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Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 19

Les métamorphoses de Sylvie - Chapitre 19



19 – Une visite nécessaire.

Je lui ai dit d’un ton sans réplique que nous prenions ma 2 CV, car la personne que nous allions voir s’attendait à me voir arriver avec ma voiture.

Lorsque nous sommes descendus, il a un peu tiqué devant la plaque de cuivre : Madame Martine V., Gynécologue-obstétricienne.

Il m’a demandé :

Qu’est-ce que tu viens faire là ? Et moi, je ne vais pas entrer là-dedans. Je vais t’attendre dehors.

Je lui ai répondu :

Non, tu viens avec moi.

Devant mon air déterminé, il a cédé. Nous sommes entrés dans la salle d’attente de Martine alors que la porte de l’extérieur se refermait sur sa visiteuse précédente. Elle est venue me chercher. Martine est très belle, un peu plus petite que moi, blonde aux cheveux longs réunis en un chignon. Elle m’a embrassée pour me souhaiter la bienvenue et je lui ai demandé si Marc pouvait entrer avec moi. Elle a eu l’air un peu embarrassée, parce qu’elle savait que, comme je lui avais indiqué au téléphone, je venais pour me faire faire un frottis et prendre une ordonnance pour la pilule que m’avait indiquée Nadine et qu’elle aussi m’avait conseillée.

Elle m’a dit :

Tu sais, en principe je n’ai affaire qu’à une femme seule, son mari ou son amant attend ici.

J’ai tellement insisté qu’elle a fini, au nom de notre amitié, par le faire entrer avec moi.

Je riais sous cape : j’ai vu là à quel point un homme peut être maladroit et embêté quand il est dans un lieu comme celui-là.

Il était au milieu de la pièce, comme perdu. Je lui ai dit, ce qui a fait sourire Martine :

Au lieu de rester planté là comme si tu n’avais jamais rien vu, tu pourrais peut-être m’aider à me déshabiller.

Là, il a rougi. Il m’a demandé :

Que dois-je faire ?

Martine, qui finalement avait pris le parti de s’amuser, lui a dit :

Aidez-là à ôter sa robe, par exemple.

Ce qu’elle ignorait, c’est que j’étais, une fois de plus, complètement nue en-dessous. Elle s’en est rendu compte lorsque Marc, après avoir ouvert tous les boutons de ma robe, l’a fait glisser le long de mon corps, en profitant au passage pour me faire une petite caresse sur les flancs, pas très appuyée, mais bien réelle.Pour moi, ça n’avait aucune importante : les deux personnes présentes dans cette pièce m’avaient déjà vue nue et Marc dans une situation autrement plus érotique. Mais ils ont été surpris tous les deux ; moi, je commençais à me dire que ça me plaisait bien de m’exhiber toute nue comme ça, sans avoir l’air de réellement m’exhiber puisque ma nudité avait une raison.

Il a posé ma robe sur un fauteuil, en prenant bien soin de ne pas la froisser puis il a demandé :

Et maintenant ?

Martine intervint d’un air de plus en plus amusé :

Maintenant, cher Monsieur, puisque Sylvie vous autorise à assister à son examen, vous pourriez peut-être l’aider à s’installer ici.

Elle lui a désigné la table d’examen avec les étriers. Visiblement, Marc était bien embarrassé. Il m’a prise dans ses bras, m’a déposée sur la table et il m’a aidée à m’allonger. Il m’a regardée longuement puis m’a demandé :

Que dois-je faire ?

Avant Martine, je lui ai ai répondu :

Mets mes jambes dans les étriers.

Il a disposé soigneusement chacune de mes jambes sur un étrier et il m’a vue ouverte comme il m’avait déjà vue à de nombreuses reprises depuis l’anniversaire de Nadine. Martine a compris, si elle ne l’avait pas déjà deviné, que nous étions très intimes. Sans rien dire, elle s’amusait visiblement de l’embarras de Marc. Je lui ai demandé :

Martine, s’il te plaît, tu veux bien me faire mon frottis ?

Elle m’a a répondu :

Oui, Sylvie.

Elle a arrangé ses instruments sur un haricot médical et elle pris dans ses mains l’inévitable spéculum métallique. Lorsque j’ai vu ça, je lui ai fait un petit signe et je lui ai murmuré à l’oreille :

Tu sais, lui, avec sa bouche, il m’ouvre aussi bien que ton truc et c’est infiniment plus agréable.

Elle m’a répondu de la même manière, en me fixant dans les yeux :

Je me doute, Sylvie, mais ici c’est un cabinet médical, pas une scène de théâtre porno.

Je lui ai souri à mon tour en lui répondant :

Je le sais bien, Martine, mais je disais que c’est bien meilleur avec lui. Ton truc métallique, c’est froid.

Comme pour faire comprendre à Marc que nous discutions de choses et d’autres, elle a dit :

Au fait, ton mari ? Nadine m’a raconté, tu parles d’une histoire.

Oui, alors ! Et ça durait depuis trois ans, avec cette petite pute ! Et moi, pendant ce temps-là, j’attendais mon seigneur et maître.

Comme il ne voyait pas nos mimiques, elle me fit un petit clin d’oeil et, tournant son pouce vers sa poitrine, elle m’a en fait désigné Marc en remuant seulement des lèvres, sans prononcer une seule parole :

Et lui ?

Je lui ai répondu de la même manière, avec un sourire épanoui, en levant mon pouce en l’air.

Bon, ce frottis.

S’adressant à Marc, elle lui demanda :

Tenez, Monsieur, voulez-vous me passer la petite brosse qui est là, s’il vous plaît ?

Il ne savait plus où se fourrer et j’ai franchement ri aux éclats en voyant sa tête. Il a dit :

C’est curieux, j’ai l’impression que vous vous moquez de moi, toutes les deux.

Martine lui a répliqué :

Non, Monsieur, c’est un examen sérieux.

Elle m’a ouvert le vagin avec son spéculum et a fait son prélèvement habituel.

Elle a retiré ses instruments de mon sexe et a fait comme d’habitude. Soudain elle a remarqué quelque chose :

Sylvie, il me semble que tu as le pourtour de l’anus un peu boursouflé, très gonflé et un peu rouge. Tu as un problème de ce côté-là ?

J’ai pris la main de Marc, qui était juste à côté de moi, les bras ballants et je lui ai répondu en souriant :

Je te présente mon problème.

Elle m’a regardée, l’air interdit, puis elle a regardé Marc et est revenue à moi. Elle a dit :

Je ne comprends pas !

Je me suis mise debout et je lui annoncé :

Monsieur – tu peux aussi l’appeler Marc – est un cousin de Nadine. Il est aussi, il est surtout, une sorte de géant, si tu vois ce que je veux dire.

Elle a vite compris.

Ah bon ! Et… tu as mal ?

Non, parce que c’est un géant délicat.

Il a piqué un vrai fard, parce qu’il venait de comprendre que, à demi-mot, je venais de dire à Martine qu’il m’avait sodomisée.

Elle a repris :

Il faudrait peut-être que je te regarde en détail de ce côté-là aussi. Ce n’est pas vraiment mon travail courant, mais j’ai de bonnes connaissances en médecine, tout de même. Rallonge-toi.

Elle m’a regardé l’anus, encore légèrement boursouflé, puis a demandé à Marc :

Vous avez pris des précautions particulières, j’espère.

Oui, Madame, je l’ai bien enduite de vaseline. Chez moi, à Londres, j’ai d’autres onguents mais là nous avons fait avec ce que nous avions à notre disposition.

Elle sourit puis s’adressa de nouveau à moi :

Et… tu as l’intention de refaire ça ?

Oh oui ! fut mon cri du coeur, qui l’a fait sourire et qui a permis à Marc de reprendre une contenance. Elle s’adressa de nouveau à lui et lui dit :

Continuez à prendre beaucoup de précautions, mais faites attention, surtout si vous êtes comme Sylvie le dit.

J’ai complété son instruction sous le regard courroucé de Marc :

Vingt-huit centimètres de longueur et quatorze centimètres de diamètre, Martine.

Elle ne put pas s’empêcher d’émettre un petit sifflement.

Bravo, cher Monsieur ! Mais comprenez que Sylvie, comme tout le monde, est relativement fragile de ce côté.

Je le sais, Madame, c’est pourquoi nous avons pris un luxe de précautions. Mais vous savez, je ne suis pas responsable de mes… euh… dimensions, ce sont mes parents qui m’ont fait ainsi, je l’ai déjà dit à Sylvie.

A brûle-pourpoint, elle m’interrogea :

Et tu as (elle se racla un peu la gorge avant de prononcer le mot)… apprécié ?

Écoute, Martine, tu peux dire que j’ai joui comme une folle, comme je jouis de tout ce qu’il me fait.

Félicitations, Monsieur ! Et tant mieux pour toi, Sylvie. Bon, rhabille-toi, je vais te faire l’ordonnance que tu m’as demandée.

Les joues cramoisies mais grand seigneur, Marc m’a aidé à remettre ma robe. Pendant ce temps, installée à son bureau, Martine a fait mon ordonnance, après m’avoir demandé à quand remontaient les dernières règles, ce que je lui ai indiqué.

Après, pour détendre un peu l’atmosphère elle m’a demandé des nouvelles de Nadine et nous avons terminé cette consultation particulière bons amis.

Une fois que nous avons été remontés dans la 2 CV, il a commencé à me disputer en disant que je m’étais moquée de lui avec son amie, et que… Pour tourner court à la dispute, j’ai pris sa main gauche et je l’ai guidée sur mon sexe en lui disant :

Tiens, venge-toi de ce que tu as subi.

Il a souri et s’est excusé de s’être emporté, mais il a laissé sa main.

Heureusement que nous n’avions pas trente kilomètres à faire, parce que nous aurions eu un accident.

Il a ôté sa main quand je me suis arrêtée, pour ouvrir la porte du garage. J’ai rentré ma deudeuche dedans, je me suis débarrassée de ma robe que j’ai mise sur la capote de ma voiture et je me suis collée à lui, toute nue. J’ai quémandé un baiser qui fut très tendre. Il m’a prise dans ses bras, a mis ma robe sur moi et m’a ainsi fait monter l’escalier. J’avais noué mes bras autour de son cou et j’étais bien, heureuse, prêt à ronronner comme une chatte.

Je me doutais que sa destination était la chambre.

(à suivre)

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