Retour chez Alfred
Un mois plus tard, presque jour pour jour javais pour instruction de retourner chez le fêlé car Arnault et Schuller lui avaient commandé un autre film. Ils adoraient le premier.
« Allons, il est lheure ! » Jétais devant la porte dAlfred et jai regardé le taxi repartir en soupirant. Mes vaisseaux étaient bel et bien brûlés et mon ventre était en feu, lui aussi.
A 20h, apparemment calme mais, en réalité, envahie intérieurement dangoisse, liquéfiée par la peur née de la certitude de ce que jallais devoir subir, jétais devant la porte de la maison de ce tordu.
Je savais pertinemment quil allait me faire mal, très mal, quil allait sen donner à cur joie, mhumilier, me frapper de toutes ses forces, peut-être plus fort que la première fois. Javais peur de tout cela, de la douleur évidemment, de ce quil allait encore imaginer et faire avec moi, de la manière dont jallais me comporter, vivre et subir ces violences et ces souffrances et puis javais le souvenir de ce que javais déjà subi avec lui, de ma jouissance aussi et tout cela me perturbait.
Bien sûr, javais promis à Arnault, à chaque fois quil me le demanderait, de venir ici, de tout faire pour plaire à ce sadique et satisfaire ses exigences mais une boule serrait mon estomac, le nouait et javais peur de craquer. Jai tenté de me reprendre. Je savais pourquoi jétais là et, quelque part, jétais déterminée à faire plaisir à Arnault et à tout faire, comme je le lui avais promis, pour satisfaire les exigences physiques et sexuelles dAlfred.
Jai appuyé sur la sonnette et dès que le coup de sonnette a retenti, Alfred a ouvert. Mon cur sest emballé encore plus. Il était torse nu et portait un jean très serré et délavé, il mattendait, son long martinet en main. Jai immédiatement pâli ! Cet ustensile ne mavait pas laissé un bon souvenir. Cétait un modèle effrayant, un chat à neuf queues à lancienne. Rien de comparable avec le petit jouet de réunion sadomaso bourgeoise en vente dans tous les sex-shops.
Alfred me fixait avec son regard de dément et un rictus déformait sa bouche. Il tentait de sourire. « Entre, ma poule ! Dis donc, cest gentil de rvenir voir Alfred si vite ! Et puis, tes jolie comme tout. Je vais bien mamuser ce soir, vendredi en 15 aussi apparemment, et 15 jours après encore, mais tes dvenue accro, dis donc. Léon me donne du travail, mais ça tombe bien, jaime ça ! En plus, il me dit de bien en profiter et toi, tu vas aimer le programme. Une belle correction avec mon martinet favori, la petite cravache et pourquoi pas mon vieux fouet de maître déquipage, si ten redemandes. Tu vas avoir ton petit cul chauffé à blanc et après, je te réserve un passage au banc dessai. Un réglage maison. Tu vas voir, jai installé tout le matos pour quon samuse bien ! Allez, rtire ton manteau, pose le là et viens par là que je te rgarde un peu! Ah oui, au fait, la petite séance va être filmée, comme lautre fois, bien sûr. Tu as bien aimé ce film, tu tes caressée en le regardant et il ta fait jouir, jen suis sûr, eh bien on va en faire un autre, encore meilleur, tu verras. »
Il parlait sèchement, avec un débit rapide, bougeait sans cesse, comme un loup en cage. Il me faisait penser à quelquun qui prend des excitants. Jai déposé mon manteau dans lentrée et jai suivi Alfred jusque dans la cave aménagée en salle de torture.
Javais le cur comme déchiré. Je tremblais et ne pouvais dire un mot. En fait, jessayais de rassembler mon énergie pour rester aussi calme que possible et tenir le coup.
Dans la cave aménagée, la barre de gymnastique était installée et à côté, il y avait une sorte banc de musculation, recouvert de cuir, mais plus large et des cordes y étaient attachées ; des lanières, des sangles traînaient par terre, des attaches en cuir et en corde pendaient de la barre transversale. Il y en avait également sous la barre, elles étaient reliées à des anneaux solidement boulonnés au plancher.
Deux caméras allaient tout enregistrer. Elles fonctionnaient déjà et il me les a montrées.
« Tas vu, pareil que lautre fois, pour que tu te tiennes tranquille, ma poule et que je nai pas à courir après toi partout. » Il rigolait et de longs frissons glacés parcouraient mon dos.
Il sest finalement installé dans son fauteuil et ma demandé de me mettre face à lui, en position de soumise. Il savait tout de moi, de ce que jétais devenue et de ma relation à Léon SCHULLER. Debout, les mains croisées dans le dos, les yeux baissés, les jambes légèrement écartées, jattendais ses ordres. Jessayais de respirer calmement. Il a pris le temps de mexaminer, de me déshabiller du regard. Il a pris son temps. Les caméras ronronnaient déjà.
-« Alors comme ça, tes contente de venir me voir, cest bien ça ? »
« Oui, monsieur ! »
« Tes devenue la chienne à Léon ? »
« Oui, monsieur ! »
« Donc, tu fais tout ce quil te dit de faire et tu vas faire tout ce que jveux, ce soir, cest comme ça que tu prends ton pied, cest ça ? »
« Oui, monsieur, cest ça ! »
« Quest ce que tu vas faire, alors ? »
« Tout ce que vous voulez que je fasse, monsieur. Je suis là pour vous satisfaire. »
« Dis donc, cest super, ça! Alors, si je comprends bien, ton petit trou du cul, ta bouche de salope, tes petits nichons, ta chatte sont à moi ce soir et je peux mamuser avec autant que je le veux? »
Mon corps était agité dune espèce de tremblement. Jai dû faire un effort pour pouvoir parler car je claquais des dents.
« Oui, monsieur, cest cela ! »
« Alors, maintenant, ferme ta gueule et écoute moi bien ! Tu vas gentiment ouvrir ta jolie robe et me montrer tout ça. Tu fais ça bien, comme lautre jour, que jen profite bien, daccord ? Tu gardes tes bas, ton porte jarretelle et tes chaussures, tes bijoux aussi, pour le film. Il faut bien que tu sois jolie. Le reste, tu le vires, mais en beauté, tu dois faire bander Alfred et tout ceux qui vont se branler en matant le film de cul quon va tourner! Pigé ? »
-« Oui, monsieur ! »
« Dabord, tu me donnes tes pinces. Jespère juste pour toi et ta ptite gueule que tas pensé à me les ramener ? »
« Oui, monsieur, elles sont dans mon sac à main, je vais les chercher de suite si vous le voulez ! »
Je voulais tout faire pour quil reste aussi calme que possible, quil ne sénerve pas contre moi, tout faire pour éviter le pire. Il nattendait que cela, en fait, que je fasse une erreur pour pouvoir me corriger encore plus durement si cest possible. « Allez, ok, va me les chercher que je joue un peu avec ! »
Je suis allée dans le fond de la pièce, là où javais posé mon sac et je lui ai ramené les pinces que je lui ai données. Il était content car elles étaient serrées à fond, comme lui-même lavait fait.
« Ah ! Cest bien, tu y as pas touché, jvois que taimes cela ! Je vais te les mettre tout à lheure mais déjà, ouvre ta robe puis rtire là en faisant ça de manière à bien faire bander les mecs qui vont mâter le film, ma belle ! »
Comme lautre jour, il me traitait comme une chienne et sa façon de me parler et de me diriger ajoutait à mon excitation, je le ressentais déjà et je tremblais dexcitation tout autant que dappréhension à lattente de sa violence qui allait pouvoir sexprimer car même si jétais aussi complaisante que possible, il allait me frapper avec ses ustensiles pour samuser, je le savais bien.
Arnault mavait demandé de tout faire pour plaire à cet homme violent, alors, je me suis appliquée à me déshabiller devant lui de la manière la plus érotique possible, comme il le voulait et jai déboutonné ma robe, lentement, pour bien lexciter sexuellement.
Il apparemment bien aimé ce que je faisais devant lui : ce lent déboutonnage sexy pour dévoiler mon soutien gorge, mon ventre et mes jambes lorsque ma robe, grande ouverte, a finalement glissé au sol derrière moi. Ses yeux brillaient dexcitation, il regardait ma poitrine alors jai pressé mes seins, jai fait glisser les bretelles de mon soutien gorge, baissé un bonnet du bout des doigts. Il se massait déjà le sexe par-dessus le jean.
Jai fait tomber mon soutien gorge à ses pieds puis jai caressé mon pubis par-dessus le voile léger de mon string.
Mon doigt tendu lissait ma fente. Jai sucé mon doigt puis je me suis retournée pour quil mate mon cul et voit la ficelle du string incrustée entre mes fesses que jai écartées des deux mains.
Je me suis penchée pour quil profite bien de leffet du petit tissu sur ma fente. Enfin, jai dénoué les lacets du string et celui-ci est tombé sur le tapis. Javais fini.
Devant lui, jai croisé mes mains dans le dos pour attendre ses instructions. Il a sifflé dadmiration.
« Ben dis donc, Léon a bien dressée sa salope. Tes devenue une vraie pute ! Chapeau! Viens ici, à genoux devant moi, que je profite un peu de tout ça.»
Je me suis mise à genoux devant lui. Il a attrapé le bâillon en forme de boule de caoutchouc et me la introduit dans la bouche. Il avait, dabord, ouvert ma bouche avec ses doigts et il a fouillé ma bouche et exigé que je suce ses doigts.
Il ma ensuite demandé de bien mettre la boule de caoutchouc en place puis il serré la lanière de cuir qui maintient cette sorte de muselière. Elle écrasait ma bouche et les commissures de mes lèvres. Comme lautre jour, jai eu du mal à placer ma langue, à respirer normalement et surtout, à avaler ma salive. Jai essayé de me calmer pour parvenir à surmonter cette gêne.
Il a ensuite joué un peu avec les bouts de mes seins, dabord doucement, pour mexciter un peu, puis il na pu se retenir de les tordre méchamment, lun après lautre. Jai essayé de retenir mes larmes, je ne voulais pas craquer déjà.
« Ca te plaît quand je te fais cela, je le sais bien, hein salope ? Fais oui de la tête ! »
Jai secoué la tête pour répondre comme il le voulait. Il a recommencé. « Hein, ça te plaît ? »
De nouveau, jai hoché la tête. Il sest retourné et a attrapé un collier en cuir noir serti de clous et me la passé autour du cou. Il y avait un anneau pour y fixer une chaîne, une longue laisse. Il a fait passer cette chaîne entre mes jambes et a attaché le bout encore libre à un deuxième anneau situé derrière le collier.
Pour y parvenir, il a tiré sur cette chaîne qui sest incrustée dans ma fente et entre mes fesses.
Il ma contemplée, a eu lair satisfait, puis il a pris les deux pinces à sein, celles quil mavait données, un modèle lourd avec une boule de métal qui pend au bout dune petite chaîne dorée et il les a mise en place. Mes tétons étaient écrasés et distendus par le poids de ces pinces. Javais atrocement mal car elles étaient serrées à fond. Il fallait que je tienne le coup. Jessayais de bouger le moins possible pour éviter leur oscillation.
« Et ça, je suis sûr que tu aimes, ma poule? »
Un nouveau hochement de tête. Surtout, ne pas lénerver ! Il me regardait en souriant, jouait avec les deux boules qui pendaient au bout des chaînettes.
Chaque mouvement déclenchait dans ma poitrine une douleur plus forte. Une sensation permanente de brûlure sinstallait dans le bout de mes seins. Il ma demandé de me relever et de le suivre jusquen dessous de la barre de gym. Là, il est monté sur un tabouret puis il a attaché mes poignets aux liens de cuirs et de corde disposés. Il a bien serré ces liens. Il a également écarté mes jambes et attaché mes chevilles aux sangles reliées aux anneaux métalliques. Jétais écartelée et je ne pouvais plus bouger.
Cette position, même, était douloureuse et mempêchait de respirer. Javais peur détouffer. Il riait de mon angoisse. Il allait pouvoir sen donner à cur joie et me corriger autant quil le voulait. Mes seins étaient déjà en feu. Jétais effrayée. Des larmes coulaient sur mes joues.
Il sest rapproché de moi a claqué mes fesses de la main et ses doigts ont pris le temps de parcourir ma raie, mes fesses, et ma fente largement offertes. Il a encore joué avec les pinces à sein, les faisant osciller du bout du doigt, ce qui déclenchait à chaque fois une violente douleur dans toute ma poitrine. Il samusait bien. Il a amené les deux autres pinces aussi lourdes et les a posées sur mes petites lèvres. Cétait une horreur. Les pinces étaient épouvantablement serrées. Il en a posé deux autres encore.
Après, il a passé une chaîne autour de ma taille puis a tiré sur la laisse pour y fixer la chaîne de taille. Chaque fois quil tirait sur cette chaîne, je sentais les maillons sincruster entre les lèvres de non sexe et dans la raie de mes fesses.
Il en a joué et a tiré sur cette chaîne pour me faire mal.
« Alors, tas vu mes beaux cadeaux, tu aimes porter ça ? »
Un nouveau hochement de tête.
« Maintenant, on va mettre un peu de linge à sécher ! »
Il a ricané et a agité un sac plastique devant moi pour en sortir une pince à linge en bois.
« Tu vas plus pouvoir ten passer, tu vas voir connasse ! » Il men a posé une dans une narine, une deuxième dans lautre narine. « Ce mec est fou ! »
Mes oreilles ont été décorées de la même façon, tout autour des deux pavillons. Il en a posé sur la peau de mes seins, la peau de mes bras, celle de mes aisselles, la peau de mon ventre et de mes hanches, celle de mes cuisses et de mes mollets.
Il les posait à lintérieur de mes cuisses, près de mon sexe, puis redescendait. Il faisait ça méticuleusement. Une sensation de brûlure générale, de douleur intense ma envahi peu à peu, pince après pince. Il est venu en agiter une sous mon nez.
« On la met où, la petite dernière ? » Il rigolait.
Jai pensé : « Non, pas là ! » Il sest mis à genoux devant moi, a écarté la chaîne et a posé cette pince sur mon clitoris. Cétait insupportable.
« Alors ça te plaît ou pas ? Alfred a eu une bonne idée, pas vrai ? »
Jai hoché la tête. Mon corps était en feu.
« Bon, tu vas goûter au martinet et au reste, tu vas pouvoir couiner autant que tu veux sous ton bâillon, ma poule, personne peux tentendre et après Alfred, quest gentil comme tout, va bien soccuper de ta bouche de salope et de ton petit cul serré. Il faut bien la ramoner un peu cette petite cheminée, cest ça que tu veux ? Cest pas pour ça que tes là ? »
Il avait enfoncé ses doigts profondément en moi et tentait maintenant de dilater mon anus. Jai hoché la tête en signe dassentiment.
Je voulais quil se dépêche, quil fasse tout ce quil veut et en finisse, javais trop mal. Il fouillait mon cul et ma fente, faisait bouger les pinces qui étiraient mes petites lèvres, jouait à tirer sur la chaîne et à lenfoncer dans ma fente et dans ma raie ; il samusait bien et ma souffrance générait et accentuait son plaisir. Il sest un peu écarté, jai préféré fermer les yeux et le premier coup de martinet a claqué. La douleur a envahi ma cuisse. Le coup, violent, a été suivi dune sensation immédiate de brûlure. Il a compté à voix haute : « Et un ! »
Je ne devais pas bouger. Mes bras distendus me faisaient horriblement mal. Je ne sentais plus mes mains. Le sang ne passait plus. En plus, les chaînes me gênaient et me faisaient mal. Les pinces à linge accentuaient la tension sur ma peau et augmentaient la sensation de douleur.
-« Et de deux ! »
Un autre, sur lautre cuisse ! Je voulais crier pour me soulager un peu mais ne le pouvais pas. Jessayais juste de bouger les hanches pour amortir le coup à venir et pour en atténuer la violence, mais rien ny faisait.
-« Trois.quatre cinq ! »
Il prenait son temps, faisait durer son plaisir. Plusieurs secondes, parfois, entre chaque coup. Il tournait autour de moi, venait face à moi, me regardait, faisait semblant dhésiter, visait puis frappait au moment où je my attendais le moins.
La douleur était atroce. Si je bougeais, ma peau, mes seins et mon sexe se déchiraient sous la pression et le poids des pinces. Ne pas bouger ! Ne pas bouger !
-« Hein, je suis sûr que ça texcites à mort. Pas vrai, ma poule ? »
Un bref hochement de tête et les coups ont continué. Ne pas bouger, ne pas réagir, partir loin mentalement. Ce fût long, très long ! Il a soufflé.
-« 90 ! Bon, la commande est remplie pour le martinet ! »
Il parlait comme un boutiquier de la violence. Il a soufflé à nouveau et repris sa respiration à plusieurs reprises.
Cet effort lavait fatigué ! « Bon, à la cravache maintenant. »
Jai hurlé intérieurement. Ce nétait donc pas fini.
Tout mon dos, mes fesses, mes cuisses étaient en feu. Mes bras tremblaient de douleur et il voulait continuer cette séance.
« Alors, tu connais la cravache ? Je suis certain que tu vas apprécier. Il faut bien te dresser un peu puisquy paraît que tes pas obéissante. Alors, tu comprends, Alfred est obligé, ma poule ? Remarque, pour être honnête, ça lui plaît bien dte faire ça ! »
Il a commencé à me frapper les fesses avec cet ustensile. Il frappait fort et javais limpression que ma peau se déchirait à chaque coup. Il comptait les coups. La cravache sifflait et me brûlait.
« -Un, deux, trois, quatre, cinq, six ! » Après six, je suis partie loin, jai même dû mévanouir quelques instants.
Jai repris mes esprits pour entendre : « 29, et trente, le compte est bon ! Reste le fouet pour que tu goûtes un peu à ça et que tu réfléchisses bien au fait que lorsque ton maître te dis de faire queque chose, la seule réponse est oui !»
Il me touchait le bout du nez avec le fouet de cuir roulé.
« Tu piges ce que je veux dire, salope ? La seule réponse est oui ! Tu piges ?«
Jai hoché la tête en signe dassentiment. « Une salope comme toi na rien à dire. Elle doit pas la ramener, faire sa maligne, elle obéit ; au doigt et à lil, un point cest tout ! Moralité, si Léon te dit de faire, tu fais ! Sil demande quelque chose, tu le fais ! Si ça ne te plaît pas, tu ferme ta gueule, tu te bouches les narines et tu le fais quand même ! Cest clair ? »
Jai longuement hoché la tête. En quoi avais-je désobéi à Léon ? Bien sûr, javais dit au vieux que javais oublié de me dilater lanus deux jours de suite, mais cest tout ! Puis, je me suis souvenue que javais refusé quil me livre à un chien. Ce serait donc cela ? Il voulait ma soumission totale et que jaccepte daller jusque là ? Il voulait que je me fasse mettre, monter par un chien ? Il fallait que jen parle à Arnault le plus vite possible pour que je sache si cétait ça le problème.
« Alors, tu piges ou pas, oui ou non ? »
Jai de nouveau hoché la tête en signe dassentiment. Comment pourrais-je jamais faire cela ? Il est venu derrière moi et a fait claquer son fouet dans le vide. Alors que je tentais davaler ma salive un premier coup de cette longue manière de cuir ma frappé le corps en senroulant. Jai cru mourir. Jai tenté de reprendre pied pour ne pas mévanouir.
Je nimaginais pas pouvoir en supporter un coup de fouet de plus. Jétais épuisée et mon corps nétait plus que douleur. Il a continué. Je me tortillais comme une anguille au risque de me déboîter les épaules et les poignets.
« Quatre ! »
« Cinq ! »
« Six ! »
« Allez, un dernier pour te finir le cul et trois autres devant pour la caméra ! Six et un sept et trois dix ! » Il a dit cela en rigolant.
Ce disant, il sest approché de moi et a tordu lune des pinces à sein en ricanant ! Il transpirait.
-« Ca texcites, jle sais! Taimes ça, jen suis sûr et tu reviendras, tu reviendras, je le sais, tu reviendras parce que taimes cela, te faire dérouiller, je le sens !»
La douleur atroce a irradié dans tout mon thorax mais jai hoché la tête en signe dapprobation.
« Je suis sûr que tu mouilles comme une salope! Fais voir ! »
Sa main a fouillé ma fente. Il a retiré la pince à linge en la faisant glisser sans louvrir et écarté la chaîne, tiré et tordu une pince et, sous le bâillon, jai hurlé. Ses doigts se sont introduits en moi.
Il sest esclaffé.« Mais cest une vraie salope, la poupoule ! Alfred va bien samuser et popaul aussi, on va lui défoncer le cul, et le popaul, ça va être sa fête ce soir! »
Il désignait son sexe de la main. Il ricanait, il avait une sorte de mousse blanche à la commissure des lèvres et il tournait autour de moi pour jouir du spectacle que joffrais.
Il est venu, enfin, se positionner derrière moi pour masséner le dernier coup en visant les fesses et le bas du dos. Je nen pouvais plus. Je tremblais de douleur et des spasmes incontrôlables agitaient mes bras et mes jambes.
Ensuite, il est monté sur son tabouret pour détacher les lanières des poignets. Jai failli tomber à genoux. Il a retiré celles des chevilles, ma retournée. Je lui faisais face. Jai eu quelques secondes de répit, jai repris mon souffle. Jai tenté davaler ma salive, difficilement !
Il ma attachée à nouveau, soigneusement, dabord les chevilles puis les poignets. Il ma regardée. Pour samuser, il a malaxé mes seins et a enfoncé les maillons de la chaîne en moi. Il sest écarté pour prendre son fouet. Certaines pinces à linge étaient encore en place.
Je le voyais prendre tout son temps, faire claquer la lanière dans le vide. Il me faisait penser à un fauve prêt à se jeter sur sa proie. Il faisait durer son plaisir. Il a levé le fouet, jai fermé les yeux et le premier coup a claqué sur ma poitrine. Une douleur violente, atroce, pire que les autres car il avait visé les aréoles et les pinces à seins : une brûlure de tout le torse ! Jai cru mévanouir. Un autre a immédiatement suivi, au même endroit. Il a frappé une dernière fois en visant mon bas-ventre, juste à la lisière du pubis, une autre brûlure intense ! Ce dingue avait visé et atteint la naissance de ma fente.
Il ma finalement détachée et là, je me suis écroulée devant lui. Je navais plus de force.
Il ma empoigné les cheveux pour me trainer sur le sol recouvert dun vieux linoléum puis le tapis, jusque devant son fauteuil: « Viens par là, ma poule ! » Je tentais de le suivre à genoux, il me tirait les cheveux.
Il a enlevé le bâillon. Jai toussé, eu un haut de cur et un filet de bave a coulé sur mon menton.
« Essuie-toi et pis bois un coup, cest pas encore fini, on a encore des choses à faire, pas vrai ?»
Il ma tendu une petite bouteille deau. A genoux devant lui, jai bu plusieurs gorgées pour étancher ma soif et jai essuyé ma bouche et mon visage avec le torchon quil ma désigné du doigt, puis il a retiré les deux pinces à seins en les tirant vers le bas, sans aucun ménagement.
Je nai pu retenir un cri puis un gémissement de douleur. Javais limpression quil avait arraché mes tétons. Devant moi, Il a retiré son jean et son caleçon puis il sest assis face à moi, jambes écartées.
-« Tas aimé ça, avoue? »
Il ricanait ! « Je suis sûr que tu reviendras bientôt, pour prendre une autre dérouillée ! Ca texcites de te faire traiter comme une chienne, une salope. Tu es une chienne, pense bien à ça ! » Il se tapait la tempe avec lindex.
-« Oui, monsieur ! »
-« Alors maintenant, vas tallonger sur le dos sur le banc et écarte tes jambes. Je vais attacher tout ça pour que je puisse bien faire ce quil faut pour te faire plaisir. Ensuite, promis, tu vas bien toccuper de popaul avec ta bouche de suceuse de bite. Dis devant la caméra que tu es une vraie salope, une pute!»
Jai fixé lobjectif de la caméra.
-« Je suis une vraie salope, une pute, monsieur! »
« Alors, tu vas bien profiter, ma poule, tu vas faire plaisir à Popaul et bien le sucer. Tu sais, il attend ta bouche de salope depuis tout à lheure, ce pauvre Popaul. Viens lui dire bonjour. »
Il agitait sa bite de la main et rigolait de ses bêtises. Il ne traitait comme la dernière des chiennes.
Il a fait un signe de tête et je suis allée mallonger sur le banc quil avait disposé sous la barre. Jai écarté mes jambes aussi largement que possible. Il a attrapé ma cheville droite et la attachée à lune des cordes reliée à un anneau fixé au sol et qui passait par-dessus la barre, puis il en a fait de même avec la gauche. Ainsi, javais les deux jambes tendues et écartées à bloc. Il a pris mes poignets et les a attachés de part et dautre du banc. Jétais totalement écartelée.
Les chaines et les pinces me faisaient très mal ; elles sincrustaient dans ma peau. Il ma filmé dans cette positon, sous tous les angles, puis il a posé sa caméra dépaule sur le tapis avant de prendre un gros gode veiné. Il la fait passer devant mon visage, lentement, pour que je le voie bien.
Cétait un gros modèle. Il ma demandé de le lubrifier avec ma bouche et jai du le lécher longuement avant quil ne le présente devant ma fente. Il a écarté la chaîne incrustée dans le sillon puis a introduit le gode. Jai essayé de tout faire pour faciliter cette pénétration et avoir le moins mal possible, mais ce gode était gros et il lui a fallu un peu de temps pour lenfoncer à fond. Il était satisfait de lui.
« Alors, ça te plaît, connasse? »
« Oui, monsieur ! »
« Je suis sûr que tu en veux un autre, pas vrai ? » Il agitait un autre gode du même modèle devant mes yeux.
« Oui, monsieur ! »
« Bien, alors tu vas lsucer pour que jle mette dans ton ptit cul ! » Il a ouvert ma bouche avec ses doigts puis y a introduit le gode. Jai dû le sucer longtemps puis il la retiré et ma écarté les fesses, a repoussé la chaîne sur le côté avant dintroduire cet engin en moi. Javais limpression que cela allait me déchirer mais je me suis relâchée et, peu à peu, le gode sest enfoncé. Il les a fait jouer un peu, lun et lautre ; des va et vient, des mouvements circulaires. Cétait bon !
« Tu vois, je lsavais, taimes ça ! On va essayer autre chose. Il a retiré le gode anal, me la mis dans la bouche puis a enfilé un gant de chirurgien quil a lubrifié avec du gel. Javais les yeux écarquillés. Je savais bien ce quil allait faire. Il a présenté ses doigts devant mon anneau, puis a commencé à les introduire lentement. Il mavait montré comment il avait replié sa main, le pouce inscrit dans la paume. Il est parvenu à introduire sa main entière. Jai crié car jai cru être déchirée. Il a commencé des va et vient lents et profonds tout en titillant mon bouton avec son autre main. Jallais hurler si cela continuait. Il me rendait folle de plaisir. Jai essayé de résister mais jai quand même fini par jouir en criant et ma tête sétait relevée.
Je nai pu me retenir : « Oh, cest bon, cest trop bon ! »
Jai senti mon anneau se contracter autour de sa main.
« Voilà, tas bien pris ton pied, je tavais bien dit que tallais aimer cela. Maintenant, tu vas sucer Popaul et faire tout ce quy faut pour lui faire du bien, daccord ! »
Mon corps était agité de spasmes mais jai pu répondre en hoquetant: « Oui monsieur! » Il est venu se mettre à genoux derrière moi. Il ma tirée sur le banc par le collier afin que ma tête bascule dans le vide puis il a tiré mes cheveux pour relever ma tête et obtenir que ma bouche vienne à hauteur de sa queue. Le gland violet était tendu et sa bite bougeait au rythme des battements du sang, à quelques centimètres de ma bouche.
Il a empoigné mes cheveux pour que ma bouche vienne au contact de sa queue. Jai immédiatement ouvert mes lèvres et jai englouti son sexe pour le sucer comme je pouvais. Jessayais de faire de mon mieux mais il était toujours aussi brutal et il samusait à lenfoncer à fond dans ma gorge puis me forçait à maintenir cette position en senfonçant totalement en moi. Javais du mal à respirer, à déglutir. Je ressentais une sensation détouffement, javais envie de vomir et mes hauts de cur lamusaient beaucoup. Il me fallait tenir et résister à ce traitement. Jai tenu le coup comme je le pouvais, même si cela ma paru interminable, puis il a fini par se lasser de ce petit jeu et jai dû le satisfaire autrement. Il ma attirée vers le bas par la chaine de taille et ma tête est revenue se poser sur le banc.
Il a retiré, une à une, toutes les pinces à linge en les tirant lentement, les faisant glisser sur ma peau. Cétait à chaque fois une douleur atroce.
Tout en faisant cela, il a exigé de moi que je lembrasse sur la bouche, que je lui donne ma langue, longuement puis il sest accroupi au dessus de moi pour que je lèche ses couilles, son périnée, en jouant dessus du bout de la langue et que lèche son « trou du cul », selon son expression imagée, et y fourre ma langue.
Il sasseyait sur moi et ne se relevait que lorsque je me débattais, à la limite de létouffement. Il a fait cela plusieurs fois avant de mobliger à reprendre sa queue bien tendue en bouche pour la lubrifier.
Il ma ensuite retournée après avoir défait mes liens, et mise à quatre pattes sur le tapis comme une chienne, en me tirant par le collier et la chaîne.
Il a empoigné mes cheveux et ma forcée à le regarder dans les yeux. « Je vais tenculer, ma poule, bien défoncer ton petit cul de salope! Alfred et Popaul vont bien soccuper de ton petit cul. En plus, je sais que tu aimes cela ! Tu vas bien en profiter, tu vas voir. Allez, dis le qutaimes cela !»
-« Oui, monsieur, jaime ça ! »
Je ne mentais pas, javais envie de sentir sa bite senfoncer en moi, dans mon cul. Il a rigolé de ma réponse.
« La prochaine fois, je vais te défoncer le cul avec un gode géant et on va filmer ça, daccord ? »
« Oui, monsieur ! »
Quand on me parle ainsi, je perds toute retenue. Je deviens une chienne, je suis une salope, une chienne.
Il a claqué ma fesse droite et jai hurlé de douleur. Javais la peau à vif. Il a raclé sa gorge avant de cracher sur ma rondelle puis il a positionné le bout de son sexe tandis que de mes deux mains, jessayais décarter mes fesses pour éviter de souffrir trop de cette pénétration qui sannonçait brutale. Jessayais, en même temps, de me décontracter pour offrir mon orifice. Il ne fallait pas résister. Il a introduit deux puis trois doigts, les a vrillés en moi sans douceur pour sassurer de la dilatation de mon anus, puis satisfait de son uvre, il est venu senfoncer en moi dun coup de rein violent. Jai gémi de douleur.
Bien évidemment, il a cru que cétait de plaisir. De temps en temps, comme à son habitude, il me claquait les fesses ou bien il tirait sur la chaîne ou le collier qui métranglait. Jai crié de douleur à chaque coup sur les fesses tant cela faisait mal. Mes cris le faisaient rire. Il a fini par jouir après plusieurs derniers coups de reins et jai senti sa semence sécouler enfin en moi. Cétait bon den finir ! Il avait eu tout ce quil voulait.
Je lui avais tout donné. Jétais épuisée, je nen pouvais plus, cétait fini! Je me suis écroulée sur les avant-bras, le front contre le tapis, épuisée, la bouche ouverte pour reprendre ma respiration et récupérer un peu. Des spasmes nerveux secouaient encore mon corps.
Alfred sest relevé et ma laissée quelques instants dans cette position, puis il a relevé ma tête en tirant mes cheveux, ma attirée vers lui par le collier et ma fourré sa queue dans la bouche. Je lai sucée à nouveau, devant la caméra quil portait sur lépaule, les yeux fixés sur lobjectif.
Il ma remis à quatre pattes et jai dû écarter mes jambes et creuser mes reins pour quil puisse filmer mon anus qui devait être encore bien dilaté et ma fente encore décorée de ces pinces qui me déchiraient les petites lèvres. Il a ensuite voulu filmer filmé mon corps meurtri et lacéré.
Jai du me mettre sur le ventre puis sur le dos, jambes relevées et écartées. Il ma ordonné douvrir ma vulve de deux doigts en fourche afin de faire un gros plan sur les pinces puis il a filmé mon visage en gros plan, longuement, malgré tout ce que javais enduré.
Jai marché à quatre pattes dans la pièce. Il me filmait. Les deux pinces pendaient entre mes cuisses zébrées de traces rouges et bleues. Je faisais selon son désir pour le satisfaire, puis, à son habitude, son film terminé, alors que jétais toujours à quatre pattes et que je nosais pas me relever malgré la fatigue, il ma demandé de partir. Il en avait fini avec moi. Je ne lintéressais plus du tout.
Un véritable sac à foutre, un kleenex, un vide couille, voilà ce quune femme est pour lui, ce que javais été pour lui.
A cet instant, jai mesuré que la séance était terminée et que javais été livrée à un dingue, un véritable salopard qui avait bien profité de moi et de mon tempérament de soumise pour satisfaire ses pulsions de sadique violent mais cétait fini, jétais libre. Jai pu retirer le collier et les chaînes pour les déposer à ses pieds. Je me suis rhabillée devant lui. En fait, jai simplement enfilé ma robe.
Il ma regardé la reboutonner, dun air goguenard. Cela lamusait de me voir grimacer de douleur au simple contact du tissu. Jai récupéré les pinces qui traînaient sur le tapis.
Jai rangé les pinces, mon soutien gorge et mon string dans mon sac à main avant de le saluer et de sortir de chez lui. Il na même pas répondu à mon salut. Je nexistais déjà plus. Une affaire classée ! Cest tout ce que jétais. Il était déjà passé à autre chose, je le voyais à son regard devenu absent.
Avant que je remonte lescalier il a juste dit :
« A dans 15 jours salope, et tas intérêt à être en forme, vu ce qui tattend ! » Il a rigolé et ce rire suraigu de fêlé qui a envahi la cave ma fait peur. (à suivre)