Pendant ce temps, Hamidou avait empaumé le mont renflé et glabre de Stéphanie ; dans sa grande main, avec ses longs doigts, c’est toute la vulve et le mont qu’il pressait rythmiquement, tandis que la main d’Assane s’agitait entre ses fesses, ses doigts glissant dans sa raie culière, descendant du haut en bas, caressant au passage sa petite rondelle, puis allait jusqu’au bourgeon où il rencontrait la main d’Hamidou, remontait, caressant l’entrée de la chatte toute gluante.
Elle se retrouva plaquée contre son corps, sentait le gros serpent chaud pressé contre sa fesse. La main gauche de l’homme se referma sur son cou, les doigts de la main droite fouillaient profondément son intimité. Il lui murmura près de l’oreille :
« – Je sais bien que tu as payé pour ta copine, mais pour le prix, et vu ton état, tu ne vas pas te plaindre de te prendre une bonne grosse queue noire… ? Sans compter qu’une jolie petite biche comme toi, je ne vais pas me priver de l’embrocher… »
Hamidou qui venait de lâcher sa chatte était en train de s’attaquer au déboutonnage de son chemisier. Dans la tête de Stéphanie des folles images dansaient désormais : sous les doigts des deux hommes, sentant leur chaleur, leur anatomie bien en forme et leur odeur épicée de bois précieux, elle se voyait elle et son amie, à quatre pattes et dans le même sens, côte à côte, se faire saillir en rythme par deux Noirs vigoureux, pendant qu’un troisième leur tirlipoterait les tétons avec ses deux mains.
Un cri rauque la sortit de sa rêverie. Elle avait presque oublié son amie notaire et écarquilla les yeux pour voir un énorme membre couleur chocolat s’enfoncer lentement dans son petit trou : Moussa, accroupi au-dessus de sa jolie croupe, était en train de l’enculer lentement. La disproportion entre le gros organe et le petit sphincter rond de la jeune quadra était effrayant !
Marie-Cécile haletait, soufflait, râlait, mais l’homme puissant y allait avec délicatesse, retirait lentement son membre pour repartir à l’assaut de l’intestin de la notaire ; il remettait du gel, patiemment travaillait de son nœud le muscle froncé de la petite brune, et y retournait, gagnait du terrain, déplissant petit à petit l’œillet rond.
En homme d’expérience il savait qu’à force de patience il viendrait à bout de son joli petit trou et qu’il finirait par enfoncer son long chibre jusqu’au fond du boyau, jusqu’à la garde, chose qui n’était pas possible par devant.
En un clin d’œil, Stéphanie s’était retrouvée complètement à poil, et elle avait senti le serpent katangais investir sa petite grotte : Assane, fléchissant les genoux, avait commencé à le lui rentrer tandis qu’Hamidou qui avait découvert ses jolis seins ronds, hauts et fermes, pressait entre ces mains ces beaux fruits murs à l’allure encore si juvénile.
L’homme qui la besognait debout par derrière l’avait saisie aux hanches et la manœuvrait sur sa longue queue, l’empalait et s’enfonçait en elle au rythme de ses longs coups de reins.
Elle ne sut pas ce qui provoqua en elle ce violent orgasme qui la saisit, la torsion de plus en plus vacharde de ses mamelons par les doigts Hamidou ou les coups de pine d’Assane qui lui percutaient l’utérus façon tamponnoir, mais elle émit une succession de vocalises incontrôlées.
Les yeux mi-clos, elle entendait Marie-Cécile lâcher des cris désespérés :
Moussa qui avait définitivement eu raison de la résistance de son sphincter lui pilonnait sans retenue son petit trou et lui enfonçait désormais son gros chibre couleur chocolat jusqu’à la garde à chaque descente.
Elle ouvrit grands les yeux, réalisant que son amie se faisait défoncer le cul comme jamais :
jamais elle n’avait assisté à une si monstrueuse sodomie. La queue noire était longue au vu de la course de l’engin et d’une largeur démesurée ; l’excitation avait dû faire gonfler encore plus le membre viril.
Stéphanie se sentit tirée vers le bas, penchée en avant : Hamidou la tenait fermement par les mamelons et lui fit comprendre ainsi ce qu’il attendait d’elle ; comme si ça ne suffisait pas, il appuya sur sa nuque : le but était bien entendu d’amener sa bouche vers le phallus énorme que son amie avait déjà sucé avec application.
Elle ne se fit pas prier pour absorber le gland à la couleur sombre, fasciné par la taille de l’organe.
Elle se mit à le pomper lentement en se concentrant sur la tête ronde de l’engin dans un premier temps, ce qui eut son petit effet : Hamidou se mit à ronronner de plaisir, et murmura :
« – Mouiiii… Elle est douée aussi cette belle petite garce. Elle suce comme une vraie pro. Si jeune et déjà si expérimentée. »
Stéphanie se mit à rougir de plaisir, fière de ces compliments. Question pipes elle savait qu’elle était la meilleure !
Mais les coups de boutoir bien sentis et bien assénés dans sa chatte par Assane lui fit perdre ses moyens et elle s’appliqua moins bien. Du coup, Hamidou lui attrapa les cheveux à deux mains, de chaque côté de la tête, et commença littéralement à lui baiser la bouche, envoyant son énorme vit jusqu’au tréfonds de la glotte. Stéphanie suffoquait, avait du mal à respirer, d’autant que le plaisir qu’elle était en train de prendre parcourait son bas ventre en ondes incessantes et lui laissait les jambes molles ; elle avait l’impression qu’elle s’effondrait. Heureusement que son baiseur la tenait fermement par les hanches.
Mais celui-ci finit rapidement par se lasser et il se laissa distraire par les violents cris de Marie-Cécile en train de se faire défoncer l’arrière-train. Son enculeur, d’ailleurs, commençait à donner des signes de fatigue, ne pouvant pas plus longtemps maintenir ce rythme effréné.
Moussa, tout en sueur, fit un signe à Assane, et il ressortit son gourdin du petit trou de la jolie brune.
Fatigué de cette position, et souhaitant changer de rôle, il s’allongea sur le dos sur le tapis et attira à elle la jeune quadra pour l’empaler face à lui sur son manche dans la position d’Andromaque. Assane, qui n’avait rien perdu de la scène et comprenant immédiatement où son compère voulait en venir, sortit de la chatte de Stéphanie et s’approcha du duo, se plaçant debout derrière Marie-Cécile, contemplant le joli corps de la belle brune, ainsi que son si attirant joli cul.
Moussa attira les épaules de la jeune femme pour la plaquer contre lui, offrant mieux dans cette posture sa croupe dont l’orifice était encore ouvert.
Assane s’accroupit au-dessus de ses reins et commença à enfoncer son énorme chibre dans la petite pastille ce qui provoqua des « HAAA » répétés de Marie-Cécile qui avait l’impression qu’elle allait être ouverte en deux.
Jamais elle n’avait été pareillement possédée ! Pour un anniversaire c’était un anniversaire ! Elle allait s’en rappeler toute sa vie de ses quarante ans !
Stéphanie, à genoux, était de trois quarts par rapport à la scène, et voir la jolie brunette embrochée des deux côtés par ces deux énormes queues noires était un spectacle fascinant.
Sa bouche bien occupée par la bite raide d’Hamidou, elle contemplait la scène les yeux écarquillés – toute émoustillée par les cris de démente que poussait sa copine.
Quant à Hamidou, il finit par ralentir et abandonner la jolie bouche de Stéphanie pour se rapprocher du trio, pour être aux premières loges et se tenir désormais debout à côté de la jeune notaire et la contemplait avec un sourire gourmand ; il lui caressa le dos comme pour l’encourager, flatta ses flancs, pour finalement ne pas résister à la tentation de faire taire ses cris distordus en lui enfonçant sa queue dans la bouche.
Stéphanie était infiniment troublée, et terriblement excitée. D’abord parce que, si elle avait déjà vu son amie notaire nue, elle ne l’avait jamais évidemment jamais admirée en pleine action ; et prise par trois queues simultanément encore moins ! Et quelles queues !
Assane la cramponnait bien serrée par les reins tandis que Moussa, de ses grandes mains, la maintenait plaquée contre lui. L’énormité des phallus couleur d’ébène étaient telle que Moussa ne pouvait quasiment pas bouger dans le sexe de la jeune femme.
Quant à Assane on ne pouvait pas dire qu’il la sodomisait : il lui défonçait littéralement son petit trou à grands coups de marteau-pilon !
Stéphanie s’était laissée tombée à genoux juste à côté de Marie-Cécile pour ne pas en perdre une miette.
Bien mal lui en prit, car Assane ne pouvant se contenter que d’une seule femme, finit par sortir son énorme chibre d’entre les fesses de la notaire et attrapant Stéphanie par les cheveux il la força à se pencher jusqu’à se mettre à quatre pattes.
Elle n’eut pas l’idée de protester et de refuser (en avait-elle vraiment l’envie ?) : l’instant d’après elle cria sa détresse alors que l’homme lui enfonçait sa grosse queue directement dans son petit trou. Elle serra les dents, laissa couler quelques larmes, se disant qu’elle aimait être enculée, elle n’allait pas faire la fine bouche, mais qu’en même temps sa jolie rosette n’avait jamais été investie par un phallus de cette taille. Quelle sodomie !
Le Black, se rendant compte qu’il lui avait enfoncé quasiment à sec et qu’il allait avoir du mal à continuer sans la déchirer, fit une petite pause au milieu de sa besogne et prit le tube de gel pour en faire couler une bonne dose entre les fesses de Stéphanie. Il poussa la délicatesse jusqu’à lui enfoncer deux doigts et bien lui travailler son étroit canal.
Stéphanie, un peu apaisée et rassurée, soupira, et son sphincter se détendit ; elle le laissa ainsi lui travailler lentement le fondement.
Mais ça ne dura pas. Elle serra les dents, se prépara à un nouvel assaut qui s’avérait imminent :
en effet le Noir lui enfonça à nouveau son gland gonflé dans sa petite pastille ouverte. Elle ouvrit la bouche, aucun son ne sortit… mais elle avait l’impression d’avoir pris un grand coup de poing dans l’estomac (même si elle savait bien que c’était l’autre extrémité de son boyau que l’Africain était en train de forcer avec son gros membre.)
Et alors qu’il progressait lentement dans ses entrailles, il la complimenta, goguenard :
« – Hummm… Eh bien, ma petite infirmière, il est vraiment bon votre joli cul. Aussi serré que celui de votre copine… et brûlant comme l’enfer !»
Stéphanie se mordait la main pour ne pas hurler. Suffoquée, elle éprouvait en même temps une sensation de possession inégalée. Elle n’avait pas pensé qu’elle réaliserait son fantasme en même temps que Marie-Cécile aujourd’hui.
Non pas qu’elle eut douté de la virilité ou de l’ardeur des trois hommes, mais elle avait pensé naïvement qu’ils suivraient leur contrat à la lettre.
En même temps, étant trois, ils avaient de quoi combler deux jeunes et jolies femmes.
Les doigts agrippés à la laine du tapis en pur mohair, elle fut bientôt saisie par un véritable séisme orgasmique qui lui parcourut l’utérus et lui ravagea le ventre : elle cria sans retenue, beugla, râla, tout en se demandant dans sa petite tête combien de fois elle avait déjà joui ce soir.
« Je suis vraiment insatiable » se dit-elle, « quelle salope je suis… ! »
Puis elle sentit la queue de son enculeur coulisser hors de son orifice culier et rentrer dans celui de dessous. L’homme lui pistonnait la chatte de quelques coups de reins bien sentis, butant bien au fond, puis ressortait et enfonçait son membre à nouveau dans son rectum… un coup dans le zig un coup dans le zag !
Puis soudain elle vit Hamidou se mettre à genoux devant elle ; il lui souleva la tête en la tenant par les cheveux : elle dût ouvrir grand la bouche pour accueillir l’énorme chibre et, la mâchoire dilatée, elle se mit à sucer en cherchant à montrer son savoir-faire, tout en se disant que si elle devait se la prendre dans le cul cette gaule-là, il la déchirerait à coup sûr.
Elle en eut presque un frisson d’effroi, mais cette pensée combinée aux coups de pine d’Assane qui visitait en alternance sa chatte et son trou de balle la fit encore décharger.
Heureusement pour elle, le jeune mâle noir superbement membré semblait se contenter de ses prouesses buccales.
(A suivre…)