Cest ma première histoire, soyez indulgent, merci.
La journée est magnifique, ma tante et moi sirotons un verre à la terrasse dun café.
Bien à labri sous un parasol, nous papotons de choses et autres.
Le garçon nous amène une boisson que nous navons pas commandée.
Surprise, je lui demande ce que cest.
Il nous dit que cest offert par un couple, et nous indique la table où le duo se trouve.
Ma tante et moi faisons un signe de la main pour remercier ces inconnus sympathiques.
Le couple nous répond par un large sourire, se lève et sapproche de notre table.
Il demande la permission de sasseoir, ma tante acquiesce dun signe de tête. Le couple prend place, et se présente.
Lhomme quelconque a la cinquantaine; sa compagne, par contre, fait beaucoup plus âgé que lui (je dois dire quelle est très bien conservée), elle est grande et très mince, peut-être trop maigre à mon goût.
Nous buvons le verre en discutant de choses variées, ce couple est en vacances, il vient de lautre bout du pays pour visiter le site merveilleux quest la Bretagne.
La femme nous propose de boire un verre à la villa quil loue non loin de là.
Tante lui explique quelle est mariée et que cela ne plairait pas à son mari…
Invitons-le aussi ! ajoute-t-elle, en souriant.
Tante téléphone à mon oncle et lui soumet la proposition.
Il demande ladresse et accepte.
Génial ! clame la vieille femme.
Nous nous rendons à la villa, elle se trouve en bord de mer, un coin exquis avec une grande terrasse bien abritée du soleil, garnie de fauteuils profonds et confortables; au centre de la pelouse, une piscine pas très grande, mais assez pour faire trempette.
La femme nous demande de prendre place, je pense que cest elle qui mène la barque, lui dit amen à tout.
Lhomme fait péter le champagne, et nous sert.
Tonton arrive juste à ce moment.
Lambiance est bonne et laccueil chaleureux, les verres se suivent; rapidement, nous, les femmes, sommes un peu pompettes.
La femme nous propose de piquer une tête dans la piscine.
Mon oncle répond:
Il y a un petit problème, nous navons pas de maillots de bain !
Quimporte ! répond la femme.
Devant nous sans aucune gêne, elle fait tomber tous ses vêtements et nous invite à faire de même.
Son compagnon obéit et se retrouve nu lui aussi.
Ma tante, mon oncle et moi nous nous regardons, interloqués.
Mon oncle hausse les épaules puis retire un à un ses habits.
Cest la première fois que je le vois nu, je siffle dadmiration, il sourit, fait un clin dil et dit:
Mesdames, nous attendons plus que vous !
Tante fait la moue, mais commence à retirer sa robe et tout le reste.
Moi, je prends une grande aspiration et ôte mon tope et mon short.
Jhésite à faire tomber mon string.
Tous me regardent, je suis gênée, rouge de honte, je prends mon courage à deux mains et ôte le dernier rempart.
Timidement, je cache mon sexe avec mes mains.
La femme dit :
Pourquoi vous cachez-vous ? Vous avez un corps magnifique ?
Mon oncle surenchérit :
Oui, tu es déjà belle, habillée, mais nue, cest un plaisir pour les yeux !
Je rougis au compliment de mon oncle qui ne me quitte pas du regard.
Bon, je reprends mes esprits et ensemble nous faisons un plongeon dans leau de la piscine.
Nous jouons avec un ballon, les rires et les blagues fusent à chaque loupé.
Un peu fatiguées, ma tante et les hôtes sortent du bain, et sétendent sur lherbe.
Moi, je maccroche au bord du bassin.
Mon oncle arrive comme une balle, il rit et se plaque contre mon corps, il fait mine de vouloir me couler, mais je sens que cest une astuce pour se frotter contre moi.
Ma tante rit aux éclats lorsque je me dégage de lui et appuie sur sa tête pour lui faire boire la tasse.
Je me raccroche au bord du bassin.
Il remonte doucement, se re plaque contre moi, en faisant exprès de tousser.
Ses mains glissent sur mon ventre et frôlent mon sexe; je le repousse doucement.
Il quitte mon ventre pour palper mon postérieur.
Tu es bien joufflue Cloé ! dit-il en riant.
Ma tante ajoute :
cest vrai quelle a un beau cul notre nièce !
Les hôtes laffirment en souriant;
Je sors de la piscine, et mallonge près de ma tante.
Lhomme, toujours nu, nous apporte un verre; il est le bienvenu, car avec les petits frottements de mon oncle sur mon corps, je suis tout émue.
La femme se place sur le dos, son compagnon se place juste à côté, et lui passe une crème sur le corps; sa main fait des cercles sur la peau.
Il sattarde sur les seins, il prend soin de bien faire tourner ses doigts sur les aréoles.
Comme par enchantement, les bouts se dressent.
La femme ferme les yeux, et soupire lorsquil roule entre ses doigts les mamelons tendus.
Tante se place dune telle manière, quelle ne perd rien du spectacle.
Mon oncle sort de la piscine, il sétend près de sa femme, il regarde le couple qui, sans retenue, sébat.
La main de lhomme, enduite de crème, frotte le ventre un petit moment, la femme écarte les jambes.
Lhomme prend place entre les cuisses ouvertes et enduit lentrejambe de crème; il frictionne la vulve et enfonce ses doigts un à un.
La femme grogne lorsquil lui enfonce la main jusquau poignet.
La tante se redresse et écarquille les yeux, elle me jette un regard qui en dit long.
Mon oncle se lève, sapproche du couple; il saisit les seins de la femme dont les bouts sont toujours dressés.
Il les pétrit, de plus en plus brutalement, la femme rugit lorsque son homme la ramone violemment, on voit la main soulever la peau du ventre, tellement la femme est décharnée.
Aisément, il tourne la main à lintérieur de la chatte, la femme agite son bassin, et pousse des:
Oui oui oui !
