisser tranquille. Au lieu de cela, ils ont cherché à m’entraîner derrière la maison. Ils me disaient qu’ils aimeraient bien baiser encore une fois. Ils ont eu l’air d’être frustrés par mon refus, alors, pour les calmer, je les ai laissés me tripoter … Ils m’ont même dit qu’ils n’avaient pas encore vu de fille aussi bandante que moi ! Tu te rends compte ? » Eva est en veine de confidences …
Il est presque 22h30, quand elle éteint la lumière : « On va dormir, nest-ce pas, chéri ? Je suis sûre qu’il y aura encore du sexe demain ! »
Il est environ 6h30. Il fait déjà bien jour. Je vois Eva se lever, et se diriger vers la porte, l’ouvrir et disparaitre à mes yeux. Elle revient une dizaine de minutes plus tard :
« Tu sors comme ça, toute nue, dans le jardin ? »
« Tu me surveilles, chéri ? Oui, toute nue, et alors ? Pour aller aux toilettes, je n’allais pas m’habiller … et puis c’était pressé ! » Dit-elle avec son petit air mutin qui me fait fondre.
Elle vient s’allonger près de moi. Ce corps … ces orifices qui ont été tant assaillis hier. Elle a vite vu que je la matais, en douce :
« Reste tranquille, Bob ! Je sens que la journée va être … chaude, et pas seulement à cause du soleil ! » Puis, sans transition :
« Quel maillot je vais mettre ? J’en ai emporté deux … plus celui de Mirek. Si je le mets, je vais être la cible de tous les regards ! »
« Demande conseil à Daniela. Entre filles ce sera plus facile ! » Suggérai-je.
« Je verrai ça ! » répond-elle, pensive.
Nos nous levons vers 8h, pour la toilette et le petit-déjeuner. Au cours de celui-ci, nous parlons de l’excursion à la baignade.
« C’est à trois kilomètres d’ici, en dehors de la ville, et il y a un restaurant juste à côté, celui dont Radu a déjà parlé. Et juste en arrière de la plage, un petit bois ». Puis, regardant Eva :
« Tu mets le maillot ici et une robe ou autre chose par-dessus ! Cela suffira. »
Puis Eva lui demande pour le maillot : « Il y a un problème ? » questionne Daniela.
« J’en ai un qu’on m’a offert, il est joli, bleu et blanc, mais je le trouve trop petit ! Ma sur l’a porté et on voit presque tout ! »
« Ah bon ! Je peux le voir ? » Dis Daniela, amusée. Je me rends à la chambre et lui ramène le maillot en question :
« En effet, il est petit ! Très petit même ! Ce qu’on appelle un bikini, nest-ce pas ? » Fait-elle en s’adressant à moi.
Je fais oui de la tête, tandis que Daniela rend son verdict : « Mets-le, je sens que tu en as envie ! »
« Bien, je vais le faire, alors ! Eva semble satisfaite- Je voudrais aussi laver deux robes, c’est possible ? »
« Pas de problème ! Je pourrais les laver moi-même, si tu veux ! » Conclue Daniela, avant d’ajouter : « Il faut nous préparer, maintenant ! »
Dans la chambre, Eva retire la robe bleue et met le maillot : le slip, deux triangles qui cachent le bas-ventre devant et la moitié de fesses derrière, et retenu par des cordons noués sur les côtés. Le soutien-gorge, bonnets aussi en triangle qui cachent la moitié inférieure des seins et les tétons, le tout maintenu par des fines bretelles aux épaules et au dos.
« Bob… Qu’est-ce que tu en penses ? Il est petit, non ? Si mon père me voyait avec ça ! » Elle a un petit rire.
« Allez ! Tu l’as mis, tu le gardes, tu es très jolie comme ça ! Et puis tu vas faire de l’effet devant Radu ! »
« Coquin ! Ca va te plaire qu’il me mate … et même plus ! Avoue ! » Dit-elle avec un sourire aguicheur.
Finalement, elle enfile la minirobe bleue de la veille sur le maillot. De mon côté je me suis habillé et préparé les affaires, avant de les déposer dans la voiture. Au même moment Daniela sort de la maison, vêtue d’un débardeur et d’un short blanc qui font bien ressortir sa peau bronzée. Quand je m’installe au volant, c’est Radu qui arrive à son tour. Une fois tous embarqués, je démarre.
Il ne faut guère plus de 10 minutes pour atteindre la petite plage au bord de la rivière. Celle-ci se trouve de l’autre côté du pont qui l’enjambe. Radu me suggère de me garer sur le parking du restaurant et de traverser le pont à pied.
Nous nous installons sur la plage, sur laquelle il n’y a pas encore beaucoup de monde. Derrière nous, à environ 200m, il y a le bois. Puis tout le monde se retrouve en maillot, sauf Eva, qui hésite à retirer sa minirobe. Daniela l’observe tout en lui adressant un sourire encourageant. Daniela qui porte, elle, un deux-pièces relativement petit, de couleur jaune pâle. Puis, se décidant, elle dégrafe les boutons de sa robe, puis la retire.
Radu se fend d’un sifflement admiratif. Avec ce bikini blanc et bleu qui dévoile, en bas, la moitié de ses fesses rondes et une grande partie du bas-ventre et en haut la moitié supérieure de ses seins laiteux, Eva sait qu’elle va être le centre d’intérêt de tous les hommes qui passeront à proximité. Car, visiblement, aucune autre qu’elle, ne porte de maillot si petit !
Puis nous nous asseyons sur une couverture amenée par Daniela :
« Tu veux bien me passer de l’huile solaire sur le dos ? » me demande Eva en me tendant le flacon. Je m’exécute, ma main droite étalant le précieux liquide de ses épaules jusqu’à la limite de ses fesses. Puis, elle-même, poursuit l’application sur le reste de son corps, sous l’il intéressé de Radu, qui bande il n’est que de voir la bosse sous son slip- sans même s’en cacher !
Vers 11h30, on décide d’aller se baigner. Eva marque une hésitation, avant de nous suivre. Il fait chaud maintenant, mais l’eau est relativement fraîche et il faut un moment pour s’y habituer. On a pied assez loin, jusqu’au milieu de la rivière. Alors que nous avons tous de l’eau jusqu’à la poitrine, Eva me murmure :
« J’espère que le maillot va tenir ! »
Nous nageons quelques minutes avant de regagner la rive. Eva examine son maillot :
« Bob … je ne sais pas ce que c’est comme matière, mais une fois mouillé ça plaque sur le corps ! Et … » Elle rosit un peu, essaie de sourire. Je constate que les tétons saillent sous les bonnets et que la forme de la vulve se dessine en creux sur le devant du string.
« Une fois sec, tout devrait rentrer dans l’ordre ! » Dis-je pour la rassurer.
En attendant, elle est terriblement bandante, et Radu n’arrête pas de la reluquer. Vers 12h30, on décide de se rendre au restaurant pour déjeuner. Nous nous contentons de passer un vêtement par- dessus le maillot : minirobe pour Eva, t-shirt et short pour Daniela, ainsi que pour Radu et moi.
Le restaurant possède une terrasse, mais Radu préfère que nous nous installions à l’intérieur, à une table pour quatre, située dans un angle. Le repas, très simple, se passe normalement, même si Radu, qui s’est placé à côté d’Eva, laisse souvent sa main gauche passer sous la table. Et les sourires gênés d’Eva en disent long sur ce qui doit s’y passer !
Vers 13h30, le repas terminé, nous nous levons. A ce moment, Eva s’adresse à Daniela :
« Ou sont les toilettes ? » Elle lui désigne une porte au fond du couloir d’entrée. Eva s’y dirige, tandis que je lui emboîte le pas. Radu reste auprès de Daniela.
Nous entrons dans les toilettes : juste quatre cabines et deux lavabos.
« Bob… j’ai un peu honte de le dire, mais Radu n’arrêtait pas de me tripoter les cuisses. Il a même touché le string et d’imaginer que ça le faisait bander m’a excitée ! … Et j’ai taché mon string… » Elle me dit tout cela à voix basse, les joues rosissant.
« Alors, maintenant, dès qu’on te pelote un peu, tu mouilles ? Montre-moi ça ! »
Elle relève un peu sa mini et son string apparait, orné d’une auréole bien visible !
« Le plus simple, c’est que tu retires ton string, tu le laves dans le lavabo, et je l’accroche à mon short pour qu’il sèche ! En attendant tu restes cul nu ! Hmmm ! Savoir que tu n’as pas de slip sous cette robe si courte… ! »
« Coquin ! Tu aimes me savoir comme ça, hein ? » Elle défait le string et s’apprête à le passer sous l’eau :
« Hum ! Si tu léchais d’abord ta délicieuse mouille ? » Tout en me regardant, elle passe sa langue sur l’auréole humide.
« Tu veux me voir faire des choses cochonnes. Tu aimes, hein ? » Dit-elle, alors qu’elle lave sommairement son string avant de me le tendre. Puis, nous rejoignons Daniela et Radu, avant de retourner à la plage.
Alors que nous traversons le pont, Radu, qui lorgne depuis un moment le bas de la robe d’Eva, (il a vu le string, accroché à la ceinture de mon short) annonce à la cantonade :
« Si on allait faire une promenade dans le bois ? Il y a de l’ombre et ce sera plus agréable !»
Daniela semble réticente : « C’est un peu difficile pour y entrer, les arbres sont serrés… »
« Il y a des passages plus faciles ! » Répond Radu… Et il nous dirige vers le bois.
Le passage que nous abordons est étroit, mais relativement facile et, au bout de cent mètres, nous arrivons dans une minuscule clairière. Il y a quand même assez d’ombre et, c’est plutôt agréable, vu la chaleur ambiante.
« On fait parfois du nudisme, par ici ! » annonce Radu, comme pour donner une indication.
« Et pourquoi on devrait faire du nudisme ? » rétorque Daniela, tandis que le rouge lui vient aux joues au souvenir de sa nudité face à Eva et moi.
« Tu nous caches quelque chose, on dirait ? » s’amuse Radu en remarquant sa gêne.
« Ils t’ont vue toute nue, c’est ça ? » reprend-il, inquisiteur.
Daniela devient cramoisie. Sa gêne est un aveu. Radu enfonce le clou :
« Tu sais, j’ai aussi vu Eva toute nue … et je l’ai baisée, en plus ! »
Daniela se tourne vers Eva. Au même moment, Radu m’adresse un regard complice, avant de lancer aux deux filles :
« Mettez-vous nues ! »
Daniela semble tétanisée, alors qu’Eva, plus calme, déboutonne sa minirobe :
« Je n’ai pas de string dessous… » dit-elle, comme pour s’excuser.
« Tu es vraiment bandante ! » s’enflamme Radu, quand sa minirobe glisse sur l’herbe, offrant son joli minou et sa frange de poils à nos regards. Puis elle défait son soutien-gorge et ses seins laiteux apparaissent dans toute leur splendeur.
« Hum ! Quels merveilleux nichons ! Juste assez gros … comme je les aime ! » Radu, subjugué, semble avoir oublié la présence de Daniela. Se tournant vers elle, il lâche :
« Déshabille-toi et vite ! » Daniela regarde Eva, nue comme un ver, puis finit par faire glisser son short et ôter son débardeur. Elle hésite avant de retirer son maillot, s’offrant nue à nos regards.
« Elle te plait, Daniela ? Elle t’excite ? » me dit Radu, qui a visiblement une idée en tête.
« On va montrer à ces vicieuses combien elles nous excitent ! » Radu commence à se dévêtir et je le suis aussitôt. Maintenant nous sommes tous les quatre, nus, dans cette clairière :
« J’espère que personne ne viendra ici ! » c’est Daniela, qui semble assez désemparée de se trouver là. Puis Radu a tôt fait de surprendre le regard d’Eva qui s’attarde sur nos bites en érection.
« Petite cochonne ! Tu aimes voir des queues dressées pour toi ! Et la chatte de Daniela ? » demande-t-il vicieusement.
Visiblement très gênée de se trouver nue en pleine nature, Daniela baisse les yeux, tout en cachant son sexe avec sa main droite. Ses seins, un peu plus petits que ceux d’Eva, n’en sont pas moins attirants.
« Daniela ne s’est jamais trouvée comme ça, en pleine nature ! » dis-je à Radu.
« C’est exact ! Et c’est d’autant plus excitant ! Surtout que nous pouvons être aussi surpris par d’autres personnes ! C’est mon fantasme … que des inconnus nous regardent en train de baiser tous les quatre… avant de vouloir participer, bien sûr ! » Les propos de Radu sont si appuyés que je me demande s’il ne nous a pas sciemment amenés ici, dans le seul but de voir cela se réaliser. Et puis ce regard lubrique qu’il pose sur les corps nus d’Eva et de Daniela … tout en bandant comme un cerf… rien que de voir cela et d’imaginer la suite suggérée par Radu me donne une trique terrible.
« Allons derrière ces arbres ! » Radu désigne un bouquet d’arbustes, offrant un semblant d’écran. Nous déposons nos affaires au pied d’un arbre.
« Alors, Daniela, ils te plaisent les nichons d’Eva ? Tu as l’air de bien les admirer, on dirait ! Touche-les donc ! Ne te gêne pas ! Vas- y ! Ne fais pas la mijaurée ! »
Daniela, tout près d’Eva, avance sa main vers ces affolantes mamelles laiteuses. La caresse est douce et Eva semble l’apprécier :
« Hum ! Va plus loin ! Têtes-la ! Avec ces jolis pis ce doit être un régal ! » ordonne Radu.
Daniela se penche pour saisir un téton entre ses lèvres et se mettre à le sucer avec application.
« Mais on dirait qu’elle a déjà fait ça, ma parole ! » s’exclame Radu.
« C’est exact ! Elle lui a déjà sucé les seins … même qu’elle a dit d’Eva qu’elle avait de beaux nichons ! » dis-je.
En attendant Eva se laisse faire. Un délice pour elle, ce suçage de tétons. Elle finit même par saisir Daniela aux hanches. Daniela qui devient stressée. Elle trouve que les choses commencent à déraper. Elle n’est pas loin de songer à s’éclipser sans demander son reste … sauf qu’elle est nue et que Radu garde les vêtements. Mais en même temps l’attitude ouverte d’Eva la trouble, Eva qui semble avoir très envie de quelque chose avec elle. Leurs corps sont si proches…
« Lèche-lui le minou, elle adore ça ! » C’est moi qui ai donné l’ordre … et pour mieux faire comprendre mon désir, je pose mes mains sur les épaules de Daniela, pour la pousser à s’agenouiller. Elle résiste, avant de céder et de se retrouver à genoux, le visage à hauteur du sexe d’Eva :
« Lèche le joli minou poilu ! » Daniela est un peu désemparée, mais Eva, lui plaque son visage sur sa chatte avec ses deux mains. A sa grande honte, elle se met à lécher, timidement, la vulve d’Eva. D’abord maladroite, elle finit par s’enhardir, provoquant chez Eva les prémices de l’excitation :
« Hum ! Oui, comme ça, Daniela ! Oui ! Oui ! Comme ça ! C’est bon ! »
Radu et moi, restons un moment à les regarder faire, avant d’agir. Je viens me placer derrière Eva, tandis que Radu s’accroupit derrière Daniela. Je vois Radu lui saisir les nichons à pleines mains pour les peloter. De mon côté, je me colle contre Eva, ma bite dans la raie de ses fesses, et mes mains massant ses seins laiteux avec gourmandise.
« Allez, Daniela ! Continue ! Fais-la mouiller ! Lèche son clitoris ! Qu’elle jouisse à fond ! »
Maintenant les gémissements d’Eva deviennent plus intenses, d’autant plus que je triture ses tétons entre mes doigts. La langue de Daniela devient plus agile, passant entre les lèvres de la vulve d’Eva puis glissant sur son clitoris.
« Salope ! Cela te plait d’exciter Eva avec ta langue ! » c’est Radu qui s’est exprimé, tout en pelotant les seins de Daniela.
Eva ne semble plus nous entendre, tout entière concentrée sur son plaisir. Elle gémit, elle glousse, elle se tortille. Sa respiration est lancinante. On doit l’entendre prendre son pied à dix mètres à la ronde.
« Mmmmm ! Oh oui ! Oh ouiiiii ! » Un plaisir puissant lui vrille le bas-ventre. Tant et si bien que Daniela ne peut éviter un petit jet de cyprine sur son visage.
Eva respire doucement tandis que Radu aide Daniela à se relever. Puis Eva se retourne pour se lover dans mes bras. Je sens son bas-ventre, humide de sa mouille, se plaquer contre ma queue, raide comme un morceau de bois. Je vois le joli spectacle de Radu, léchant la cyprine sur le visage de Daniela.
Mes mains se plaquent sur les fesses rondes de ma chérie, et je les caresse avec gourmandise :
« Tu aimes te faire lécher le minou par une fille, hein ? Cela t’excite, nest-ce pas ? Je l’ai déjà constaté quand Jana t’a léchée aussi ! Et en plus c’était ta sur ! Et toi aussi tu lui as fait la même chose ! Et elle a aimé aussi ! Vicieuses ! »
Eva rosit sous ce compliment salace. De son côté, Radu, reprend son rôle d’ordonnateur. Il fait remettre Daniela à genoux et se plaçant face à elle, lui présente sa bite :
« Suce-moi ça ! Mets-en un max dans ta bouche ! » Et se tournant vers Eva :
« Allons, viens-toi aussi ! Viens me sucer ! … pendant ce temps Bob vous fera des choses. Ce qu’il voudra et vous vous laisserez faire ! Compris ? »
Ce cochon de Radu a envie de les soumettre à nouveau. Je sens Daniela un peu tendue. Eva s’agenouille à côté d’elle, en face de la bite dressée de Radu :
« Sucez-moi ça, mes petites cochonnes ! » Elles s’apprêtent à le faire, quand des voix nous parviennent. Ainsi, on nous aurait épiés ? Depuis le début, peut-être ? Nous sommes vite édifiés. Trois silhouettes émergent du taillis. Trois hommes, parmi lesquels je reconnais les deux frères, Ion et Petre ! Derrière eux, un homme plus âgé qui s’avère être leur… père ! Eva et Daniela sont estomaquées par cette présence incongrue pour elles. Quant à moi, je devine la stratégie élaborée par Radu. Il a dû mettre ça au point avec eux !
« Ion et Petre n’ont pas arrêté de me parler de toi ! dit Radu en s’adressant à Eva- tu les as tellement excités qu’ils voulaient te revoir et profiter de toi, encore une fois ! »
« Profiter de toi … » Toujours à genoux, Eva regarde les trois intrus… que vont-ils exiger d’elle cette fois ?
Eva ne peut s’empêcher d’être anxieuse, en voyant ces trois paires d’yeux scruter son corps nu. Et encore, à genoux, en situation de soumise ! Puis un autre sentiment se superpose : c’est sûr qu’elle les excite, les fait bander. Qu’ils ne vont pas se gêner pour la défoncer, et jouir tout en la faisant jouir. Dans ces conditions, mieux vaut se laisser faire et prendre son pied. Sans compter l’excitant spectacle qu’elle va offrir à son Bob chéri.
« Lève-toi ! » c’est Ion … elle avait eu sa bite dans le cul quand ils l’avaient prise à trois hier. Eva se remet debout :
« Alors, Daniela t’a bouffé la chatte ? Et tu as giclé ta cyprine sur son visage ? Alors on va te défoncer, petite cochonne que tu es … t’enculer serait plus exact. On va te ramoner ton trou du cul à tour de rôle ! Pendant un bon moment tu n’auras plus envie de t’assoir ! On n’a pas beaucoup de temps … on devra aller vite … désolé, mais on en avait trop envie ! »
Eva se tourne vers moi et me murmure : « Je voudrais que tu sois avec moi quand ils vont me prendre… ça me fait un peu peur … expérimenter la sodomie à répétition… »
Les trois sont toujours habillés et il est visible qu’ils le resteront. Simplement, ils baisseront pantalon et slip, pour la prendre. C’est Ion qui commence :
« Bob, installe-là, penchée en avant les jambes écartées, son cul bien offert. Eva se penche en avant, tout en m’enserrant la taille avec ses bras. C’est excitant, car ainsi positionné, son visage est posé ou presque, sur ma bite.
Ion s’avance, la bite à l’air, et la pose entre les fesses d’Eva :
« J’ai très envie de t’enculer à sec… Te faire sauter ta rondelle !… » Puis il se tourne vers Daniela :
« Tu as dégusté son abricot juteux, hein ? Alors, tu vas faire la même chose avec son petit trou ! Tu vas bien le lécher, qu’elle mouille assez pour que je puisse le forer sans trop de mal ! »
Radu pousse Daniela à s’agenouiller face au fessier joufflu d’Eva. Daniela qui proteste : la vulve, passe encore, mais l’anus … Ion s’énerve un peu, parlant d’enculer Eva à sec … C’est avec un sentiment de dégoût que Daniela, ayant vu le petit trou violacé d’Eva (Ion écartant les fesses de celle-ci), passe sa langue dessus. Elle n’aurait jamais imaginé faire une telle chose.
« Pose bien la pointe de ta langue sur le trou ! Mouille bien ! Bave dessus ! » La manuvre commence à exciter Eva, car elle se met à onduler des fesses. Ion la laisse faire ainsi deux bonnes minutes, puis la relève :
« Maintenant, je t’encule ! » Ion pose le gland décalotté sur l’orifice anal et commence à pousser. Préparation insuffisante. Ion doit forcer le passage pour faire passe le gland. Eva pousse un cri étouffé. Elle gémit, comme si la bite de Ion était trop grosse :
« Salope ! Mais ça va rentrer ? Je vais fourrer ton cul ! »
Eva est crispée, elle a mal. Et ce cochon en rut qui pousse … Eva crie à nouveau, sans retenue, quand l’entrée de son petit trou est forcé par la bite de Ion, laquelle s’enfonce, par à coups quasi jusqu’aux couilles. Puis il commence à la ramoner. Peu à peu viennent les gémissements puis les gloussements. Cette bite qui l’avait fait crier quand elle cherchait à se frayer un passage dans son cul lui procure maintenant une excitation presque sauvage. Ion ne s’y trompe guère :
« Elle mouille du cul, maintenant ! Un vrai garage à bites ! » Ion s’excite. Il se met à pistonner Eva à fond, faisant vibrer son corps. Ses nichons bougent. J’entends ses halètements, ses gémissements.
« Salope ! Pute ! Je te défonce le cul ! Je jouis dans ton cul ! Chienne ! Prends ça ! » Eva sent une giclée de foutre tapisser son anus. Au bout d’une petite minute, Ion se dégage. Et, presque aussitôt, elle sent une autre bite se plaquer sur sa rondelle :
« Tu aimes les grosses queues, ma salope ? Heureusement que Ion a ouvert le passage ! Sinon tu aurais dégusté ! » Elle serre les dents, la bite a, en effet, l’air plus grosse, mais l’anus, presque béant, accueille sans beaucoup de difficulté ce nouveau chibre.
Puis le manège reprend. Celui qui semble être le père, pose ses mains sur les hanches d’Eva et achève de faire entrer sa queue dans l’antre anal. Puis il commence à la ramoner, en cadence. Et cette excitation, presque bestiale, la reprend à nouveau: gémissements, halètements, râles de plaisir reprennent de plus belle. Ce qui a le don d’exciter encore plus le père, qui, perdant toute mesure, se met quasiment à lui pilonner le cul à grands coups de bite. Tout le corps d’Eva en est secoué, ses nichons ballotent. Mais ce traitement radical a aussi pour effet de l’amener plus vite à la jouissance et il gicle son foutre dans le fondement d’Eva.
La queue se retire de l’orifice anal demeuré béant. Presque aussitôt obturé par la troisième queue qui s’engage dans son trou. Elle frissonne un peu en constatant que la bite de Petre est entrée dans son anus, sans aucune gêne.
« Tu as un beau cul, salope ! » lance Petre. Et il entame aussitôt des aller- retour, d’abord lentement puis en accélérant progressivement. Eva ressent à nouveau cette excitation, qui croît au fur et à mesure, la faisant gémir, haleter … :
« Cochonne ! Tu aimes avoir une bite dans le cul ! Là, tu as été gâtée : trois d’affilée dans ton trou de salope ! En prime, il va être bien garni de foutre ! » Pendant ce temps, Eva continue ses râles de plaisir. Elle bave et la salive coule sur ma bite. Et ça m’excite …
« Tiens, prends ma purée ! » Le ramonage frénétique cesse et Petre largue, à son tour, son obole de sperme dans le fondement d’Eva.
« Tirelire à foutre ! » lance t-il, en lui claquant les fesses.
Juste le temps de rajuster leurs vêtements, et les trois gaillards nous font un salut un peu théâtral, avant de s’éloigner. Ils sont restés là une grosse demi-heure.
Eva s’est à demi redressée et sa tête est sur ma poitrine. Mais son postérieur est toujours bien en vue … avec quelques filets de foutre qui s’échappe de son anus encore élargi.
« Quel cul ! Non, comment résister à ça ! » voilà Radu qui s’approche. Eva n’a pas le temps de se demander ce qui se passe. Il la saisit aux hanches et son membre dur, se fraie un passage dans son trou… Et de quatre … À se faire ramoner encore… Eva ferme les yeux, mais l’excitation renait à nouveau. Eva qui commence à avoir honte de prendre son pied, en se faisant pistonner de telle manière. Et Radu qui jouit dans son trou en râlant de plaisir, comme les autres.
Eva essaie de se redresser, se tenant à moi par le cou. Elle sent le sperme qui, dégorgeant de son anus, dégouline en petits filets sur ses cuisses. « Ah Bob ! Qu’est- ce que j’ai pris ! Qu’est-ce qu’ils m’ont mis ! Jamais été prise comme ça ! … J’ai mal au cul, mon pauvre Bob ! » Elle parvient quand même à afficher un sourire figé.
« Je dois être sale… n’est-ce pas ? Ca coule sur mes cuisses… » Elle est debout mais collée à moi, avec ses bras autour de mon cou. Puis, j’ai l’impression qu’elle masse ma bite avec son ventre. Je sens des mouvements de rotation à peine perceptibles de son abdomen. Je pose mes mains sur ses belles fesses. Elle ondule un peu plus et je finis par jouir sur son ventre, sous les regards amusés de Daniela et Radu.
« Tu as aimé mon chéri ? J’ai fait tout cela, mais, c’est toi seul qui compte ! » Quand elle s’écarte de moi, un épais filet de sperme dégouline de son ventre vers sa chatte. Elle me regarde, sourit :
« Bon, on rentre ? Il faudrait que je me nettoie un peu. Quelle heure peut-il être ? »
« Bientôt 15h30 ! » dit Radu, après avoir récupéré sa montre, parmi les vêtements. Nous nous rhabillons en silence, avant de reprendre le chemin de la plage. Une fois arrivés, Eva, de nouveau en maillot, se dirige vers l’eau. Elle se baigne un bon moment, attirant du même coup, les regards envieux des mâles proches d’elle. Puis elle revient parmi nous et s’allonge à plat ventre. Et elle reste ainsi, jusque vers 17h. A ce moment-là, je fais comprendre à Daniela et Radu, qu’il faudrait rentrer.
Une demi-heure plus tard, je gare la voiture devant la maison.
A suivre…