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Les garces – Chapitre 2

Les garces - Chapitre 2



Dans un soupir de contentement, je me réveillai. Autour de mon intimité, il me semblait sentir toujours la fente affamée de cette petite Béa. Cela me rendit méditatif, remettant en marche le moteur de ma philosophie vitale. Merci, ô dieu obscur de la Cramouille Suintante, pour ce pouvoir exceptionnel qui est mien de pouvoir corrompre la jeunesse ! Pouvoir que j’exerce en toute simplicité, en toute humilité. Ou est-ce trop demander à ce monde-ci que de pouvoir lâcher sur lui, toutes dents dehors, ma libido vorace ? Rien à faire : j’en ai parfaitement conscience.

J’appartiens à cette minorité de privilégiés qui ont pouvoir de se soumettre les autres à force de connaissances charnelles. Au plus profond de cette nébuleuse que sont mes circonvolutions cérébrales, cette icône glorieuse : celle du Divin Marquis. L’archétype, ce géant sexuel, d’une imagination colossale au service d’une force bitesque phénoménale. Nul doute : le plus grand pouvoir que possède un homme, c’est son pouvoir sexuel. Il se fait malheureusement que la plupart, castrés qu’ils sont par la culture et la morale, ne sont plus capables de libérer en eux cette puissance terrifiante. Mais moi, je ne me sens nullement entravé par ces chaînes invisibles. Sur la puissance de mon sexe, je me lèverai comme un ange noir né des feux de l’enfer. En temps utile, on verra en moi le dieu que je suis. Un dieu de la puissance charnelle, tout comme Sade.

Bientôt, j’aurai à ma disposition tout un domaine parsemé de cabanes de torture, un château garni d’oubliettes, des campings en lin et en béton où la chair, en châtiment déambulatoire, foncera sur la chair. Et j’aurai mes sujets, des milliers de sujets, dont je pourrai disposer à ma guise. Lorsque cette enveloppe périssable qu’est mon corps tombera de moi, me conduisant vers la patrie de l’Esprit, j’y pourrai foncer à nouveau, avec une puissance décuplée, dévastatrice, sur toutes les garces et toutes les chiennes que j’aurai expédiées en enfer. Des milliers de sujets, oui ! A présent, il y a déjà Béa et Monique. Bientôt, je disposerai également de cette Claire, si jolie et si égocentrique. Comme je la ferai se tortiller d’attente, comme je la ferai se traîner devant moi, sur les quatre fers, me suppliant de pouvoir goûter à ce Sauveur qu’est mon mandrin ! Oui, cette petite Claire, gentille, éprise de soi, mûre pour un pieu de barbare, et déjà au bord du précipice !

J’ouvre mon sac à dos, vérifiant si, instinctivement, je l’ai garni de tous les articles requis. Mais oui, elle se trouve là, la boîte en plastique. Tout content, j’enlève le couvercle, inspectant le contenu : deux godemichés, un vibrateur, deux tubes d’onguent érotique, deux paires de menottes, un flacon de cantharides. Je souriai, donnant une petite claque à mon chibre tout content. Notre prochain projet, mon cher, c’est la domination de cette maison-ci ! A en juger par le regard affamé que j’ai déjà perçu dans cette chienne de Vazy, cela ne tardera guère !

Un instant, je referme les yeux, dégustant comme il se doit cette juste vision des choses faisant suite au réveil. Voilà que je perçois l’amie de ma mère, de garde chez nous pendant une sortie de mes parents, lors de mes treize ans. Les imbéciles n’avaient pu mieux choisir ! Il y avait ses longs cheveux roux, sa bouche ardente, ses calebasses frémissantes, sa douce main industrieuse séparant mes cuisses dénudées.

De suite, mon jeune corps bien charpenté l’avait hypnotisé. Elle n’en finissait pas de se repaître de la dureté de ma tige, de sa longueur dans sa fente envahie, de la force brutale de ses éjaculations réputées, transformant en mare incandescente sa vaste chagasse juteuse. Hypnotisée, elle l’était, à coup sûr, livrée sans défense à sa passion, toute au pouvoir de la Puissance. Depuis lors, dans ma conscience, cet envoûtant crescendo e accelerando : la puissance sexuelle, par rien entravée, est un instrument incomparable. Un instrument qui permet d’attraper un chacun en son pouvoir. Il suffit de s’assurer, sur la stratégie à suivre, une prise suffisamment ferme. Y mène en droite ligne, une foi indestructible en soi-même et en sa mission. Mais même en rêvassant après le réveil, m’avais-je appris, il s’agit de garder active la Puissance, de laisser ronronner doucement ce moteur de tout pouvoir humain. Tel un embrayage qu’on lâche un tout petit peu, attendant que le signal se fasse vert. Il s’agit de se concentrer sans relâche sur la vision du rêve réalisé, afin d’en activer et d’en faciliter l’accomplissement imminent. C’est ainsi qu’à l’heure qu’il est, je me vois vivre d’une façon qui devrait être la réalité, au lieu d’un rêve à moitié frustrant.

Me voilà donc couché, tout nu, sur un canapé somptueux, entouré d’une masse de servantes luisantes et bégayantes. Leurs longs cheveux m’essuient la sueur des couilles, pendant que des douzaines de mains adoratrices me parcourent le corps et que des jubilations intenses se font jour, dès que je consens à me dandiner un peu sous tous ces attouchements lascifs. Ma domination sur elles est parfaite. Parmi elles, bien sûr, cette jeune Claire, nue comme un ver, debout, un collier de cuir autour du cou, lourdement enchaînée, ses fesses encore cramoisies des coups de fouet que j’ai fait pleuvoir sur elles. Elle me sirote les orteils, me suppliant de l’humilier davantage. Je lui commande de me lever, du bout de la langue, la plante des pieds, lui montrant le casse-noisette qui ne manquera pas de lui arracher la pointe dun sein si elle osait, ce faisant, me chatouiller à l’improviste. Son dos est lisse comme un miroir et blanc comme de l’albâtre, et pendant qu’elle se met sur les genoux pour adorer mes pieds, je la frappe avec une ceinture imbibée du sang d’autres filles, martyrisant et ouvrant sa peau si blanche et si veloutée jusqu’à ce que, démolie des pieds à la tête, elle s’effondre devant moi. Alors, d’un pied brutal, je l’envoie rouler par terre, me rue sur elle, me met à la besogner avec une violence bestiale, écumant et rugissant comme un tigre en rut. Entretemps, mes regards se repaissent de Béa et de Monique, bouches unies, cramouilles soudées, s’écrasant les tétons à en faire déborder la chair malmenée sous les aisselles…

Mais oui, voilà le projet numéro deux ! Réunir Béa et Monique ! Les faire gémir d’humiliation lénifiante, les cimenter l’une à l’autre avec le jus coagulé de leurs fentes, les faire trimer comme des castors à l’achèvement de leur autodestruction.

Comme toujours, tout ce qui est accomplissable ne prenait forme que lorsque je roupillais ou que je méditais après le réveil. Les voix inaudibles, les formes invisibles, le noyau de mon moi obscur, ma libido surhumaine, tout cela ne se révélait que lorsque le silence avait été momentanément imposé à une pensée rendue faussement consciente par un social émasculé. Ce qui, lors de ces périodes créatrices, se suggéra à moi, se révélait après coup toujours correct, en ce sens que je n’avais pas grand-peine à en pousser la réalisation.

Soudain, j’étais pleinement réveillé. A travers les vitres, la lumière se coulait sur mon corps nu. C’était le matin. Auprès de la porte, la garce Vazy, brosse sous le bras et ramassette en main. Elle avait l’air surpris.

− "Oh, excuse-moi, Pierre", fit-elle. "Je ne suis pas montée hier soir parce que je pensais que tu étais encore ici avec Béa. Cela ne fait rien. J’attendrai."

Toute cette chair plantureuse et inassouvie voulait s’en aller, mais je me dressai sur mon séant, prenant bien garde de me masquer la partie la plus voyante afin d’éviter le pire.

− "Madame Vazy ?", appelai-je.

La femme s’arrêta, fit demi-tour, me regarda. Il était clair que ma nudité la troublait. Lorsqu’elle s’aperçut de ce que je m’étais recouvert à moitié, elle avait l’air soulagée, également à moitié.

− "Oui ?"

− "De grâce, n’ayez pas l’air gêné ! Je sais bien que je suis plus jeune que vous, mais je ne suis plus un enfant, et puisque nous habitons la même maison je pense que nous avons tout avantage à nous fréquenter de façon détendue. Ce qui ne veut pas dire que je me ferai une habitude de courir tout nu à travers la maison. Mais que cela ne vous énerve pas, daccord ? Je vous respecte et je crois que vous me respecterez ; c’est pourquoi j’espère de tout cur que nous nous entendrons parfaitement, vous et moi."

− "Eh bien, voilà tout un discours pour quelqu’un de ton âge," fit ma propriétaire. "Quel âge as-tu ?"

− "Je suis plus âgé que j’en ai lair : j’ai vingt-cinq ans. Mais j’ai déjà vu pas mal -de choses."

− "Cela se remarque, en effet, à ta manière de parler et de te comporter… Mais oui, nous serons vite de bons amis, Pierre. Et ne te tracasse surtout pas au sujet de l’embarras que pourrait me causer ta façon d’agir. Je la comprends parfaitement."

− "En ce qui concerne les filles…", risquai-je.

− "Aussi longtemps que cela ne mène pas au grabuge, cela m’est bien égal ce que tu fabriques ici, Pierre, ou ce que tu fais avec elles. Et je n’ai certainement aucune objection à me voir entourée de jeunes. Comme tu le sais sans doute, mon mari est mort il y a quelques années, et depuis lors je me suis toujours sentie fort seule. Cela me fait plaisir que j’ai quelqu’un, à présent, pour causer avec, tu comprends…"

Tout ce que la garce était en train d’expectorer, quelque convaincant que cela fût, ses yeux étaient encore plus éloquents que sa langue. La solitude à laquelle elle faisait allusion lui sortait des pores de la peau.

− "Oui, je crois comprendre parfaitement", affirmai-je. "Chaque fois que vous avez besoin de faire un bout de causette pour vous ragaillardir, ou qu’une aide quelconque serait la bienvenue, n’hésitez pas, madame Vazy : allez-y, faites-moi signe. C’est avec le plus grand plaisir que je ferai ce qu’il y a à faire."

Un instant, la femme souria, laissa tomber son regard sur mon giron. Deux fois, elle fit un effort pour relever les yeux, rencontrer à nouveau les miens. Deux fois, ses regards restèrent attirés par le morceau de drap cachant mes parties génitales.

Lentement, je repoussai le drap, me dégageant jusqu’aux genoux. Madame Vazy paraissait proche de l’apoplexie. Elle était rouge, blanche, rouge à nouveau, avant de se faire violacée comme un gland turgide. Rauque d’émotion, elle bredouilla finalement :

− "Pierre ! De grâce, n’attrape pas une fausse impression de moi !… De grâce !… Je voulais dire que… que…"

− "Madame Vazy… De telles choses ne devraient pas surgir entre nous ! Si vous tenez à poursuivre le jeu, nous le jouerons ensemble. Mais pourquoi, juste ciel ? Ne serait-il pas infiniment plus simple de passer l’éponge sur tout cela ? Je sais que vous êtes une femme solitaire, tandis que vous savez, à présent, que je me sens très attiré par vous. Cette conclusion, vous pouvez la tirer de l’état où se trouve mon membre. Que faut-il dire de plus ?"

Avec un cri étouffé, la bonne femme laissa choir brosse et ramassette, tomba sur ses genoux devant le lit. De suite, ses mains se mirent à me cajoler les cuisses, et c’est en geignant qu’elle m’embrassa les chevilles.

− "O Pierre ! Tu me comprends tout-à-fait, n’est-ce pas ? De grâce, ne pense pas que je suis une femme épouvantable ! Une traînée !… Le fait est que… si terriblement un homme… un homme…"

− "Je comprends, je comprends…"

Je l’entoure de mes bras, la tirant sur le lit. Elle envoie promener ses pantoufles, m’agrippe les épaules. Dans toute sa longueur, ma nudité énervante se coule le long de son corps tendu alors que, déjà, je me mets à déboutonner sa blouse. Pas le temps, à l’heure qu’il est, pour des subtilités. S’agit de forger la chatte pendant qu’elle est chaude ! Aussi je ne me soucie nullement de la fermeture de son soutien. Je me contente de tirer simplement les rubans de ses épaules. Un véritable pis de vache me saute à la figure. Dieu, quel ballon ! Il est rond, large, pesant, tendu, luisant. Avec, au beau milieu, une pointe grosse et dure, d’un brun obscène, trônant au centre d’une énorme auréole rose pâle. Une main large et douce me caresse le dos, pousse jusqu’à mes hémisphères, se met à trembler au contact de toute cette chair jeune et musclée. La voilà qui s’insinue, frémissante d’émoi, dans la raie fessière, s’engouffre, sa timidité vaincue, au plus profond de la fente, avidement à la recherche de ces couilles dont la vue l’a suffoquée il y a un instant. Les doigts affamés se glissent sous mon sac au moment précis où je referme les lèvres autour de sa pointe en sueur, me mettant à le sucer voracement, Dureté insupportable de mon mandrin au moment où ma main droite, menant une vie à elle, s’alphabétise dans le V de sa cavité vaginale ! Dominateur, je masse énergiquement les lèvres grasses, enflées, frémissantes, toutes mouillées. Sa voix passionnée, dans mon oreille, le bêlement saccadé d’un mouton égorgé… Il n’y a pas à dire : elle est rudement excitante, cette garce mûre et toute ouverte à lhomme ! Voyons donc ce qu’il y a à en tirer…

Rapidement, je retire ma main lénifiante. Elle s’arrête complètement. Ma bouche quitte le téton, descend le long de son estomac. En un tournemain, sa jupe cède à mes doigts fureteurs. Comme si elle était légère comme une plume, la créature plantureuse relève le cul, geignant d’impatience de se trouver nue avec son ventre et ses cuisses. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, je lui arrache brutalement le slip. Le déchirement du textile me plonge en plein obscénité. Ma bouche, à présent, se voit donner carte blanche. Elle se glisse en bas, à la rencontre du ventre large et rond, planant en bite de Damoclès au-dessus du satin de ses cuisses. Elle gémit plus fortement, se fait toute imploration, pousse sa fourrure proéminente à la rencontre du Vrai. Je la laisse souffrir un bref instant pendant que ma langue, avec une paresse irritante, déguste la sueur accumulée dans l’aine. Elle sent rudement bon, la gueuse ! A longues poussées régulières, j’envoie mon souffle chaud à travers tous ses poils follets ; puis mes lèvres, nonchalance pure, brossent légèrement toute l’étendue de sa plaine ventrale, irritant en cours de route l’entaille profonde de son nombril.

C’est là mon plat du chef, et chaque fois que je l’ai déjà servi, les diverses invitées s’y étaient jetées avec un tel entrain qu’au bout d’un certain temps j’avais jugé parfaitement inutile d’y apporter encore quelque variation. Ce qui faisait qu’en le servant une fois de plus, je n’avais nul besoin de me concentrer sur la tâche : elle se faisait toute seule. Toute l’uvre buccale, prise en main par le pilote automatique, est en mains sûres. Deux minutes de souffle-poils, dix secondes d’un rien crucifiant, trois minutes de brossage ventral. Une véritable danse rituelle.

Mais cette Vazy, elle n’y va pas de main morte ! Voici que sa main a trouvé la Puissance. Un bref instant, je note que sa bouche tombe ouverte d’ébahissement, lorsque la pauvre créature est confrontée à mon quart de mètre de chibre à manipuler. Du coup, ses yeux se mettent à briller comme ceux des soldats de Christophe Colomb apercevant au loin la côte américaine. L’instant d’après, ses doigts volent sur mes parties génitales comme ceux de Yehudi Menuhin sur les cordes de son violon. Elle sait avec précision où me toucher, de quelle façon et pendant combien de temps, où pousser et où effleurer seulement, jusqu’à quel point elle peut reculer le prépuce pour dégager le gland hypersensible, de quelle manière elle doit écarter les doigts pour emprisonner de la façon la plus délectable mes couilles pendant qu’elle se met à me masturber avec maestria.

Aussi ma tête se met-elle à nouveau en route, se rendant là où elle est prête à exploser d’impatience sensuelle. L’odeur musquée de son con mouillé à outrance fait encore grimper le voltage de mon corps électrisé. Voilà donc que ma langue, incorruptible, se met à molester sans vergogne la royauté de sa fente. De haut en bas, elle se promène, dominatrice, sur toute la longueur de la vaste crevasse d’amour, lui léchant comme une damnée toute la liqueur suintant du fourreau à bites, lui broutant, en énergumène, tout le paillasson ventral. Après quoi mes lèvres se soudent au clitoris, le mordent sournoisement. Elle hurle, la Vazy, lorsque j’y vais carrément, lui triturant voracement le bouton d’amour, le malaxant en tous sens, le fouettant d’une langue tendue. En petits ruisseaux, sa bonne mouille de femme me coule le long du menton, et c’est plus loin encore que j’enfonce mon lécheur dans les profondeurs visqueuses de sa grotte tremblotante. Péniblement, mon gars se presse contre sa main masturbatrice. Il est vrai que je n’ai jamais grand-peine à me sentir excité te tendu, mais la femelle que voici m’injecte une chaleur infernale à l’aide de ses doigts délicieusement actifs et experts. Comme si elle avait passé sa vie à faire juter des bites. En moi, un désir dément de son corps écartelé.

Avec quelque regret, je retire ma tête de son marécage trempé, m’arcboutant sur mes bras, trônant loin au-dessus de sa misère dégoulinante. Ses flancs se tendent en arc de triomphe, pendant que ses cuisses s’ouvrent comme une pince devant sortir de terre un obélisque. C’est alors que, l’éventrant bestialement, je m’enfonce dans sa moiteur utérine. Sans la prévenir. Durement, dominateur, brutalement, en démolisseur dénué de toute pitié. Plus haut, plus loin, plus profond. M’enterrant entièrement dans toute cette opulence fangeuse qu’est son cul empalé. Toujours plus loin je me pousse, frétillant du gland, cognant du tronc, chibrant comme une bête en rut toute cette viscosité écartelée, dans un va-et-vient dément le long de ses rugosités vaginales, perforant en ricanant tous ses muscles hospitaliers, écartant, déchirant, éventrant toute cette chair qui a le culot de rester invisible. Ses grosses cuisses se referment sur mon dos, s’agrippant sauvagement à ce marteau-pilon qu’est tout mon corps tendu vers la jouissance. En véritables convulsions, mon muscle d’amour accélère son ramonage vaginal, mais la femelle gémissant sous mes coups de boutoir n’a aucune peine à suivre mon rythme infernal. La fente dansant autour de mon intimité, pendant qu’elle la pince de tous côtés, fait montre d’une telle virtuosité qu’il est impensable que cette veuve, du vivant de son mari, n’ait goûté que de la seule bite conjugale. C’est d’innombrables fois qu’elle a dû se trémousser sur d’autres lits et autour d’autres pieux. Une étringleuse née, cette Vazy ! Au plus profond de mes orteils, un plaisir rampant, insidieux, sournois, se glisse vers le haut, attaque mes mollets, cependant que, dans ma cervelle, des mains industrieuses réduisent en compote bon nombre de mes cellules cérébrales. Sauvagement, je mords dans un bourgeon turgide, me grisant de son parfum de fruit pourri.

− "Ah !… Pierre !… Hier… Déjà j’espérais… que … que… ah !… tu me prendrais… ainsi !… Tout ce… jus… de trop… N’en peux… plus !… Ai besoin… de toi… 0h !… de grâce… ne pas penser que… ah !"

− "Ta gueule !… Finies les jérémiades, entends-tu ? Si tu veux te laisser tringler, laisse-toi tringler et ferme-la ! Fais-le comme une bête ! Comme une bête chaude, sale, immonde !… Ouvre-toi, pour que je te pisse dedans !"

Je le savais à l’avance : de telles veuves, on les pousse à la folie par des propos pareils. En attente sauvage, la femme pressa sa pilosité pompante contre la mienne, me glissa, par derrière, la main dans la fente, à la recherche de mes couilles. Du coup, je m’arrêtai brusquement.

− "As-tu envie de mon chibre ?", fis-je, plein d’arrogance. "Vas-y, dis-le moi ! Dis-le à quel point tu en as envie !"

− "Oh Pierre ! Ne me torture pas comme ça ! Je n’en peux plus, de ne plus te sentir bouger en moi !… Tu sais bien à quel point je suis affamée de toi ! Oui, je te désire, je te désire follement, toi et ton chibre !… Il est grandiose !… Voudrais le sentir dans toutes mes ouvertures !… Il m’en manque !…"

− "Mets-le en bouche alors et suce-le, chienne que tu es !", je lui jappe au visage.

Elle se hâte d’obtempérer, prenant la colonne visqueuse et luisante de cyprine entre les lèvres, tirant toute la longueur du mat damour, au plus profond de son gosier. Du coup, ses yeux se mettent à tourner. Au point qu’elle doit lâcher une partie de la chair masculine qu’elle a l’intention de dévorer, car elle en a la respiration bouchée. Alors, pour autant que la longueur de mon engin le permette, elle fait aller ses lèvres écartées tout autour de mon tronc, le caressant de temps à autre d’une langue dévote. Entretemps, avec une volupté mal dissimulée, elle masse toute la lourdeur du nud tenant amarré mon navire couillesque au quai de son bas-ventre.

− "Lèche-moi le cul !", je lui commande. "Et fais-le avec amour, sale garce ! Roule-toi dans la merde ! Laisse-moi voir la bête immonde que tu peux être si tu le veux !"

Un cri de volupté torturée monte du gosier emmanché de la Vazy. Lâchant mon membre, ce qui me fait assister à une manuvre de dégagement de grand style, elle glisse la tête plus en bas, essuyant, de la langue, toute la mouille que sa propre fente m’a répandue entre les cuisses. Jusqu’à ce que, tremblante d’émoi, elle atteint ma rosette d’amour. Je remonte les hanches, me propulsant en avant pendant que sa langue, raide de passion, se vrille dans l’ouverture anale. Du coup, mes mains se glissent dans ses cheveux, les empoignent férocement, retirant sa tête du paradis. Cruellement, je la regarde au fond des yeux. Elle est d’une pâleur mortelle, la sale chienne ! Ses traits sont tous déformés de stupre. Mes dents s’enfoncent dans sa lèvre inférieure pendant que, d’une poussée bestiale, mon gland massif lui ouvre à nouveau le ventre. Elle brame comme un cerf en forêt pendant que sa broussaille s’aplatit à nouveau contre la mienne, devient d’une raideur inquiétante lorsque ma dureté, impitoyable, lui déchire à nouveau l’intérieur du ventre. Une véritable danse de guerriers, le façon dont ses lèvres vaginales se ruent sur mon inflexibilité. Dans un désespoir d’asthmatique, ses muscles internes se cramponnent autour de ma tige ravageant, la happent goulûment. Profondément, elle m’enfonce en bouche une langue démesurément gonflée. Après quoi elle se voit catapulter vers l’orgasme. Des convulsions interminables lui démantibulent les muscles, lui raclent les nerfs. La voilà qui menace d’étouffer sous l’insistance de ses propres hurlements. Un rugissement ultime, quelques hoquets apaisants, et la voilà qui se met à pleurer doucement.

− "Ah Pierre, Pierre !", gémit-elle, tremblante de bonheur.

Je la pousse sur le côté, la pressant contre moi, porte mon autre main en bas, vers son cul sans défense. Mes doigts s’étendent, serrés. Une claque énorme fait osciller ses hémisphères. Et encore une, et encore une… La garce, la GARCE !…

Sous chaque coup que je lui porte, la Vazy gueule comme une truie, et chaque réaction me pousse encore plus fortement à l’action. Je lui réduis le cul en gelée, ne trouvant pas de repos avant que mes doigts, tout engourdis, peuvent se brûler à la chaleur de son anus rossé. Les deux ’collines de chair sont toutes couvertes de raies écarlates. Elle se trémousse, la chienne, ne cesse de s’arcbouter, mais ne fait aucun effort (et cela, je le savais) pour se soustraire à la délicieuse torture. Je la prends par les épaules, la repousse sur le dos, me vautrant entre ses cuisses tremblantes, les écartant brutalement, m’avançant jusqu’à ce que la pointe de mon braquemart, frétillant d’émoi, presse contre la pilosité non moins frétillante de sa crevasse ventrale. Déjà ses jambes se remettent autour de mon bassin pendant que, des hanches, elle recherche le contact lénifiant. Voilà où je dois l’avoir, la garce ! Folle du désir de l’empaler elle-même, folle de ce pieu de rêve qui va catapulter ses chairs rugissantes vers l’oubli total. Mais, bon tacticien, je ne laisse goûter qu’un bref instant de tout ce paradis que je tiens en réserve. Me retirant un peu, je m’installe plus haut sur le lit. Mes couilles, à présent, ballottent contre son estomac. Je me saisis de ses doudounes, les presse l’une contre l’autre.

− "Tiens-les !", je commande à la femme toute en pleurs.

Obéissante, elle faufile une main sous ma bite, me tâte le sac.

− "Pas mes boules, imbécile ! Tes propres boules !"

Tout aussi docilement, elle prend ses grosses tettes en mains, poussant les deux masses de chair l’une contre l’autre, engouffrant ma biroute convulsive entre ses rondeurs hospitalières. Elle tire la langue comme si elle exhibait un pendu en pantomime, la pousse tout-à-¬fait vers le bas, cherche et trouve ma petite fente chibresque, la cajole tendrement pendant que mon tronc noueux lui ravage déjà l’ombrageux vallon intersinoïdal. De fil en aiguille, elle glisse dans un véritable délire. Lorsque, finalement, je consens à rebrousser chemin et à regagner, pour mon gaillard tout cramoisi, des endroits plus naturellement accueillants, m’enconnant avec une vigueur décuplée par le jeûne poitrines-que, de longues crampes de volupté lui labourent la chair.

Du coup, l’orgasme la secoue, la brise, la vide. Mais je n’en ai cure. Dans son ventre charnu et grassouillet, j’enfonce coin après coin, allant dans tous les coins, jusqu’à ce qu’elle jutte comme un coing écrasé. Hoquetant de désir, je me pousse dans le col de sa matrice, espérant sauvagement que je vais lui foutre un gosse, à cette putain de femme ! Tout ce que ses entrailles peuvent contenir et produire de jus, je le lui tire du ventre. Jusqu’à ce que, les yeux révulsés, le visage apoplectique, les narines fumantes, elle tombe en catalepsie tout en étant couchée.

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