J’ai rencontré Aline un soir dans une boite. Elle m’a plus aussitôt avec ses seins pointus et se fesses à damner un saint. Le hasard a bien fait les choses, elle s’est assise à mes cotés, les autres tables étaient occupées. Poliment elle m’avait demandé l’autorisation. Comme si c’était mon genre de refuser une place à une blonde presque blanche. J’ai engagé la conversation: vous me plaisez beaucoup, bref le baratin que l’on peut sortir bêtement à une fille qui sait déjà où on veut l’embarquer. Pour moi, c’était simple, la direction était ma chambre. Elle ne voulait pas, en reportant au lendemain cette rencontre décisive. En partant elle m’a donné un bisou sur la joue. Ça n’engage à rien, sinon laisser un peu d’espoir.
Nous avons rendez-vous dans un petit bistro vers 21 heures. Je m’installe au bar en pensant qu’elle ne viendra pas. A l’heure dite elle arrive. Nous buvons rapidement un verre. Je pensais qu’elle allait venir chez moi. Pas question: si nous sortons ensemble c’est chez elle et pas ailleurs. Ma foi: me la payer chez elle ou chez moi la différence est minime. Le principal est que je puisse la baiser et j’en ai envie. Nous filons chez elle: un beau 3 pièces bien, meublé avec un goût très sur.
Nous entrons dans un vaste séjour. Je l’embrasse longuement. Elle répond avec sa langue merveilleuse pour caresser la mienne. Je commence par lui caresser les seins, avant de descendre vers son paradis. Elle se laisse faire tout en accompagnant mes assauts: Je pose ma main sur son pubis, la sienne est déjà sur ma braguette. Je relève sa jupe, elle ouvre mon pantalon. J’arrive à son clitoris, elle sort ma bite. Je la déshabille elle se laisse faire pendant que j’embrasse tout ce que je découvre. Ma bouche s’attarde sur les tétons bien durcis par le désir. Elle commence à me branler. Elle sait bien comment faire. Je l’arrête sinon elle m’aurait fait jouir. Je l’assois sur un fauteuil où elle s’installe les jambes sur un accoudoir. J’ai une vue plongeante sur toute sa raie depuis le petit cul jusqu’à son bouton. Ce panorama me pose un dilemme: par où commencer? A tout hasard je choisis la partie basse. Je mouille mon index le pose sur son "petit trou". J’y rentre lentement. Ce que je fais doit lui plaire, elle écarte les fesses à deux mains. Je vais et viens dans son cul. Je la fais jouir. Je ne pensais pas qu’elle jouisse aussi vite. Je sort mon doigt, me penche sur son con pour trouver son bouton que j’aspire et rejette sans arrêt. Je ne la suce même pas. Elle jouit encore. Maintenant elle me demande de la baiser. Je ne me le fait pas répéter deux fois. Ma bite est plus que dure. Avant que je la pénètre elle écarte les lèvres de son sexe. J’y rentre facilement: elle est totalement mouillée. Elle jouit encore, bien avant que je jouisse moi même. Elle se dégage pour un simple mot: encule moi.
Je vais sur son entrée de l’anus. Elle écarte encore avec ses mains, ses fesses pour faciliter le passage. Je pense trouver une certaine résistance en entrant en elle, je rentre comme dans son vagin. Je fais quelques aller et retour en elle: je jouis, mon sperme part dans son cul: elle jouit encore
Elle se lève en me demandant de l’excuser un moment. Je pense qu’une envie présente la taraude.
En attendant je m’installe plus confortablement sur le fauteuil encore chaud de sa présence. Je bande encore un peu. Je me touche juste pour rester en forme.
Enfin la revoilà. Elle me demande de recommencer tout ce que je lui ai fait: pour lui plaire je lui branle encore le cul, elle jouit. Je lui suce le clitoris elle jouis. Je la baise elle jouit encore. Elle me demande de la prendre pas derrière: je l’encule. Nous jouissons ensemble. Elle se lève, m’embrasse et appelle Julie. Je me demande qui est cette Julie: C’est la copie conforme de celle que je viens de baisser. J’en reste les bras ballants: Julie est celle que j’avais levé la veille, Aline est celle que je viens de baiser. Elles m’ont tout fait refaire pareil pour chacune.
Les jumelles se rapprochent sensiblement une de l’autre. Elles se prennent par la taille, commence à se peloter, pour enfin s’embrasser longuement sur la bouche. Elles s’installent en face de moi, se branlent l’une l’autre. Je vois clairement les mains qui s’agitent sur le con de l’autre sur. Je les vois jouir encore plusieurs fois. Elles me font bander ces chipies. Je vais vers elles: je présente ma pine. Une des deux, je ne peux pas savoir laquelle me prend dans la bouche, pendant que l’autre pose et rentre un doigts dans mon cul. Elles sont championnes toutes catégories de la baise. Je passe une nuit agitée avec ces deux folles de sexe. A la fin de la nuit, elles m’explique que depuis toute petite elles se masturbe pour finalement aller jusqu’àu bout: le 69.