LE COPAIN DINGRID
Après le départ dAndré, Odile prend une douche fraîche. Elle a besoin déclaircir ses idées. Mon Dieu quont-ils fait ! Ce nétait pas Ingrid mais sa fille qui la caressait pendant que son mari lui faisait lamour ! Forniquer en famille ! Ce quelle redoutait cette nuit est arrivé, plus vite quelle ne le pensait ! Le pire, cest quelle néprouve aucune honte. Enfin elle a joui avec André ! Elle est prête à recommencer si au bout elle retrouve le même plaisir.
Revigorée, elle rejoint la fille au pair. Elle nest pas saturée de caresses et ne serait pas contre un autre câlin en attendant son mari. Il lui a promis de rentrer tôt cet après-midi, vers quatre heures. Pas de chance, Ingrid se prépare à sortir avec Martine. Les deux filles doivent suivre des cours à la faculté et annoncent leur retour pour midi. Déçue la jeune femme décide de flemmarder la journée en robe de chambre. Cela létonnerait quAndré la gronde sil la trouve en déshabillé
Odile accueille Ingrid qui rentre la première. La jeune femme est en manque de tendresse. Le baiser brûlant quelles échangent ne la soulage pas. Elle tente dentraîner la fille au pair dans sa chambre à létage mais celle-ci a dautres projets en tête. Larrivée de Martine survient à propos pour tempérer les ardeurs dOdile qui accepte de déjeuner dans le calme.
Après le repas, Martine prétextant des examens à préparer, monte sisoler dans sa chambre.
— Jai peut-être besoin tu viens, la prévient Ingrid.
— Pourquoi faire ?
La fille au pair néglige de répondre. Martine hausse les épaules et quitte la cuisine. Dès son départ Odile se jette sur Ingrid qui la repousse tendrement.
— Tu nes pas impatiente ! Je promets nous amuserons bien.
— Cest quAndré rentre tôt cet après-midi.
— Pas de problème, nous sommes le temps.
A ce moment la sonnette de la porte dentrée retentit. Odile fronce les sourcils.
— Qui peut venir à cette heure-ci ?
Ingrid jette un coup dil à sa montre, Gérard est ponctuel, ça va.
— Comment tu veux que je sais, ment-elle avec aplomb. Tu vas attendre dans ma chambre. Je rejoins quand jai fini avec le gêneur.
Odile sallonge sur le lit de la fille au pair. Elle est satisfaite que Martine étudie. Elle aura Ingrid pour elle toute seule avant larrivée dAndré. Un après-midi de caresses féminines ! Elle ferme les yeux et frôle ses seins par louverture de la robe de chambre, anticipant le plaisir à venir.
Précédant Gérard, Ingrid se glisse dans la pièce. Elle fait signe au garçon de se dévêtir en silence. Elle-même ôte son peignoir sous lequel elle ne porte rien. Elle évite les mains baladeuses et monte sur le lit. Odile, les yeux toujours fermés tend les lèvres pour un baiser qui ne lui est pas refusé. La fille au pair ouvre le déshabillé et découvre la poitrine laiteuse.
— Whaou ! Ces nichons ! sécrie Gérard.
— Hiiii !
Odile tente de se recouvrir.
— Tu calmes ma chérie. Cest Gérard, tu connais.
La jeune femme sassied sur le bord du lit.
— Bonjour madame.
— Euh Bonjour Gérard.
Il ne lui vient pas à lesprit de partir ni dempêcher la fille au pair de retirer le déshabillé, la livrant nue et sans défense au visiteur. Elle na dyeux que pour la verge qui pointe droit dans sa direction. Elle est plus grosse que celle dAndré juge-t-elle. Lui fera-t-elle mal ?
Le garçon savance tenant la queue en main. Il promène le gland sur les seins, sattardant sur les tétons qui dardent.
— Oh ces nichons ! répète-t-il. Tu mavais dit mais je le croyais pas.
Il insère le bout entre les mamelons. Odile se souvenant de la soirée avec les copains de Luc, serre les seins, emprisonnant la tige.
— Oh ! Elle est bonne cette meuf !
Il donne quelques coups de rein. Le gland coulisse, apparaissant et disparaissant tour à tour entre les sphères de chair.
— Oh ces roberts ! Jamais baisé des lolos pareils !
Odile est partagée entre la fierté de recevoir des compliments sur sa poitrine et la déception de ne pas faire lamour. Quont-ils donc tous ces hommes à vouloir souiller ses seins alors quelle est prête à leur accorder son corps ! Elle soupire et donne un petit coup de langue sur le méat qui émerge.
— Ouii ! Tu es bonne ! Je te remercie Ingrid Oh ces nichons Ouiii ! Quel plaisir de les niquer Aah !
Il amplifie ses coups de rein. Odile presse plus fort.
— Oh ! Le pied ! Je viens ! Ouiii ! Je vais tasperger de mon foutre Ouiiii !
Le sperme jailli, sécrase sur le menton dOdile et retombe sur les seins. Gérard fléchit sur ses jambes et sassied lourdement sur le lit.
— Ah ! Je regrette pas dêtre venu. Tu es une bonne toi.
Odile veut se lever.
— Où tu vas ?
— Mais je vais me nettoyer.
— Tu feras ça plus tard, jai pas fini avec toi. Tu grimpes à quatre pattes sur le plumard et tu attends.
Ces paroles redonnent un peu despoir à la jeune femme. Peut-être va-t-elle la recevoir cette queue si appétissante ! Elle sinstalle sur le couvre lit et regarde avec curiosité Ingrid à qui Gérard a confié la charge de lui rendre sa vigueur. Elle est étonnée de la voir porter la verge en bouche ! Une chance quil ne le lui ait pas réclamé ce service, elle naurait pas su faire. Jamais André ne le lui a demandé. Pourquoi ? A voir la tête du jeune homme cela na rien de désagréable ! Elle admire comment la jeune fille lèche la hampe, suce le gland, caresse les testicules. Saurait-elle faire aussi bien ?
— Bon ça suffit ! A toi la vieille ! Je tai demandé de te mettre à quatre pattes !
— Excusez-moi.
Odile sempresse dobéir. Gérard grimpe sur le lit et se positionne derrière le postérieur blanc.
— Stop ! ordonne Ingrid.
Elle tend un préservatif.
— Tu mets !
— Pas la peine.
— Tu mets ou tu pars Tout de suite ! insiste-t-elle voyant que le garçon ne bouge pas.
— Bon ça va, ça va, mais cest toi qui me lenfiles la capote.
— No problème.
Odile tremble dimpatience pendant ces préparatifs. Cela ne laurait pas gênée de baiser sans protection. Enfin Gérard insère la queue entre les fesses. Le bout chatouille lanus. Odile pâlit, ne va-t-il pas lenculer ? Elle ne la jamais fait Non, la verge cherche son chemin un peu plus bas. Soulagée elle écarte les genoux. Gérard trouve la bonne ouverture et senfonce de toute la longueur du sexe.
— Ouch !
— Tu calmes Gérard ! Il est le temps.
Le vagin dOdile prend la mesure de la grosse queue. Après les quelques tiraillements du début, les va-et-vient la font frémir. Cest aussi bon que ce matin avec André, meilleur même. Elle sefforce de résister aux poussées.
— Ouiii ! gémit-elle Mmmh !
— Tu es bonne toi ! Han ! Tu vois, tu as Eu raison de rester Je vais te faire Han ! Te faire jouir Ah non Ingrid Je regrette pas Dêtre venu Tu en as beaucoup des sur Han ! Des surprises comme ça ? Han !
Martine attirée par le bruit ouvre la porte.
— Oh maman ! Quest-ce que tu fais ?
— Ta mère prend connaissance avec Gérard, la renseigne Ingrid.
Martine a vu sur internet des couples faire lamour en levrette mais que sa mère se comporte aussi bestialement dépasse son entendement.
— Il ne lui fait pas mal ?
— Non Han ! Je lui fais pas mal, rugit le garçon en donnant un violent coup de rein.
— Ouiii !
— Tu vois ! Elle en redemande Prends-ça ! Han !
— Ouiii !
— Encore Han !
Ingrid prend Martine sous son aile.
— Gérard est adroit, susurre-t-elle. Tu ne veux pas essayer ?
— Oh non ! Il me fait trop peur, il me fera mal.
— Ta mère ne plaint pas. Tu dois profiter. Tu sais il nest pas bien tu fais crac-crac avec ton père seulement. Il nest pas bon.
— Tu crois ?
— Je suis sûre, faire crac-crac entre papa et fille nest pas moral en Europe.
— Ce nest pas ce que je voulais dire. Je sais bien que ce que nous faisons Papa et moi nest pas bien
— Mais agréable nest-ce pas ?
— Tais-toi ! Non, je voulais dire, jai fait lamour lautre jour avec le copain de Luc, ça suffit pas ?
— Dans lamour, trop dexpériences variées nexiste pas !
Pendant ce dialogue, le couple sur le lit sen donne à cur joie. Martine envie sa mère dont le plaisir évident, plus démonstratif que celui quelle manifestait ce matin avec son père, ébranle sa conviction : Gérard semble si habile. Ingrid qui la devine presque consentante, insiste :
— Je conseille essayer. Tu profites. Tu vois ta mère a un très gros plaisir. Sûrement toi aussi.
Odile, épuisée par trois orgasmes successifs, na plus la force de crier. Elle se contente de résister tant bien que mal aux coups de buttoirs.
— Aaah ! Ouiii ! Je viens ! Ouiiii ! Je remplis ta chatte de mon foutre ! Aarrgghh ! hurle-t-il, oubliant le préservatif.
— Aah ! Sssh ! gémit Odile qui regrette en cet instant la présence du latex.
Ingrid les laisse souffler une petite minute.
— Martine, tu nettoies Gérard.
Elle entraîne Odile vers la salle de bain, laissant la jeune fille un peu interloquée, fixer la verge encore grosse qui fléchit entre les jambes du garçon.
— Tu peux tapprocher, suggère Gérard. Sil te plait, enlève la capote.
Comme elle ne bouge pas il ôte lenveloppe de latex et la jette dans une corbeille. Martine regarde autour delle.
— Tu cherches quoi ?
— Des mouchoirs en papier.
— Tu sais, cest mieux si tu nettoies avec la langue Je tassure, ajoute-t-il devant la mine dégoutée.
— Je Jai jamais fait.
— Raison de plus pour commencer. Ça manque à ton éducation.
Cette dernière remarque détend la jeune fille.
— Tu parles comme Ingrid, sourit-elle.
Elle sagenouille entre les cuisses et tend la main vers le sexe luisant. Cest doux, cest tendre cette tige molle, presque émouvante de fragilité. Elle approche les lèvres mais nose mettre le bout en bouche.
— Tas pas à avoir peur, ça ne mord pas.
Elle donne un petit coup de langue timide. Un goût bizarre, pas désagréable.
— Oui, cest bien, lencourage Gérard.
Elle senhardit, lèche la tige, suce le bout.
— Ouiii ! Plus profond !
Martine fait entrer le gland.
— Oui ! Tu fais ça très bi Sssh ! Bien Elle est douée la petite, claironne-t-il à lattention dIngrid qui sort de la salle de bain Continue ! Sssh !
Martine sactive maintenant sur un barreau rigide. Elle est fière dêtre responsable de cette métamorphose. Le spectacle fait froncer les sourcils dOdile qui les rejoint. Cela ne lui plait pas de voir sa fille en position humiliante.
— Je suis contente de toi, Martine, encourage Ingrid. Il est bon de sucer un gros zob, il nest pas ?
— Mmh ! Mmh ! approuve la jeune fille qui avale le sexe de plus en plus profond.
Odile nose linterrompre et assiste sans broncher. Gérard se sent prêt pour la phase suivante. Il récupère sa queue.
— Monte sur le lit ! ordonne-t-il.
— Hé ! intervient Ingrid. Tu mets un condom !
— Euh
— Si !
— Bon, ok ! Mais cest Martine qui lenfile.
La fille au pair pique un préservatif dans le tiroir de la table de nuit et le tend à la jeune fille. Celle-ci a des difficultés à le dépiauter.
— Tu nas jamais fait ? interroge Ingrid.
— Non, cest la première fois.
— Je guide Tu poses sur le bout Non, pas comme ça Tu pinces la caoutchouc Oui Tu laisses la place
— Héla ! Vous pouvez pas aller plus vite, jai pas que ça à faire moi.
— Toi tu tais ! Martine tu déroules le long de la tige Oui il est bien. Tu vois, il nest pas difficile Tu es prêt Gérard.
— Pas trop tôt !
Il fait monter Martine sur le lit et sinstalle pine en avant entre ses cuisses.
— Il Il va la baiser ? réalise Odile.
— Ta fille aussi a droit a un gros plaisir.
— Mais
— Tu nas pas peur, Gérard est habile.
Un ricanement silencieux secoue les épaules de la jeune femme. Pour être habile, le garçon lest ! Elle en a encore le souvenir dans le ventre, mais que sa fille le subisse
— Tu laisses, tu nes pas jalouse, la devine Ingrid. Nous caressons Martine pour quelle a le gros plaisir comme toi.
Après la mère, la fille ! Odile ne se sent pas le droit de priver sa fille du plaisir que Gérard lui donnera sûrement. Elle sapproche et caresse la cuisse. Ingrid la remercie dun sourire et lencourage à peloter la poitrine.
Martine attire le garçon. Gérard senfonce dun seul coup.
— Meeuuh !
— Il lui fait mal ! sinquiète Odile.
— Mais non ! Je lui fais pas mal Elle prend son pied la petite Nest-ce pas quelle est Est bonne la queue de Gé Han ! Gérard ?
— Ouiii ! Mmmh ! Aaaah !
La sucette et les préparatifs ont exacerbé lexcitation de la jeune fille qui ressent une première jouissance
André marche dun bon pas. Il est satisfait de sa journée. La réconciliation avec ses femmes lui a porté chance. Il a trouvé dans lacte daccusation dun gros client une faille qui lui fait espérer gagner le procès. Par contre cet après-midi, Joseph la déçu. Lavocat aurait aimé que le garçon le caresse, mais celui-ci na pas osé sapprocher de la verge qui pointait par louverture du pantalon. André la renvoyé. Ce sera dur dobtenir une autre attitude que la passivité de la part du stagiaire Heureusement que ce matin Annie
« A son arrivée au bureau, Joseph et Annie lassaillent, chacun voulant présenter son travail. Cela lui fait chaud au cur de voir ses stagiaires se disputer ses faveurs. Ce serait bien de les recevoir en même temps, passer du cul de lun à la chatte de lautre Euh Il ne faut pas rêver. Une idée traverse son esprit. Oui, cest à essayer. Avec Joseph ou Annie ? Plutôt avec la jeune fille, plus avertie à son avis. Il sera toujours temps en cas déchec de demander à Joseph. Il fait entrer la demoiselle au grand dam du garçon jaloux.
Tout en écoutant les explications dAnnie et en donnant quelques conseils, il ouvre sa braguette et extrait le sexe quil affute par de discrets coups de poignets.
— Annie, pouvez-vous vous approcher ?
La jeune fille savance.
— Oh !
Un instant interloquée par la vue de la verge droite, elle dépose ses documents et sagenouille aux pieds de lavocat. Elle remplace la main de celui-ci sur la hampe et approche le gland de la bouche.
— Mmmh ! gémit André ravi.
Cétait ça son idée, se faire sucer. Il est enchanté quAnnie comprenne sans quil ait besoin dinsister.
Ce nest pas la première fellation quelle pratique. Elle alterne lintroduction du gland avec les léchouilles sur la tige. Elle est plus habile quIngrid juge-t-il. Lorsque la jouissance monte, elle la stoppe en serrant la base du sexe et calme limpatience dAndré par des petits baisers sur la hampe avant de reprendre la sucette. Lavocat gémit. Il agrippe les accoudoirs de son fauteuil. Il demande daccélérer. Annie fait non de la tête sans cesser de le pomper à son rythme. Enfin elle avale le gland et masturbe la tige jusquà ce que le sperme jaillisse. Elle lavale consciencieusement et sort se rincer dans le cabinet de toilette. A son retour, il na pas bougé de son fauteuil, les yeux fermés, la respiration haletante. Annie sourit. Elle remet le sexe dans le slip, referme la braguette.
— Voilà ! Voilà ! Voilà !
— Mer Merci, balbutie André.
Il prend plusieurs inspirations profondes. Il referme les documents quAnnie avait étalés et les place à part sur une pile.
— Je suis content de ton travail, continues ainsi.
— Merci maître Pardon, merci André.
— Je préfère, sourit-il.
Il lui tend un autre dossier.
— Voici un autre cas à étudier. Tu men feras le compte rendu. Pense aussi à varier la présentation. Cest important tu sais la présentation.
Annie ramasse le dossier et quitte la pièce laissant lavocat tout seul à rêver à ce qui vient de se passer »
André suspend sa veste dans le vestibule tout en souriant au souvenir de la sucette dAnnie. Il na quà se féliciter de lavoir embauché celle-là ! Ce quil y a de bien avec ces filles émancipées, cest quelles comprennent à demi-mots sans quil soit nécessaire dinsister. Entre la réconciliation avec Odile et Martine et les jeunes stagiaires, les prochaines semaines se présentent sous les meilleurs auspices
Personne pour laccueillir au salon. Il tend loreille Oui elles sont à létage encore entrain de se gougnotter, les gémissements sont explicites. Grand bien leur fasse ! Il va se servir un whisky quand une voix masculine quil croit reconnaître, le fait sursauter.
— Ah non ! Pas de ça !
Il ouvre dun coup sec la porte de la chambre dIngrid. Le spectacle le fige quelques courtes secondes : Gérard baise Martine qui noue ses talons sur les fesses, tandis quOdile et Ingrid caressent le couple. De voir sa fille aux prises avec le jeune homme renforce sa colère. Il se précipite sur le lit et tente den jeter bas le garçon. Prudentes, Odile et Ingrid sécartent. Malgré les efforts de Martine qui ne veut pas être privée de sa jouissance, André parvient à désarçonner Gérard. Mal lui en prend car délivré du souci de ne pas blesser sa partenaire, le jeune homme maîtrise sans peine lavocat qui se retrouve à plat ventre sur le lit, écrasé par le garçon assis sur ses épaules.
— Vous maidez à le désaper !
Martine et Ingrid sempressent. En un clin dil, André se retrouve cul nu.
— Ah on veut mempêcher de baiser !
Gérard assène une maîtresse claque sur les fesses.
— Aouh !
— On veut empêcher Martine (Vlan !)
— Aouh !
— De prendre son pied ! (Vlan ! Vlan !)
— Aïïïe !
André tente de se libérer mais Gérard tient bon et donne plusieurs coups sur les fesses.
— Meuuuh !
— Un peu moins fort Gérard, supplie Odile qui a pitié de son mari.
— Bien fait pour lui ! grommèle sa fille qui ne pardonne pas linterruption de sa jouissance.
Ingrid devine le souhait de son copain. Elle va chercher un tube de crème dans la salle de bain.
— Tu tiens, Martine. Tu tartines le cul.
— Ouais cest ça ! Je vais tenculer pour te punir ! (Vlan ! Vlan !)
— Aouh ! Non, pas Martine ! Pas Martine !
— Mais si ! Pour la dédommager. (Vlan !)
La jeune fille sapproche sans un regard de pitié pour le cul cramoisi. Elle dépose une noisette de crème sur le doigt et enduit le pourtour de lanus.
— Tu mets un peu dedans, conseille Ingrid.
— Mmmh ! murmure André qui ne peut sempêcher dapprécier.
— Ça suffit ! ordonne Gérard. Ingrid tu me passes une capote.
Elle sapproche pour lenfiler.
— Non, cest le travail de Martine. Jaime bien ses doigts sur ma queue Toi tu ne bouges pas, menace-t-il André, sinon je te flanque une dérouillée dont tu te souviendras longtemps.
— Odile, tu maides, réclame la fille au pair en tenant le genou et la cheville Tu verras, il nest pas mal. Gérard est gentil.
Gentil ? La jeune femme en doute, mais elle attrape lautre jambe. Gérard libère lavocat qui nen profite pas, peur de représailles ou espoir de jouissance ? Sa passivité fait sourire Ingrid qui maintient néanmoins la cuisse, on ne sait jamais
Le garçon, une fois sa verge recouverte se place derrière André. Il promène le bout du sexe entre les fesses.
— Soulève ton cul quon voit le trou de balle !
— Attendez, je vous aide.
— Martine ! Voyons ! Cest ton père quand même, reproche Odile.
— Il navait quà attendre que je finisse de jouir !
Elle écarte les globes. Gérard guide sa queue, trouve le bon emplacement et pousse.
— Ouch !
— Aaah ! Ton cul est aussi bon que lautre jour !
— Oui, Gérard a connu André quand tu nétais pas là, renseigne Ingrid en réponse au coup dil interrogateur dOdile.
Lavocat ne se défend plus. Lintroduction lui rappelle la précédente. Il grogne de bien-être lorsque les mains dOdile et dIngrid glissent sous son corps à la recherche du sexe comprimé.
— Gérard, sil te plait. Tu dois soulever André, demande Ingrid.
Le garçon prenant sa victime à bras le corps, linstalle à quatre pattes sur la couverture. Les deux femmes se sourient lorsque leurs doigts se rencontrent sur la verge raide, témoin du plaisir de lavocat.
— Martine, tu ne veux pas prendre la place ? Tu caresses ton père, offre Ingrid.
— Non merci, déclare celle-ci toujours en colère.
Les sensations combinées dans son sphincter et sur sa queue ont raison de la résistance dAndré.
— Aaggrrhh !
— Oh le gros cochon ! Il a tout sali le couverture ! se plaint Ingrid.
— Je viens Han! Ouiii ! Ça Ça Ça y eeeeest !
Gérard seffondre sur le dos dAndré qui saffale sur le lit. Ingrid retire son copain. Odile sapproche de son mari.
— Cest fini mon chéri, viens te nettoyer.
Elle veut lentraîner vers la salle de bain.
— Non, vous laissez Gérard et moi seuls. Il est mon tour ! Vous partez dans votre chambre Toi aussi Martine.
Elle pousse son copain vers le cabinet de toilette.
— Oui, tu as raison, une bonne douche me remettra sur pied. Tu verras tu ne regretteras pas ta soirée, fanfaronne-t-il.
Soutenu par sa femme et sa fille, André rejoint sa chambre.
— Vous prenez la douche avec moi ? Il y a de la place pour trois.
— Non, déclare sa fille encore sous le coup de la déception, je vais me laver dans ma salle de bain.
— Je suis là moi, le console Odile
A suivre