Comment expliquer mon attirance pour les femmes mariées, et en particulier mon désire pour les mères de famille : peux on y voire une forme d oedipe, une névrose, une perversion innée ?
Rien ne vaux le récit de mes aventure libidineuse pour mieux vous faire comprendre la nature de ma perversion, a commencer par ce que je suis en train de faire actuellement : et oui ! je vous le donne en mille je baise une maman, et pas n importe laquelle d’ailleurs, puisque il s agit de la femme de mon petit frère : a quatre pattes sur le lit conjugale comme je le lui ai ordonnée, sa jupe troussée, ainsi que son string en dentelle mauve baissée a mi jambe, je la besogne fermement par derrière, faisant grincer le sommier, claquant mon ventre ferme et musclé contre ces fesse potelée :
— alors Marie, tu aime toujours autant te faire monter par ton beaux frère ?
Elle ne peux que répondre par un vague grognement toutes a son plaisir adultère :
— pas la peine de repondre ma salope, tu mouille comme une vraie fontaine, mes couille en sont toutes poisseuses, tient prend ça dans ton cul ma cochonne !
et de lui mettre un bon coup de rein qui la fait râler plus fort, et frémir de tous son corps. Pour faire bonne mesure je lui gifle son gros joufflu lui faisant pousser un petit cri de douleurs surprise :
— mais c est qu on a pris du poids depuis l accouchement ma grosse !!!
Elle n est pas spécialement belle, avec un corps sans relief quoi que doté d un cul un peux plus rebondi que la moyenne. Ce qui m avais surtout excité chez elle, outre le fait qu elle soit la femme de mon frère, c est son coté pincée et raisonnable issue de son éducation : de confession chrétienne, elle considérais le mariage comme un engagement sacrée, qu on devais chérir pour la vie, croyant au vertus de la fidélité et autre faribole…. bref je m étais fait un plaisir de la séduire dans le dos de mon frère, réveillant ses pulsion de femme réprimée par les cours de catéchisme de son enfance, elle c étais alors montrée veule et soumise.
Je me souvient parfaitement de sa première infidélité : cela c étais passé dans son appartement, alors que j avais envoyer son mari faire une course inutile au supermarché du coin. Je l’ avais coincé par derrière contre la table du salon, lui troussant sa robe d une main et serrant méchamment sa gorge de l autre, la forçant a courber ses reins et baisser elle même sa culotte avant de l enfiler.
Je lui avais fait dire sous la contrainte de ma main serrant sa gorge que désormais elle serait ma salope a moi, avant d être une épouse pour son mari. Elle c étais soumise avec une langeur et un plaisir qu elle avait réprimée en se mordant les lèvres, pour étouffer les cris de jouissance qui montait en elle, et aujourd hui :
-allez remue moi un peux tous ça, bouge ton gros derrière que je sente bien mon pieux te ramoner, petite salope….
Et oui, je fait d elle ce que je veux bien quelle soit la femme de mon frère, elle m obéit au doigt et a l oeil soumise a mon bon plaisir, contrairement a son mari : selon mes directives, elle n a plus de relation sexuelle avec lui, je lui permet seulement de le masturber lorsqu ils sont au lit, mais son cul son sexe et sa bouche me sont réservé.
Lorsqu je m invite chez eux alors que mon frère est au travail, elle doit me recevoir comme son véritable maris, et m embrasser comme une femme aimante, bien quelle me craigne et me déteste, tous en me désirant. Elle a adoptée une attitude de plus en plus hautaine avec son maris, reportant sur lui son humiliation de soumise.
Entre moi et mon petit frère Daniel, il en a toujours été ainsi : une rivalité dont je suis toujours sortis vainqueurs, et ce depuis le tous débuts. Enfant j avais déjà la préférence de ma mère, son 1er enfant sur qui elle avais concentrée toutes son affection, considérant mon frère venus au monde 3 années plus tard comme une erreurs.
J étais le plus beau beau, le plus vigoureux, le plus volontaire, la préférence que me donna ma mère creusa encore l écart entre lui et moi ; il devins de plus en plus renfermé, alors que moi je m épanouissait, conscient de ma supériorité.
Plus tard, que se soit au collège ou au lycée, j étais non seulement bien meilleurs éleve que lui, mais j avais aussi beaucoup plus de réussite que lui avec les filles.
Quant par chance, il arrivais a nouer une idylle romantique avec une de ces amies, je n avais aucun mal a la séduire pour la lui fauchée sous le nez, et ensuite lui raconter avec délectation et force détaille toutes les cochonnerie que j avais pue faire avec sa tendre amie, a telle point qu il n osa plus me présentée ces connaissances féminine de peurs que je les lui fauche.
Ainsi pour l anniversaire de ces 17 ans, il avais invité sa petite amies du moment, une charmante rouquine trop belle pour lui qu il connaissait depuis l enfance : je m étais alors permis de la dépuceler dans sa propre chambre pour le remettre a sa place. Quant il nous découvrit en pleine action, alors que je baisait sa copine en levrette, son aire surpris et effondré déclencha instantanément mon éjaculation dans le sexe de sa petite amie qu il considérais alors comme sa futur épouse.
Finalement il rencontra une femme qui consente a l épouser, ayant bien pris soin de la choisirez dans un milieux qui m étais étranger – elle faisait partie de la même association caritative que lui – afin d être sure que je ne la lui faucherait pas.
Après 1ans d un heureux mariage, j avais fait de sa femme mon jouet sexuelle, usant et abusant d elle dès que j en avais l occasion.
Arriva alors se qui devais arriver : elle tomba en ceinte de moi, ce n étais d ailleurs pas vraiment un hasards, car j avais calculer mon coup pour être sure de lui faire un enfant, allant j jusqu a remplacer dans son dos ces pilules contraceptive par des placebo.
Désormais, un de mes grand plaisir est de l asticoter sur cette preuve vivante de son infidélité, tous en la baisant chez elle :
— alors, espèce d ignoble salope, comment se porte le môme ? l enfant qu on a fait sur le dos de ton maris ! j espère que vous vous montrez digne de son éducation, après tous il vient de mes couilles, tu devrais me remercier salope : grâce a moi tu a un belle enfant fort et vigoureux, alors que mon frère t aurait sûrement fait un beaux gâchis, a l image de sa vie de se loser!
Tous en ponctuant mes phrase de coup de bite, je gifle son cul en cadence,
— alors tu n a rien a dire salope d infidèle ?
Toutes a son plaisir, elle hurle sa jouissance alors que ma 1ère décharge de sperme vient taper contre sa matrice : l’ évocation de notre fils èléctrise systèmatiquement ma bite, et elle aussi n est pas indifférentes a l’ idée que son fils est de moi.
Cette situation m’excite a telle point, que lorsqu je voix le ’père’ et le fils réunis, je sens une érection monter en moi a l idée des perspectives d humiliation possible : a sa majorité j’ ai prévu d’ apprendre a Alex que je suis son vrais géniteur preuve consanguine a l’ appuie, et ceci en présence de son père et de sa mère. J imagine d ici la tête que fera mon frère quant il réaliseras que même en tant que maris et père, je l ai ridiculisé devant sa famille.
Affalé contre le lit, le cul relevée et la tète enfouie dans l oreiller, ma belle soeur reprend ces esprit alors que j’ essuie ma bite sur les draps du lit. Elle trouve la force de se rebeller pour me traiter de salop et me demander pour la énième fois de la laisser tranquille, j’ en rigole un bon coup avant de lui lancer :
— je suis peut être un salop, mais tu ne vaux pas mieux que moi : il a suffit que j évoque ton fils pour te faire jouire comme une truie, et dire que tu est ma belle soeur!
Rougissante de honte elle abandonne la partie résignée, puis se tournant vers le réveille elle constate qu il est justement l heure d aller chercher son fils qui est en classe de CP.
Se redressant sur le lit, elle me demande :
— va donc chercher Alex a l école
— tu veux que j aille chercher mon fils a l école ?
Elle comprend que je veux l entendre dire de sa bouche :
— oui! va donc chercher ton fils a l’ école, espèce d’ ignoble salop !
Je lui répond avec un sourire au lèvre :
-mais avec plaisir ma petite salope, après tous c est se que font tous les père de famille attentionné non ?
Avant de partir, je saisie son string (je lui en offre régulièrement pour qu elle les portes spécialement pour moi) sur le lit, et lui essuie l entrejambe avec avant de le glisser dans ma poche :
— tu connais mon péché pignon ma belle(et oui, je suis aussi un grand fetichiste…)
Je quitte alors l’ appartement pour partir en direction de l école.
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