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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 23

Roberta flasque - Chapitre 1



Radu nous salue et rentre chez lui. Nous ne devrions plus le revoir, puisqu’il nous a dit devoir accompagner ses parents, demain, dimanche. Il nous parait un peu triste, sachant  qu’ Eva et moi partons lundi matin.

Nous nous dirigeons d’abord vers notre chambre, afin de prendre nos affaires de toilette, avant de rentrer dans la maison :

« Je voudrais prendre une douche, si c’est possible  » demande Eva.

« Bien sûr ! Pas de problème ! Vous pouvez même y aller ensemble ! » Répond Daniela avec un air entendu.

Eva, se tourne vers moi, un petit sourire complice aux lèvres. Elle me prend la main :

« Dans ce cas, allons-y ! »

Une fois la porte fermée, elle se débarrasse de sa mini-robe, de son maillot, et se retrouve nue. Inutile de dire que j’en fais autant !

« Bob ! Laisses-moi tranquille ! » Le ton est malicieux. C’est qu’elle voit mon sexe érigé, alors que je suis face à elle.

« Je t’excite toujours autant, n’est-ce-pas ? Mais tu vas essayer d’être sage maintenant tu as vu ce à quoi j’ai eu droit ? Quatre sodomies à la suite ! J’avoue avoir été très excitée par ces pénétrations, même si j’ai encore mal au cul  » Elle me murmure ces trois mots, puis entre dans la douche et s’asperge abondamment.

« Tu peux me savonner ? » Elle me tend l’éponge et le savon liquide et l’instant d’après son corps est recouvert d’une mousse onctueuse et odorante. De plus, je m’attarde sur ses seins, son ventre, son sexe, et la raie de ses fesses :

« Coquin ! Tu en profites ! » dit -elle, tout en me laissant faire.

Puis elle se rince soigneusement, avant de sortir et me céder la place. Tandis que je m’asperge à mon tour, elle s’empare de l’éponge et du savon, et, aussitôt se met à me savonner de la tête aux pieds :

« Moi aussi, je suis coquine, hein ? » Sa main, nantie de l’éponge mousseuse, s’attarde sur mon sexe, sur les couilles, passe entre mes jambes. J’ai une trique d’enfer.

« Tu en as encore envie, chéri ? Cela n’était pas suffisant, tout à l’heure ? » Elle me regarde pendant que je me rince. Puis sa main se pose sur ma queue, avant de l’empoigner et d’entamer une masturbation lente. Je cherche à toucher sa vulve, mais elle me fait comprendre, doucement, qu’elle veut être tranquille :

« Le plaisir, juste pour toi ! Prends- le comme mon cadeau ! »

« Tu es adorable, ma chérie ! Tu sais combien je t’aime, même si je te fais faire des expériences sexuelles très osées ! »

« Et, toi, tu as vu que j’étais réceptive à ce genre d’expériences ! Que je suis en train de devenir une bombe sexuelle ! » 

Elle sourit, puis me fait sortir de la douche. Et là, elle s’agenouille sur le tapis, avant de se mettre à embrasser mon sexe, puis à le lécher :

« Tu sais que j’aime les grosses bites ! » dit-elle, au souvenir de sa rencontre avec l’homme et son chien sur la plage. Puis elle ouvre sa bouche et happe le gland avant d’entreprendre une succion lente et appliquée :

« Du calme, chéri ! Tu auras tout ! » me susurre- t-elle alors que j’esquisse le geste d’appuyer mes mains sur sa nuque.

Je sen Eva aller au- devant de mes désirs inavoués. La voilà qui essaie de faire une gorge profonde. Etant parvenue à faire entrer une bonne moitié de ma bite, elle se met à la faire coulisser dans sa bouche. Sentir ma queue dans ce fourreau tiède et humide, est un véritable délice. De plus, Eva ne se prive pas de palper mes couilles avec sa main droite, tout en suçant ma queue avec une lenteur calculée :

« Mon amour ! Je je vais jouir ! Je ne peux plus tenir ! Je .. Aaah »

Elle n’a pas bougé, elle n’a pas cillé. La giclée de foutre, elle la reçoit dans sa bouche. Elle suce encore le gland, puis, levant la tête vers moi, elle avale tout rond le sperme. Puis elle se relève :

« Tu as aimé, chéri ? C’était aussi le cadeau pour ta grosse bite ! » Elle a appuyé sur ces deux mots, avant d’ajouter :

« Bon, il faudrait sortir d’ici, sinon Daniela va se demander ce que l’on fait ! » 

Je la vois enfiler un maxi t-shirt, sur la peau nue et chausser ses nu-pieds. Tandis, que je remets un short et un débardeur :

« Tu ne mets rien d’autre, chérie ? » 

« Non, pourquoi ? Il fait assez chaud comme ça, non ? » dit – elle pour toute réponse.

Puis nous regagnons la cuisine. Daniela est en train de préparer quelque chose pour le repas du soir. Je remarque le regard qu’elle porte sur Eva, avec ce maxi-t-shirt qui dévoile les trois quarts de ses cuisses et les tétons qui pointent

« Mes parents sont en train de travailler au jardin. Ils vont bientôt rentrer. Et demain, ils sont invités par des cousins à l’autre bout de la ville. Ils y passeront toute la journée. Ils ont bien eu l’idée de nous y amener aussi, mais je les en ai dissuadés. Je sens bien que nous serons mieux ici, tous les trois ! »

Vers 19h30, les parents reviennent du jardin et nous nous mettons à table peu après. Puis, après avoir bavardé, puis regardé la télé un moment, nous nous éclipsons vers 22 h. Daniela reste avec ses parents, devant préparer quelque chose.

Quand nous entrons dans la chambre, il y fait assez chaud. Aussi, Eva ouvre la fenêtre, ainsi que la porte, pour aérer. Puis nous sortons dans le jardin pour apprécier la douceur du temps.

« Eh bien, quelle journée ! Je savais bien qu’il y aurait du sexe mais à ce point ! Déjà deux fois que Radu organise quelque chose à notre insu même si tu n’y as trouvé rien à redire, au contraire ! Petit cochon ! »

Ce disant, elle m’enlace et je fais de même et tout aussitôt, nous nous retrouvons derrière le chalet. Quand ma main droite se glisse sous le t-shirt pour caresser ses fesses, elle me laisse faire. Puis je l’embrasse à pleine bouche et nos langues se mêlent. Mes mains palpent fiévreusement son dos, ses fesses et ses cuisses :

« Tu es vraiment amoureux, Bob ! Je ne te cache pas que ce que tu fais me plait beaucoup mais j’ai besoin de me reposer ! Demain, on fera beaucoup l’amour, si tu veux ! » me dit-elle, à voix basse, avec son adorable accent slave.

C’est si joliment dit, que je ne me sens quasiment pas frustré. Vers 22h30 nous rentrons. Dans la chambre, l’air est plus agréable. Nous nous couchons presqu’aussitôt. Eva éteint la lumière, puis, dans la pénombre, je la vois se redresser et se débarrasser de son t-shirt. Elle est nue.

« Sois sage, Bob ! » me souffle- t-elle avant de se tourner. Facile à dire

Six heures du matin. Il fait déjà jour. Je me tourne dans le lit, et je me rends compte que je suis tout à fait au bord, quand ma main droite rencontre le vide. J’ouvre les yeux et c’est pour voir Eva collée à moi, dormant paisiblement. Le drap, en partie rejeté, dévoile son corps jusqu’à la taille son joli corps. J’admire ses trésors, ce qui déclenche une érection. Mais elle dort si bien, que je la laisse ainsi.

Peu après 7 h 30 elle se réveille, et se lève sans bruit, me croyant endormi. Du coin de l’il, je la vois sortir de la chambre. Elle en revient au bout de quelques minutes. Entre-temps, je me suis assis sur le lit :

« Bonjour, chéri ! Tu m’espionnes ? Tu veux savoir pourquoi je suis sortie toute nue dans le jardin ? » Tout cela dit avec un sourire enchanteur en prime.

Puis elle revient s’allonger sur le lit, à côté de moi. Elle a tôt fait de remarquer cette protubérance qui soulève le drap à un endroit précis :

« Bob, c’est joli de ta part de m’avoir laissé dormir si bien ! Tu as résisté à la tentation ! »

Elle me donne un baiser sonore sur la joue, tandis que sa main droite se pose sur la protubérance :

« Coquin ! J’imagine que tu as bandé toute la nuit, rien qu’à me regarder ! Mais tu as quand même dormi, j’espère! » Elle soulève le drap et saisit mon sexe à pleine main. Et, tout en me masturbant lentement, elle m’expose son idée :

« Daniela nous as dit que ses parents seraient absents pour la journée et que nous serons donc tous les trois, ici, puisque nous ne sortirons pas. J’aimerais essayer le nudisme savoir ce que c’est d’être nu toute la journée avec Daniela et toi, bien sûr ! »

« Moi cela ne me dérange pas du tout, au contraire ! Mais il faudra en parler à Daniela. Avec ce qu’on a vu précédemment, elle ne devrait pas être contre ! » dis – je, sentant mon excitation monter.

« Et on pourrait faire pleins de choses avec Daniela c’est ton amie aussi, n’est-ce-pas ? »

Je suis tout de même un peu surpris par sa proposition audacieuse. Jusque- là, elle se laissait plutôt entraîner. Mais ravi, cela va de soi !

Eva stoppe sa masturbation quand on toque doucement à la porte. Il est un peu plus de 8 h. C’est Daniela :

« Je peux ? » dit-elle en passant la tête dans l’entrebâillement de la porte. 

 

Nous répondons que oui, et elle entre. Comme la dernière fois, elle porte juste un maxi t-shirt, en guise de chemise de nuit :

« Voilà, c’est dimanche et pour vous faire plaisir je vais apporter le petit déjeuner ici ! Mes parents partiront vers 9 h et devraient revenir dans la soirée. Nous allons avoir un bon moment à trois ! » dit – elle avec un sourire énigmatique.

Eva saisit la balle au bond : «  J’ai quelque chose à proposer Bob est d’accord ce serait de passer toute la journée, nus, tous les trois ! »

Daniela fait les yeux ronds. Cette proposition lui semble incongrue :

« Tout le temps ? Dedans et dehors, dans le jardin ? » 

« Exactement ! Dès que nous serons seuls tous les trois ! » reprend Eva.

« Et tu as parlé d’un bon moment à trois  » ajoute- t-elle.

Daniela a un petit sourire : « Comme la dernière fois, quand je suis venue vous voir le matin ? »

« Oui, même que tu regardais les seins d’Eva avec un air gourmand ! » dis-je, faisant monter le rouge aux joues de Daniela.

Comme pour appuyer mes dires, Eva fait glisser le drap jusqu’à sa taille, dévoile sa jolie paire de seins laiteux puis commence à les caresser avec ses mains. Daniela semble fascinée par le spectacle :

« Je vous apporterai le petit – déjeuner, vers les 9 h Vous verrez bien »

Daniela s’éclipse, tandis qu’Eva se lève pour ouvrir la fenêtre. Ce faisant, elle m’offre l’affolant spectacle de ses fesses rondes et charnues. J’ai une trique terrible. Quand, ayant ouvert la fenêtre, elle se retourne, et me voit, assis sur le bord du lit, la queue dressée :

« Bob, tu me fais peur avec ta bite toute raide ! » dit-elle, mimant l’effroi.

« Tu devrais attendre que Daniela revienne, non ? Elle a parlé d’un bon moment à trois, n’est-ce-pas ? Imagine qu’elle revienne avec le plateau du petit déjeuner et qu’elle te voit en train de me prendre par derrière, tout en disant des mots crus ? » 

Elle a un petit sourire en s’asseyant sur le bord du lit, à côté de moi :

« Tu sais que j’aime te voir bander pour moi j’aime voir ta queue dressée comme ça, pour me faire honneur ! » Avançant sa main droite, elle me caresse le sexe du bout des doigts. Par mimétisme, me tournant vers elle, je fais glisser ma main droite sur son bas-ventre, sur les poils de son sexe :

« Tu as envie de moi, chéri ? » susurre- t-elle, avant d’ajouter :

« Attendons que Daniela soit de retour, tout de même ! »

Nous restons ainsi, dans l’attente, jusqu’à ce que des bruits étouffés parviennent jusqu’à nous. Par la fenêtre, on peut voir Daniela en train de parler avec ses parents. Puis ces derniers la saluent avant de se diriger vers la rue. Dix minutes plus tard, Daniela fait son entrée dans la chambre, un plateau dans ses mains.

« Voilà ! Du thé, du pain, du fromage, du beurre et un peu de confiture !  J’espère que ça suffira ! Il y a trois tasses, car je prends le petit – déjeuner avec vous ! »

Elle pose le plateau à cheval sur deux tabourets, près du lit. Et comme elle ne peut s’empêcher de jeter des regards furtifs sur les seins d’Eva, je finis par lui dire :

« Tu peux enlever ce t-shirt ! Nous sommes bien que nous trois, maintenant, n’est-ce pas ? » Elle a un petit moment d’hésitation, avant de retirer son vêtement, offrant son corps nu à nos regards :

« Tu es mignonne, Daniela ! Et tu es si bien bronzée aussi ! » C’est Eva qui a exprimé ce compliment, faisant rosir Daniela. Puis, le petit déjeuner terminé, nous prenons nos affaires de toilette et nous suivons notre hôtesse jusqu’à la maison. Là, Daniela nous ouvre la salle de bains :

« Allez-y ! J’irai après vous ! » Quel n’est pas son étonnement quand Eva et moi la prenons par le bras pour qu’elle se joigne à nous. Et une fois la porte refermée :

« Vous allez prendre la douche toutes les deux ensemble ! » dis-je, tandis qu’Eva saisit la main de Daniela pour la tirer dans la cabine. Puis, je me saisis du pommeau de douche et commence à arroser copieusement les deux corps, si proches. Je tends l’éponge savonneuse à Daniela :

« Vas- y ! Et passes lui l’éponge partout ! » Au départ, elle a l’air un peu empruntée, mais devant la disponibilité d’Eva elle a vite fait de s’enhardir, passant l’éponge sur les seins, le ventre, les cuisses, avant de s’attarder sur le dos et les fesses de ma chérie. Puis elle revient devant et se met à passer l’éponge mousseuse, avec une certaine vigueur, sur le sexe, puis entre les cuisses, qu’Eva écarte docilement :

« Hmmm ! C’est bon, ça ! Ca fait du bien ! J’aime que tu passes l’éponge, là ! » fait Eva, avec une mimique de contentement. L’excitation me gagne à nouveau en voyant Daniela se remettre à, littéralement, astiquer avec l’éponge, le minou et l’entrejambe d’Eva, arrachant des soupirs de plaisir à cette dernière.

« A moi, maintenant ! » Eva se saisit de l’éponge et se met à savonner avec entrain le corps de Daniela, s’attardant sur les endroits sensibles des seins, des fesses, du sexe et de l’entrejambe. Celle-ci ne tarde pas à réagir, en soupirant à son tour. Une fois que les deux sont bien savonnées, je me saisis du pommeau de douche pour les rincer abondamment, cheveux compris, au grand dam de Daniela, se voyant obligée de se recoiffer. 

Daniela, estimant que c’est fini, veut sortir, quand elle voit Eva, face à elle, en train de se caresser les seins : « Fais toi la même chose, Daniela, on va s’amuser un peu ! » dis-je, en la voyant surprise. Mais, elle se reprend et se met aussi à caresser ses seins, un peu plus petits que ceux d’Eva :

« Vous êtes adorables, vous deux ! Maintenant, Daniela, tu vas téter les mamelles d’Eva et tu vas le faire avec gourmandise ! Qu’elle ait du plaisir ! » Elles commencent à se prendre au jeu toutes les deux, si bien que Daniela passe du suçage à l’aspiration et au mordillement, provoquant l’excitation d’Eva, qui avance sa main droite pour toucher le sexe de Daniela.

« Laisses-la faire ! » dis-je, la voyant tenter d’écarter cette main s’aventurant sur son sexe. Puis, insensiblement, Daniela se concentre sur les seins et les tétons d’Eva, ses lèvres et sa langue allant, inlassablement des uns aux autres. Tandis que les doigts d’Eva assiègent la vulve de Daniela, avant de s’introduire à l’intérieur. Dans la douche, c’est un concert de gémissements : les tétons d’Eva qui durcissent et prennent du volume, tandis que Daniela commence à mouiller.

Puis, comme elles ont l’air de prendre leur pied au point d’oublier ma présence, j’entre dans la danse en caressant leurs fesses à toutes les deux, avec mes mains. Quant à Daniela, pour être plus à l’aise dans ses succions de seins, elle se tient aux hanches d’Eva.

« Coquines ! Vous adorez vous faire du bien, n’est-ce-pas ?  » dis-je, en remarquant une traînée de mouille débordant de la vulve de Daniela ; celle-ci ne parvient plus à se concentrer sur les seins de ma chérie, avec ces doigts qui lui fouillent quasi frénétiquement sa vulve et son vagin. Il est clair qu’Eva est décidée à faire jouir sa nouvelle amie. D’ailleurs, Daniela s’abandonne totalement et finit par jouir dans un hoquet de plaisir, mouillant du même coup, les doigts d’Eva. D’abord pantelante, elle se reprend peu à peu. Tandis que, de manière naturelle, Eva lèche ses doigts, tout en fixant Daniela dans les yeux, avec un sourire entendu. C’est alors que j’ordonne presque à Daniela :

« Fais-la jouir aussi, avec tes doigts dans sa chatte ! Tu lui dois bien ça, non ? »

Et comme Eva lui tend son ventre comme une offrande sexuelle, elle enfonce deux doigts entre les lèvres de la vulve et se met à lui astiquer le vagin. Quand les gémissements d’Eva reprennent, Daniela n’utilisant que sa main droite, je lui suggère crûment :

« Sers-toi de ta main gauche mets lui un doigt dans le cul ! Voilà qui va l’exciter comme une folle ! » ajoutai – je pour la décider. Daniela a l’air gênée, aussi je guide sa main dans la raie des fesses d’Eva :

« Trouves-lui son petit trou, vite ! Et n’arrête pas de lui fourrer sa chatte ! »

Eva tressaille légèrement quand Daniela finit par introduire l’index dans son anus.

« Oui ! Maintenant ramones son trou et sa chatte, en même temps ! » Daniela s’y met si bien que les gémissements de ma chérie prennent de l’ampleur, ponctués de râles de plaisir. Ses seins étant maintenant libres, je me mets à les tripoter avec ma main droite, tirant les tétons, les roulant entre mes doigts. La salle de bain s’emplit des halètements, des gloussements de plaisir. Eva, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, s’abandonne à son plaisir. Elle finit par émettre un cri rauque, tandis que Daniela sent un petit jet de cyprine lui inonder les doigts, pour l’heure enfoncés dans la vulve d’Eva.

Daniela regarde ses doigts gluants de cyprine. Eva lui adresse un sourire coquin, comme une invite, et Daniela se met à les lécher avec application. Les voilà quittes pour une petite douche supplémentaire ! Et c’est toutes dégoulinantes d’eau qu’elles sortent de la cabine. On sent Daniela très réceptive à nos jeux, et d’instinct, Eva et moi sommes enclins à en profiter !

« Restez comme vous êtes ! Ne vous sécher surtout pas ! » leur lançai-je, tout en entrant à mon tour dans la cabine. Je bande comme un cerf de voir ces deux corps mouillés, légèrement hâlé pour Eva, nettement bruni pour Daniela.

Elles me regardent me laver sans intervenir du moins jusqu’à ce que je sorte de la cabine. Là, Eva se met à genoux sur le tapis de bain et, ayant posé ses mains sur mes hanches, elle happe ma pine entre ses lèvres et se met à sucer langoureusement. D’un petit geste, elle invite Daniela à s’agenouiller presque contre elle. Et ma pine passe d’une bouche à l’autre. Parfois, quand c’est Daniela qui suce, Eva ne se prive pas, en se penchant, de me lécher les couilles, quand elle n’essaie pas de les gober entre ses lèvres. C’est absolument irrésistible et l’excitation monte vite.

Je leur caresse les cheveux, tandis que s’offre à moi l’excitante vue sur deux paires d’adorables nichons :

« Coquines ! Je vous adore comme ça ! La journée va être super  ! » Je n’arrive pas à en dire plus ; ces succions répétées ont raison de ma résistance :

« Vous êtes deux belles salooopes ! » et je jouis aussitôt. Daniela, qui s’apprêtait à me sucer prend mon jus en pleine figure, tandis qu’Eva doit se contenter du reste, avant de me nettoyer le sexe avec sa langue. Puis, voyant le visage de Daniela tapissé de mon foutre, elle se met à le lécher avec application ; ayant fini, elle lui donne un baiser langoureux, lui fourrant sa langue en prime dans sa bouche. Je sens Daniela un peu crispée, bien qu’acceptant ce baiser torride. Puis je les aide à se relever et nous quittons la salle de bain, désormais nus comme un ver.

Il est près de 10 h 30 quand nous passons au salon. Eva s’installe dans un fauteuil, me laissant assoir sur le canapé avec Daniela. Placée face à nous, elle pose négligemment une jambe sur chaque accoudoir. Ainsi ouverte, totalement impudique, elle expose son minou à nos regards. On dirait que la « séance » de la salle de bain a achevé de débrider sa sexualité. Nous restons une petite demi-heure à bavarder sans but précis. Vers 11 h, Daniela se lève, nous annonçant qu’elle va à la cuisine, nous préparer quelque chose pour le déjeuner. Nous nous proposons de l’aider, mais elle décline notre offre, nous suggérant d’aller dans le jardin, en attendant.

Je remarque qu’en sortant, Eva néglige de s’assurer que personne ne nous regarde. Elle affiche sa nudité sans la moindre gêne. Quand elle marche, ses seins ballottent légèrement et cette situation d’un érotisme torride, ne tarde pas à provoquer un émoi, qui se traduit par un début d’érection. Et, en plus, il y a ce joli postérieur, cette paire de fesses rondes qui ondulent à chaque pas :

« Tu le fais exprès, hein, chérie ? » Je n’ai pas pu retenir mes paroles

« Quoi donc, mon amour ? ça ne te plait pas que je marche comme ça ? » Elle est enjouée, son air mutin en dit long. 

« Hier soir, je t’avais dit qu’on ferait beaucoup l’amour aujourd’hui ! Mais seulement l’amour joli Et j’ai le droit d’exciter mon chéri comme je veux. C’est mon jour ! » Elle a appuyé sur ces derniers mots, tout cela étant dit sur un ton espiègle.

Elle se remet à marcher, en roulant des hanches. L’effet est dévastateur je bande à nouveau. Elle poursuit son petit jeu un moment puis se retourne :

« Tu m’aimes tant que ça ? » dit-elle en posant son regard sur ma bite dressée. A ce moment-là, nous sommes devant le chalet, donc hors du regard d’éventuels passants. Elle s’approche de moi, jusqu’à ce que son ventre touche mon gland. Puis elle se met à frotter son ventre contre le gland, provoquant une brutale excitation :

« C’est l’amour joli ! » susurre- t-elle, avec son délicieux accent slave. 

« Coquine ! Tu n’as pas honte de faire souffrir ainsi ton pauvre Bob ? » J’affiche un air malheureux qui ne trompe pas Eva, laquelle a bien senti que je suis entré dans son jeu.

« Tu me regardes, mais tu ne touches pas pour le moment ! » prend t- elle bien soin d’ajouter. Puis elle me tourne le dos, offrant à mon regard ses belles fesses rondes. Elle se met alors à onduler des hanches, se penchant même un peu en avant :

« Si tu continues comme ça, je vais te  » Je trique à fond, et j’ai bien l’impression de ne plus pouvoir assumer le jeu ! Eva se retourne alors de nouveau et me lance, petit sourire narquois à l’appui :

« Qu’est-ce que tu veux me faire ? » 

Je n’ai pas le temps de lui répondre car Daniela apparait sur le pas de la porte :

« Vous pouvez venir ! Le déjeuner est prêt !  »

Une fois à table, Daniela nous sert un petit repas froid, suivi d’un café. Alors que nous sommes en train de siroter le café, je sens une main se poser sur ma cuisse. Pas besoin d’être grand clerc pour savoir qu’il s’agit de celle d’Eva, cette dernière étant assise à ma gauche à la table de la cuisine. Puis sa main touche ma bite, avant de la serrer entre ses doigts. Elle me jette un regard complice avant de commencer, lentement, à me masturber.

Je tache de me contrôler, quand Eva me dit, d’un air naturel :

« Bob ! Cela ne te dérangerait pas d’aller te reposer dans la chambre ? Je voudrais rester un moment avec Daniela. » Elle retire sa main de mon sexe, tout doucement, et me susurre, comme une promesse :

« Tout à l’heure, amour joli, oui ?  . Et tous les trois, bien sûr ! »

Je ne sais pas trop ce qu’elle a manigancé, mais j’ai confiance en elle. Je me lève et sors de la maison, direction le chalet. Il est 13 h.

A suivre …

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