LES FANTASMES DISABELLE N° 11
SEJOUR DANS LE CHATEAU DE LORD SIMPSON N° 11 (suite se reporter au N° 10)
Lorsque je finis le tour du parc avec Allen, je décidais de passer par lescalier latéral donnant sur la verrière. Je pouvais ainsi échapper aux regards de Jessey et de Richard. Allen mavait indiqué le chemin jusquà lentrée de ma chambre.
-Tu peux me laisser, lui dis-je en ouvrant ma porte.
Allen semblait intimidé. A son regard je compris quil attendait autre chose de moi. Mais javais surtout lenvie de prendre une douche, lodeur de plus en plus forte de sperme venant de mon entrejambe me gênait. Quiconque se serait approché de moi aurait deviné que javais eu un rapport.
-A plus tard Madame, répondit Allen en faisant demi-tour.
-A plus tard Allen on se reverra.
-Jespère bien Madame !
Je refermais la porte derrière moi et me déshabillais séance tenante, jetant mes affaires sur le lit. En retirant ma petite culotte en coton, je pus constater lampleur du sperme quasi séché qui en recouvrait le fond. Je passais ma main sur mon sexe pour constater son état puis la portais à mon nez reniflant lodeur forte qui sen dégageait.
-Diable ! il na pas lésiné sur la quantité pensais-je en ouvrant le robinet de la douche…
Je restais longtemps sous la douche, appréciant la douceur de leau sur ma peau. Je métais savonné chaque recoin de mon sexe veillant à ne laisser aucune trace de la jouissance du palefrenier au fond de mon intimité. Jen profitais pour passer un coup de rasoir sur mon pubis et bien aligner le petit ticket de métro que je gardais.
En sortant de la douche nue, je décidais de choisir une robe légère et ample noire, celle que Jessey aimait particulièrement. Je létendis sur le lit choisissant dans ma valise un string également noir à dentelle. En me retournant je maperçus que le double rideau de la chambre semblait avoir bougé. Mon cur se mit à battre démotion.
-Il y a quelquun ? demandais-je dune voix troublée.
Personne ne répondit. Jétais sûre que quelquun se cachait derrière lépais double rideau. Peut être avais je rêvé ! Le cur battant je mapprochais de la fenêtrepourtant celle-ci était bien fermée. Approchant la main des plis je lécartais doucement. A cet instant je poussais un cri de surprise découvrant Allen.
-Que fais-tu ici garnement tu me mâtes ? Sors dici sil te plait !
Allen semblait cramoisi me voyant toute nue exposée à ses yeux. Ceux-ci allaient de mes seins à mon pubis, de mon pubis à mes seins. Je sentis une forme dexcitation de me voir ainsi regardée. Allen semblait à la forme de son short avoir une érection quil avait du mal à cacher.
-Cest du joli ! Comment as-tu fait pour entrer, je ne tai pas entendu ?
-Par la porte Madame ! Pardon javais envie de vous regarder.
-Cest la première fois que tu vois une femme nue devant toi ?
-Ouisinon dans les revues. Vous êtes très jolie. Vous mavez excité dans lécuriejai du mal à me calmer.
-Je vois cela.
— Pouvez-vous mapprendremapprendre à faire lamour ?
Je regardais Allen, il navait rien dun Don Juan, la nature ne lavait pas particulièrement gâté. Mon regard inconsciemment fixait la bosse de son short quil essayait de cacher avec ses deux mains jointes devant.
-Mon pauvre Allen que veux-tu que je tapprenne ! Tu me vois nue devant toi, que puis-je de plus ? Tu mas vue me faire prendre par ton copain dans létabletu as joui devant moi
-Jen ai enviejen ai envie…mon ventre me fait mal tellement jai envie.
-Allen ce nest pas raisonnable, tu ferais mieux de sortir de ma chambre et si tu veux te soulager tu vas dans la tienne et tu penses à moiDaccord ?
-Je voudrais connaître le plaisirrien quune fois !
-Non Allen, tu vas me laisser mhabiller lui dis-je en enfilant mon string. Je te promets que je ne ten veux pas
Je poussais gentiment Allen par lépaule vers la porte ; Il sescamota et revint vers le fauteuil du salon.
-Sil vous plait ! implora-t-il en sortant son sexe presque filiforme de son shortsil vous plait jen ai envie. Je regardais Allen, le sexe rose en tordu dressé à mes yeux. Je sentis une nouvelle excitation envahir mon ventre. Non je ne pouvais pas accéder à sa demandesa laideur me freinait.
-Caressez-moicomme dans les films sil vous plait.. rien quune fois
-Tu regardes les films pornos ?
-Oui le palefrenier men passe parfois !
A présent le short dAllen était tombé sur ses chevilles. Il avait lair pathétique avec ses jambes maigres et son sexe dun rose candide. Même son gland semblait minuscule malgré la tension qui lanimait. Cest alors quexcité à lextrême il commença à se branler devant moi. Je revis cette image dAllen dans le box.
-Sil vous plait ! implora-t-il en approchant de moi empêtré dans son short. Je regardais ce sexe presque recourbé qui jaillissait de sa main.
Le sang me monta au visagecette situation extravagante commençait à mexciter. Je tendis la main vers Allen.
-Viens allonge-toi sur le lit.
Allen se débarrassant de son short sallongea en travers du lit, écartant ses maigres cuisses dévoilant ses bourses qui nétaient pas en proportion avec son sexe quil tenait érigé. Quelques poils poussaient sur son pubis. Javais été surprise tout à lheure par limportance de sa jouissance.
Je magenouillais au pied du lit entre les jambes ouvertes dAllen, mapprochant de son sexe quil tenait toujours enserré dans sa main, écrasant celui-ci et faisant gonfler son gland qui était presque violacé. Je pris sa main, la retirant de son sexe, puis délicatement entre deux doigts, je pris la tige dégageant le prépuce au maximum.
Allen à ce contact poussa un léger cri suivi dun long soupir. Cétait la première fois quune femme lui tenait son sexe
Je le pris en pleine main le massant avec délicatesse. Le plaisir semblait envahir Allen qui tremblant de tout son corps, replia ses jambes tout en les écartant au maximum. Je fus presque surprise de lodeur qui se dégageait de son jeune corps, mélange deau de Cologne et de savon de Marseille Allen était malgré son jeune âge à priori quelquun de très propre. De mon autre main je me mis à pétrir ses bourses. Je sentais les boules rouler dans ma main, elles étaient dures. Ce contact me grisa et japprochais ma bouche de son sexe. Il sentait le savon. Allen avait dû aller se laver après son aventure dans lécurie. Délicatement je dégageais le gland puis jy déposais un léger bisou déclenchant un nouveau tremblement dAllen. Jamais je navais fait un tel effet. Je pris alors son sexe dans ma bouche, le suçant entre mes lèvres. Allen cria de plaisir à cette caresse. Jamais aussi je navais eu dans ma bouche un sexe aussi fin et nerveux.
Je laissais mon instinct de femelle faire son office et le suçant, laspirant, lengloutissant au fond de ma gorge, je sentais contre mes seins ses maigres jambes trembler de plaisir et démotion.
-Encore encore sil vous plaitencore
Tout en massant ses bourses, je lui donnais sa première leçon de fellation. Jaimais cest vrai sucer les sexes des hommes qui mexcitaientmais cette situation méchappait totalement.
Allen poussait son bassin vers ma bouche, mue par une volonté de pénétrer ma bouche au plus profond. Je savais à la contraction de son ventre quil allait bientôt jouir. Devais-je le faire jouir entre mes doigts ou dans ma bouche ? Je neus pas le temps de réfléchir que je le sentis se crisper totalement, haleter, pousser plus rapidement son bassin, alors que mes lèvres entouraient son gland, jaspirais fortement celui-ci déclenchant sa jouissance. Allen explosa littéralement dans ma bouche, linondant dun flux important de sperme. Je me décidais à lavaler, il était particulièrement aigre, chaud, presque gluant. Sous moi Allen était haletant, secouant sa tête de droite à gauche, complètement prisonnier dune jouissance quil avait tant espérée. Je lui avais donné ainsi sa première expérience dune fellation.
-Voila jeune hommetu as eu ce que tu voulais, maintenant rhabille toi et file dici. Alors quAllen se rhabillait avec quelques difficultés encore sous le choc, jallais dans la salle de bains me rincer la bouche et me laver les dents. Le dentifrice escamotant le goût âpre du sperme dAllen. Je me regardais presque honteuse dans la glace, métonnant de ce que javais été capable de faire. Puis je me dis que javais fait une b.a. et quAllen allait sen souvenir toute sa vieau moins il pourrait meubler ses fantasmes de cette aventure. A lavenir jéviterai de le croiser supposant quAllen fort de cette partie de plaisir voudrait en connaître plus et je nen avais pas envie.
Il était temps que je dépêche Jessey et Richard mattendaient pour lapéritif. Ils devaient se demander ce que je devais faire. Jessey savait que je prenais tout mon temps pour me préparer. Je terminais mon maquillage, passait ma robe noire sans mettre de soutien-gorge. Mes seins petits et fermes pouvaient supporter labsence de soutien-gorge. Je mamusais à regarder pointer mes deux tétons sous le léger tissu de ma robe trahissant ainsi mon excitation. Je brossais consciencieusement mes longs cheveux blonds. Un dernier regard dans le miroir du placard et jéteignis la lumière refermant ma chambre derrière moi.
En descendant les marches qui menaient au salon, je reconnus les voix de Jessey et de Richard entre le crépitement de la cheminée.
-Ah ben dis donc ! Qui va là ? Nous tattendions ma chérie, sexclama Jessey venant à ma rencontre, un verre de whisky à la main.Viens mon cur nous avons commencé notre collation sans toitu nous excuseras.
Jessey maccompagna jusquaux canapés situés en face de la cheminée.
-Tu es magnifique Isasouligna Richard en levant son verre après avoir reposé son éternel cigare. Viens à côté de nous. Cette robe te va à ravir ! Fais attention Jesseyune aussi belle femme peut créer des envieux !
-Je sais, jen ai conscience mais Isa et moinous savons à quoi nous en tenir !
-Merci vous êtes adorables messieurs ! Puis-je avoir un Martini ?
-Fabien ! ordonna Richard au majordome, pouvez-vous servir un Martini à notre belle invitée !
-Je men occupe Sir !
-Nous parlions Jessey et moi des travaux que jai dû faire dans ce château. Je vous montrerai les photos du château lorsque je lai acheté, dans quel état il était et ce quil est advenu aujourdhui !
-Cest magnifique ce que tu en as fait Richard ! remarquais-je en parcourant des yeux lensemble de limmense salon.
-Cest ma fierté les amis !
-Où as-tu trouvé tous ces meubles, armures, tableaux, tapis ?
-Jai passé de longs mois à chiner dans toute la région. Jai même fait venir quelques pièces dAngleterre, comme ce buffet que vous avez derrière vous.
-Magnifique ! observais-je consciente de la valeur de chaque meuble qui décorait cette pièce au sol de pierres patinées par le temps.
-Alors chère Isa, demanda Richard, quas-tu fait depuis que tu nous as quittés ?
Je me demandais si mes joues étaient en train de rosir trahissant mon émoi.
-Rien de particulier, jai été aux écuries avec Allen, jai fait la connaissance du palefrenier, puis nous avons fait le tour du parcje suis rentrée me rafraîchiret voila !
-Tu sais nous allons avoir un week-end très chargé ma chérie et plein dimprévus !
-je te fais confiance Richardtu es un expert en la matière.
-Jespère que tu seras honorée à ta juste valeur.
-Jen suis certaine cher Richard !
-Nous allons passer à table, Fabien nous attend !
Durant le repas, nous avons eu droit à un cours dhistoire de Richard, retraçant avec précision, les étapes du château depuis sa construction par un Duc, jusquà ce jour.
-Au fait vous savez que cette région est connue pour son passé préhistoriquelhomme de Neandertal a défrayé la chronique tout au long de ces montagnes qui nous entourent.
-On dit quils avaient une sexualité très active ? demanda Jessey.
-Que voulez-vous quils fassent dautrela chasse la pêchelamour !
-certes !
-On dit que dans ce village il y a un homme qui a un sexe monstrueux et quil la hérité cela de ses ancêtres ! ironisa Richard.
-Quentends-tu par monstrueux ? demandais-je.
-Hors normeCet homme est un géant, il travaille comme bûcheron, son père tient une scierie à 3 kms dici. En été il est souvent employé pour jouer des scènes de vie préhistorique.
-Il est marié ?
-Non il vit seul, dans une maison près de la rivière.
-Il vaut mieux ne pas le rencontrer au coin dun boisbrouuuu !
-On dit que des femmes viennent de très loin pour découvrir des plaisirs exceptionnels avec lui !
-Ahh ? cest vrai ?-Oui il a un succès particulier ! Jai vu souvent des voitures immatriculées en Allemagne, en Belgique, du sud de la Francedevant chez lui. Certains disent quils entendent souvent des cris de femme venant de sa grange !
-Barbe bleue ?
-Non il est dune gentillesse extrême. Cest lui qui a refait tous les plafonds, ces poutres ont été remplacées par lui.
-Peux-tu nous éclairer sur ton programme Richard ce week-end minquiétais-je ?
-Vous avez chacun votre chambre
-Je men suis aperçue !
-Demain nous avons une vingtaine dinvités qui arriveront dans laprès-midi
-Des hommes des femmes ?
-Que des hommes et une femme plus toi Isa.
-Doù viennent ils ?
-Ils font partie dune confrérie de Londresles Baltimore.
-Tu en fais partie Richard ?
-Oui et nous nous réunissons ici deux fois par an
-Et cette femme ?
-Cest mon amie Tatiana qui revient aussi demain de Moscou.
-Nous aurons enfin lhonneur de connaître lélue de ton cur !
-Cest un cas très spécial !
A suivre…