La voiture se mit à hoqueter et ralentir dun seul coup, Marie réussissant juste à la garer sur le bas-côté avant que le moteur ne cale après avoir lâché un dernier râle caverneux. Malgré lobstination de la jeune femme pour tenter de redémarrer, le véhicule resta muet et inerte sur le bord de la route.
La belle brune sortit donc de lautomobile après avoir actionné louverture du capot moteur et jeta un regard dubitatif sous celui-ci, se sentant bien incapable de trouver la panne et, plus encore, de la réparer ce dautant plus avec cette électronique omniprésente. Elle sessuya les mains avec un chiffon et regarda autour delle pour constater quil ny avait ni habitation, ni âme qui vive à lhorizon, de quelque côté que ce soit
Elle attrapa son portable pour tenter dappeler un dépanneur mais, évidemment, sur cette route de montagne éloignée de tout, il ny avait aucun réseau Cest à ce moment-là que Marie prit réellement conscience de la gravité de sa situation, surtout que la nuit ne tarderait pas à tomber et quil ne devait probablement pas y avoir beaucoup de passages sur cette route, passé une certaine heure !
Elle se prit la tête entre les mains et soupira profondément, tout en essayant de réfléchir à la meilleure chose à faire. Oui, que pouvait-elle faire toute seule perdue au milieu de nulle part ? Une violente envie de pleurer la submergea mais elle résista, consciente quil ne fallait surtout pas quelle craque. Après tout, elle avait déjà réussi à dépasser des épreuves de la vie beaucoup plus difficiles, en trente-cinq ans dexistence se dit-elle pour se donner du courage !
Après un court moment de réflexion, la jeune femme décida daller voir un peu plus loin devant elle malgré ses chaussures peu appropriées à la marche, espérant tomber rapidement sur une habitation doù elle pourrait appeler un dépanneur. Elle savait de toute façon quil ny avait rien sur presque vingt kilomètres du côté doù elle venait
Marie attrapa donc son sac avec ses papiers et une veste au cas où elle ait froid, vérifia que les portières de sa voiture étaient bien fermée et entama son périple.
Alors quelle marchait depuis presque une heure et quelle commençait réellement à désespérer de trouver âme qui vive, que la luminosité du jour déclinait maintenant à grands pas la jeune femme entendit au loin le bruit dune voiture. Elle se retourna et aperçu deux phares qui semblaient se diriger dans sa direction.
Marie fut saisie dun curieux sentiment de peur mêlée dexcitation, réalisant quil pouvait lui arriver nimporte-quoi et même le pire, là toute seule au milieu de nulle part ! Devait-elle se cacher dans le talus pour ne pas être vue du conducteur ou rester sur le macadam et tenter de faire arrêter le véhicule en tendant le bras ?! Elle était complètement indécise, un certain nombre de pensées malsaines se bousculant dans sa tête… alors que les phares pointaient maintenant au bout de la ligne droite.
Ce furent en fin de compte la fatigue, ses pieds qui lui faisaient mal et un goût immodéré pour les aventures en tout genre qui décidèrent pour la jeune femme. Elle resta donc sur la chaussée et fit de grands gestes des bras afin de se faire voir du conducteur. Le véhicule ralentit et stoppa juste à sa hauteur
Le véhicule une vieille Lada break a priori de teinte beige, mais dont la majeure partie de la carrosserie était bariolée de dessins et dinscriptions de toutes les couleurs ! Cela ne rassura pas pour autant la jeune femme, surtout quelle distingua deux ombres sagitant à lintérieur de lhabitacle, le conducteur et quelquun assis sur les sièges arrière…
La vitre côté passager descendit avec un léger grincement et le conducteur, un homme avec les cheveux grisonnants coupés très courts dont elle narrivait pas à définir lâge dans la pénombre, tendit la tête
— Hola !
— Hola !
Tout en lui répondant, Marie se fit la réflexion quil ne devait pas être espagnol, sa prononciation du « hola » ayant une mauvaise accentuation Que faisait un touriste tout seul à cette heure sur une route paumée du fin fond de lEspagne, dans une bagnole tout droit sortie dune autre époque ? Et lombre derrière qui continuait à sagiter La jeune femme regrettait presque de ne pas sêtre cachée ! Il fallait néanmoins quelle donne le change
— Français ?!
— Oui !?… Je prononce si mal que ça lespagnol ?… Française aussi ?!
— Non, non ! A la fois belge et espagnole
— Vous faites quoi toute seule sur cette route à la tombée de la nuit, alors quil ny a rien nulle part autour ?! Je vous emmène où, belle jeune demoiselle ?
— Jai ma voiture qui est tombée en panne un peu plus loin et je cherche quelquun pour me dépanner ou me ramener chez moi, à côté de Benicarlo Vous allez dans quelle direction ?
— Dans la vôtre, pour vous déposer chez vous Allez, montée ! Pour ce qui est de la mécanique, je ny connais rien et ne vous serais daucun secours ! Moi, cest Manu et lui, derrière, Rex Deus mon fidèle compagnon ! Et vous ?
— Marie répondit-elle avec une voix toute effacée.
La jeune femme, pas rassurée du tout malgré le côté affable de son interlocuteur, entra néanmoins dans la voiture et découvrit lénorme chien qui se faisait appeler Rex Deus sans doute un dogue allemand. Lanimal approcha dailleurs tout de suite son museau tout près de la tête de la belle brune, si bien que cette dernière sentait le souffle chaud au niveau de son cou et sa joue gauche. Était-il capable de la morde, se demanda-t-elle ?
— Allez, couché Rex !… Nayez-pas peur, Marie il ne mord pas ! Par contre, il sattache vite aux jolies jeunes femmes et leur fait facilement des léchouilles baveuses Il faudra lexcuser car il a été très mal élevé.
Marie resta sans voix Que voulait-il dire par « sattache vite aux jolies jeunes femmes » ?!
Alors que le véhicule redémarra, la jeune et belle brune aux yeux verts fut saisie dun profond malaise, comme si son instinct lui disait de se méfier de son chauffeur et quelle était même en danger dans cette voiture, avec cet inconnu qui semblait pourtant sympathique de prime abord
Nétaient-ce pas aussi ces mots qui avaient réveillé son fantasme inavouable de se faire baiser par un chien, qui la mettaient tant mal à laise ?! La sensation que son intimité et sa petite culotte shumidifiaient, narrangea en rien son émoi
Manu, lui, conduisait tranquillement et jetait régulièrement des regards vers la jeune autostoppeuse, dont il essayait de distinguer les formes appétissantes dans la pénombre de lhabitacle. Elle semblait avoir une « putain » de paire de seins, à faire bander un eunuque.
Il laissa divaguer son esprit et simagina lui arracher son corsage, puis prendre bestialement les deux superbes tétines dans sa bouche, les sucer, les mordiller Oui, cest ça, il avait une folle envie de la foutre à poil, de la baiser, cette jeune inconnue sortie de nulle part !
Avec cette pensée érotique, il sentit son sexe se tendre presque immédiatement dans son pantalon. Peut-être devait-il tenter quelque-chose, lui glisser une main insidieusement entre les cuisses et voir comment elle réagirait !? Tout se bousculait dans son esprit submergé quil était par un flot de perversité dont il navait même pas conscience. Ses mains étaient devenues moites, il suait à grosses gouttes et, paradoxalement, sa bouche était toute sèche
Pour autant, il perçut, toujours en conduisant, quelle se trémoussait légèrement sur son siège tout en croisant ses cuisses comme si elle avait une envie pressante. Manu décida donc de sarrêter sur le parking quun panneau indiquait à 500 mètres, afin quelle puisse se soulager mais avant tout parce quil avait la ferme intention de tenter quelque-chose, de passer à laction ! Il mit le clignotant à droite, malgré le fait quils étaient seuls sur la route.
Un frisson dangoisse parcouru Marie, qui se demanda pourquoi son chauffeur sarrêtait dun seul coup, si ce nétait pas pour la violer sur ce bord de route déserte ?! Tout son corps se crispa et son cur se mit à battre la chamade mais elle se surprit en même temps à être toute excitée par la situation et à presque espérer quil passe à lacte ! Ce sentiment ambivalent accentua encore un peu plus son malaise.
— Pourquoi sarrête-t-on ?
— Eh bien, jai limpression que vous avez une envie pressante depuis tout à lheure
— Euh non !…
— Bon, je croyais ! Mais, de toute façon, le chien a besoin de se dégourdir les pattes, lui ! Nous repartirons dans quelques minutes
Putain, ce con ce nétait même pas pour la baiser quil sarrêtait !
Presque frustrée par cette pensée, elle décida donc de sortir également de la voiture et daller pisser derrière un arbre, car elle en avait malgré tout envie.
Voyant le chien et son maitre séloigner le long de la route, elle remonta sa jupe et fit glisser sa petite culotte noire au niveau de ses genoux, avant de saccroupir.
Tout en pissant, elle se laissa aller à des pensées érotiques, cherchant quel copain elle pourrait appeler en rentrant, pour quil vienne soccuper delle puisque ce vieux con la dédaignait ! Et pourtant, depuis quelle était montée dans la voiture, elle avait bien remarqué quil ne cessait de la mater comme peut-être tous les hommes le font, dailleurs !?
Elle sapprêtait à se relever quand une brusque poussée la fit basculer vers lavant et tomber les deux genoux à terre, le cul toujours à lair. Une langue chaude et baveuse remonta le long de sa raie des fesses, la faisant tressaillir de tout son corps Cétait Rex Deus, lénorme dogue allemand, qui se trouvait juste derrière elle.
Elle voulut se redresser mais
— Non, non tu restes comme ça ! Mon chien est très gentil mais il naime pas du tout quand on lui retire sa gamelle avant quil ait fini de manger si tu vois ce que je veux dire ?! Allez Rex, fais une petite gâterie à la belle Marie ! Je suis sûr quelle en a vraiment envie
Marie nosa pas répondre et resta donc à quatre-pattes, son cul tout offert à la langue râpeuse du canidé qui redoubla dailleurs dardeur dans ses caresses labiales. Elle mouillait maintenant de tout son antre alors que lappendice de lanimal lui fouillait avec dextérité son intimité, léchant et aspirant ses fines lèvres vaginales en même temps que le précieux nectar.
La jeune femme tenta bien pendant un moment de refréner son plaisir, sentant le regard du fameux Manu épier la moindre de ses réactions et ne voulant sexposer telle une chienne en chaleur mais un violent orgasme la submergea et elle se mit à crier toute sa jouissance.
Que la sensation était bonne jamais personne ne lavait léchée aussi bien, de tous les hommes et femmes avec qui elle avait déjà couché !
Marie ondulait maintenant de tout son corps et redressait au maximum ses fesses en arrière pour les écarter et inciter le chien à aventurer encore plus profondément sa langue dans son anus.
Forcément, elle jouit de nouveau dun second orgasme tout aussi puissant que le premier et espérait maintenant de tout son corps et son esprit, que le beau Rex Deus la prenne comme si elle était sa chienne. Elle se tourna donc vers le maitre, debout en face delle et impassible, le suppliant du regard d’amener le chien sur elle.
Au lieu de cela, lhomme à qui elle donnait la quarantaine, saccroupit au niveau du visage de Marie et lui passa une main dans ses cheveux, relevant les mèches pour découvrir le visage tout en sueur de la jeune femme. Avec son autre main, il approcha son majeur de la bouche de la belle espagnole, qui se mit à le sucer avec toute la sensualité dont elle était capable
— Rex, stop ! Cest fini
Puis se tournant de nouveau vers Marie
— Pas tout tout de suite ! Relevez-vous !
Il laida à se redresser sur ses jambes en lui prenant le bras mais, alors quelle sapprêtait à remonter sa petite culotte, il rajouta dun ton sec :
— Non, pas la culotte ! Elle ne vous servira plus à grand-chose ; donnez-la-moi ! Et puis votre soutif aussi !
Ne lui laissant pas le temps de réagir, il saisit le corsage et fit sauter les trois boutons du haut, puis arracha violemment le soutien-gorge, libérant de leur carcan deux magnifiques seins à la couleur laiteuse. Le dogue allemand, quant à lui, continuait à renifler et lécher les fesses toujours découvertes de la belle jeune brune, manifestement demandeur pour poursuivre le coït avec celle-ci !
— Allez, Rex, on remonte en voiture mais ne tinquiète pas, notre belle Marie va encore soffrir à toi !
Récupérant la jolie petite culotte noire en dentelle que la jeune femme venait de retirer complètement, il posa sa main sur le cul et glissa dun coup sec son majeur dans lanus de cette dernière, encore tout mouillé de la bave de Rex Deus.
— Allez, ma belle Marie, nous allons trouver un endroit plus amusant et animé pour continuer ! Je suis sûr que tu es d’accord pour ça ?!
— Ahhh !… Oh ouiii !…
Il lembrassa alors à pleines lèvres sur la bouche, tout en faisant coulisser consciencieusement son doigt dans le conduit anal et en pelotant un sein de la belle brune avec son autre main. Marie sabandonna complètement à son agresseur, impatiente de savoir où il allait lemmener maintenant !? Elle était prête à le suivre dans n’importe quel voyage initiatique…